Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
- tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
A l’invitation de son Excellence Joseph KABILA KABANGE, Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Jacob ZUMA, Président de la République d’Afrique du Sud et Président de l’Organe de la SADC en matière de politique, défense et sécurité, a effectué une visite de travail à Lubumbashi, en République Démocratique du Congo, ce samedi 12 novembre 2011. A cette occasion, les deux Chefs d’Etat ont passé en revue l’état des relations entre les deux pays ainsi que bien d’autres questions d’intérêt régional et international. Ils se sont particulièrement appesantis sur l’évolution du processus électoral en République Démocratique du Congo et ont noté avec satisfaction que ce dernier se déroule convenablement.
Profitant de l’occasion, Son Excellence Jacob ZUMA, en sa qualité de Président en exercice de l’Organe de la SADC en matière de politique, défense et sécurité, a lancé un appel aux acteurs politiques congolais afin qu’ils concourent, chacun à son niveau, à la tenue des élections apaisées. Au plan bilatéral, ils se sont réjouis de l’excellence des relations qui existent entre les deux Etats et ont réaffirmé leur engagement à œuvrer pour la consolidation desdites relations.
Dans cet esprit, les deux pays qui sont pour l’un détenteur de la ressource et pour l’autre principal consommateur, ont signé un Protocole d’accord pour la mise en valeur du potentiel Hydro-électrique du site du Grand INGA, afin de contribuer à la solution du problème de déficit en énergie électrique auquel leurs pays sont confrontés ainsi que les autres pays de la région. Le Président Jacob ZUMA a remercié son Hôte pour l’accueil et l’hospitalité qui lui ont été réservés à lui-même ainsi qu’à sa délégation.
Profitant de l’occasion, Son Excellence Jacob ZUMA, en sa qualité de Président en exercice de l’Organe de la SADC en matière de politique, défense et sécurité, a lancé un appel aux acteurs politiques congolais afin qu’ils concourent, chacun à son niveau, à la tenue des élections apaisées. Au plan bilatéral, ils se sont réjouis de l’excellence des relations qui existent entre les deux Etats et ont réaffirmé leur engagement à œuvrer pour la consolidation desdites relations.
Dans cet esprit, les deux pays qui sont pour l’un détenteur de la ressource et pour l’autre principal consommateur, ont signé un Protocole d’accord pour la mise en valeur du potentiel Hydro-électrique du site du Grand INGA, afin de contribuer à la solution du problème de déficit en énergie électrique auquel leurs pays sont confrontés ainsi que les autres pays de la région. Le Président Jacob ZUMA a remercié son Hôte pour l’accueil et l’hospitalité qui lui ont été réservés à lui-même ainsi qu’à sa délégation.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.lepotentiel.com/afficher_art ... ition=9074
Après l’échec des négociations secrètes en RSA
L’Opposition en ordre dispersé
Par Le Potentiel
Les calculs se compliquent pour l’Opposition. Sauf sursaut d’orgueil de dernières minutes, il ne faut pas s’attendre à un compromis en ce qui concerne une «candidature commune ou consensuelle» au sein de l’Opposition pour la présidentielle 2011. Les tentatives secrètes de l’Afrique du Sud n’ont pas réussi à dégager ce compromis tant attendu. Chacun a pris acte de cet échec et ira de son élan. Le reste, on verra bien après la date du 28 novembre.
Selon une indiscrétion digne de foi, l’Afrique du Sud devrait permettre à toutes les tendances de l’Opposition, de dégager le compromis autour de la candidature consensuelle pour la présidentielle 2011. Ce qui explique le séjour de certains candidats à la présidentielle en Afrique du Sud où se sont déroulées ces négociations secrètes.
Malheureusement, aucun accord n’est intervenu, chaque candidat de l’Opposition est demeuré sur sa position. Certains d’entre eux s’étaient même permis de revoir à la baisse leurs ambitions, à la seule condition qu’un accord soit conclu sur certains préalables. Echec. Rien n’y fit. Il nous revient que le candidat de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, se serait montré intransigeant, appelant plutôt les autres à le rejoindre. L’intervention de certains partenaires n’ont pas réussi à le fléchir jusqu’à ce pavé dans la marre sur Radio télévision Lisanga, RLTV, refroidissant ainsi l’ardeur de ces mêmes partenaires. Bien plus, le ton utilisé, au cours de ce meeting d’entrée en campagne à Kisangani, bouleverse certaines prévisions.
Il est entendu que les ponts ne sont pas totalement rompus. Mais il faut aussi se rendre à l’évidence que chaque candidat a pris acte de cet échec. L’Opposition ira donc en ordre dispersé aux élections ; quitte à relancer le débat après la publication officielle des résultats des élections.
PROFIT A KABILA
Echec autour de la candidature consensuelle, échec de la stratégie électorale commune. En effet, en allant en ordre dispersé, l’Opposition ne disposera pas de stratégie électorale commune. Or, sur ce point, le candidat Vital Kamerhe avait proposé une tactique «d’encerclement et la signature d’un pacte de non agression» entre les candidats de l’Opposition.
Mais du fait que désormais chacun ira de son élan, pas étonnant que les candidats de l’Opposition se rentrent dedans pendant cette campagne électorale. D’un côté, le candidat Tshisekedi se lance dans la campagne électorale soutenu par les partis politiques faisant partie de la «Dynamique Tshisekedi Président et Soutien Etienne Tshisekedi, DTP et SET» ; Léon Kengo wa Dondo a sa plate-forme pour le besoin de la cause, les «Forces réunies de l’Opposition, FORECO», et Vital Kamerhe avec «Alternative Vital Kamerhe, AVK». L’on assistera incontestablement à l’éparpillement des voix avec comme conséquence l’affaiblissement de l’Opposition.
Le grand bénéficiaire de cette décontenance politique est sans contexte le candidat de la mouvance présidentielle : le candidat Joseph Kabila Kabange. Devant ce tableau lézardé que présente l’Opposition, Kabila part favori.
Certes, il ne s’agit là que des supputations, car rien ne dit que si l’Opposition va en ordre dispersé, elle échouerait. Toujours est-il que les réalités politiques dans ce cas de figure profitent chaque fois à l’adversaire. Et ici, l’adversaire n’est rien d’autre que le candidat de la mouvance présidentielle.
