Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Actualité exclusivement réservée aux sélections nationales
Répondre
roland
Messages : 343
Enregistré le : 26 oct. 2007, 16:53
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par roland »

Kansebu a écrit :
Santoss a écrit :Les cinq premiers de la Championship ont largement le niveau des clubs moyens de la L1 Française.
Stoke n'a rien à envier à Strasbourg, vous pouvez poser la question aux connaisseurs du football Européen, ils ne vous diront pas le contraire.
Santoss,

Sachant que les premiers de la L1 francaise sont : Lyon, Bordeau, Nancy et Marseille, a mon avis, les premiers de la championship n' ont rien a envier a ces clubs la ....
:haha: :haha: :haha: :haha: :haha: les premiers de la championship n'ont rien a envier de lyon ou marseille ehhh quand meme il faut pas deconner .lyon a le meme niveau que les tetes d'affiches anglaise (eh oui chelsea ,arsenal et le reste )marseille a un tres gros potentiel mais est souvent dechirer pas leurs crises interne. les clubs de ligue 1 sauf lyon et marseille on le meme niveau que la deuxieme partie du tableau du championnat anglais de 1ere division voir la fin de la 1ere partie du tableau .
Avatar du membre
BXL
Professionnel
Professionnel
Messages : 3947
Enregistré le : 20 oct. 2007, 12:42
Localisation : MONTREAL/QUEBEC/CANADA
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par BXL »

Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens


Depuis 1956 et la création de la première coupe des clubs champions, la France n'a remporté qu'une seule fois le titre suprême européen, avec l'OM en 1993. Un bilan bien terne comparé à nos voisins. Comment-expliquer un tel écart de résultats ?

Avec 10 coupes chacun, l'Espagne et l'Italie dominent le continent, l'Angleterre (8), l'Allemagne et les Pays-Bas (6) suivent de près. Les différences de budget entre les clubs français et leurs principaux rivaux européens et l'écart de fiscalité entre la France et l'Espagne, l'Angleterre et l'Italie, sont des éléments de réponse incontournables pour expliquer l'échec en Ligue des champions. Tel est le menu du premier volet de notre enquête, qui se poursuivra demain, avec de nouvelles explications et les raisons d'espérer.

- Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens top^

Au classement des clubs européens générant le plus de recettes, le premier français, l'Olympique de Marseille, pointe à la 18è place, avec environ 80 millions d'euros. Loin derrière Manchester United, club le plus riche du monde depuis huit ans, et ses 248 millions d'euros de revenus pour l'exercice 2003-2004, selon une étude du cabinet d'audit Deloitte and Touch. Parmi les 20 clubs les plus riches, les incontournables Real Madrid (226 M€), Milan AC (212M€), Chelsea (208M€), ou la Juventus de Turin. Au total, 7 clubs anglais et 5 italiens figurent aux premières places. Les clubs français se classent en retrait. L'Olympique lyonnais est sorti du classement après avoir figuré en 18è place pour la saison 2002-2003 (80M€). Le PSG et l'AS Monaco, présentés comme les deux autres clubs français les plus riches, sont très loin des sommes générées outre-manche.

Bien entendu, l'argent ne fait pas tout. Il n'est pas une condition suffisante pour remporter la prestigieuse coupe d'Europe. A ce titre, Porto, vainqueur coup sur coup de la Coupe de l'UEFA (2003) et de la Ligue des champions (2004) l'illustre bien, puisque le club portugais ne fait pas partie du Top 20 des clubs les plus riches.

Néanmoins, cette manne financière permet de pérenniser les structures d'un club et d'attirer les meilleurs joueurs du monde en leur offrant un salaire conséquent. Les clubs les plus fortunés peuvent ainsi disposer d'un effectif riche, tant en qualité qu'en quantité, à l'inverse des clubs français, limités dans leurs dépenses. Ainsi, qui pourrait assumer le salaire de 93 000€ par semaine de Thierry Henry et de quinze autres internationaux ? Qui pouvait concurrencer Chelsea l'été dernier pour garder Didier Drogba en France ? Malgré l'assurance de l'ex-président de l'OM, Christophe Bouchet, qui déclara aux supporters : «Drogba restera à Marseille» , l'argent a finalement eu le dernier mot. Avec des recettes annuelles trois fois supérieures à celles des meilleurs clubs français, les cadors européens profitent d'un avantage certain et se positionnent en favoris pour emporter le trophée suprême européen.

