A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
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http://www.algerie1.com/flash-dactu/rus ... re-a-alep/
Russie : « Une tragédie se prépare » à Alep
Par Agence | 28/07/2012 | 10:52
La Russie a reconnu aujourd’huiqu’une « tragédie » menaçait à Alep, la deuxième ville de Syrie, tout en estimant qu’il n’était pas « réaliste » d’escompter que le gouvernement syrien reste les bras croisés alors que des rebelles armés occupent les grandes villes.
« Nous sommes en train de persuader le gouvernement qu’il doit faire les premiers gestes, mais lorsque l’opposition armée occupe des villes come Alep, où une autre tragédie se prépare à ce que je comprends (…) il n’est pas réaliste de compter qu’ils (le gouvernement) l’accepteront », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse à Sotchi (sud), retransmise par la télévision officielle.(Afp)
Russie : « Une tragédie se prépare » à Alep
Par Agence | 28/07/2012 | 10:52
La Russie a reconnu aujourd’huiqu’une « tragédie » menaçait à Alep, la deuxième ville de Syrie, tout en estimant qu’il n’était pas « réaliste » d’escompter que le gouvernement syrien reste les bras croisés alors que des rebelles armés occupent les grandes villes.
« Nous sommes en train de persuader le gouvernement qu’il doit faire les premiers gestes, mais lorsque l’opposition armée occupe des villes come Alep, où une autre tragédie se prépare à ce que je comprends (…) il n’est pas réaliste de compter qu’ils (le gouvernement) l’accepteront », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse à Sotchi (sud), retransmise par la télévision officielle.(Afp)
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Syrie : Début de l’assaut de l’armée à Alep
Par Agence | 28/07/2012 | 9:42
L’armée syrienne a lancé aujourd’hui sa contre-offensive pour reprendre les secteurs rebelles à Alep, deuxième ville de Syrie et enjeu crucial du conflit, ont affirmé des militants.
Les renforts qui se massent depuis des jours aux abords de la métropole « se dirigent vers le quartier Salaheddine, qui compte le plus grand nombre de rebelles », a affirmé Rami Abdel Rahmane, président de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, une organisation qui base ses informations sur des militants sur place.
« Les combats les plus violents depuis le début de la révolte ont lieu dans plusieurs quartiers », a-t-il précisé, ajoutant « on peut dire que l’assaut a commencé ». Des affrontements se déroulaient notamment aux entrées de Salaheddine, situé dans le sud-ouest de la capitale économique du pays et bombardé depuis le lancement de l’assaut.
La Commission générale de la révolution syrienne, autre réseau de militants, faisait également état de renforts de l’armée à Salaheddine « au milieu de tirs nourris de mitrailleuse lourde » et de combats entre les militaires et les rebelles. Les insurgés sont retranchés notamment dans les quartiers sud et sud-ouest de la métropole.
Selon l’OSDH, un grand mouvement d’exode se produit actuellement du quartier d’al-Soukkari (sud) après la chute d’obus et de violents accrochages ont éclaté dans le secteur de Hamdaniyé (ouest).
L’assaut a été donné plus d’une semaine après l’ouverture de ce nouveau front le 20 juillet, l’armée ayant pu reprendre le dessus dans la capitale Damas qui a également connu de violents combats dans les quartiers hostiles au régime du président Bachar el-Assad.
Plusieurs pays occidentaux avaient exprimé leur préoccupation face à la perspective d’un assaut contre les rebelles, Washington évoquant la possibilité d’un « massacre » et condamnant « l’agression haïssable et répréhensible des forces d’Assad contre ce centre de population civile ». Une source de sécurité syrienne avait affirmé hier que les rebelles étaient retranchés dans des ruelles très étroites, ce qui rendra difficile la bataille.
Selon des informations recueillies par un correspondant de l’AFP sur place, les rebelles n’ont lancé aucune opération importante depuis deux jours, économisant leurs quelques munitions de roquettes antichars de type RPG. De nombreux habitants ont quitté la ville et ceux qui sont restés ont désormais de grandes difficultés à se ravitailler en pain, a-t-il constaté.
Selon les experts, cette bataille est extrêmement importante pour les deux parties, le régime comptant sur ses alliés parmi les riches commerçants de la ville pour financer une partie de son effort de guerre, et les rebelles aspirant à rééditer le schéma libyen avec Benghazi en créant une zone protégée. La communauté internationale écarte tout scénario d’intervention militaire en Syrie.(Afp)
Syrie : Début de l’assaut de l’armée à Alep
Par Agence | 28/07/2012 | 9:42
L’armée syrienne a lancé aujourd’hui sa contre-offensive pour reprendre les secteurs rebelles à Alep, deuxième ville de Syrie et enjeu crucial du conflit, ont affirmé des militants.