MAJORITE PARLEMENTAIRE
Les jeux ne sont pas encore faits. Bien au contraire, les choses risquent de prendre une autre tournure. En effet, au bout de ces élections, c'est-à-dire, la présidentielle et les législatives, il faut s’attendre à l’une de ces trois réalités : un président avec sa majorité parlementaire, un président sans majorité parlementaire et un gouvernement d’union nationale dans l’hypothèse où aucune des formations politiques ou plates-formes ne disposerait de la majorité parlementaire. Et comme l’on a toujours souligné dans ces mêmes colonnes, la présidentielle se joue à la députation nationale.
Malheureusement, à la députation nationale, les choses ne sont pas aussi faciles qu’on ne le croit. Certes, plusieurs partis politiques ont aligné des candidats députés. Cependant, ces candidats se présentent plus en «candidats indépendants» qu’en «candidats du parti». En témoignent, toutes ces affiches, ces banderoles. Rares sont ces candidats députés qui affichent clairement leur appartenance à un parti donné. Situation consécutive également à l’absence de moyens financiers mis à la disposition des candidats députés, la plupart ayant battu campagne avec leurs propres moyens financiers. Ajoutez à cela la «guerre prématurée de clans».
Si telle image se prolongerait jusqu’à la mise en place de la future assemblée nationale, la Majorité parlementaire se constituera à coups de billets de banque, faisant ainsi le lit de l’instabilité politique. L’on assistera alors à l’émergence d’une majorité parlementaire changeante, vulnérable au fil des sessions parlementaires si quelques ambitieux se décidaient à mener tout le monde en bateau. D’où la surenchère politique sera l’effet dominant la prochaine législature.
En fait, les signes avant-coureurs sont déjà perceptibles. Des sympathisants des partis politiques satellites s’empoignent déjà entre eux dans cette quête d’une position confortable avec un nombre élevé de députés. D’autres, ceux des candidats qui se sont sentis lésés lors de l’élaboration des listes, ont créé leurs propres partis mais affirment continuer à soutenir leur Autorité morale. Si demain ils obtenaient un nombre important de députés et que leur candidat était élu, ils seraient parmi ceux qui exigeraient plus de considération. Dans le camp contraire, rien ne les empêcherait de sceller des alliances, même contre nature. La future assemblée nationale disposera alors des «groupes parlementaires» à même de faire et de défaire la majorité parlementaire, parce que les «chefs de partis ou de groupes» ne seront pas contrôlables. Une véritable pagaille politique qui s’annonce à l’horizon.
Au regard de ce qui précède, le ciel reste nuageux et les jours sombres si jamais la classe politique ne prenait conscience de vrais enjeux de ces élections 2011. C’est-à-dire que la RDC est à un tournant décisif de son existence. Elle est appelée à vivre ou disparaitre. Mais surtout à relever les défis de son existence en tant qu’Etat et Nation. Etre une véritable «République», disposant d’institutions républicaines, d’une économie forte et prospère, et d’une population à compter parmi les peuples dynamiques du monde.
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Après l’échec des négociations secrètes en RSA
L’Opposition en ordre dispersé
Par Le Potentiel
Les calculs se compliquent pour l’Opposition. Sauf sursaut d’orgueil de dernières minutes, il ne faut pas s’attendre à un compromis en ce qui concerne une «candidature commune ou consensuelle» au sein de l’Opposition pour la présidentielle 2011. Les tentatives secrètes de l’Afrique du Sud n’ont pas réussi à dégager ce compromis tant attendu. Chacun a pris acte de cet échec et ira de son élan. Le reste, on verra bien après la date du 28 novembre.
Selon une indiscrétion digne de foi, l’Afrique du Sud devrait permettre à toutes les tendances de l’Opposition, de dégager le compromis autour de la candidature consensuelle pour la présidentielle 2011. Ce qui explique le séjour de certains candidats à la présidentielle en Afrique du Sud où se sont déroulées ces négociations secrètes.
Malheureusement, aucun accord n’est intervenu, chaque candidat de l’Opposition est demeuré sur sa position. Certains d’entre eux s’étaient même permis de revoir à la baisse leurs ambitions, à la seule condition qu’un accord soit conclu sur certains préalables. Echec. Rien n’y fit. Il nous revient que le candidat de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, se serait montré intransigeant, appelant plutôt les autres à le rejoindre. L’intervention de certains partenaires n’ont pas réussi à le fléchir jusqu’à ce pavé dans la marre sur Radio télévision Lisanga, RLTV, refroidissant ainsi l’ardeur de ces mêmes partenaires. Bien plus, le ton utilisé, au cours de ce meeting d’entrée en campagne à Kisangani, bouleverse certaines prévisions.
Il est entendu que les ponts ne sont pas totalement rompus. Mais il faut aussi se rendre à l’évidence que chaque candidat a pris acte de cet échec. L’Opposition ira donc en ordre dispersé aux élections ; quitte à relancer le débat après la publication officielle des résultats des élections.
PROFIT A KABILA
Echec autour de la candidature consensuelle, échec de la stratégie électorale commune. En effet, en allant en ordre dispersé, l’Opposition ne disposera pas de stratégie électorale commune. Or, sur ce point, le candidat Vital Kamerhe avait proposé une tactique «d’encerclement et la signature d’un pacte de non agression» entre les candidats de l’Opposition.
Mais du fait que désormais chacun ira de son élan, pas étonnant que les candidats de l’Opposition se rentrent dedans pendant cette campagne électorale. D’un côté, le candidat Tshisekedi se lance dans la campagne électorale soutenu par les partis politiques faisant partie de la «Dynamique Tshisekedi Président et Soutien Etienne Tshisekedi, DTP et SET» ; Léon Kengo wa Dondo a sa plate-forme pour le besoin de la cause, les «Forces réunies de l’Opposition, FORECO», et Vital Kamerhe avec «Alternative Vital Kamerhe, AVK». L’on assistera incontestablement à l’éparpillement des voix avec comme conséquence l’affaiblissement de l’Opposition.
Le grand bénéficiaire de cette décontenance politique est sans contexte le candidat de la mouvance présidentielle : le candidat Joseph Kabila Kabange. Devant ce tableau lézardé que présente l’Opposition, Kabila part favori.
Certes, il ne s’agit là que des supputations, car rien ne dit que si l’Opposition va en ordre dispersé, elle échouerait. Toujours est-il que les réalités politiques dans ce cas de figure profitent chaque fois à l’adversaire. Et ici, l’adversaire n’est rien d’autre que le candidat de la mouvance présidentielle.