Pourquoi les clubs français sont-ils moins riches ? top^

Roman Abramovitch, Malcolm Glazer, Dani Fiszman, Mohamed al-Fayed, sont de ces hommes qui s'offrent un club de football comme d'autres achètent une voiture de sport, par passion. R. Abramovitch, magnat du pétrole, 49è fortune mondiale, a acheté le club londonien de Chelsea à l'été 2003. D. Fiszman, négociant de diamants, avait opté en 2000 pour un autre club londonien, Arsenal. Quant à Manchester United, le club est côté en bourse et détenu par de très riches propriétaires, dont Malcolm Glazer, magnat du sport (10% du capital). On entre alors véritablement au coeur du foot-business, avec des propriétaires n'hésitant pas à injecter des centaines de millions d'euros pour avoir une équipe très performante. Les clubs français ne peuvent pas être concurrentiels face à Chelsea par exemple, et un Abramovitch qui dépense sans compter. De plus, les clubs de Ligue 1 font l'objet de contrôles réguliers de la DNCG, qui tape sur les doigts des clubs déficitaires.

Une stratégie marketing prolifique top^

Le Real Madrid n'a pas hésité à acheter David Beckham, star anglaise vénérée au Japon et en Corée du Sud depuis la dernière Coupe du monde (2002), pour développer ses ventes de produits dérivés en Asie. Les grands clubs et les stars du ballon rond procurent du rêve aux spectateurs. Ils se servent de cette popularité pour vendre maillots, shorts, cartes postales et autres produits dérivés à leurs fans. Un secteur que les français ont du mal à conquérir. Même si l'OM ou le PSG jouissent d'une grande popularité en France, leurs concurrents directs européens investissent le monde entier. Les clubs français, entreprises nationales voire régionales, jouent contre des multinationales du football.

- Un système fiscal désavantageux top^

C'est l'argument premier des dirigeants lorsqu'on les interroge sur leurs difficultés à concurrencer les grands clubs d'Europe. Les charges sociales qui pèsent sur les clubs français sont selon eux trop lourdes pour pouvoir s'aligner sur les offres de salaire proposées par le Real, Manchester, ou le Milan AC. «Un joueur qui coûte 100 000€ par mois à un club anglais, espagnol ou italien, revient à 172 000€ pour un club français. On ne peut pas s'aligner» , plaidait Frédéric Thiriez, le président de la LFP, en septembre dernier. Dans ces conditions, l'OM ou Monaco ne peuvent pas retenir leurs meilleurs joueurs. Ainsi, lorsque le milliardaire russe, Roman Abramovitch, fait un pont d'or à Didier Drogba et un chèque de 37M€ à l'OM, l'attaquant s'envole pour Londres. De même, comment le PSG aurait-il pu garder Ronaldinho un ou deux ans de plus ? Comment la France aurait-elle pu retenir ses joyaux, Zinedine Zidane ou Thierry Henry ? Comment pourrait-elle les récupérer ? Par la force des choses, les clubs français doivent flairer les bonnes opportunités, souvent sous forme de prêt (Fernando Morientes ou Saviola à Monaco, Savio à Bordeaux) ou en misant sur des jeunes prometteurs, comme Camel Mériem, Rio Mavuba, Samir Nasri ou Emmanuel Adebayor, qui s'envoleront un jour eux aussi, vers des cieux plus rémunérateurs.

