lola ghislain a écrit :Très lucide,il attend son temps et il sait qu'il va jouer na mikolo ezali koya
problème ikele ve!
seul regret:
c MPUTU
Oui il est bien payé mais progrès eyi te contre ba tshinkunku!
imaginons MPUTU MBOKANI KABANGU en attaque chez les mauves?
mp'utu alingi soki aye poto.azala kaka na statue oyo azalaka na yango na mazembe c-a-d,un joueur indispensable qui n'a plus rien a prouvé

C'est ce qui s'était passé,lors de son 1er passage à anderlecht.Sans oublier l'épisode arsenal.Patou et bedi baza humble.et pourtant ce sont 2 joueurs qui ont un palmares fou en afrique.Ba ndimi ba yekola n'anderlecht.Et leur travail et leur patience finiront par payer

Les Congolais Patou Kabangu et Bedi Mbenza ont obtenu du temps de jeu et espèrent qu’il ne s’agit que d’un début
BRUXELLES Patou Kabangu, 90 minutes, et Bedi Mbenza, un petit quart d’heure, n’avaient jamais obtenu autant de temps de jeu qu’hier après-midi. Les deux Congolais étaient heureux d’avoir enfin pu se montrer. “Je suis content de ma première titularisation”, disait Kabangu, l’ailier droit très timide. “Je savais depuis samedi que je jouerais. À gauche ou à droite, c’est pareil pour moi. Je sais que je vais encore monter en puissance. Mes équipiers m’ont félicité.”
Bedi Mbenza, lui, a prouvé en quelques passes tranchantes qu’il avait aussi des qualités dans la ligne médiane. “Cela m’a fait du bien d’avoir un peu plus de temps. Il faut avoir de la patience, on le sait avec Patou.”
Les deux joueurs attendent maintenant impatiemment le début du mois de mars, moment où la direction anderlechtoise devra décider si elle lève l’option pour les conserver un an de plus. “J’ai envie de rester”, précise Patou Kabangu. “Bedi aussi. Ce serait chouette qu’on soit encore là la saison prochaine.”
Les anciennes vedettes du TP Mazembe semblent s’adapter très bien à la vie européenne. “Cela a été un peu dur avec le froid au départ mais là ça va bien mieux”, sourit Bedi Mbenza. “On ne rate aucun entraînement.”
“Il faut dire qu’on est très bien aidé par le club et par les équipiers, en particulier Cheikhou Kouyate et Dieumerci Mbokani”, renchérit Patou Kabangu. “C’est d’ailleurs l’épouse de "Dieu" qui nous fait à manger tous les jours.”
Dans le vestiaire, tout ce beau monde forme le clan des Africains. Une bande qui assure l’ambiance. “On met de la musique et on danse tout le temps”, révèle Bedi Mbenza, déjà plus à l’aise face aux micros. “Avant et après l’entraînement, tous les jours. On rigole bien.”
Le duo habite à deux pas du Westland, un shopping d’Anderlecht. “On va souvent y faire un tour avec Cheikhou mais on reste aussi souvent au calme à regarder des matches de foot.”
Christophe Franken
Ne sommes nous pas trop exigeant envers nos joueurs