MAJORITE PARLEMENTAIRE
Les jeux ne sont pas encore faits. Bien au contraire, les choses risquent de prendre une autre tournure. En effet, au bout de ces élections, c'est-à-dire, la présidentielle et les législatives, il faut s’attendre à l’une de ces trois réalités : un président avec sa majorité parlementaire, un président sans majorité parlementaire et un gouvernement d’union nationale dans l’hypothèse où aucune des formations politiques ou plates-formes ne disposerait de la majorité parlementaire. Et comme l’on a toujours souligné dans ces mêmes colonnes, la présidentielle se joue à la députation nationale.
Malheureusement, à la députation nationale, les choses ne sont pas aussi faciles qu’on ne le croit. Certes, plusieurs partis politiques ont aligné des candidats députés. Cependant, ces candidats se présentent plus en «candidats indépendants» qu’en «candidats du parti». En témoignent, toutes ces affiches, ces banderoles. Rares sont ces candidats députés qui affichent clairement leur appartenance à un parti donné. Situation consécutive également à l’absence de moyens financiers mis à la disposition des candidats députés, la plupart ayant battu campagne avec leurs propres moyens financiers. Ajoutez à cela la «guerre prématurée de clans».
Si telle image se prolongerait jusqu’à la mise en place de la future assemblée nationale, la Majorité parlementaire se constituera à coups de billets de banque, faisant ainsi le lit de l’instabilité politique. L’on assistera alors à l’émergence d’une majorité parlementaire changeante, vulnérable au fil des sessions parlementaires si quelques ambitieux se décidaient à mener tout le monde en bateau. D’où la surenchère politique sera l’effet dominant la prochaine législature.
En fait, les signes avant-coureurs sont déjà perceptibles. Des sympathisants des partis politiques satellites s’empoignent déjà entre eux dans cette quête d’une position confortable avec un nombre élevé de députés. D’autres, ceux des candidats qui se sont sentis lésés lors de l’élaboration des listes, ont créé leurs propres partis mais affirment continuer à soutenir leur Autorité morale. Si demain ils obtenaient un nombre important de députés et que leur candidat était élu, ils seraient parmi ceux qui exigeraient plus de considération. Dans le camp contraire, rien ne les empêcherait de sceller des alliances, même contre nature. La future assemblée nationale disposera alors des «groupes parlementaires» à même de faire et de défaire la majorité parlementaire, parce que les «chefs de partis ou de groupes» ne seront pas contrôlables. Une véritable pagaille politique qui s’annonce à l’horizon.
Au regard de ce qui précède, le ciel reste nuageux et les jours sombres si jamais la classe politique ne prenait conscience de vrais enjeux de ces élections 2011. C’est-à-dire que la RDC est à un tournant décisif de son existence. Elle est appelée à vivre ou disparaitre. Mais surtout à relever les défis de son existence en tant qu’Etat et Nation. Etre une véritable «République», disposant d’institutions républicaines, d’une économie forte et prospère, et d’une population à compter parmi les peuples dynamiques du monde.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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En campagne électorale au Katanga
Joseph Kabila promet la modernisation de Kalemie
Par Angelo Mobateli
Le candidat Joseph Kabila poursuit sans désemparer sa croisade électorale dans la partie Est du territoire national. A l’étape de Kalemie, en province du Katanga, le candidat n°3 à la présidentielle fait à la population venue l’écouter la promesse de moderniser de la ville de Kalemie
Le président Joseph Kabila Kabange, candidat n°3 à la présidentielle du 28 novembre 2011, a promis le dimanche 13 novembre 2011 au Katanga la «modernisation» de la ville de Kalemie, où il est arrivé en milieu d’après-midi.
Au cours de son adresse à la population massée dans le stade Sendwe, il a annoncé aussi la modernisation de ce haut lieu du football du district de Tanganyika, des écoles, de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) ainsi que celle de la desserte en eau et en électricité.
En sollicitant le «vote à 100%» des électeurs de cette partie du Katanga, le candidat Joseph Kabila a reconnu n’avoir pas encore satisfait» à toutes leurs attentes. «La priorité a été donnée à Kinshasa, la capitale», a-t-il expliqué.
A son arrivée à Kalemie en campagne électorale, Joseph Kabila a été contraint à une marche à pieds, sur près de 11 km, par une foule en liesse qui le précédait, l’entourait et le suivait. Une marche qui l’a conduit, en sa compagnie, au stade Sendwe.
«Comme partout où il est déjà passé (villes, cités et villages), la ville de Kalemie est tombée sous le charme de Joseph Kabila comme un fruit mûr offert sur un plateau d’or à un hôte de marque», rapporte la presse officielle.
Ce lundi 14 novembre 2011, le président Joseph Kabila se rendra dans la matinée à Kolwezi et, ensuite, à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Avant Kalemie, il a reçu le même accueil enthousiaste des populations de Kamina et de Manono, dans la province du Katanga.
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Joseph Kabila promet la modernisation de Kalemie
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Le candidat Joseph Kabila poursuit sans désemparer sa croisade électorale dans la partie Est du territoire national. A l’étape de Kalemie, en province du Katanga, le candidat n°3 à la présidentielle fait à la population venue l’écouter la promesse de moderniser de la ville de Kalemie
Le président Joseph Kabila Kabange, candidat n°3 à la présidentielle du 28 novembre 2011, a promis le dimanche 13 novembre 2011 au Katanga la «modernisation» de la ville de Kalemie, où il est arrivé en milieu d’après-midi.
Au cours de son adresse à la population massée dans le stade Sendwe, il a annoncé aussi la modernisation de ce haut lieu du football du district de Tanganyika, des écoles, de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) ainsi que celle de la desserte en eau et en électricité.
En sollicitant le «vote à 100%» des électeurs de cette partie du Katanga, le candidat Joseph Kabila a reconnu n’avoir pas encore satisfait» à toutes leurs attentes. «La priorité a été donnée à Kinshasa, la capitale», a-t-il expliqué.
A son arrivée à Kalemie en campagne électorale, Joseph Kabila a été contraint à une marche à pieds, sur près de 11 km, par une foule en liesse qui le précédait, l’entourait et le suivait. Une marche qui l’a conduit, en sa compagnie, au stade Sendwe.
«Comme partout où il est déjà passé (villes, cités et villages), la ville de Kalemie est tombée sous le charme de Joseph Kabila comme un fruit mûr offert sur un plateau d’or à un hôte de marque», rapporte la presse officielle.
Ce lundi 14 novembre 2011, le président Joseph Kabila se rendra dans la matinée à Kolwezi et, ensuite, à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Avant Kalemie, il a reçu le même accueil enthousiaste des populations de Kamina et de Manono, dans la province du Katanga.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
pour faire quoi avec en deux semaines d’électionIlunga a écrit :COLLECTE DE FOND POUR ETIENNE TSHISEKEDI
Les congolais de Mafikeng/South Africa ont collecte les fonds de facon volontaire en faveur du candidat Etienne Tshisekedi, en presence de membres de l'UDPS/south africa
Obama n'a gagne que grace aux fonds de ses concitoyens.