Les renforts qui se massent depuis des jours aux abords de la métropole « se dirigent vers le quartier Salaheddine, qui compte le plus grand nombre de rebelles », a affirmé Rami Abdel Rahmane, président de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, une organisation qui base ses informations sur des militants sur place.
« Les combats les plus violents depuis le début de la révolte ont lieu dans plusieurs quartiers », a-t-il précisé, ajoutant « on peut dire que l’assaut a commencé ». Des affrontements se déroulaient notamment aux entrées de Salaheddine, situé dans le sud-ouest de la capitale économique du pays et bombardé depuis le lancement de l’assaut.
La Commission générale de la révolution syrienne, autre réseau de militants, faisait également état de renforts de l’armée à Salaheddine « au milieu de tirs nourris de mitrailleuse lourde » et de combats entre les militaires et les rebelles. Les insurgés sont retranchés notamment dans les quartiers sud et sud-ouest de la métropole.
Selon l’OSDH, un grand mouvement d’exode se produit actuellement du quartier d’al-Soukkari (sud) après la chute d’obus et de violents accrochages ont éclaté dans le secteur de Hamdaniyé (ouest).
L’assaut a été donné plus d’une semaine après l’ouverture de ce nouveau front le 20 juillet, l’armée ayant pu reprendre le dessus dans la capitale Damas qui a également connu de violents combats dans les quartiers hostiles au régime du président Bachar el-Assad.
Plusieurs pays occidentaux avaient exprimé leur préoccupation face à la perspective d’un assaut contre les rebelles, Washington évoquant la possibilité d’un « massacre » et condamnant « l’agression haïssable et répréhensible des forces d’Assad contre ce centre de population civile ». Une source de sécurité syrienne avait affirmé hier que les rebelles étaient retranchés dans des ruelles très étroites, ce qui rendra difficile la bataille.
Selon des informations recueillies par un correspondant de l’AFP sur place, les rebelles n’ont lancé aucune opération importante depuis deux jours, économisant leurs quelques munitions de roquettes antichars de type RPG. De nombreux habitants ont quitté la ville et ceux qui sont restés ont désormais de grandes difficultés à se ravitailler en pain, a-t-il constaté.
Selon les experts, cette bataille est extrêmement importante pour les deux parties, le régime comptant sur ses alliés parmi les riches commerçants de la ville pour financer une partie de son effort de guerre, et les rebelles aspirant à rééditer le schéma libyen avec Benghazi en créant une zone protégée. La communauté internationale écarte tout scénario d’intervention militaire en Syrie.(Afp)
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
La Russie réaffirme qu'elle ne participerait à aucune sanction de l'UE contre la Syrie 28/07/2012
La Russie ne participera à aucune sanction imposée par l'Union européenne contre la Syrie, a déclaré samedi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexander Lukahevich.
"Nous n'envisageons pas de participer aux activités faisant suite aux décisions prises par l'UE à l'encontre de la Syrie", a déclaré M.Lukashevich dans un communiqué.
Plus précisément, la Russie "ne considérera pas les demandes et ne donnera pas son accord pour l'inspection de navires battant pavillon russe ou l'application de toute autre mesure restrictive contre eux," a-t-il souligné.
Le Conseil de l'UE a décidé le 23 juillet d'imposer de nouvelles sanctions unilatérales sur la Syrie, a rappelé M. Lukashevich, ajoutant que la Russie considérait de telles mesures comme des violations de la souveraineté d'autres pays et du principe de non-intervention dans les affaires intérieures d'un pays.
Le ministère russe des Affaires étrangères avait exprimé ses doutes, à savoir si ces nouvelles sanctions contre Damas imposées par l'UE était ou non en conformité avec le droit international, déclarant que Moscou considérait ces sanctions comme "un blocage maritime et aérien de la Syrie".
L'UE demande à ses membres d'inspecter les navires et les avions de tiers pays ayant pour destination la Syrie, s'ils sont soupçonnés de transporter des armes au gouvernement syrien.
http://french.cri.cn/621/2012/07/28/461s289986.htm
La Russie ne participera à aucune sanction imposée par l'Union européenne contre la Syrie, a déclaré samedi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexander Lukahevich.
"Nous n'envisageons pas de participer aux activités faisant suite aux décisions prises par l'UE à l'encontre de la Syrie", a déclaré M.Lukashevich dans un communiqué.
Plus précisément, la Russie "ne considérera pas les demandes et ne donnera pas son accord pour l'inspection de navires battant pavillon russe ou l'application de toute autre mesure restrictive contre eux," a-t-il souligné.
