
les limites du staff techinique et dirigeant
- TUPAC MOUDJAHIDINE
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
Djalma aza muana ya SAÏO te mais ya Christ Roi 

« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
- wantanshi
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
23.02.2011 : Les 12 Corbeaux des Léopards de la RDC sont à Lubumbashi
C’est en fin d’avant midi de ce mercredi 23 février 2011 que les 11 Corbeaux du TP Mazembe ont foulé le sol de Lubumbashi après escale à Nairobi au Kenya. Il s’agit de Robert KIDIABA, MONGA FOSSI, Jean KASUSULA, Joël KIMWAKI, Pamphile MIHAYO, Hugues BEDI, Patou KABANGU, Alain KALUYITUKA, Deo KANDA, Serge TSHANI et Isaac KASONGO
Annoncés depuis le lundi dernier, l’avion qui devrait amener le groupe à Nairobi puis à Lubumbashi annulé suite à une panne de moteur à l’aéroport international de Khartoum la nuit du dimanche à lundi ; et c’est finalement ce mercredi que les coéquipiers du capitaine Pamphile MIHAYO ont pu retrouver leur fief. Quand à MABELE, ce dernier est arrivé depuis lundi dernier.
« Notre élimination en quart de finale du CHAN face aux Tunisiens n’est qu’un problème technique et non la conséquence d’un contentieux entre le ministère des sports, Fédération et joueurs au sujet des primes des joueurs … », rappelle Pamphile MIHAYO aux journalistes quand à la question sur le couac qui se serait passé avant le match.
Pour Hugues BEDI et Robert KIDIABA, les deux vont dans le sens contraire, la mauvaise organisation des décideurs du football congolais serait à la base de la non motivation des joueurs durant cette compétition « … comment pouvez vous espérer un bon résultat lorsque chaque fois à quelques heures du match, c’est le moment que les délégués de la fédération et ceux du ministère des sports choisissent pour négocier les primes des joueurs … » a dit Robert KIDIABA.
A leur descente, les enfants de Moïse KATUMBI sont tous restés unanimes sur un point, se remettre au travail afin d’assurer l’invincibilité du TP Mazembe en ligue des champions de la CAF. Déjà ce 20 mars, la formation tanzanienne de SIMBA Sports Club sera reçu à Lubumbashi pour le 16e de finale aller.
http://www.tpmazembe.com
C’est en fin d’avant midi de ce mercredi 23 février 2011 que les 11 Corbeaux du TP Mazembe ont foulé le sol de Lubumbashi après escale à Nairobi au Kenya. Il s’agit de Robert KIDIABA, MONGA FOSSI, Jean KASUSULA, Joël KIMWAKI, Pamphile MIHAYO, Hugues BEDI, Patou KABANGU, Alain KALUYITUKA, Deo KANDA, Serge TSHANI et Isaac KASONGO
Annoncés depuis le lundi dernier, l’avion qui devrait amener le groupe à Nairobi puis à Lubumbashi annulé suite à une panne de moteur à l’aéroport international de Khartoum la nuit du dimanche à lundi ; et c’est finalement ce mercredi que les coéquipiers du capitaine Pamphile MIHAYO ont pu retrouver leur fief. Quand à MABELE, ce dernier est arrivé depuis lundi dernier.
« Notre élimination en quart de finale du CHAN face aux Tunisiens n’est qu’un problème technique et non la conséquence d’un contentieux entre le ministère des sports, Fédération et joueurs au sujet des primes des joueurs … », rappelle Pamphile MIHAYO aux journalistes quand à la question sur le couac qui se serait passé avant le match.
Pour Hugues BEDI et Robert KIDIABA, les deux vont dans le sens contraire, la mauvaise organisation des décideurs du football congolais serait à la base de la non motivation des joueurs durant cette compétition « … comment pouvez vous espérer un bon résultat lorsque chaque fois à quelques heures du match, c’est le moment que les délégués de la fédération et ceux du ministère des sports choisissent pour négocier les primes des joueurs … » a dit Robert KIDIABA.