Exemple a suivre


Un lion vient de tomber arme a la main.il a tenu promesse.prise de pouvoir en 69.mort a 69ans.il est né en 42 il a dirigé la libye pendant 42 ans.le hasard nexiste nulle part R.I.P L'AFRICAIN
Muammar al- Kadhafi
Muammar al- Kadhafi
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_ ... bashi.html
RDC : Les Lushois voterons « Joseph KABILA » à 100%
09/11/2011 16:37:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA et son 1er ministre Adolphe MUZITO
A Lubumbashi, les Lushois ont confirmé qu'ils voterons « Joseph KABILA » à 100%. Kabila est vraiment en plein dans son temps. Le temps de la modernisation du pays, son rêve de toujours en passe d’être concrétisé par les 5 Chantiers.
Ce n’est plus le triomphe, ce qu’on a vu mercredi à Lubumbashi lors de l’arrivée du candidat N°3, Joseph Kabila Kabange, le candidat de tout le peuple congolais et surtout lors de son meeting de campagne à la Grand-place Moïse Tshombe, en face de la poste. L’homme a provoqué le délire, l’euphorie et la transe de la population qui voulait l’entendre éternellement.
Tout Lubumbashi, avec toutes ses communautés katangaise et kasaïenne, s’y était donné rendez-vous pour manifester le soutien à celui-là même par qui la reconstruction du pays a commencé. Ce qui explique la frénésie avec laquelle cet apôtre de la paix est reçu.
Avec des foules bigarrées qui chantaient à tue-tête des chants à sa gloire, donc à sa réélection ce 28 novembre, le spectacle est féerique. Décidément, c’est partout la même chaleur pour ce jeune Président à qui s’est beaucoup donné depuis le soir d’un certain 26 janvier 2001.
Kabila qui s’exprimait dans un swahili racé s’est révélé un excellent tribun. Comme dans les Kivu, sur ses autres plates-bandes qu’il ne partagera avec personne, il a su tenir en haleine ces milliers d’admirateurs venus l’entendre et lui confirmer leur vote positif le jour « J » exactement comme c’était le cas en 2006 où il avait pratiquement été plébiscité au détriment de Jean-Pierre Bemba Gombo qui y avait été battu à plate couture ne récoltant que des 0%.
Quant au message du « N°3 100% sûr » aux Lushois, c’est celui de la continuité pour parachever l’œuvre titanesque amorcée lors du premier mandat. C’est pour cela que le 28, ils soutiendront massivement cette poursuite de la modernisation que les Congolais n’ont connu que sous son mandat.
Revenant à 2006, il a rappelé aux Katangais par le biais des Lushois qu’il leur avait promis la reconstruction et les élections de 2011. Est-ce fait ? Et de répondre, entrant encore en transe, oui. Ce qui veut dire que c’est un homme des actions et non du discours. Ils ont eu la reconstruction dans le Katanga et les élections devant renouveler les animateurs des institutions publiques.
Que promet le « N°3 100% sûr » pour la législature qui va commencer, celle de 2011 à 2016 ? Il va s’atteler à la modernisation de tout le pays comme il en a déjà donné le ton à Kinshasa qui n’est pas loin de devenir une JO’BOUrg d’ Afrique Centrale avec ses chaussées à 8 bandes comme le mythique Boulevard du 30 JUIN, modernisée et méconnaissable ; ils auront également la modernisation de l’hôpital SENDWE de Lubumbashi, de la SNCC sans oublier la construction d’un stade omnisport ultramoderne toujours dans la capitale du cuivre. En réponse : salve d’applaudissements.
Sur les échauffourées qui ses ont déroulées à Lubumbashi, il a dit que les élections doivent être apaisées et que nul ne peut se permettre de jouer avec du feu à Lubumbashi en ce moment crucial où les Congolais doivent choisir librement leurs dirigeants.
Avant de clore son meeting de campagne, le N°3 a en passant présenté au public son fils Laurent-Désiré Kabila qui dormait du sommeil du juste, sûr que son papa de Président fera des merveilles ce 28 novembre dans ses terres du Katanga. Ce qu’ont confirmé les Lushois en criant encore plus fort 100%. Kabila, le N°3 est vraiment en plein dans son temps. Le temps de la modernisation du pays, son rêve de toujours en passe d’être concrétisé par les 5 Chantiers.
RDC : Les Lushois voterons « Joseph KABILA » à 100%
09/11/2011 16:37:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA et son 1er ministre Adolphe MUZITO
A Lubumbashi, les Lushois ont confirmé qu'ils voterons « Joseph KABILA » à 100%. Kabila est vraiment en plein dans son temps. Le temps de la modernisation du pays, son rêve de toujours en passe d’être concrétisé par les 5 Chantiers.
Ce n’est plus le triomphe, ce qu’on a vu mercredi à Lubumbashi lors de l’arrivée du candidat N°3, Joseph Kabila Kabange, le candidat de tout le peuple congolais et surtout lors de son meeting de campagne à la Grand-place Moïse Tshombe, en face de la poste. L’homme a provoqué le délire, l’euphorie et la transe de la population qui voulait l’entendre éternellement.
Tout Lubumbashi, avec toutes ses communautés katangaise et kasaïenne, s’y était donné rendez-vous pour manifester le soutien à celui-là même par qui la reconstruction du pays a commencé. Ce qui explique la frénésie avec laquelle cet apôtre de la paix est reçu.
Avec des foules bigarrées qui chantaient à tue-tête des chants à sa gloire, donc à sa réélection ce 28 novembre, le spectacle est féerique. Décidément, c’est partout la même chaleur pour ce jeune Président à qui s’est beaucoup donné depuis le soir d’un certain 26 janvier 2001.
Kabila qui s’exprimait dans un swahili racé s’est révélé un excellent tribun. Comme dans les Kivu, sur ses autres plates-bandes qu’il ne partagera avec personne, il a su tenir en haleine ces milliers d’admirateurs venus l’entendre et lui confirmer leur vote positif le jour « J » exactement comme c’était le cas en 2006 où il avait pratiquement été plébiscité au détriment de Jean-Pierre Bemba Gombo qui y avait été battu à plate couture ne récoltant que des 0%.