Le Conseil de l'UE a décidé le 23 juillet d'imposer de nouvelles sanctions unilatérales sur la Syrie, a rappelé M. Lukashevich, ajoutant que la Russie considérait de telles mesures comme des violations de la souveraineté d'autres pays et du principe de non-intervention dans les affaires intérieures d'un pays.
Le ministère russe des Affaires étrangères avait exprimé ses doutes, à savoir si ces nouvelles sanctions contre Damas imposées par l'UE était ou non en conformité avec le droit international, déclarant que Moscou considérait ces sanctions comme "un blocage maritime et aérien de la Syrie".
L'UE demande à ses membres d'inspecter les navires et les avions de tiers pays ayant pour destination la Syrie, s'ils sont soupçonnés de transporter des armes au gouvernement syrien.
http://french.cri.cn/621/2012/07/28/461s289986.htm
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La Pologne cesse de représenter les USA et quitte la Syrie 28/07/2012
Le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski a déclaré vendredi que son pays fermerait son ambassade à Damas, retirerait ses diplomates et cesserait de représenter les intérêts américains en Syrie.
M. Sikorski a expliqué que cette décision a été prise en raison de l'impossibilité de poursuivre les efforts diplomatiques en Syrie, où la situation de sécurité ne cesse de se détériorer.
MF/APA/Agences
Le ministre polonais des Affaires étrangères Radoslaw Sikorski a déclaré vendredi que son pays fermerait son ambassade à Damas, retirerait ses diplomates et cesserait de représenter les intérêts américains en Syrie.
M. Sikorski a expliqué que cette décision a été prise en raison de l'impossibilité de poursuivre les efforts diplomatiques en Syrie, où la situation de sécurité ne cesse de se détériorer.
MF/APA/Agences
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
http://www.alterinfo.net/Les-ennemis-de ... 79563.html
Les ennemis de la Syrie se reconnaissent tels. ENFIN!
Djeha
Samedi 28 Juillet 2012
ENFIN, Les ennemis de la Syrie commencent à reconnaître à reculons que la Syrie est victime d’une agression extérieure. (Cf. plus bas la dépêche de Reuters, reprise par Le Monde )
Peu à peu, ils vont enfin finir par admettre que :
1.- Les rebelles ne sont syriens qu’aux marges ;
2.- Que derrière l’Arabie Saoudite, le Qatar et
3.- Que derrière les gandouras qui flottent, il y a la France ;
4.- Que derrière la France, autre supplétif hollando-sarkozien complice, il y a les Etats-Unis ;
5.- Que derrière les Etats-Unis (le plus grand pantin inventé depuis Roosevelt), il y a Israël et le sionisme mondialisé qui tirent les ficelles de ces bouffeurs de Mac Do, assis sur une bouteille de coca, une cacahuète à la place du cerveau.
6.- Que le modèle turc pour ces ploucs du monde arabe, ne fut qu’une des multiples fausses pistes qu’on offre à la « rue arabe » et à ses élites qu’on a rendus incapables de puiser dans leur propre génie un puisqu’on a réussi à les dégoûter de leur histoire, de l’idée d’un développement économique autonome, de leur indépendance... Certains (leurs brillantissimes intellectuels en premiers) nous supplient de revenir chez eux… pour les sauver d’eux-mêmes.
7.- Que cette affaire a été conçue planifiée de longue date ;
8.- Que le véritable objectif de toute cette affaire, en attendant de les mettre hors du Caucase et de la Mer Noir, en les repoussant vers le cul-de-sac de la Mer d’Azov, c’est de chasser les Russes de Syrie pour :
7.1.- définitivement réaliser le Grand Israël ;
7.2.- s’occuper de Ghaza et du Sinaï un peu plus tard ;
7.2.- mieux contrôler le pétrole des chameliers en gandoura ;
7.3.- Préparer une offensive radicale contre le Pakistan, car il est intolérable qu’un pays musulman puisse disposer de la bombe ;
7.4- Etouffer peu à peu l’Iran qui est en réalité très loin de maîtriser la production d’une arme atomique, militairement utilisable. Il n’est même pas certain d’ailleurs que les Iraniens aient une vraie envie de s’en doter.
7.5.- Isoler le Hezbollah.
Après cela, viendra le tour des autres : mettre la main dur les richesses russes, placer à la tête de l’Algérie, après le départ de Bouteflika, un homme de paille à la solde des Saoudiens et des Qataris. Ce ne sont pas les volontaires qui manquent : ils pourront même rapatrier Abbassi Madani pour tenir compagnie à Belkhadem. FLN ou pas toutes les barbes se valent…
Pourquoi donc cette reconnaissance timide, du bout des lèvres ?