Depuis 1993 et l'arrêt Bosman, on assiste à une fuite des meilleurs footballeurs français. Irrémédiablement, les meilleurs s'en vont ! Pourtant, me direz-vous, avant cette date, les meilleurs français évoluaient en France, souvent groupés dans 2 ou 3 clubs. Et il n'y avait pas plus de victoires… Mais malgré ce fait, l'exode des meilleurs joueurs de L1 vers les clubs huppés se vérifie chaque été, affaiblissant considérablement le niveau du championnat français. En 2004, notons simplement Djibril Cissé, Didier Drogba, Vikash Dhorasoo, Gabriel Heinze, Juan Pablo Sorin, Marco Caneira. Et bientôt Mickaël Essien, Mahamadou Diarra, Sidney Govou, Modeste M'Bami, Rio Mavuba, Shabani Nonda, Emmanuel Adebayor et bien d'autres seront séduits par les sirènes anglaises, espagnoles ou italiennes. Les clubs français ont du mal à miser sur la stabilité de leurs effectifs, vu que les meilleurs joueurs partent régulièrement à l'étranger, bien souvent attirés par les offres alléchantes de salaires. On assiste alors à une perpétuelle reconstruction. L'OM ou le PSG n'a pas les moyens de retenir les meilleurs. Dans ces conditions, il leur est difficile de s'imposer sur la scène européenne.

Les écarts de budgets et de fiscalité semblent être insurmontables et expliquer à eux seuls l'incapacité des clubs français à s'imposer à l'échelle européenne.


Source : http://www.maxifoot.fr/articles/1998/index.htm#titp1
Nazala en forme Nazala en forme te nakoki kozanga leopardsfoot te!!!
Avatar du membre
Mayloshi-forever
Léopard A
Léopard A
Messages : 8737
Enregistré le : 16 oct. 2007, 09:33
Localisation : Kolwezi/Lubumbashi (RDC)
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par Mayloshi-forever »

roland a écrit :
Kansebu a écrit :
Santoss a écrit :Les cinq premiers de la Championship ont largement le niveau des clubs moyens de la L1 Française.
Stoke n'a rien à envier à Strasbourg, vous pouvez poser la question aux connaisseurs du football Européen, ils ne vous diront pas le contraire.
Santoss,

Sachant que les premiers de la L1 francaise sont : Lyon, Bordeau, Nancy et Marseille, a mon avis, les premiers de la championship n' ont rien a envier a ces clubs la ....
:haha: :haha: :haha: :haha: :haha: les premiers de la championship n'ont rien a envier de lyon ou marseille ehhh quand meme il faut pas deconner .lyon a le meme niveau que les tetes d'affiches anglaise (eh oui chelsea ,arsenal et le reste )marseille a un tres gros potentiel mais est souvent dechirer pas leurs crises interne. les clubs de ligue 1 sauf lyon et marseille on le meme niveau que la deuxieme partie du tableau du championnat anglais de 1ere division voir la fin de la 1ere partie du tableau .
Il faut reconnaître que l'enthousiasme, la rage de vaincre et l'envie de jouer est nettement élevé chez les anglais, peu importe la division...

Les clubs français ont le potentiel de clubs qui peuvent effrayer l'europe, mais malheureusement ils jouent comme s'il n'ont pas envie de le faire.

QUand je vois que des joueurs comme Bruno Cheyrou, SInama Pongolle, Antoine SIbiersky, Nicholas Anelka, Thierry Henry, Emmanuel Adebayor, RObert Pires, Frededric Kanouté, Sylvain Wiltord, Didier ZOkora, Didier Drogba... ont littérallement pris de l'envergure en Angleterre, par rapport à ce qu'ils etaient en france (si on compare le niveau de chacun en france et en angleterre); et des joueurs comme ZEnden, Djibrill Cissé... qui viennent sombrer en france...
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.

"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
roland
Messages : 343
Enregistré le : 26 oct. 2007, 16:53
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par roland »

BXL a écrit :Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens


Depuis 1956 et la création de la première coupe des clubs champions, la France n'a remporté qu'une seule fois le titre suprême européen, avec l'OM en 1993. Un bilan bien terne comparé à nos voisins. Comment-expliquer un tel écart de résultats ?

