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“Mbokani a besoin d’amour” (22/02/2012)

Guy Lacombe, qui fut son entraîneur à Monaco, explique le renouveau de Dieu
BRUXELLES Ainsi, Dieumerci Mbokani est redevenu la terreur qu’il était avant de tenter sa chance à l’étranger. Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que le Congolais fasse gagner des matches à Anderlecht comme il le faisait au Standard jusqu’en 2010. De là à dire qu’il est déjà relancé sur la route qui mène au sommet européen, il y a un pas que certains n’hésitent pas à franchir. Pourtant, la saison dernière, il a traîné son ennui. À Monaco d’abord, où il n’a marqué qu’un but en onze sorties. À Wolfsburg ensuite où il a dû se contenter de sept apparitions.
Pourquoi réussit-il en Belgique et pas à l’étranger ? “Je suis persuadé qu’il a assez de talent pour jouer, un jour, dans un grand club européen” , explique Guy Lacombe qui était son entraîneur à Monaco. “Le tout est qu’il fasse les bons choix.” Anderlecht en est un, à l’inverse de Monaco. “Beaucoup de joueurs se sont perdus sur le Rocher. Le contexte y est difficile. La vie est facile et, donc, un jeune joueur ne pense pas forcément à se remettre en question. En revanche, il n’y a aucune ferveur autour du club. Jouer devant 2.000 personnes et ne sentir aucune passion dans le sillage de l’équipe n’est pas agréable. Or Mbokani a besoin de passion. C’est un affectif. Il a besoin d’amour. Après trois mois, j’avais compris qu’il était perdu à Monaco. Il errait comme une âme en peine.”
Lacombe estime donc que Mbokani n’est pas le seul responsable de son échec en Principauté. “Pour être heureux, il a besoin de faire partie d’une équipe qui lutte pour gagner des prix. Ce n’était pas le cas à Monaco où il n’a jamais trouvé ses repères.”
Mbokani dit avoir mûri ces derniers mois. “C’est une très bonne chose. Je pense qu’il faut pouvoir lui imposer des règles tout en le laissant s’exprimer. Sans doute les dirigeants bruxellois sont-ils parvenus à le faire. J’ai toujours été persuadé qu’il avait le talent pour percer au plus haut niveau. Et s’il dit qu’il a évolué, il augmente ses chances. D’autres joueurs se sont plantés à Monaco avant d’exploser par la suite. S’il sent la passion autour de lui, Mbokani peut aller loin.” Et montrer que l’année dernière n’était qu’un accident...


David Lehaire
© La Dernière Heure 2012

TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :

“Mbokani a besoin d’amour” (22/02/2012)

YA NTESA ASOPI BOULE

Guy Lacombe, qui fut son entraîneur à Monaco, explique le renouveau de Dieu
BRUXELLES Ainsi, Dieumerci Mbokani est redevenu la terreur qu’il était avant de tenter sa chance à l’étranger. Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que le Congolais fasse gagner des matches à Anderlecht comme il le faisait au Standard jusqu’en 2010. De là à dire qu’il est déjà relancé sur la route qui mène au sommet européen, il y a un pas que certains n’hésitent pas à franchir. Pourtant, la saison dernière, il a traîné son ennui. À Monaco d’abord, où il n’a marqué qu’un but en onze sorties. À Wolfsburg ensuite où il a dû se contenter de sept apparitions.
Pourquoi réussit-il en Belgique et pas à l’étranger ? “Je suis persuadé qu’il a assez de talent pour jouer, un jour, dans un grand club européen” , explique Guy Lacombe qui était son entraîneur à Monaco. “Le tout est qu’il fasse les bons choix.” Anderlecht en est un, à l’inverse de Monaco. “Beaucoup de joueurs se sont perdus sur le Rocher. Le contexte y est difficile. La vie est facile et, donc, un jeune joueur ne pense pas forcément à se remettre en question. En revanche, il n’y a aucune ferveur autour du club. Jouer devant 2.000 personnes et ne sentir aucune passion dans le sillage de l’équipe n’est pas agréable. Or Mbokani a besoin de passion. C’est un affectif. Il a besoin d’amour. Après trois mois, j’avais compris qu’il était perdu à Monaco. Il errait comme une âme en peine.”
Lacombe estime donc que Mbokani n’est pas le seul responsable de son échec en Principauté. “Pour être heureux, il a besoin de faire partie d’une équipe qui lutte pour gagner des prix. Ce n’était pas le cas à Monaco où il n’a jamais trouvé ses repères.”
Mbokani dit avoir mûri ces derniers mois. “C’est une très bonne chose. Je pense qu’il faut pouvoir lui imposer des règles tout en le laissant s’exprimer. Sans doute les dirigeants bruxellois sont-ils parvenus à le faire. J’ai toujours été persuadé qu’il avait le talent pour percer au plus haut niveau. Et s’il dit qu’il a évolué, il augmente ses chances. D’autres joueurs se sont plantés à Monaco avant d’exploser par la suite. S’il sent la passion autour de lui, Mbokani peut aller loin.” Et montrer que l’année dernière n’était qu’un accident...


David Lehaire
© La Dernière Heure 2012

kompany a écrit :à chaque fois que je lisais les résultat de l'EPfkin,rojolu ezalaki ko pola peut être que dans cette équipe de mbodila,il y'avait tout de même 2 virtuoses

chance eloko pamba pamba.Maray Maray aura réussi son coup

TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :FC ROJOLU constellation des Mangwanzangunzu

kompany a écrit : kombo ya maray maray, nazuaki yango na théatre mpaka lowy azalaki ko fanda epa ya muana na ye bodo po azalaki na grand lar tango ba yebisi ye a luka ndako na ye.alobi que aza neti maray maray..Ve dire papa azo diembela sima ya muana rojer a sala équipe na ye na mbongo ya romelu.Comment un mpiakeur oyo azalaki même koka ko futa nadaku ya socila à 300€,azua lokotro ya ko sala équipe