Parce que les citoyens-consommateurs-télespectateurs européens sont peut-être c…, mais ce sont des c… qui savent lire et regarder les images.
Et cela malgré le travail de sape de médias démocratiquement totalitaires qui pratiquent en toute unanimité une très despotique liberté d’expression. Dans tous les journaux, sur toutes les chaînes de TV et de radio, le discours des hommes politiques de gauche comme de droite, les intellectuels, les journalistes, les financiers et les marchands... dans tous les pays occidentaux, pas un poil qui dépasse.
Toutefois, l’idée d’un peuple syrien qui se retourne contre ses gouvernants, après le coup de la Libye, de l’Egypte et de la Tunisie néo-bourguibiste… ça ne passe plus. Les p'tits occidentaux commencent à s'interroger. C'est lent, besogneux, laborieux... le résultat d'un long corps-à-corps, de la maternelle à l'université, à coups de poussiéreux nouveaux philosophes tels que BHL, Gluckmann, Finkielkraut... Ce n'est pas facile à démonter encore moins à interroger. Ni ne les y incite. Tout les dissuade.
Il n'empêche: les citoyens européens commencent à douter qu'on se paie un peu leurs têtes et qu'on leur raconte des fadaises. C'est d'autant plus préoccupant que des sites internet accessibles à tous (site pris au hasard: alterinfo.net par exemple) racontent des histoires qui ne collent pas avec la VÉRITÉ OFFICIELLE.
C'est pourquoi on commence à reconnaître qu'après tout la Syrie fait peut-être face à une coalition internationale résolue à sa destruction.
Evidemment, ils ne reconnaissent pas tout, tout de suite. Cela commence à petites touches, par des demi-vérités et des interrogations.
Et puis ils finiront par reconnaître qu’à la frontière syro-turque, il y a plus de « conseillers » et de militaires occidentaux qu’à West Point, à Langley et à Saint-Cyr réunis.
On arrivera petit à petit par persuader les peuples européens d'une impérieuse nécessité d’intervenir en Syrie pour mettre fin à une inacceptable et inqualifiable dictature et sauver enfin le peuple syrien de l’anéantissement total et la région d’un régime menaçant la quiétude de ses voisins.
En donnant un coup de main final, une pichenette pour ainsi dire, à de courageux combattants de la liberté auxquels les Européens peuvent facilement s'identifier, en triturant l'histoire comme il faut, comme ils ont l'habitude de le faire...
Constatons au passage que la crise syrienne a permis d’étouffer dans l’œuf toute information venue de Palestine, soumise à une occupation abjecte qui dure depuis 1948. ce n'est pas le sort des Palestiniens qui préoccupe les Européens, les nord-américains, les Emiratis, les Qataris, les Saoudiens et autres Maghrébins. On peut lire dans El Watan ("Quotidien-référence" pour les Occidentaux) que l'Algérie accueille des Syriens fuyant la guerre dans leur pays. Un journaliste de ce quotidien émérite les fait parler: on apprend qu'ils attendent la fin de l'horrible dictateur pour retourner dans leur pays et remercie évidemment l'Algérie pour son hospitalité. Non moins évidemment, peu de nos journalistes se préoccupent de savoirs ce que sont devenus les Algériens installés dans ce pays depuis bien avant l'arrivée de Abdelkader dans ce pays (et je ne parle naturellement pas de nos ressortissants rapatriés rapidement comme les Occidentaux rapatrient les leurs à chaque fois que cela chauffe quelque part). Vous ai-je dit que la plupart de nos concitoyens installés dans ces pays proches (orientaux) sont des concitoyennes qui avaient épousé Syriens, Palestiniens, Egyptiens, Libanais... et se comportent avec une dignité dont - perdus dans nos incertitudes et nos références - nous avons oublié l'alpha et l’oméga.
Qui avait dit un jour cet élémentaire "nos meilleurs hommes sont nos femmes"?
C'est fou combien les médias occidentaux divers et libre-penseurs, comme on les observe de manière ordinaire dans leur habitat naturel - déteignent sur nos tabloïds indigènes.
Un jour ces démocrates bien pensants devront faire un petit effort et nous expliquer (et expliquer à leurs enfants) comment ils arrivent à rendre tout cela compatible avec leurs idéaux élevés en matière d’humanité et de morale civilisée. Ces valeurs dont ils ne cessent de nous rebattre les oreilles.
Saha s'horkoum !
