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ballondor2009 a écrit :Pour remplir un stade plusieurs facteurs entre en jeu, Lupopo fait partie de grands du pays, mais est-ce que tout le monde à de quoi se payer une place pour voir Lupopo, sachant que nombreux s'étaient déjà déplacé le Vendredi
Sinon, pour ma part rien n'est perdu, il va falloir bcp d'orgueil aux cheminots pour ramener la qualif...

TV Nyota a écrit :Les incompréhensions Mankour-Adédé à la base de la défaite de Lupopo
Mise en ligne mercredi 24 mars 2010
Les Cheminots de Saint-Eloi Lupopo ont repris les entraînements au stade vélodrome de Kintambo de Kinshasa où ils ont installés leur quartier général pour un temps. A l’heure du bilan sur leur défaite du dimanche 21 mars contre Dynamos, la faute est attribuée aux entraîneurs Mankour Bomaleur et Adédé qui n’ont pas pu s’entendre avant le match.
Selon les sources proches de l’équipe, l’entraîneur adjoint Adédé Moke qui encadrait l’équipe en l’absence du titulaire Maukour avait donné ses consignes aux joueurs la matinée du samedi. Mais Mankour de retour d’Europe verra les joueurs la nuit du samedi pour leur donner d’autres consignes.
Son confrère qui reviendra le lendemain avant le match insistera pour que sa tactique soit mise en application. Finalement les joueurs monteront sur la pelouse synthétique du stade des martyrs avec des idées partagées. Les fanatiques de Saint-Eloi Lupopo ne reconnaissaient plus leur équipe qui perdait face à une formation de Dynamos prenable.
L’humeur n’est pas à la fête chez les « lumpas » où Maukour Bamaleur en veut à Adédé Moke qu’il accuse d’en vouloir à sa personne. Le président Faustin Bokonda qui a passé un savon à tout son monde, (le contraire serait étonnant !) doit vite reprendre ses esprits.
Aujourd’hui, Lupopo affronte Veti Club en match de phase de groupe de la Linafoot. Une défaite ou un nul serait de plus mauvais effet sur le moral des troupes. Mankour qui était encore furieux les après-midi saura-t-il revenir à des bons sentiments pour cracher les jaune et bleu ? Rendez-vous au Stade des Martyrs pour le fin mot de l’histoire.
Mayonde Kolongo