Effectivement, Enigme. Mais je tenais juste à faire une dédicace à Tupac et Patshoosket qui nous parlent à longueur de journée de jeunes talents du pays qu'on peut réunir la veille et qui obtiennent de bons résultats.enigme a écrit :frero ce la seule chose qu'on peut faire ce de rire, organisation c'est un mot tabou dans notre fédé, tu 'imagine que les joueurs du katanga et ceux de kin n'ont pas eu le temps de s'entrainer ensemble, donc si avec le A les choses ne marchent pas comment peut t-on esperés que les chosesvont marcher avec le U-17, ce que je suis entraint de vivre à kin, il ne faut pas tros esperer même pour les eliminations Can 2012 si on se qualifie ça sera de l'exploit, avant le match contre le Mali tu avait déjà dit que le Mali, c'est un autre niveau, donc se resultat ne te surprend pas
CAN U-17
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Erick Ross
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Re: CAN U-17
Angola-Réunion : 2-2 (0-3)
Burkina Faso-Afrique du Sud : 2-0 (2-4)
Egypte-Somalie : 0-3 (4-2)
Algérie-Gabon : 0-0 (1-2)
Nigeria-Congo : 1-2 (1-1)
Ghana-Zambie : 1-2 (2-0)
Tunisie-Soudan : 2-1 (4-2)
Gambie-Maroc : 3-1 (0-1)
Cameroun-Lesotho : 4-2 (3-0)
Mali-Rd Congo : 4-1 (2-0)
Côte d’Ivoire-Benin : 0-0 (1-1)
NA BA SOMALIENS BA ELIMINER EGYPTE !!!!!
Burkina Faso-Afrique du Sud : 2-0 (2-4)
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Nigeria-Congo : 1-2 (1-1)
Ghana-Zambie : 1-2 (2-0)
Tunisie-Soudan : 2-1 (4-2)
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Nazala en forme Nazala en forme te nakoki kozanga leopardsfoot te!!!
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Re: CAN U-17
Tolongue na biso n'esengo tokokende Ruanda te
Bon sik'oyo bolingaki nini to bengisa ba pro ya ASBL et qu'ensuite ceux ci choisissent la Belgique ou La France brèf mosala ya Mpunda. Polisa nde CAP VERT to ndima yo MALI de KANOUTE
« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
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Erick Ross
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Re: CAN U-17
Il est sérieux celui-là ? Je suis certain qu'il fait des cauchemars de l'ASBL Léopards ou U-19 de la diaspora. Dès qu'il entend le terme ASBL, il doit être en chaleur. Bref, même les petits du pays n'ont pas le niveau apparement. Patshoosket, de quel relève parles-tu ? 
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Re: CAN U-17
Tika biso tolongua n'esengo ceux qui ont le niveau montrent des aptitudes au KARATE
U-17 tobebisa mbongo pour faire venir de gamins qui ne sont même pas pro et qui peuvent à tout moment opter pour leurs pays d'adoption

ASBL à temps partiel
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Re: CAN U-17
RD Congo
Katanga : les jeunes rêvent de devenir stars du foot
(Syfia Grands Lacs/Rd Congo) Au Katanga, le succès du plus grand club de football de Lubumbashi et le train de vie que mènent ses joueurs poussent de nombreux jeunes à vouloir devenir footballeur. Certains, partagés entre les études et le ballon rond, ne savent pas trop où donner de la tête… et les rêves sont bien souvent brisés.
"Mes fans m’appellent Mputu Trésor, cela me plait !", s’exclame José Ntanga, un jeune de 15 ans. Mputu est le capitaine du TP Mazembe, le club local de foot. Sacré champion d’Afrique de la compétition la plus prestigieuse de la spécialité en 2009, le capitaine de cette équipe a été élu en même temps, meilleur joueur africain de l’année. De quoi faire rêver de nombreux jeunes du Katanga (sud-est de la Rd Congo) et du reste du pays. La télévision, qui ne cesse d’exhiber les biens matériels (maisons, véhicules…) gagnés par les joueurs, devenus de véritables idoles, ne fait qu’en rajouter à leurs rêves. D’autres jeunes ont pour modèles de grands noms du foot mondial. "Je rêve de jouer comme Lionel Messi (ballon d’or européen 2009 de FC Barcelone, Ndlr)", lance Kalenga Lufulwabo, 17 ans.