A leur descente, les enfants de Moïse KATUMBI sont tous restés unanimes sur un point, se remettre au travail afin d’assurer l’invincibilité du TP Mazembe en ligue des champions de la CAF. Déjà ce 20 mars, la formation tanzanienne de SIMBA Sports Club sera reçu à Lubumbashi pour le 16e de finale aller.
http://www.tpmazembe.com
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
"Pour Hugues BEDI et Robert KIDIABA, les deux vont dans le sens contraire, la mauvaise organisation des décideurs du football congolais serait à la base de la non motivation des joueurs durant cette compétition « … comment pouvez vous espérer un bon résultat lorsque chaque fois à quelques heures du match, c’est le moment que les délégués de la fédération et ceux du ministère des sports choisissent pour négocier les primes des joueurs … » a dit Robert KIDIABA."
BINAMUNGU et SELEMANGO nous ont pourtant assuré que les choses ont changé...On comprend mieux pourquoi des anciens comme Lualua et Ilunga ne croient pas en leurs discours et ont claqué la porte de la sélection...
BINAMUNGU et SELEMANGO nous ont pourtant assuré que les choses ont changé...On comprend mieux pourquoi des anciens comme Lualua et Ilunga ne croient pas en leurs discours et ont claqué la porte de la sélection...
- enigme
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
Ilunga a écrit :"Pour Hugues BEDI et Robert KIDIABA, les deux vont dans le sens contraire, la mauvaise organisation des décideurs du football congolais serait à la base de la non motivation des joueurs durant cette compétition « … comment pouvez vous espérer un bon résultat lorsque chaque fois à quelques heures du match, c’est le moment que les délégués de la fédération et ceux du ministère des sports choisissent pour négocier les primes des joueurs … » a dit Robert KIDIABA."
BINAMUNGU et SELEMANGO nous ont pourtant assuré que les choses ont changé...On comprend mieux pourquoi des anciens comme Lualua et Ilunga ne croient pas en leurs discours et ont claqué la porte de la sélection...




Un lion vient de tomber arme a la main.il a tenu promesse.prise de pouvoir en 69.mort a 69ans.il est né en 42 il a dirigé la libye pendant 42 ans.le hasard nexiste nulle part R.I.P L'AFRICAIN
Muammar al- Kadhafi
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
on en a assez dit sur l'organisation mais jusqu'au jour d'aujourd'hui leçon eza toujours retenue tsé! dans des pays organisés les primes sont négociées avant la compétition même (coupe du monde,euro,jeux olympiques et autres...
Quant à nous ça se discute le jour du match mais vers 2h,3h,4h du matin. Pendant que morale ya ba joueurs eza au plus bas (désespoir),c'est en ce moment là qu'on les reveillent pour les motivés.KIADI+KIADI=KIADI KIBENI
Quant à nous ça se discute le jour du match mais vers 2h,3h,4h du matin. Pendant que morale ya ba joueurs eza au plus bas (désespoir),c'est en ce moment là qu'on les reveillent pour les motivés.KIADI+KIADI=KIADI KIBENI
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
c'est triste pour notre football. je pense que notre salut va resider dans les performances de nos clubs. Que les joueurs et les dirigeants des clubs s'y emploient pour nous offrir encore des trophees. Il ne faut plus compter sur les equipes nationales.
- erudit
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
Pitié ....apres ce que j'ai vu contre la tunisie,je dirai bravo a nos joueurs,on a senti la motivation qu''ils avaient au debut du match bien que je les ai trouvés arrogant..
avec un bon entraineur,on aurait pu gagner ce match malheureusement on a un aventurier a ce poste comme a la tete de l'etat comme a la FECOFA...
voila comment le manque de sérieux nous fait regresser...devrait-on réellement sélectionner ce issama?l'inéxistance du milieu defensif en deuxieme période....
je félicite les joueurs pour leur part....
avec un bon entraineur,on aurait pu gagner ce match malheureusement on a un aventurier a ce poste comme a la tete de l'etat comme a la FECOFA...
voila comment le manque de sérieux nous fait regresser...devrait-on réellement sélectionner ce issama?l'inéxistance du milieu defensif en deuxieme période....
je félicite les joueurs pour leur part....