Djeha,
V. 27 juillet 2012.
Syrie : une base secrète en Turquie pour appuyer les rebelles
Le Monde.fr avec Reuters, V. 27.07.2012 à 17h22
Les autorités turques, avec leurs alliés saoudiens et qataris, ont installé une base secrète à Adana, ville proche de la Syrie, pour fournir aux rebelles syriens une assistance militaire et un appui logistique dans les communications, ont révélé à Reuters des sources des pays du Golfe. Ce centre névralgique, à une centaine de kilomètres de la frontière syrienne, a été mis en place à la demande du vice-ministre des affaires étrangères saoudien, le prince Abdoulaziz Ben Abdallah Al Saoud, après une visite en Turquie, a-t-on précisé.
L'idée a été approuvée par la Turquie, soucieuse de superviser les opérations dans la région. C'est aussi près d'Adana que se trouve la base aérienne d'Incirlik, un vaste complexe militaire turco-américain que Washington a utilisé dans le passé pour des opérations de reconnaissance et de logistique. D'après les informations obtenues par Reuters, il n'est pas possible de déterminer si ce "centre névralgique" appuyant l'insurrection syrienne est situé à l'intérieur de la base militaire d'Incirlik ou dans la ville même d'Adana.
La révélation de l'existence de cette base clandestine contrôlée par des puissances régionales illustre la prudence des Occidentaux, qui ont joué un rôle majeur l'an dernier dans l'éviction de Mouammar Kadhafi en Libye mais ont évité jusqu'à présent de s'impliquer militairement en Syrie. "Ce sont les Turcs qui contrôlent militairement la base. La Turquie est le principal coordinateur et médiateur. Représentez-vous un triangle, avec la Turquie en haut et l'Arabie saoudite et le Qatar à la base, a indiqué une source basée à Doha. Les Américains n'interviennent vraiment pas. Les services de renseignement américains travaillent via des intermédiaires. Les intermédiaires contrôlent l'accès aux armes et aux voies d'approvisionnement."
PRUDENCE OCCIDENTALE
Le Qatar, petit Etat du Golfe riche en gaz qui a joué un rôle de premier plan dans l'envoi d'armes aux rebelles libyens, a une place centrale dans la direction des opérations depuis Adana, selon les mêmes sources. Les services de renseignement et de sécurité qataris sont également impliqués.
"Trois gouvernements fournissent des armes : la Turquie, le Qatar et l'Arabie saoudite, a dit la source basée à Doha. Tout l'armement est russe. La raison évidente est que les rebelles syriens sont formés à l'utilisation des armes russes, mais aussi parce que les Américains ne veulent pas être impliqués là-dedans. Toutes les armes proviennent du marché noir. L'autre moyen de se procurer des armes est de les voler à l'armée syrienne." Ankara a officiellement démenti fournir des armes aux rebelles.
"Les Turcs voulaient aussi que les Américains avec leurs drones les aident à surveiller la région, une requête qui apparemment n'a pas abouti. Ils ont alors chargé des sociétés privées de faire ce travail", a ajouté la même source. Le président américain Barack Obama a jusqu'à présent privilégié la voie diplomatique pour tenter de convaincre Bachar Al-Assad de quitter le pouvoir. Mais la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a annoncé cette semaine que Washington prévoyait d'intensifier son aide aux rebelles.
Selon des informations recueillies par Reuters, la Maison Blanche envisagerait de renforcer son aide aux insurgés, sans aller toutefois jusqu'à les armer. La prudence de Washington, partagée par d'autres pays occidentaux, illustre les inquiétudes sur la nature de l'"après-Assad" en Syrie, en raison de la présence de nombreux islamistes et djihadistes parmi les rebelles.
RÔLE CROISSANT DE LA TURQUIE
L'existence de la base secrète d'Adana pourrait aussi expliquer comment les rebelles syriens, divisés, mal armés et mal organisés, ont récemment pu orchestrer des attaques majeures, à l'image de l'attentat à la bombe du 18 juillet à Damas, qui a tué quatre dirigeants proches d'Assad, dont le ministre de la défense. Un diplomate turc dans la région a insisté sur le fait que son pays n'avait joué aucun rôle dans cet attentat.
Deux anciens responsables de la sécurité américaine ont pourtant affirmé que la Turquie jouait un rôle croissant dans la formation militaire des rebelles syriens qui ont trouvé refuge sur son territoire. L'un de ces anciens responsables, qui est également conseiller auprès d'un gouvernement de la région, a indiqué à Reuters que 20 anciens généraux syriens étaient désormais basés en Turquie, d'où ils aidaient à renforcer les moyens de l'opposition syrienne.
