Re: GASTON MOBATI TCHADIEN
Posté : 16 nov. 2009, 20:00
Tupac, tu as trouvé le moyen de me faire verser une larme.
Quelle patte magique notre pauvre Roum (le vrai) ?
Observez bien l’aisance technique dans ce but, cette vidéo résume ce qu’a était la carrière de Mobati Ndalago.
Un vrai virtuose, j’ai eu la chance de suivre Gaston tout au long des années 82 à 85, c’était un génie.
La majeure partie des Congolais connaissent Mobati à travers des matches Africains, coupes du Zaïre, j’ai eu la chance de le suivre face à des petites équipes comme Air-zaïre en 84, ce jour-là: Mobati avait marqué un but à la Maradona, parti du milieu du terrain de Bilima, il effaça plus de 4 joueurs avant de trouver les filets.
Je déteste l’entraîneur Ali Makombo qui freina son ascension internationale, alors que Roum était l’homme du match face à l’Azingo du Gabon en aller-retour en 84, le coach du DCMP et des Léopards lui barra la route en 85, au profit d’un petit pro ya nzala qu’était Masengo (il jouait en Grèce) !!!
Pour les Léopards version Santos-Kabongo en 85, il nous manquait Mobati et Turbo kalonda.
Mobati aurait dû en principe occuper la place de Masengo et Kalonda, celle d’un Lofombo qui n’était plus que l’épave de lui-même.
La carrière Européenne de Mobati avait été freinée par la maladie, tous ces comparses avaient fini dans des grands clubs Français, je pense à Angloma, Abdi Pélé, Lama...se sachant condamné, Mobati avait choisi l'éxil en Grèce dans un premier temps puis à l'ïle de la Réunion où il trouva la mort.
Grand frère Ilunga, le 5ème but de Mobati face à l’Union de Douala d’un certain Antoine Bel en demi-finale de la coupe des Champions 1980, restera à jamais le plus beau but qui m’était appelé de voir dans ma jeunesse, au même titre que le retourné acrobatique ( chimite en lingala) de 25 mètres de Masamba Mams de Brazzaville.
Quelle patte magique notre pauvre Roum (le vrai) ?
Observez bien l’aisance technique dans ce but, cette vidéo résume ce qu’a était la carrière de Mobati Ndalago.
Un vrai virtuose, j’ai eu la chance de suivre Gaston tout au long des années 82 à 85, c’était un génie.
La majeure partie des Congolais connaissent Mobati à travers des matches Africains, coupes du Zaïre, j’ai eu la chance de le suivre face à des petites équipes comme Air-zaïre en 84, ce jour-là: Mobati avait marqué un but à la Maradona, parti du milieu du terrain de Bilima, il effaça plus de 4 joueurs avant de trouver les filets.
Je déteste l’entraîneur Ali Makombo qui freina son ascension internationale, alors que Roum était l’homme du match face à l’Azingo du Gabon en aller-retour en 84, le coach du DCMP et des Léopards lui barra la route en 85, au profit d’un petit pro ya nzala qu’était Masengo (il jouait en Grèce) !!!
Pour les Léopards version Santos-Kabongo en 85, il nous manquait Mobati et Turbo kalonda.
Mobati aurait dû en principe occuper la place de Masengo et Kalonda, celle d’un Lofombo qui n’était plus que l’épave de lui-même.
La carrière Européenne de Mobati avait été freinée par la maladie, tous ces comparses avaient fini dans des grands clubs Français, je pense à Angloma, Abdi Pélé, Lama...se sachant condamné, Mobati avait choisi l'éxil en Grèce dans un premier temps puis à l'ïle de la Réunion où il trouva la mort.
Grand frère Ilunga, le 5ème but de Mobati face à l’Union de Douala d’un certain Antoine Bel en demi-finale de la coupe des Champions 1980, restera à jamais le plus beau but qui m’était appelé de voir dans ma jeunesse, au même titre que le retourné acrobatique ( chimite en lingala) de 25 mètres de Masamba Mams de Brazzaville.