Avec 10 coupes chacun, l'Espagne et l'Italie dominent le continent, l'Angleterre (8), l'Allemagne et les Pays-Bas (6) suivent de près. Les différences de budget entre les clubs français et leurs principaux rivaux européens et l'écart de fiscalité entre la France et l'Espagne, l'Angleterre et l'Italie, sont des éléments de réponse incontournables pour expliquer l'échec en Ligue des champions. Tel est le menu du premier volet de notre enquête, qui se poursuivra demain, avec de nouvelles explications et les raisons d'espérer.

- Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens top^

Au classement des clubs européens générant le plus de recettes, le premier français, l'Olympique de Marseille, pointe à la 18è place, avec environ 80 millions d'euros. Loin derrière Manchester United, club le plus riche du monde depuis huit ans, et ses 248 millions d'euros de revenus pour l'exercice 2003-2004, selon une étude du cabinet d'audit Deloitte and Touch. Parmi les 20 clubs les plus riches, les incontournables Real Madrid (226 M€), Milan AC (212M€), Chelsea (208M€), ou la Juventus de Turin. Au total, 7 clubs anglais et 5 italiens figurent aux premières places. Les clubs français se classent en retrait. L'Olympique lyonnais est sorti du classement après avoir figuré en 18è place pour la saison 2002-2003 (80M€). Le PSG et l'AS Monaco, présentés comme les deux autres clubs français les plus riches, sont très loin des sommes générées outre-manche.

Bien entendu, l'argent ne fait pas tout. Il n'est pas une condition suffisante pour remporter la prestigieuse coupe d'Europe. A ce titre, Porto, vainqueur coup sur coup de la Coupe de l'UEFA (2003) et de la Ligue des champions (2004) l'illustre bien, puisque le club portugais ne fait pas partie du Top 20 des clubs les plus riches.

Néanmoins, cette manne financière permet de pérenniser les structures d'un club et d'attirer les meilleurs joueurs du monde en leur offrant un salaire conséquent. Les clubs les plus fortunés peuvent ainsi disposer d'un effectif riche, tant en qualité qu'en quantité, à l'inverse des clubs français, limités dans leurs dépenses. Ainsi, qui pourrait assumer le salaire de 93 000€ par semaine de Thierry Henry et de quinze autres internationaux ? Qui pouvait concurrencer Chelsea l'été dernier pour garder Didier Drogba en France ? Malgré l'assurance de l'ex-président de l'OM, Christophe Bouchet, qui déclara aux supporters : «Drogba restera à Marseille» , l'argent a finalement eu le dernier mot. Avec des recettes annuelles trois fois supérieures à celles des meilleurs clubs français, les cadors européens profitent d'un avantage certain et se positionnent en favoris pour emporter le trophée suprême européen.

Pourquoi les clubs français sont-ils moins riches ? top^

Roman Abramovitch, Malcolm Glazer, Dani Fiszman, Mohamed al-Fayed, sont de ces hommes qui s'offrent un club de football comme d'autres achètent une voiture de sport, par passion. R. Abramovitch, magnat du pétrole, 49è fortune mondiale, a acheté le club londonien de Chelsea à l'été 2003. D. Fiszman, négociant de diamants, avait opté en 2000 pour un autre club londonien, Arsenal. Quant à Manchester United, le club est côté en bourse et détenu par de très riches propriétaires, dont Malcolm Glazer, magnat du sport (10% du capital). On entre alors véritablement au coeur du foot-business, avec des propriétaires n'hésitant pas à injecter des centaines de millions d'euros pour avoir une équipe très performante. Les clubs français ne peuvent pas être concurrentiels face à Chelsea par exemple, et un Abramovitch qui dépense sans compter. De plus, les clubs de Ligue 1 font l'objet de contrôles réguliers de la DNCG, qui tape sur les doigts des clubs déficitaires.