Le jeune Armand Mpela qui se fait appeler Thierry Henry, a de nombreux fans dans son quartier. Sur le terrain, il drible, protège la balle et ne rate que rarement ses tirs aux buts. "Si tous mes matchs étaient filmés, mon palmarès atteindrait pas moins de 50 buts marqués en un championnat", se vante ce jeune de 19 ans, qui tape sur le cuir depuis ses 6 ans.
Entre l’école et le terrain de foot
De nouvelles équipes de foot se créent ainsi chaque année à Lubumbashi. A l’Entente urbaine de football, 180 clubs de jeunes sont actuellement enregistrés. Au niveau de la Ligue provinciale, on en compte 240. Dans la majeure partie de cas, ces jeunes sont encore sur le banc de l’école. Ils sont tiraillés par leur ambition d’embrasser la carrière de footballeur et les études. Mais très peu ont la chance de récolter le succès qu’ils espèrent en choisissant de taper sur le ballon rond. Manager technique à l’Académie de football Don Bosco, Serge Simon Solo affirme que "5 élèves sur 100 peuvent être à la fois bons au foot et à l’école." Le taux d’échec des élèves qui tentent leur chance dans le foot est fort. "Nous leur disons qu’il faut d’abord étudier. Car l’élève qui comprend bien ses cours assimile aussi facilement les techniques de foot et sait éviter les erreurs", explique Alexis Pundu, entraîneur d’un club de jeunes.
A la Cité des jeunes de Lubumbashi, il est d’ailleurs interdit à ceux qui ont choisi de faire le sport, de s’affilier à des clubs. "C’est pour qu’ils ne fuient pas les cours pour aller jouer des matchs lucratifs ou effectuer des voyages avec leurs équipes", explique Donatien Bope, chargé des sports dans ce centre. Celui-ci leur donne la possibilité d’apprendre d’autres métiers comme la menuiserie, la maçonnerie, la mécanique générale et auto, la soudure..., puisque "tous ne finissent pas footballeurs."
Mais dans la tête des élèves qui adorent le sport roi, les enseignements scolaires ont du mal à passer. "Mes parents veulent que j’étudie mais moi, je veux le foot. A l’école, je force…", explique Mika. Les parents qui se trouvent confrontés à cette épreuve sont généralement désemparés. "Quand j’ai constaté que mon fils commençait à avoir de mauvaises notes à l’école, son enseignant m’a appris qu’il passait son temps à jouer au foot", raconte Gaspard Kasongo. Ils ne savent dès lors pas comment arracher à leurs enfants l’amour qu’ils ont pour le ballon.
Du rêve à la réalité
Mais très souvent, les dures réalités de terrain mettent fin aux rêves de ces jeunes. Sans grands moyens, les clubs amateurs qui les attirent brisent vite leur avenir. "Nous jouons parfois affamés, nous allons à pied aux entraînements et nous sommes mal équipés. Quand vous jouez bien le président applaudit, quand vous vous fracturez une jambe ou un bras, il dit que vous n’avez pas été prudent. Cela décourage", raconte Dieudonné Usseni.
Certains dénoncent les comportements de leurs entraîneurs. "Le coach a parfois ses joueurs favoris et ne vous donne pas assez de temps pour jouer. Comment les grands clubs peuvent-ils vous solliciter s’ils ne vous voient pas jouer ?", se plaint Mika, qui a abandonné l’école pour le foot. Président d’un club, Patrick Bunga estime que ces jeunes se voient stars avant de le devenir. "Alors qu’ils ont encore beaucoup à apprendre et à donner, ils se croient déjà arrivés et deviennent exigeants", fait-il remarquer. Et comme dans un rêve brisé, ceux qui n’ont pas réussi à se frayer un chemin dans le foot, ne savent souvent plus retourner à l’école…
Katanga : les jeunes rêvent de devenir stars du foot
(Syfia Grands Lacs/Rd Congo) Au Katanga, le succès du plus grand club de football de Lubumbashi et le train de vie que mènent ses joueurs poussent de nombreux jeunes à vouloir devenir footballeur. Certains, partagés entre les études et le ballon rond, ne savent pas trop où donner de la tête… et les rêves sont bien souvent brisés.