Quant au message du « N°3 100% sûr » aux Lushois, c’est celui de la continuité pour parachever l’œuvre titanesque amorcée lors du premier mandat. C’est pour cela que le 28, ils soutiendront massivement cette poursuite de la modernisation que les Congolais n’ont connu que sous son mandat.
Revenant à 2006, il a rappelé aux Katangais par le biais des Lushois qu’il leur avait promis la reconstruction et les élections de 2011. Est-ce fait ? Et de répondre, entrant encore en transe, oui. Ce qui veut dire que c’est un homme des actions et non du discours. Ils ont eu la reconstruction dans le Katanga et les élections devant renouveler les animateurs des institutions publiques.
Que promet le « N°3 100% sûr » pour la législature qui va commencer, celle de 2011 à 2016 ? Il va s’atteler à la modernisation de tout le pays comme il en a déjà donné le ton à Kinshasa qui n’est pas loin de devenir une JO’BOUrg d’ Afrique Centrale avec ses chaussées à 8 bandes comme le mythique Boulevard du 30 JUIN, modernisée et méconnaissable ; ils auront également la modernisation de l’hôpital SENDWE de Lubumbashi, de la SNCC sans oublier la construction d’un stade omnisport ultramoderne toujours dans la capitale du cuivre. En réponse : salve d’applaudissements.
Sur les échauffourées qui ses ont déroulées à Lubumbashi, il a dit que les élections doivent être apaisées et que nul ne peut se permettre de jouer avec du feu à Lubumbashi en ce moment crucial où les Congolais doivent choisir librement leurs dirigeants.
Avant de clore son meeting de campagne, le N°3 a en passant présenté au public son fils Laurent-Désiré Kabila qui dormait du sommeil du juste, sûr que son papa de Président fera des merveilles ce 28 novembre dans ses terres du Katanga. Ce qu’ont confirmé les Lushois en criant encore plus fort 100%. Kabila, le N°3 est vraiment en plein dans son temps. Le temps de la modernisation du pays, son rêve de toujours en passe d’être concrétisé par les 5 Chantiers.
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Joseph KABILA » : Une campagne sur fond de respect des valeurs républicaines
14/11/2011 05:32:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA - President de la RDC
De Kindu à Kalemie, en passant notamment par Uvira, Lubumbashi et Likasi, le Raïs distille le même message denué d’attaques personnelles ou de mots déplacés à l’endroit de ses concurrents.
En ce début de troisième semaine de propagande, la campagne électorale entre dans sa dernière ligne droite. Présent sur le terrain dès l’amorce de la campagne, Joseph Kabila fait une espèce de tour du propriétaire sur ses terres katangaises. Ce, après avoir sillonné le Maniema et arpenté toutes les montagnes du Sud-Kivu. Partout où il est passé, le Raïs a passé son message et rien que son message. Bilan de campagne à mi-parcours.
Autant le reconnaître tout de go. La campagne électorale du Président-candidat rime avec ferveur populaire. De Kindu à Kalemie, en passant notamment par Uvira, Lubumbashi et Likasi, Joseph Kabila est invariablement porté en triomphe par des foules en délire. De quoi booster davantage le candidat numéro 3 dans la dernière ligne droite qui commence ce lundi.
Mais, ce succès populaire est loin d’avoir grisé Joseph Kabila. Tant son message reste empreint de responsabilité, de sagesse, de respect vis-à-vis de ses adversaires et du peuple congolais. Bref, c’est une campagne sur fond d’ respect des valeurs républicaines que mène le Raïs. Pas la moindre attitude condescendante à l’endroit de ses concurrents. Pas de mots déplacés, pas d’attaques personnelles…
Tout au long de son périple, Kabila distille le même message assaisonné des particularismes locaux en fonction du coin visité. Président sortant, il se fait fort de rappeler à ses concitoyens d’où vient le pays. En somme, du gouffre où l’avait placé le long règne de Mobutu accentué par le cycle des guerres d’agression et de rébellions. Où il se trouve. A savoir, un pays pacifié et réunifié qui amorce sa reconstruction dans le cadre des « Cinq chantiers ».
Quant aux perspectives, le Raïs entend renforcer les acquis actuels tout en projetant la modernisation du pays avec à la clé le combat pour faire du Congo / Kinshasa un pays émergent. Au passage, Joseph Kabila reconnaît, à chacune de ses étapes, les insuffisances, les erreurs ou ce qu’il appelle des « dettes » vis-à vis du peuple. Une manière d’admettre que beaucoup reste à faire et que donc tout est loin d’être rose. Pas de place à l’autosatisfaction béate.
Dans tous ses speechs, le candidat Kabila s’en tient à son credo. Lui à qui certains adversaires assènent des coups en dessous de la ceinture, garde de la hauteur. Lui que certains rivaux ont transformé en thème de campagne en le tenant pour responsable de… cinquante ans de gestion du pays, demeure serein. Lui auquel, par antikabilisme primaire, certains ne reconnaissent aucun mérite, maintient le cap sur l’essentiel.
Pour le coup, l’image du porteur d’œufs qui avait fait florès en 2006 est bien d’actualité. Pour le coup aussi, le Président prouve par l’absurde qu’il est l’homme de la situation par sa maîtrise de soi. « Il faut beaucoup de sang-froid quand on est là où je suis », lançait un président français à l’endroit de l’opposition. Bien que disposant – fonctions obligent- d’une fiche constamment mise à jour sur chacun de ses adversaires, le Raïs se conforme au code de bonne conduite et privilégie l’intérêt du pays. Il devrait en être ainsi pour tous les prétendants au fauteuil présidentiel.
Après Kolwezi, Kabila cet après-midi à Goma
Le candidat n°3 à la présidentielle du 28 novembre 2011, Joseph Kabila Kabange, est arrivé hier dimanche 13 novembre à Kalemie, en milieu d’après-midi. Comme à l’accoutumée, le Raïs a été contraint à la marche à pieds et ce, sur près de 11 kilomètres par une foule immense qui le précédait, l’entourait et le suivait jusqu’au stade Sendwe.
Après les autres villes, cités et villages par où est passé le candidat Kabila, la ville de Kalemie est, à son tour, tombée sous le charme de l’initiateur de « cinq chantiers » comme un fruit mûr, offert sur un plateau d’or à un hôte de marque.
Joseph Kabila, qui a sollicité le vote des électeurs du district de la Tanganyika, reconnaît tout de même que toutes les attentes des populations de cette contrée du pays n’ont pas été rencontrées, priorité ayant été donnée à Kinshasa, la capitale. N’empêche, le candidat Joseph Kabila a annoncé la modernisation de la ville de Kalemie, des écoles, de la Société nationale des chemins de fer du Congo (Sncc), ainsi que la desserte en eau et en électricité.
