C'est aussi la question que je me posais. Mais un manque de "volonté politique de nos dirigeants sportifs" me parait être la vraie raison.lil z a écrit :mais pourquoi chez nous il n'y a pas de suivi?Erick Ross a écrit :Ne confonds pas tout. Quand tout est structuré, les bonnes choses arrivent naturellement. Les joueurs que le Sénégal récupère aujourd'hui, ils étaient déjà allés les voir quand ils étaient plus jeunes et il y a un suivi. Et malgré çà, une minorité leur a filé entre les doigts. (Cissokho et Gomis). Chez nous, c'est l'amateurisme. Au niveau du pays et de la diaspora, on a beaucoup de bons éléments. Mais les a-t-on rassemblé ? Les a-t-on préparé ? Et que dire du coaching ? Si on est éliminé aujourd'hui, la faute revient principalement à une personne. Regardez le banc de touche, pas un seul milieu défensif. Des joueurs crevés comme Ilunga (Kayanda) et Chauda (Maïsha) qui restent sur le terrain. Tusilu est passé à côté de son match. Botayi et Maïsha qui se marchent sur les pieds. Et à aucun moment, on donne des consignes à tous ces jeunes gens. Si près du but...lil z a écrit :je me demande souvent si la RDC n'est pas maudite... Dans le foot on a des bons joueurs pro comme locaux mais toujours rien! Le Senegal arrive a convaincre tous ses joueurs mais nous meme ceux de la Belgique on a du mal a les recuperer, on prend dans le basket la RDC a fourni a la NBA 3 basketteurs, et la il y a un nouveau petit qui est drafter en ce moment mais quand on regarde dans le basket africain on est nul part!!! Dans la musique, dans le manque de serieux et dans les betises on est champion
En effet, si on a la volonté politique, on a une vision globale de ce que notre football doit être et surtout doit devenir. A partir de là, on établit un vrai plan d'action pour l'organisation de l'actuel, et on prépare le développement. Pour cela, on y met les moyens (matériel, logistique, humain). Vu le peu d'intérêt que nos différentes équipes suscitent, vu l'improvisation "institutionnalisée", et tant d'autres maux que d'aucun pourra énoncé, il n'est pas étonnant de récolter ce qui est semé avec abondance par notre tête pensante de la fécofa et ses sbires.