"Mes fans m’appellent Mputu Trésor, cela me plait !", s’exclame José Ntanga, un jeune de 15 ans. Mputu est le capitaine du TP Mazembe, le club local de foot. Sacré champion d’Afrique de la compétition la plus prestigieuse de la spécialité en 2009, le capitaine de cette équipe a été élu en même temps, meilleur joueur africain de l’année. De quoi faire rêver de nombreux jeunes du Katanga (sud-est de la Rd Congo) et du reste du pays. La télévision, qui ne cesse d’exhiber les biens matériels (maisons, véhicules…) gagnés par les joueurs, devenus de véritables idoles, ne fait qu’en rajouter à leurs rêves. D’autres jeunes ont pour modèles de grands noms du foot mondial. "Je rêve de jouer comme Lionel Messi (ballon d’or européen 2009 de FC Barcelone, Ndlr)", lance Kalenga Lufulwabo, 17 ans.
Le jeune Armand Mpela qui se fait appeler Thierry Henry, a de nombreux fans dans son quartier. Sur le terrain, il drible, protège la balle et ne rate que rarement ses tirs aux buts. "Si tous mes matchs étaient filmés, mon palmarès atteindrait pas moins de 50 buts marqués en un championnat", se vante ce jeune de 19 ans, qui tape sur le cuir depuis ses 6 ans.
Entre l’école et le terrain de foot
De nouvelles équipes de foot se créent ainsi chaque année à Lubumbashi. A l’Entente urbaine de football, 180 clubs de jeunes sont actuellement enregistrés. Au niveau de la Ligue provinciale, on en compte 240. Dans la majeure partie de cas, ces jeunes sont encore sur le banc de l’école. Ils sont tiraillés par leur ambition d’embrasser la carrière de footballeur et les études. Mais très peu ont la chance de récolter le succès qu’ils espèrent en choisissant de taper sur le ballon rond. Manager technique à l’Académie de football Don Bosco, Serge Simon Solo affirme que "5 élèves sur 100 peuvent être à la fois bons au foot et à l’école." Le taux d’échec des élèves qui tentent leur chance dans le foot est fort. "Nous leur disons qu’il faut d’abord étudier. Car l’élève qui comprend bien ses cours assimile aussi facilement les techniques de foot et sait éviter les erreurs", explique Alexis Pundu, entraîneur d’un club de jeunes.
A la Cité des jeunes de Lubumbashi, il est d’ailleurs interdit à ceux qui ont choisi de faire le sport, de s’affilier à des clubs. "C’est pour qu’ils ne fuient pas les cours pour aller jouer des matchs lucratifs ou effectuer des voyages avec leurs équipes", explique Donatien Bope, chargé des sports dans ce centre. Celui-ci leur donne la possibilité d’apprendre d’autres métiers comme la menuiserie, la maçonnerie, la mécanique générale et auto, la soudure..., puisque "tous ne finissent pas footballeurs."
Mais dans la tête des élèves qui adorent le sport roi, les enseignements scolaires ont du mal à passer. "Mes parents veulent que j’étudie mais moi, je veux le foot. A l’école, je force…", explique Mika. Les parents qui se trouvent confrontés à cette épreuve sont généralement désemparés. "Quand j’ai constaté que mon fils commençait à avoir de mauvaises notes à l’école, son enseignant m’a appris qu’il passait son temps à jouer au foot", raconte Gaspard Kasongo. Ils ne savent dès lors pas comment arracher à leurs enfants l’amour qu’ils ont pour le ballon.
Du rêve à la réalité
Mais très souvent, les dures réalités de terrain mettent fin aux rêves de ces jeunes. Sans grands moyens, les clubs amateurs qui les attirent brisent vite leur avenir. "Nous jouons parfois affamés, nous allons à pied aux entraînements et nous sommes mal équipés. Quand vous jouez bien le président applaudit, quand vous vous fracturez une jambe ou un bras, il dit que vous n’avez pas été prudent. Cela décourage", raconte Dieudonné Usseni.
Certains dénoncent les comportements de leurs entraîneurs. "Le coach a parfois ses joueurs favoris et ne vous donne pas assez de temps pour jouer. Comment les grands clubs peuvent-ils vous solliciter s’ils ne vous voient pas jouer ?", se plaint Mika, qui a abandonné l’école pour le foot. Président d’un club, Patrick Bunga estime que ces jeunes se voient stars avant de le devenir. "Alors qu’ils ont encore beaucoup à apprendre et à donner, ils se croient déjà arrivés et deviennent exigeants", fait-il remarquer. Et comme dans un rêve brisé, ceux qui n’ont pas réussi à se frayer un chemin dans le foot, ne savent souvent plus retourner à l’école…
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