Une stratégie marketing prolifique top^

Le Real Madrid n'a pas hésité à acheter David Beckham, star anglaise vénérée au Japon et en Corée du Sud depuis la dernière Coupe du monde (2002), pour développer ses ventes de produits dérivés en Asie. Les grands clubs et les stars du ballon rond procurent du rêve aux spectateurs. Ils se servent de cette popularité pour vendre maillots, shorts, cartes postales et autres produits dérivés à leurs fans. Un secteur que les français ont du mal à conquérir. Même si l'OM ou le PSG jouissent d'une grande popularité en France, leurs concurrents directs européens investissent le monde entier. Les clubs français, entreprises nationales voire régionales, jouent contre des multinationales du football.

- Un système fiscal désavantageux top^

C'est l'argument premier des dirigeants lorsqu'on les interroge sur leurs difficultés à concurrencer les grands clubs d'Europe. Les charges sociales qui pèsent sur les clubs français sont selon eux trop lourdes pour pouvoir s'aligner sur les offres de salaire proposées par le Real, Manchester, ou le Milan AC. «Un joueur qui coûte 100 000€ par mois à un club anglais, espagnol ou italien, revient à 172 000€ pour un club français. On ne peut pas s'aligner» , plaidait Frédéric Thiriez, le président de la LFP, en septembre dernier. Dans ces conditions, l'OM ou Monaco ne peuvent pas retenir leurs meilleurs joueurs. Ainsi, lorsque le milliardaire russe, Roman Abramovitch, fait un pont d'or à Didier Drogba et un chèque de 37M€ à l'OM, l'attaquant s'envole pour Londres. De même, comment le PSG aurait-il pu garder Ronaldinho un ou deux ans de plus ? Comment la France aurait-elle pu retenir ses joyaux, Zinedine Zidane ou Thierry Henry ? Comment pourrait-elle les récupérer ? Par la force des choses, les clubs français doivent flairer les bonnes opportunités, souvent sous forme de prêt (Fernando Morientes ou Saviola à Monaco, Savio à Bordeaux) ou en misant sur des jeunes prometteurs, comme Camel Mériem, Rio Mavuba, Samir Nasri ou Emmanuel Adebayor, qui s'envoleront un jour eux aussi, vers des cieux plus rémunérateurs.

Depuis 1993 et l'arrêt Bosman, on assiste à une fuite des meilleurs footballeurs français. Irrémédiablement, les meilleurs s'en vont ! Pourtant, me direz-vous, avant cette date, les meilleurs français évoluaient en France, souvent groupés dans 2 ou 3 clubs. Et il n'y avait pas plus de victoires… Mais malgré ce fait, l'exode des meilleurs joueurs de L1 vers les clubs huppés se vérifie chaque été, affaiblissant considérablement le niveau du championnat français. En 2004, notons simplement Djibril Cissé, Didier Drogba, Vikash Dhorasoo, Gabriel Heinze, Juan Pablo Sorin, Marco Caneira. Et bientôt Mickaël Essien, Mahamadou Diarra, Sidney Govou, Modeste M'Bami, Rio Mavuba, Shabani Nonda, Emmanuel Adebayor et bien d'autres seront séduits par les sirènes anglaises, espagnoles ou italiennes. Les clubs français ont du mal à miser sur la stabilité de leurs effectifs, vu que les meilleurs joueurs partent régulièrement à l'étranger, bien souvent attirés par les offres alléchantes de salaires. On assiste alors à une perpétuelle reconstruction. L'OM ou le PSG n'a pas les moyens de retenir les meilleurs. Dans ces conditions, il leur est difficile de s'imposer sur la scène européenne.

Les écarts de budgets et de fiscalité semblent être insurmontables et expliquer à eux seuls l'incapacité des clubs français à s'imposer à l'échelle européenne.


Source : http://www.maxifoot.fr/articles/1998/index.htm#titp1
Je n'ai meme pas lu ton article juqu'a la fin car il est vieux et donc erroner .L'olympique lyonnais a le 10eme meilleurs budget d'europe et marseille le 20eme il me semble.