Ce lundi 14 novembre, Joseph Kabila est attendu à Kolwezi dans l’avant-midi, pour ensuite gagner la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, dans l’après-midi.
Joseph KABILA » : Une campagne sur fond de respect des valeurs républicaines
14/11/2011 05:32:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA - President de la RDC
De Kindu à Kalemie, en passant notamment par Uvira, Lubumbashi et Likasi, le Raïs distille le même message denué d’attaques personnelles ou de mots déplacés à l’endroit de ses concurrents.
En ce début de troisième semaine de propagande, la campagne électorale entre dans sa dernière ligne droite. Présent sur le terrain dès l’amorce de la campagne, Joseph Kabila fait une espèce de tour du propriétaire sur ses terres katangaises. Ce, après avoir sillonné le Maniema et arpenté toutes les montagnes du Sud-Kivu. Partout où il est passé, le Raïs a passé son message et rien que son message. Bilan de campagne à mi-parcours.
Autant le reconnaître tout de go. La campagne électorale du Président-candidat rime avec ferveur populaire. De Kindu à Kalemie, en passant notamment par Uvira, Lubumbashi et Likasi, Joseph Kabila est invariablement porté en triomphe par des foules en délire. De quoi booster davantage le candidat numéro 3 dans la dernière ligne droite qui commence ce lundi.
Mais, ce succès populaire est loin d’avoir grisé Joseph Kabila. Tant son message reste empreint de responsabilité, de sagesse, de respect vis-à-vis de ses adversaires et du peuple congolais. Bref, c’est une campagne sur fond d’ respect des valeurs républicaines que mène le Raïs. Pas la moindre attitude condescendante à l’endroit de ses concurrents. Pas de mots déplacés, pas d’attaques personnelles…
Tout au long de son périple, Kabila distille le même message assaisonné des particularismes locaux en fonction du coin visité. Président sortant, il se fait fort de rappeler à ses concitoyens d’où vient le pays. En somme, du gouffre où l’avait placé le long règne de Mobutu accentué par le cycle des guerres d’agression et de rébellions. Où il se trouve. A savoir, un pays pacifié et réunifié qui amorce sa reconstruction dans le cadre des « Cinq chantiers ».
Quant aux perspectives, le Raïs entend renforcer les acquis actuels tout en projetant la modernisation du pays avec à la clé le combat pour faire du Congo / Kinshasa un pays émergent. Au passage, Joseph Kabila reconnaît, à chacune de ses étapes, les insuffisances, les erreurs ou ce qu’il appelle des « dettes » vis-à vis du peuple. Une manière d’admettre que beaucoup reste à faire et que donc tout est loin d’être rose. Pas de place à l’autosatisfaction béate.
Dans tous ses speechs, le candidat Kabila s’en tient à son credo. Lui à qui certains adversaires assènent des coups en dessous de la ceinture, garde de la hauteur. Lui que certains rivaux ont transformé en thème de campagne en le tenant pour responsable de… cinquante ans de gestion du pays, demeure serein. Lui auquel, par antikabilisme primaire, certains ne reconnaissent aucun mérite, maintient le cap sur l’essentiel.
Pour le coup, l’image du porteur d’œufs qui avait fait florès en 2006 est bien d’actualité. Pour le coup aussi, le Président prouve par l’absurde qu’il est l’homme de la situation par sa maîtrise de soi. « Il faut beaucoup de sang-froid quand on est là où je suis », lançait un président français à l’endroit de l’opposition. Bien que disposant – fonctions obligent- d’une fiche constamment mise à jour sur chacun de ses adversaires, le Raïs se conforme au code de bonne conduite et privilégie l’intérêt du pays. Il devrait en être ainsi pour tous les prétendants au fauteuil présidentiel.
Après Kolwezi, Kabila cet après-midi à Goma
Le candidat n°3 à la présidentielle du 28 novembre 2011, Joseph Kabila Kabange, est arrivé hier dimanche 13 novembre à Kalemie, en milieu d’après-midi. Comme à l’accoutumée, le Raïs a été contraint à la marche à pieds et ce, sur près de 11 kilomètres par une foule immense qui le précédait, l’entourait et le suivait jusqu’au stade Sendwe.
Après les autres villes, cités et villages par où est passé le candidat Kabila, la ville de Kalemie est, à son tour, tombée sous le charme de l’initiateur de « cinq chantiers » comme un fruit mûr, offert sur un plateau d’or à un hôte de marque.
Joseph Kabila, qui a sollicité le vote des électeurs du district de la Tanganyika, reconnaît tout de même que toutes les attentes des populations de cette contrée du pays n’ont pas été rencontrées, priorité ayant été donnée à Kinshasa, la capitale. N’empêche, le candidat Joseph Kabila a annoncé la modernisation de la ville de Kalemie, des écoles, de la Société nationale des chemins de fer du Congo (Sncc), ainsi que la desserte en eau et en électricité.
Ce lundi 14 novembre, Joseph Kabila est attendu à Kolwezi dans l’avant-midi, pour ensuite gagner la ville de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, dans l’après-midi.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Discours révolutionnaire de Tshisekedi à Kisangani
« La révolte est un droit de l’homme ». Elle est un sentiment d’indignation et de refus actif d'obéir à une autorité injuste et déplorable. Un peuple qui a été longtemps contraint à se résigner, finit par se révolter. Considérant qu’il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression. Le message de Tshisekedi est correct.
congostories il y a 15 heures
http://www.youtube.com/watch?v=mvEFeD8-4Hs
« La révolte est un droit de l’homme ». Elle est un sentiment d’indignation et de refus actif d'obéir à une autorité injuste et déplorable. Un peuple qui a été longtemps contraint à se résigner, finit par se révolter. Considérant qu’il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression. Le message de Tshisekedi est correct.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_ ... idats.html
RDC : « Joseph KABILA » l'unité de mesure
28/10/2011 15:31:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA - President de la RDC
« Uni ou pas, l’opposition sera battue ». Joseph KABILA le dit, pas parce qu’il en a le plaisir, mais parce qu’il en est convaincu. Il est sûr d’une chose : les congolais ont confiance en lui. Ils savent tous et y croient : « Il l’a dit, il a fait, il en fera d’avantage ».