ES LEBE KONGOLESE;nous ne voulons plus rester dans l'amateurisme..nous voulons exceller dans tout,alors faisons appel a notre conscience...
- kompany
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
L’élimination des Léopards locaux à la deuxième édition du Championnat d’Afrique des Nations ne cesse de défrayer la chronique de l’actualité sportive en RD Congo. Les Congolais ont été éliminés le week-end dernier par les Aigles de Carthage de la Tunisie en quarts de finale. Il aurait suffi qu’un tir croisé de Zouhaier Dhaouiadi à la 50ème minute mette fin au parcours du tenant du titre du CHAN 2009.
Pourtant, à l’issue de la phase de groupe, l’entraîneur congolais affirmait la main sur le cœur que son équipe « montait en puissance ». Affirmation qui s’est avérée gratuite et non fondée parce que les Léopards n’ont nullement convaincu durant toute la compétition. Dans cet état de choses, il serait insensé de ne pas reconnaitre que les joueurs ont une part de responsabilités ; mais Santos n’en est pas moins pour beaucoup. Parce que c’est sur lui que reposait la charge de l’équipe. Mais, que de déceptions dans le coaching du technicien congolais. Une certaine opinion mettrait même en cause l’exploit réalisé en Côte d’Ivoire, estimant que sans Mputu Santos Muntubile ne devait pas remporter cette victoire. Ne le réclame-t-il pas jour et nuit ?
Tenez. Alors qu’il avait lui-même monté sa sélection, qu’il déclarait « meilleure que celle de 2009 » et passé trois phases de préparation du Chan avec ladite sélection, à Brazza, à Lubumbashi puis en Egypte, Santos a été incapable de présenter une équipe- type avec un jeu plaisant. Durant toute la compétition, l’on a plutôt assisté à un tâtonnement ou une insuffisance du coaching dans le chef du technicien congolais. En quatre matches, le coach a présenté quatre équipes. C’est grave ! Plus grave encore si cela se fait en pleine compétition, surtout lorsqu’on est tenant du titre.
Chose étonnante, il affirme aujourd’hui que les « enfants n’avaient pas la balle aux pieds, je ne voulais pas le dire pour les décourager ». Peut-être que le rôle d’un coach est de se taire et ne rien faire lorsque « les enfants n’ont pas la balle aux pieds ». Ainsi, pour justifier son échec, il s’en est pris à l’arbitrage. Ce qui est faux. Quand il déclare à RFI que « l’arbitre ne nous a pas aidé », ne dévoile –t-il pas là son incapacité de développer un jeu efficace pour revenir au score et contrer l’adversaire ? L’arbitre, on ne l’oubliera jamais, n’est pas un « bienfaiteur » qui aiderait les Congolais, mais plutôt un juge. Un penalty non accordé suffit-il pour justifier la défaite des Léopards ? Non. Peut-être, quand Santos déclare que « J’ai pensé que les joueurs allaient réagir mais ils ne l’ont pas fait », attendait-il un « attaquant de renommé international », tel Gladys Bokese pour changer le cours du match.
À vrai dire, cette élimination « logique » n’a surpris aucun sportif avisé. Quoi qu’il en soit, lorsque le vin est tiré, il faut le boire. C’est pourquoi l’opinion sportive congolaise doit accepter cet échec en toute sportivité. Et au dirigeants congolais de penser déjà à monter une équipe jeune qui relèvera le défi en 2015, à la troisième édition du Chan au Rwanda.