May,je suis tout a fait d'accord avec toi mais quand meme j'espere que tu es d'accord avec moi lorsque je dis que les clubs de tete de la ligue1 sont superieur au tete de la championship ,dire que l'OM a le meme niveau que stocke city c'est absurde
Avatar du membre
Mayloshi-forever
Léopard A
Léopard A
Messages : 8737
Enregistré le : 16 oct. 2007, 09:33
Localisation : Kolwezi/Lubumbashi (RDC)
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par Mayloshi-forever »

roland a écrit : Je n'ai meme pas lu ton article juqu'a la fin car il est vieux et donc erroner .L'olympique lyonnais a le 10eme meilleurs budget d'europe et marseille le 20eme il me semble.

May,je suis tout a fait d'accord avec toi mais quand meme j'espere que tu es d'accord avec moi lorsque je dis que les clubs de tete de la ligue1 sont superieur au tete de la championship ,dire que l'OM a le meme niveau que stocke city c'est absurde
Je pense qu'il y a une part de vérité dans tout ce que vous dites tous. Les grands clubs français ont le potentiel de devenir meilleurs, mais bon côté engouement, c'est zero. Y a qu'à voir comment les girondins ont "gaspillé" les places de coupe d'europe depuis l'apres zizou, dugachy, Lizarazou, Ibrahim Ba...
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.

"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
Avatar du membre
NOUNOU LPS
U19
U19
Messages : 2376
Enregistré le : 16 oct. 2007, 08:22
Localisation : kinshasa
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par NOUNOU LPS »

AWA NA MONI BOZO TUMOLA FACEOF. :lol: :lol: ;)
YE WANA AZA KOYA :lol: :lol:
www.vclub-rdc.com
Avatar du membre
faceof africa
Professionnel
Professionnel
Messages : 4508
Enregistré le : 18 nov. 2007, 14:37
Localisation : DANS LA GRACE

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par faceof africa »

:haha: :haha: :haha: :haha: :haha: ba belgique , suisse ,qatar , emirats arabs unis , etc... ba championnats ya vital'o ..
d2(championship)d angleterre = 2 e moitie du tableau ya ligue 1 francaise :bravo:
LA LOUANGE BRISE LES CHAINES .
Avatar du membre
BXL
Professionnel
Professionnel
Messages : 3947
Enregistré le : 20 oct. 2007, 12:42
Localisation : MONTREAL/QUEBEC/CANADA
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par BXL »

roland a écrit :
BXL a écrit :Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens


Depuis 1956 et la création de la première coupe des clubs champions, la France n'a remporté qu'une seule fois le titre suprême européen, avec l'OM en 1993. Un bilan bien terne comparé à nos voisins. Comment-expliquer un tel écart de résultats ?

Avec 10 coupes chacun, l'Espagne et l'Italie dominent le continent, l'Angleterre (8), l'Allemagne et les Pays-Bas (6) suivent de près. Les différences de budget entre les clubs français et leurs principaux rivaux européens et l'écart de fiscalité entre la France et l'Espagne, l'Angleterre et l'Italie, sont des éléments de réponse incontournables pour expliquer l'échec en Ligue des champions. Tel est le menu du premier volet de notre enquête, qui se poursuivra demain, avec de nouvelles explications et les raisons d'espérer.

- Le budget des clubs français est très nettement inférieur aux grands clubs européens top^

Au classement des clubs européens générant le plus de recettes, le premier français, l'Olympique de Marseille, pointe à la 18è place, avec environ 80 millions d'euros. Loin derrière Manchester United, club le plus riche du monde depuis huit ans, et ses 248 millions d'euros de revenus pour l'exercice 2003-2004, selon une étude du cabinet d'audit Deloitte and Touch. Parmi les 20 clubs les plus riches, les incontournables Real Madrid (226 M€), Milan AC (212M€), Chelsea (208M€), ou la Juventus de Turin. Au total, 7 clubs anglais et 5 italiens figurent aux premières places. Les clubs français se classent en retrait. L'Olympique lyonnais est sorti du classement après avoir figuré en 18è place pour la saison 2002-2003 (80M€). Le PSG et l'AS Monaco, présentés comme les deux autres clubs français les plus riches, sont très loin des sommes générées outre-manche.