L’heure est venue, elle est déjà là où les dix prétendants au fauteuil présidentiel en République Démocratique du Congo vont devoir se lancer dans la bataille pour arracher la confiance du peuple. Arracher la confiance ? Bien sûr, parce qu’elle a été, durant les cinq dernières années, placée en un homme. Joseph KABILA est celui sur qui les congolais avaient, jusque là, jeté leur dévolu. L’actuel Président de la République est, selon son propre propos, resté proche de son peuple et a rendu le service que ce dernier attendait de lui. Preuve en est que, chaque fois que le Raïs effectue une descente à travers le pays, il traine derrière lui des foules nombreuses. A Kinshasa, comme dans tous les coins et recoins de la RDC, il reçoit des ovations de ceux qui reconnaissent en lui l’homme par qui est venue la renaissance de la nation.
Dix contre un
Fort de la reconnaissance de ses sociétaires et cette marque de confiance placée en lui, Joseph KABILA se présente comme candidat à sa propre succession. N°3 sur la liste de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), le momentanément Président sortant fait le onzième candidat à l’élection présidentielle du 28 novembre prochain. C’est contre lui que les dix prétendants à son fauteuil vont devoir se livrer une lutte démocratique féroce. « Dix contre un », telle est la configuration de la bataille électorale qui a commencé dans quelques heures. L’opinion va, près d’un mois durant, assister à un face-à-face entre dix personnes aux discours et au passé politique à problème et un homme aux actions conquêtes. Ça sera ce que les swahiliphones qualifient de « Aachaye kweli huishudia » (Cfr : Tel homme parle mais un gentleman agit ».
A vrai dire, les opposants dont les discours sont faits des verbiages, des promesses et des litanies d’intensions, bref : dix candidats qui n’ont que la parole, vont s’affronter à la machine Joseph KABILA montée de plusieurs réalisations. Celui-ci avait, bien sûr, une parole qu’il a transformée en actions au cours de cinq ou dix dernières années. Certains affirmeraient qu’il a dit, il a fait et il en fera d’avantage. Reste à savoir si seul ou à dix, les candidats de l’opposition sauront faire face à cet homme au parcours politique sans faute. Alors que de l’autre bord, tous sinon les plus grands trainent, chacun derrière lui, des faits et gestes compromettants.
Passés compromettants
Dans la course électorale qui commence le seul candidat de la mouvance gouvernementale est face à dix opposants. « Parmi eux, personne ne fait peur à Joseph KABILA », soutiennent les observateurs de la scène politique congolaise. D’Etienne TSHISEKEDI, KENGO WA NDONDO, Vital KAMERHE et Oscar KASHALA à Adam MBOMBOLE, en passant par les autres inconnus qui sont en lice, on parlerait des pilles d’insuffisance qui discréditent chacun d’entre eux. Le premier d’entre eux, le président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social reste le plus fragile de tous. TSHISEKEDI est connu de tous les congolais par son égoïsme politique et son illustration en homme des occasions rateés et du non respect des engagements.
L’opinion se souviendra qu’au début des années 1980, Etienne avait basculé à l’opposition pour avoir été frustré par son ami MOBUTU. Celui-ci avait préféré un autre à sa place au poste du Président du conseil législatif. Une décennie plus tard, le même va buffer une disposition du texte de prestation de serment créant ainsi une crise qui conduira à sa destitution. Ce, avant de se voir propulsé par ses partenaires de l’Union Sacrée de l’Opposition Radicale et Alliés (Usoral) et accéder à la primature après élection à la Conférence nationale souveraine (Cns). Là il va se prendre la tête en disant à qui voulait l’entendre qu’il était l’émanation du seul peuple et qu’il n’avait des comptes à rendre à personne. Le dernier cas en date est le boycott du processus électoral de 2006. Une occasion qui était offerte à Etienne Tshisekedi de panser les blessures de tous ceux qui se sont vu privé du bien être et du mieux être, voir de l’affection des leurs êtres chers à cause de ses erreurs politiques. Aujourd’hui, qui oserait une fois de plus placer sa confiance en lui, tout en sachant que l’homme n’a pas encore rompu avec ces veilles habitudes.
Ne pas rater le train
S’agissant de Léon Lubicz KENGO WA DONDO et Vital KAMERHE lwa Kanyiginyi Nkingi respectivement présidents de l’Union des forces du changement (Ufc) et l’Union pour la Nation Congolaise(Unc), le débat n’en est un. L’opinion congolaise reste divisée. D’une part, ce sont des anciens mobutistes qui ne veulent pas rater le train. Ils tendent à se positionner en hommes de la troisième voie qui misent sur une possibilité de faire un nombre considérable de députés nationaux et imposer la loi lors des coalitions gouvernementales.
C’est l’une des raisons de la difficulté qu’a eu l’opposition à se mettre d’accord pour une candidature unique. Pour l’autre opinion, KENGO et KAMERHE sont, comme Oscar KASHALA de l’Union pour la reconstruction du Congo (Urec) et l’indépendant Adam MBOMBOLE, désireux de rester sur scène politique nationale. Conscients de la mesure des enjeux, ils se lancent dans la course sans beaucoup de détermination à devenir présidents dans une RDC où Joseph KABILA est aussi fort que jamais auparavant. Les quatre hommes sont tout simplement en train de se préparer pour les fois très prochaines, pourvu que Dieu leur accorde encore sa grâce.
« Uni ou pas, l’opposition sera battue », soutenait le candidat N°3 lors de son dernier échange avec la presse nationale et internationale au Palais de la Nation. Joseph KABILA le dit, pas parce qu’il en a le plaisir, mais parce qu’il en est convaincu. Il est sûr d’une chose : les congolais ont confiance en lui. Ils savent tous et y croient : « Il l’a dit, il a fait, il en fera d’avantage ». D’où la raison de sa réélection à la tête de ce géant Congo qu’il est entrain de sortir des gouffres dans lesquels certains de ses adversaires l’avaient plongé.
RDC : « Joseph KABILA » l'unité de mesure
28/10/2011 15:31:00 KongoTimes!
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image Joseph KABILA - President de la RDC
« Uni ou pas, l’opposition sera battue ». Joseph KABILA le dit, pas parce qu’il en a le plaisir, mais parce qu’il en est convaincu. Il est sûr d’une chose : les congolais ont confiance en lui. Ils savent tous et y croient : « Il l’a dit, il a fait, il en fera d’avantage ».
L’heure est venue, elle est déjà là où les dix prétendants au fauteuil présidentiel en République Démocratique du Congo vont devoir se lancer dans la bataille pour arracher la confiance du peuple. Arracher la confiance ? Bien sûr, parce qu’elle a été, durant les cinq dernières années, placée en un homme. Joseph KABILA est celui sur qui les congolais avaient, jusque là, jeté leur dévolu. L’actuel Président de la République est, selon son propre propos, resté proche de son peuple et a rendu le service que ce dernier attendait de lui. Preuve en est que, chaque fois que le Raïs effectue une descente à travers le pays, il traine derrière lui des foules nombreuses. A Kinshasa, comme dans tous les coins et recoins de la RDC, il reçoit des ovations de ceux qui reconnaissent en lui l’homme par qui est venue la renaissance de la nation.