(Papy Maluku)santos est de plus en plus isolé
seul tatu ilus azo tia tjrs tete diiiiiiiir 
Pourtant, à l’issue de la phase de groupe, l’entraîneur congolais affirmait la main sur le cœur que son équipe « montait en puissance ». Affirmation qui s’est avérée gratuite et non fondée parce que les Léopards n’ont nullement convaincu durant toute la compétition. Dans cet état de choses, il serait insensé de ne pas reconnaitre que les joueurs ont une part de responsabilités ; mais Santos n’en est pas moins pour beaucoup. Parce que c’est sur lui que reposait la charge de l’équipe. Mais, que de déceptions dans le coaching du technicien congolais. Une certaine opinion mettrait même en cause l’exploit réalisé en Côte d’Ivoire, estimant que sans Mputu Santos Muntubile ne devait pas remporter cette victoire. Ne le réclame-t-il pas jour et nuit ?
Tenez. Alors qu’il avait lui-même monté sa sélection, qu’il déclarait « meilleure que celle de 2009 » et passé trois phases de préparation du Chan avec ladite sélection, à Brazza, à Lubumbashi puis en Egypte, Santos a été incapable de présenter une équipe- type avec un jeu plaisant. Durant toute la compétition, l’on a plutôt assisté à un tâtonnement ou une insuffisance du coaching dans le chef du technicien congolais. En quatre matches, le coach a présenté quatre équipes. C’est grave ! Plus grave encore si cela se fait en pleine compétition, surtout lorsqu’on est tenant du titre.
Chose étonnante, il affirme aujourd’hui que les « enfants n’avaient pas la balle aux pieds, je ne voulais pas le dire pour les décourager ». Peut-être que le rôle d’un coach est de se taire et ne rien faire lorsque « les enfants n’ont pas la balle aux pieds ». Ainsi, pour justifier son échec, il s’en est pris à l’arbitrage. Ce qui est faux. Quand il déclare à RFI que « l’arbitre ne nous a pas aidé », ne dévoile –t-il pas là son incapacité de développer un jeu efficace pour revenir au score et contrer l’adversaire ? L’arbitre, on ne l’oubliera jamais, n’est pas un « bienfaiteur » qui aiderait les Congolais, mais plutôt un juge. Un penalty non accordé suffit-il pour justifier la défaite des Léopards ? Non. Peut-être, quand Santos déclare que « J’ai pensé que les joueurs allaient réagir mais ils ne l’ont pas fait », attendait-il un « attaquant de renommé international », tel Gladys Bokese pour changer le cours du match.
À vrai dire, cette élimination « logique » n’a surpris aucun sportif avisé. Quoi qu’il en soit, lorsque le vin est tiré, il faut le boire. C’est pourquoi l’opinion sportive congolaise doit accepter cet échec en toute sportivité. Et au dirigeants congolais de penser déjà à monter une équipe jeune qui relèvera le défi en 2015, à la troisième édition du Chan au Rwanda.
(Papy Maluku)santos est de plus en plus isolé




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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
Kompany a dit :
"seul tatu ilus azo tia tjrs tete diiiiiiiir "
Je serai le dernier des mohicans ! C'est qd ça va mal qu'on reconnait ses vrais supporters...Djalma, tuku lemba yo te !
"seul tatu ilus azo tia tjrs tete diiiiiiiir "
Je serai le dernier des mohicans ! C'est qd ça va mal qu'on reconnait ses vrais supporters...Djalma, tuku lemba yo te !
- kompany
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Re: les limites du staff techinique et dirigeant
Evoquant l’élimination des Léopards au 2è Chan ; José Dayoni, vice-président de la Fecofa : « L’équipe nationale est à refaire »
José Dayoni Wawa autant que Bondembe Bobo sont tous deux vice-présidents de la Fecofa. Ils ont à ce titre accompagné les Léopards locaux à la 2è édition du Chan disputée au Soudan. Les Léopards ont été débarqués de la compétition aux quarts de finale par la Tunisie qui a, du reste, remporté le trophée en écrasant l’Angola en finale sur le score sans appel de 3-0.