Bien entendu, l'argent ne fait pas tout. Il n'est pas une condition suffisante pour remporter la prestigieuse coupe d'Europe. A ce titre, Porto, vainqueur coup sur coup de la Coupe de l'UEFA (2003) et de la Ligue des champions (2004) l'illustre bien, puisque le club portugais ne fait pas partie du Top 20 des clubs les plus riches.

Néanmoins, cette manne financière permet de pérenniser les structures d'un club et d'attirer les meilleurs joueurs du monde en leur offrant un salaire conséquent. Les clubs les plus fortunés peuvent ainsi disposer d'un effectif riche, tant en qualité qu'en quantité, à l'inverse des clubs français, limités dans leurs dépenses. Ainsi, qui pourrait assumer le salaire de 93 000€ par semaine de Thierry Henry et de quinze autres internationaux ? Qui pouvait concurrencer Chelsea l'été dernier pour garder Didier Drogba en France ? Malgré l'assurance de l'ex-président de l'OM, Christophe Bouchet, qui déclara aux supporters : «Drogba restera à Marseille» , l'argent a finalement eu le dernier mot. Avec des recettes annuelles trois fois supérieures à celles des meilleurs clubs français, les cadors européens profitent d'un avantage certain et se positionnent en favoris pour emporter le trophée suprême européen.

Pourquoi les clubs français sont-ils moins riches ? top^

Roman Abramovitch, Malcolm Glazer, Dani Fiszman, Mohamed al-Fayed, sont de ces hommes qui s'offrent un club de football comme d'autres achètent une voiture de sport, par passion. R. Abramovitch, magnat du pétrole, 49è fortune mondiale, a acheté le club londonien de Chelsea à l'été 2003. D. Fiszman, négociant de diamants, avait opté en 2000 pour un autre club londonien, Arsenal. Quant à Manchester United, le club est côté en bourse et détenu par de très riches propriétaires, dont Malcolm Glazer, magnat du sport (10% du capital). On entre alors véritablement au coeur du foot-business, avec des propriétaires n'hésitant pas à injecter des centaines de millions d'euros pour avoir une équipe très performante. Les clubs français ne peuvent pas être concurrentiels face à Chelsea par exemple, et un Abramovitch qui dépense sans compter. De plus, les clubs de Ligue 1 font l'objet de contrôles réguliers de la DNCG, qui tape sur les doigts des clubs déficitaires.

Une stratégie marketing prolifique top^

Le Real Madrid n'a pas hésité à acheter David Beckham, star anglaise vénérée au Japon et en Corée du Sud depuis la dernière Coupe du monde (2002), pour développer ses ventes de produits dérivés en Asie. Les grands clubs et les stars du ballon rond procurent du rêve aux spectateurs. Ils se servent de cette popularité pour vendre maillots, shorts, cartes postales et autres produits dérivés à leurs fans. Un secteur que les français ont du mal à conquérir. Même si l'OM ou le PSG jouissent d'une grande popularité en France, leurs concurrents directs européens investissent le monde entier. Les clubs français, entreprises nationales voire régionales, jouent contre des multinationales du football.

- Un système fiscal désavantageux top^

C'est l'argument premier des dirigeants lorsqu'on les interroge sur leurs difficultés à concurrencer les grands clubs d'Europe. Les charges sociales qui pèsent sur les clubs français sont selon eux trop lourdes pour pouvoir s'aligner sur les offres de salaire proposées par le Real, Manchester, ou le Milan AC. «Un joueur qui coûte 100 000€ par mois à un club anglais, espagnol ou italien, revient à 172 000€ pour un club français. On ne peut pas s'aligner» , plaidait Frédéric Thiriez, le président de la LFP, en septembre dernier. Dans ces conditions, l'OM ou Monaco ne peuvent pas retenir leurs meilleurs joueurs. Ainsi, lorsque le milliardaire russe, Roman Abramovitch, fait un pont d'or à Didier Drogba et un chèque de 37M€ à l'OM, l'attaquant s'envole pour Londres. De même, comment le PSG aurait-il pu garder Ronaldinho un ou deux ans de plus ? Comment la France aurait-elle pu retenir ses joyaux, Zinedine Zidane ou Thierry Henry ? Comment pourrait-elle les récupérer ? Par la force des choses, les clubs français doivent flairer les bonnes opportunités, souvent sous forme de prêt (Fernando Morientes ou Saviola à Monaco, Savio à Bordeaux) ou en misant sur des jeunes prometteurs, comme Camel Mériem, Rio Mavuba, Samir Nasri ou Emmanuel Adebayor, qui s'envoleront un jour eux aussi, vers des cieux plus rémunérateurs.