Dix contre un
Fort de la reconnaissance de ses sociétaires et cette marque de confiance placée en lui, Joseph KABILA se présente comme candidat à sa propre succession. N°3 sur la liste de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), le momentanément Président sortant fait le onzième candidat à l’élection présidentielle du 28 novembre prochain. C’est contre lui que les dix prétendants à son fauteuil vont devoir se livrer une lutte démocratique féroce. « Dix contre un », telle est la configuration de la bataille électorale qui a commencé dans quelques heures. L’opinion va, près d’un mois durant, assister à un face-à-face entre dix personnes aux discours et au passé politique à problème et un homme aux actions conquêtes. Ça sera ce que les swahiliphones qualifient de « Aachaye kweli huishudia » (Cfr : Tel homme parle mais un gentleman agit ».
A vrai dire, les opposants dont les discours sont faits des verbiages, des promesses et des litanies d’intensions, bref : dix candidats qui n’ont que la parole, vont s’affronter à la machine Joseph KABILA montée de plusieurs réalisations. Celui-ci avait, bien sûr, une parole qu’il a transformée en actions au cours de cinq ou dix dernières années. Certains affirmeraient qu’il a dit, il a fait et il en fera d’avantage. Reste à savoir si seul ou à dix, les candidats de l’opposition sauront faire face à cet homme au parcours politique sans faute. Alors que de l’autre bord, tous sinon les plus grands trainent, chacun derrière lui, des faits et gestes compromettants.
Passés compromettants
Dans la course électorale qui commence le seul candidat de la mouvance gouvernementale est face à dix opposants. « Parmi eux, personne ne fait peur à Joseph KABILA », soutiennent les observateurs de la scène politique congolaise. D’Etienne TSHISEKEDI, KENGO WA NDONDO, Vital KAMERHE et Oscar KASHALA à Adam MBOMBOLE, en passant par les autres inconnus qui sont en lice, on parlerait des pilles d’insuffisance qui discréditent chacun d’entre eux. Le premier d’entre eux, le président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social reste le plus fragile de tous. TSHISEKEDI est connu de tous les congolais par son égoïsme politique et son illustration en homme des occasions rateés et du non respect des engagements.
L’opinion se souviendra qu’au début des années 1980, Etienne avait basculé à l’opposition pour avoir été frustré par son ami MOBUTU. Celui-ci avait préféré un autre à sa place au poste du Président du conseil législatif. Une décennie plus tard, le même va buffer une disposition du texte de prestation de serment créant ainsi une crise qui conduira à sa destitution. Ce, avant de se voir propulsé par ses partenaires de l’Union Sacrée de l’Opposition Radicale et Alliés (Usoral) et accéder à la primature après élection à la Conférence nationale souveraine (Cns). Là il va se prendre la tête en disant à qui voulait l’entendre qu’il était l’émanation du seul peuple et qu’il n’avait des comptes à rendre à personne. Le dernier cas en date est le boycott du processus électoral de 2006. Une occasion qui était offerte à Etienne Tshisekedi de panser les blessures de tous ceux qui se sont vu privé du bien être et du mieux être, voir de l’affection des leurs êtres chers à cause de ses erreurs politiques. Aujourd’hui, qui oserait une fois de plus placer sa confiance en lui, tout en sachant que l’homme n’a pas encore rompu avec ces veilles habitudes.
Ne pas rater le train
S’agissant de Léon Lubicz KENGO WA DONDO et Vital KAMERHE lwa Kanyiginyi Nkingi respectivement présidents de l’Union des forces du changement (Ufc) et l’Union pour la Nation Congolaise(Unc), le débat n’en est un. L’opinion congolaise reste divisée. D’une part, ce sont des anciens mobutistes qui ne veulent pas rater le train. Ils tendent à se positionner en hommes de la troisième voie qui misent sur une possibilité de faire un nombre considérable de députés nationaux et imposer la loi lors des coalitions gouvernementales.
C’est l’une des raisons de la difficulté qu’a eu l’opposition à se mettre d’accord pour une candidature unique. Pour l’autre opinion, KENGO et KAMERHE sont, comme Oscar KASHALA de l’Union pour la reconstruction du Congo (Urec) et l’indépendant Adam MBOMBOLE, désireux de rester sur scène politique nationale. Conscients de la mesure des enjeux, ils se lancent dans la course sans beaucoup de détermination à devenir présidents dans une RDC où Joseph KABILA est aussi fort que jamais auparavant. Les quatre hommes sont tout simplement en train de se préparer pour les fois très prochaines, pourvu que Dieu leur accorde encore sa grâce.
« Uni ou pas, l’opposition sera battue », soutenait le candidat N°3 lors de son dernier échange avec la presse nationale et internationale au Palais de la Nation. Joseph KABILA le dit, pas parce qu’il en a le plaisir, mais parce qu’il en est convaincu. Il est sûr d’une chose : les congolais ont confiance en lui. Ils savent tous et y croient : « Il l’a dit, il a fait, il en fera d’avantage ». D’où la raison de sa réélection à la tête de ce géant Congo qu’il est entrain de sortir des gouffres dans lesquels certains de ses adversaires l’avaient plongé.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
kié kié kié kié kié kié kié
on 14/11/2011 05:09:16
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Laissez nous tranquille avec vos propos tribales pour le developpement de ce pays. Si vous soutenez ce vieux amorti il faut lui dire que la campagne a commencé et nous ne voyons pas meme une photo dans notre ville de Goma, si vous etiez intelligents aidez ce vieux à imprimer quelques photos pour sa campagne car la population ne connait pas ce viellard.les deputés sont plus visibles que lui.
on 14/11/2011 05:09:16
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Laissez nous tranquille avec vos propos tribales pour le developpement de ce pays. Si vous soutenez ce vieux amorti il faut lui dire que la campagne a commencé et nous ne voyons pas meme une photo dans notre ville de Goma, si vous etiez intelligents aidez ce vieux à imprimer quelques photos pour sa campagne car la population ne connait pas ce viellard.les deputés sont plus visibles que lui.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Manifestation Adieu kabila Soutiens à Etienne Tshisekedi.
http://www.youtube.com/watch?v=fLFYs-8sqBA
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