Nous avons posé quelques questions à José Dayoni. Il y a répondu sans détours.
Avenir : Vous êtes de retour du Soudan apparemment en bonne santé, est-ce pareil pour les Léopards locaux ?
Dayoni Wawa : Je vais mieux à présent. J’avais quelques ennuis de santé durant notre séjour au Soudan. Mais, ce n’est pas le cas pour les Léopards locaux. Il y a des petits problèmes que nous devons résoudre avant d’aborder les échéances futures.
Quels sont ces problèmes ?
Vous êtes sans ignorer que notre équipe nationale est à refaire. Je ne dis pas que les joueurs du Tp Mazembe qui la composent en majeure partie sont fatigués. Mais force est de reconnaître qu’ils ont connu une certaine saturation en jouant beaucoup de matches de haut niveau ; des rencontres de la Ligue des champions de la Caf, la finale, la Super-Coupe d’Afrique des clubs et la Coupe du Monde des clubs. Ils étaient donc fatigués. Le coach Santos Muntubile n’a pas su faire confiance aux jeunes qu’il avait recrutés et qui sont bons. Il avait donc peur de se livrer à l’inconnu.
Quelle solution, que faut-il faire face à cette situation ?
Il y a beaucoup de choses à faire, notamment le Comité exécutif de la Fecofa devra d’abord se réunir et faire une évaluation de notre participation au 2è Chan. Ensuite, nous tirerons des conclusions. Entre autre l’éventualité de garder ou pas le staff technique.
Vous avez ainsi trouvé un bouc émissaire qu’est le staff technique ?
Il ne peut s’agir de bouc émissaire. Car, le Comité exécutif a donné au staff technique les moyens de bien préparer notre participation, du moins sur le plan technique. Il y a eu un stage au Congo-Brazzaville, une autre mise au vert à Lubumbashi et une participation au Tournoi du Nil en Egypte. Ce sont là autant d’opportunités offertes au staff technique qui n’est pas un bouc émissaire mais qui, logiquement, devait avoir le courage de s’assumer.
Face aux échéances futures, que faire alors ?
Il existe des dispositions envisageables mais il n’appartient pas au vice-président Dayoni Wawa de le dire, cela découlera des résolutions que le Comité exécutif aura prises au terme de l’évaluation qui sera faite à ce sujet.
Avez-vous un message, une réflexion au regard du comportement des joueurs tout au long de la compétition ?
C’est vrai qu’il y a eu remue-ménage par rapport au comportement des joueurs. C’est dommage pour nous parce que le règlement intérieur de l’équipe nationale n’a pas été suffisamment vulgarisé au niveau des joueurs du Chan. Cela justifie par moments le comportement de ceux-ci. Ils ont réclamé ce qui devait leur être remis.
Est-ce un péché, une faute ou une gaffe que de réclamer son dû ?
Ce n’est ni un péché ni une faute encore moins une gaffe que de réclamer son dû. Mais, c’est la manière de le faire qui choque et qui fâche. Cela dit, nous devons nous préparer sérieusement pour les prochaines éditions du Chan et les prochaines participations de l’équipe nationale senior. Nous nous y employons. En février par exemple, nous venions de jouer à Paris contre les Panthères du Gabon. Le président de la Fecofa est allé à la rencontre des joueurs qui étaient un peu réticents à rejoindre l’équipe nationale. La Fecofa en a déjà convaincu quelques-uns qui ont participé au dernier match. Le travail continu mais je dois avouer que la tâche n’est pas aisée parce que certaines fédérations européennes convoitent nos joueurs qui hésitent. Nous devons les pousser, les convaincre à rejoindre notre onze national.