Depuis 1993 et l'arrêt Bosman, on assiste à une fuite des meilleurs footballeurs français. Irrémédiablement, les meilleurs s'en vont ! Pourtant, me direz-vous, avant cette date, les meilleurs français évoluaient en France, souvent groupés dans 2 ou 3 clubs. Et il n'y avait pas plus de victoires… Mais malgré ce fait, l'exode des meilleurs joueurs de L1 vers les clubs huppés se vérifie chaque été, affaiblissant considérablement le niveau du championnat français. En 2004, notons simplement Djibril Cissé, Didier Drogba, Vikash Dhorasoo, Gabriel Heinze, Juan Pablo Sorin, Marco Caneira. Et bientôt Mickaël Essien, Mahamadou Diarra, Sidney Govou, Modeste M'Bami, Rio Mavuba, Shabani Nonda, Emmanuel Adebayor et bien d'autres seront séduits par les sirènes anglaises, espagnoles ou italiennes. Les clubs français ont du mal à miser sur la stabilité de leurs effectifs, vu que les meilleurs joueurs partent régulièrement à l'étranger, bien souvent attirés par les offres alléchantes de salaires. On assiste alors à une perpétuelle reconstruction. L'OM ou le PSG n'a pas les moyens de retenir les meilleurs. Dans ces conditions, il leur est difficile de s'imposer sur la scène européenne.

Les écarts de budgets et de fiscalité semblent être insurmontables et expliquer à eux seuls l'incapacité des clubs français à s'imposer à l'échelle européenne.


Source : http://www.maxifoot.fr/articles/1998/index.htm#titp1
Je n'ai meme pas lu ton article juqu'a la fin car il est vieux et donc erroner .L'olympique lyonnais a le 10eme meilleurs budget d'europe et marseille le 20eme il me semble.

May,je suis tout a fait d'accord avec toi mais quand meme j'espere que tu es d'accord avec moi lorsque je dis que les clubs de tete de la ligue1 sont superieur au tete de la championship ,dire que l'OM a le meme niveau que stocke city c'est absurde
Ce n'est pas mon article. J'y mis la source
Nazala en forme Nazala en forme te nakoki kozanga leopardsfoot te!!!
Avatar du membre
NOUNOU LPS
U19
U19
Messages : 2376
Enregistré le : 16 oct. 2007, 08:22
Localisation : kinshasa
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par NOUNOU LPS »

kiekiekiekie zwa reponse :
faceof africa a écrit :d2(championship)d angleterre = 2 e moitie du tableau ya ligue 1 francaise
:haha: :haha: :haha:
www.vclub-rdc.com
kadimus
Messages : 173
Enregistré le : 23 oct. 2007, 16:54
Contact :

Re: Birmingham : Z.Matumona à l'essai

Message par kadimus »

faceof africa a écrit ::haha: :haha: :haha: :haha: :haha: ba belgique , suisse ,qatar , emirats arabs unis , etc... ba championnats ya vital'o ..
d2(championship)d angleterre = 2 e moitie du tableau ya ligue 1 francaise :bravo:

Je suis 100% with you on this one!.....
Kadimus ex Les_simba...I'm fully trilingual...en Francais, English and also le Tshiluba
[My FiFa 2010 PS3 team...Mandanda , Mongungu ,Kompany, Zakuani, Ilunga ,Makiadi, Mulumbu, Mavuba,Kakuta,Mbokani, Makukula]
Répondre

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité