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LEOPARDS 7 ENTRAINEURS DANS LA COURSE

Posté : 21 déc. 2007, 12:55
par A380
Sept noms circulent à travers Kinshasa dont cinq expatriés et deux Congolais à savoir le Français Jacques Santini, ancien entraîneur de l’équipe de France, l’Allemand Wil Fried des Lions Indomptables du Cameroun, le Franco-Polonais Henri Kasperczak des Lions de la Taranga du Sénégal, l’Italien Conte et du Belge Thissen, Bibey et Santos Mutubile.
En prévision des éli­minatoires Jumelées dont la phase finale se jouera en 2010 en Angola pour la Can et de la coupe du monde prévue par la même année en Afrique du Sud, la RD. Congo, éliminée de la phase finale de la Can 2008 au Ghana, songe déjà à sa préparation. Participer coûte que coûte à la phase finale des deux compétitions est le grand rêve des Congolais. Mais, pour y arriver il se pose un problème d’entraîneur qualifié pour permettre aux léopards d’arracher la dou­ble qualification.

Le comité exécutif de la Fecofa, son président Constant Omari en tête, s’est mis à la recherche de l’oiseau rare qui acceptera de prendre les fonctions lais­sées vacantes par le Belge Henri Dépireux.

Sept noms circulent à travers Kinshasa dont cinq expatriés et deux congolais à savoir le Français Jacques Santini, ancien entraîneur de l’équipe de France, l’Allemand Wil fried des Lions indomptables du Cameroun, le Franco-Polonais Henri Kasperczak des Lions de la Terangà du Sénégal, l’Italien Conte et du Belge Thissen. Parmi nos compatriotes candidats entraîneurs de léopards, on cite le Belgo­-Congolais Bibey Mutombo Kalambay, Albert Kambala et Santos Mutubile.

Dans ses négocia­tions avec la Fécofa, il serait même prévu que Santos démarre la préparation de l’équipe, en attendant la signature, du contrat avec un entraîneur expatrié. Car l’option, à la Fecofa est d’engager absolument un entraîneur expatrié.

Quelles garanties pour le nouvel entraîneur

Le gouvernement congolais pourra-t-il cette fois garantir de bonnes conditions de travail à celui qui acceptera de prendre la charge de conduire les Léopards à la qualification? C’est la question que se posent de nombreux spor­tifs Congolais qui ne veu­lent plus revoir le coach de l’équipe nationale française vivre l’expérience amère vécue par Claude Lerroy et le belge Henri Dépireux avec leurs adjoints congo­lais, contraints de travailler à crédit. Les salaires étaient payés avec difficulté pour les expatriés, et pas du tout pour le staff local. Il n’y avait pas logement, ni de moyen de déplacement local.

Or, tous ces avanta­ges figuraient dans le contrat signé avec les concernés.

Tous les deux expa­triés sont partis de la RDC avec un très mauvais souve­nir sur la gestion de l’équipe nationale congolaise. Du coup, le moral de joueurs et de supporters Congolais a été très entamé par cette manière de diriger le football national.