Propos recueillis par Fernand Mukaku Lalabi Muke
José Dayoni Wawa autant que Bondembe Bobo sont tous deux vice-présidents de la Fecofa. Ils ont à ce titre accompagné les Léopards locaux à la 2è édition du Chan disputée au Soudan. Les Léopards ont été débarqués de la compétition aux quarts de finale par la Tunisie qui a, du reste, remporté le trophée en écrasant l’Angola en finale sur le score sans appel de 3-0.
Nous avons posé quelques questions à José Dayoni. Il y a répondu sans détours.
Avenir : Vous êtes de retour du Soudan apparemment en bonne santé, est-ce pareil pour les Léopards locaux ?
Dayoni Wawa : Je vais mieux à présent. J’avais quelques ennuis de santé durant notre séjour au Soudan. Mais, ce n’est pas le cas pour les Léopards locaux. Il y a des petits problèmes que nous devons résoudre avant d’aborder les échéances futures.
Quels sont ces problèmes ?
Vous êtes sans ignorer que notre équipe nationale est à refaire. Je ne dis pas que les joueurs du Tp Mazembe qui la composent en majeure partie sont fatigués. Mais force est de reconnaître qu’ils ont connu une certaine saturation en jouant beaucoup de matches de haut niveau ; des rencontres de la Ligue des champions de la Caf, la finale, la Super-Coupe d’Afrique des clubs et la Coupe du Monde des clubs. Ils étaient donc fatigués. Le coach Santos Muntubile n’a pas su faire confiance aux jeunes qu’il avait recrutés et qui sont bons. Il avait donc peur de se livrer à l’inconnu.
Quelle solution, que faut-il faire face à cette situation ?
Il y a beaucoup de choses à faire, notamment le Comité exécutif de la Fecofa devra d’abord se réunir et faire une évaluation de notre participation au 2è Chan. Ensuite, nous tirerons des conclusions. Entre autre l’éventualité de garder ou pas le staff technique.
Vous avez ainsi trouvé un bouc émissaire qu’est le staff technique ?
Il ne peut s’agir de bouc émissaire. Car, le Comité exécutif a donné au staff technique les moyens de bien préparer notre participation, du moins sur le plan technique. Il y a eu un stage au Congo-Brazzaville, une autre mise au vert à Lubumbashi et une participation au Tournoi du Nil en Egypte. Ce sont là autant d’opportunités offertes au staff technique qui n’est pas un bouc émissaire mais qui, logiquement, devait avoir le courage de s’assumer.
Face aux échéances futures, que faire alors ?
Il existe des dispositions envisageables mais il n’appartient pas au vice-président Dayoni Wawa de le dire, cela découlera des résolutions que le Comité exécutif aura prises au terme de l’évaluation qui sera faite à ce sujet.
Avez-vous un message, une réflexion au regard du comportement des joueurs tout au long de la compétition ?
C’est vrai qu’il y a eu remue-ménage par rapport au comportement des joueurs. C’est dommage pour nous parce que le règlement intérieur de l’équipe nationale n’a pas été suffisamment vulgarisé au niveau des joueurs du Chan. Cela justifie par moments le comportement de ceux-ci. Ils ont réclamé ce qui devait leur être remis.
Est-ce un péché, une faute ou une gaffe que de réclamer son dû ?
Ce n’est ni un péché ni une faute encore moins une gaffe que de réclamer son dû. Mais, c’est la manière de le faire qui choque et qui fâche. Cela dit, nous devons nous préparer sérieusement pour les prochaines éditions du Chan et les prochaines participations de l’équipe nationale senior. Nous nous y employons. En février par exemple, nous venions de jouer à Paris contre les Panthères du Gabon. Le président de la Fecofa est allé à la rencontre des joueurs qui étaient un peu réticents à rejoindre l’équipe nationale. La Fecofa en a déjà convaincu quelques-uns qui ont participé au dernier match. Le travail continu mais je dois avouer que la tâche n’est pas aisée parce que certaines fédérations européennes convoitent nos joueurs qui hésitent. Nous devons les pousser, les convaincre à rejoindre notre onze national.
Propos recueillis par Fernand Mukaku Lalabi Muke
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