Selon Israël, jusqu'à 20 000 soldats syriens pourraient être passés du côté des insurgés. Selon les mêmes sources dans le Golfe, il y a des raisons de penser que les Turcs ont intensifié leur soutien aux insurgés après la destruction d'un avion militaire turc par les forces gouvernementales syriennes le 22 juin au large du port de Lattaquié.
Les ennemis de la Syrie se reconnaissent tels. ENFIN!
Djeha
Samedi 28 Juillet 2012
ENFIN, Les ennemis de la Syrie commencent à reconnaître à reculons que la Syrie est victime d’une agression extérieure. (Cf. plus bas la dépêche de Reuters, reprise par Le Monde )
Peu à peu, ils vont enfin finir par admettre que :
1.- Les rebelles ne sont syriens qu’aux marges ;
2.- Que derrière l’Arabie Saoudite, le Qatar et
3.- Que derrière les gandouras qui flottent, il y a la France ;
4.- Que derrière la France, autre supplétif hollando-sarkozien complice, il y a les Etats-Unis ;
5.- Que derrière les Etats-Unis (le plus grand pantin inventé depuis Roosevelt), il y a Israël et le sionisme mondialisé qui tirent les ficelles de ces bouffeurs de Mac Do, assis sur une bouteille de coca, une cacahuète à la place du cerveau.
6.- Que le modèle turc pour ces ploucs du monde arabe, ne fut qu’une des multiples fausses pistes qu’on offre à la « rue arabe » et à ses élites qu’on a rendus incapables de puiser dans leur propre génie un puisqu’on a réussi à les dégoûter de leur histoire, de l’idée d’un développement économique autonome, de leur indépendance... Certains (leurs brillantissimes intellectuels en premiers) nous supplient de revenir chez eux… pour les sauver d’eux-mêmes.
7.- Que cette affaire a été conçue planifiée de longue date ;
8.- Que le véritable objectif de toute cette affaire, en attendant de les mettre hors du Caucase et de la Mer Noir, en les repoussant vers le cul-de-sac de la Mer d’Azov, c’est de chasser les Russes de Syrie pour :
7.1.- définitivement réaliser le Grand Israël ;
7.2.- s’occuper de Ghaza et du Sinaï un peu plus tard ;
7.2.- mieux contrôler le pétrole des chameliers en gandoura ;
7.3.- Préparer une offensive radicale contre le Pakistan, car il est intolérable qu’un pays musulman puisse disposer de la bombe ;
7.4- Etouffer peu à peu l’Iran qui est en réalité très loin de maîtriser la production d’une arme atomique, militairement utilisable. Il n’est même pas certain d’ailleurs que les Iraniens aient une vraie envie de s’en doter.
7.5.- Isoler le Hezbollah.
Après cela, viendra le tour des autres : mettre la main dur les richesses russes, placer à la tête de l’Algérie, après le départ de Bouteflika, un homme de paille à la solde des Saoudiens et des Qataris. Ce ne sont pas les volontaires qui manquent : ils pourront même rapatrier Abbassi Madani pour tenir compagnie à Belkhadem. FLN ou pas toutes les barbes se valent…
Pourquoi donc cette reconnaissance timide, du bout des lèvres ?
Parce que les citoyens-consommateurs-télespectateurs européens sont peut-être c…, mais ce sont des c… qui savent lire et regarder les images.
Et cela malgré le travail de sape de médias démocratiquement totalitaires qui pratiquent en toute unanimité une très despotique liberté d’expression. Dans tous les journaux, sur toutes les chaînes de TV et de radio, le discours des hommes politiques de gauche comme de droite, les intellectuels, les journalistes, les financiers et les marchands... dans tous les pays occidentaux, pas un poil qui dépasse.
Toutefois, l’idée d’un peuple syrien qui se retourne contre ses gouvernants, après le coup de la Libye, de l’Egypte et de la Tunisie néo-bourguibiste… ça ne passe plus. Les p'tits occidentaux commencent à s'interroger. C'est lent, besogneux, laborieux... le résultat d'un long corps-à-corps, de la maternelle à l'université, à coups de poussiéreux nouveaux philosophes tels que BHL, Gluckmann, Finkielkraut... Ce n'est pas facile à démonter encore moins à interroger. Ni ne les y incite. Tout les dissuade.
Il n'empêche: les citoyens européens commencent à douter qu'on se paie un peu leurs têtes et qu'on leur raconte des fadaises. C'est d'autant plus préoccupant que des sites internet accessibles à tous (site pris au hasard: alterinfo.net par exemple) racontent des histoires qui ne collent pas avec la VÉRITÉ OFFICIELLE.
C'est pourquoi on commence à reconnaître qu'après tout la Syrie fait peut-être face à une coalition internationale résolue à sa destruction.
Evidemment, ils ne reconnaissent pas tout, tout de suite. Cela commence à petites touches, par des demi-vérités et des interrogations.
Et puis ils finiront par reconnaître qu’à la frontière syro-turque, il y a plus de « conseillers » et de militaires occidentaux qu’à West Point, à Langley et à Saint-Cyr réunis.
On arrivera petit à petit par persuader les peuples européens d'une impérieuse nécessité d’intervenir en Syrie pour mettre fin à une inacceptable et inqualifiable dictature et sauver enfin le peuple syrien de l’anéantissement total et la région d’un régime menaçant la quiétude de ses voisins.
En donnant un coup de main final, une pichenette pour ainsi dire, à de courageux combattants de la liberté auxquels les Européens peuvent facilement s'identifier, en triturant l'histoire comme il faut, comme ils ont l'habitude de le faire...
Constatons au passage que la crise syrienne a permis d’étouffer dans l’œuf toute information venue de Palestine, soumise à une occupation abjecte qui dure depuis 1948. ce n'est pas le sort des Palestiniens qui préoccupe les Européens, les nord-américains, les Emiratis, les Qataris, les Saoudiens et autres Maghrébins. On peut lire dans El Watan ("Quotidien-référence" pour les Occidentaux) que l'Algérie accueille des Syriens fuyant la guerre dans leur pays. Un journaliste de ce quotidien émérite les fait parler: on apprend qu'ils attendent la fin de l'horrible dictateur pour retourner dans leur pays et remercie évidemment l'Algérie pour son hospitalité. Non moins évidemment, peu de nos journalistes se préoccupent de savoirs ce que sont devenus les Algériens installés dans ce pays depuis bien avant l'arrivée de Abdelkader dans ce pays (et je ne parle naturellement pas de nos ressortissants rapatriés rapidement comme les Occidentaux rapatrient les leurs à chaque fois que cela chauffe quelque part). Vous ai-je dit que la plupart de nos concitoyens installés dans ces pays proches (orientaux) sont des concitoyennes qui avaient épousé Syriens, Palestiniens, Egyptiens, Libanais... et se comportent avec une dignité dont - perdus dans nos incertitudes et nos références - nous avons oublié l'alpha et l’oméga.
Qui avait dit un jour cet élémentaire "nos meilleurs hommes sont nos femmes"?
C'est fou combien les médias occidentaux divers et libre-penseurs, comme on les observe de manière ordinaire dans leur habitat naturel - déteignent sur nos tabloïds indigènes.
Un jour ces démocrates bien pensants devront faire un petit effort et nous expliquer (et expliquer à leurs enfants) comment ils arrivent à rendre tout cela compatible avec leurs idéaux élevés en matière d’humanité et de morale civilisée. Ces valeurs dont ils ne cessent de nous rebattre les oreilles.
Saha s'horkoum !
Djeha,
V. 27 juillet 2012.
Syrie : une base secrète en Turquie pour appuyer les rebelles
Le Monde.fr avec Reuters, V. 27.07.2012 à 17h22
Les autorités turques, avec leurs alliés saoudiens et qataris, ont installé une base secrète à Adana, ville proche de la Syrie, pour fournir aux rebelles syriens une assistance militaire et un appui logistique dans les communications, ont révélé à Reuters des sources des pays du Golfe. Ce centre névralgique, à une centaine de kilomètres de la frontière syrienne, a été mis en place à la demande du vice-ministre des affaires étrangères saoudien, le prince Abdoulaziz Ben Abdallah Al Saoud, après une visite en Turquie, a-t-on précisé.
L'idée a été approuvée par la Turquie, soucieuse de superviser les opérations dans la région. C'est aussi près d'Adana que se trouve la base aérienne d'Incirlik, un vaste complexe militaire turco-américain que Washington a utilisé dans le passé pour des opérations de reconnaissance et de logistique. D'après les informations obtenues par Reuters, il n'est pas possible de déterminer si ce "centre névralgique" appuyant l'insurrection syrienne est situé à l'intérieur de la base militaire d'Incirlik ou dans la ville même d'Adana.
La révélation de l'existence de cette base clandestine contrôlée par des puissances régionales illustre la prudence des Occidentaux, qui ont joué un rôle majeur l'an dernier dans l'éviction de Mouammar Kadhafi en Libye mais ont évité jusqu'à présent de s'impliquer militairement en Syrie. "Ce sont les Turcs qui contrôlent militairement la base. La Turquie est le principal coordinateur et médiateur. Représentez-vous un triangle, avec la Turquie en haut et l'Arabie saoudite et le Qatar à la base, a indiqué une source basée à Doha. Les Américains n'interviennent vraiment pas. Les services de renseignement américains travaillent via des intermédiaires. Les intermédiaires contrôlent l'accès aux armes et aux voies d'approvisionnement."
PRUDENCE OCCIDENTALE
Le Qatar, petit Etat du Golfe riche en gaz qui a joué un rôle de premier plan dans l'envoi d'armes aux rebelles libyens, a une place centrale dans la direction des opérations depuis Adana, selon les mêmes sources. Les services de renseignement et de sécurité qataris sont également impliqués.
"Trois gouvernements fournissent des armes : la Turquie, le Qatar et l'Arabie saoudite, a dit la source basée à Doha. Tout l'armement est russe. La raison évidente est que les rebelles syriens sont formés à l'utilisation des armes russes, mais aussi parce que les Américains ne veulent pas être impliqués là-dedans. Toutes les armes proviennent du marché noir. L'autre moyen de se procurer des armes est de les voler à l'armée syrienne." Ankara a officiellement démenti fournir des armes aux rebelles.
"Les Turcs voulaient aussi que les Américains avec leurs drones les aident à surveiller la région, une requête qui apparemment n'a pas abouti. Ils ont alors chargé des sociétés privées de faire ce travail", a ajouté la même source. Le président américain Barack Obama a jusqu'à présent privilégié la voie diplomatique pour tenter de convaincre Bachar Al-Assad de quitter le pouvoir. Mais la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a annoncé cette semaine que Washington prévoyait d'intensifier son aide aux rebelles.
Selon des informations recueillies par Reuters, la Maison Blanche envisagerait de renforcer son aide aux insurgés, sans aller toutefois jusqu'à les armer. La prudence de Washington, partagée par d'autres pays occidentaux, illustre les inquiétudes sur la nature de l'"après-Assad" en Syrie, en raison de la présence de nombreux islamistes et djihadistes parmi les rebelles.
RÔLE CROISSANT DE LA TURQUIE
L'existence de la base secrète d'Adana pourrait aussi expliquer comment les rebelles syriens, divisés, mal armés et mal organisés, ont récemment pu orchestrer des attaques majeures, à l'image de l'attentat à la bombe du 18 juillet à Damas, qui a tué quatre dirigeants proches d'Assad, dont le ministre de la défense. Un diplomate turc dans la région a insisté sur le fait que son pays n'avait joué aucun rôle dans cet attentat.
Deux anciens responsables de la sécurité américaine ont pourtant affirmé que la Turquie jouait un rôle croissant dans la formation militaire des rebelles syriens qui ont trouvé refuge sur son territoire. L'un de ces anciens responsables, qui est également conseiller auprès d'un gouvernement de la région, a indiqué à Reuters que 20 anciens généraux syriens étaient désormais basés en Turquie, d'où ils aidaient à renforcer les moyens de l'opposition syrienne.
Selon Israël, jusqu'à 20 000 soldats syriens pourraient être passés du côté des insurgés. Selon les mêmes sources dans le Golfe, il y a des raisons de penser que les Turcs ont intensifié leur soutien aux insurgés après la destruction d'un avion militaire turc par les forces gouvernementales syriennes le 22 juin au large du port de Lattaquié.
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
1.Posté par VIRGILE le 28/07/2012 17:20 | Alerter
Si Reuters, agende de presse totalement sioniste, commence à parler à demi mot de l'actuelle "réelle" situation et qu'officiellement les USA ne veulent pas s'engager (à 4 mois des présidentielles US), cela veut dire que les occidentaux sont en train de subir une débâcle...Seule la Turquie, responsable des bases arrières, tant au niveau du renseignement que de l'armement de ces terroristes dit insurgés, gonfle encore la poitrine.
L'armée syrienne doit infiltrer et pulvériser la base turque d'Adana...par un false flag par exemple. Ils doivent également infiltrer le noyau des rebelles et les achever. La Syrie doit rester souveraine et aux Syrien.
Aujourd'hui s'est engagé la bataille d'Alep. Bachar ne peut pas se permettre de perdre ce poumon économique d'autant plus que sont basées dans cette ville, les principales casernes et écoles qui forment les officiers des principaux corps d'armée (aviation, artillerie, etc.).
Nous voyons toute la lâcheté et la ruse des USA, d'Israël, des saoudiens et Qataris devant une défaite probable des rebelles insurgés. Hilary Clinton ne cesse d'aboyer mais un chien qui aboie ne mort pas.
Je suis plus préoccupé par une intervention militaire d'Israël qui déteste Bachar et tous les pays Arabes parce qu'ils ont sur les mains de milliers de civils Palestiniens. Le monde a compris qu'Israël était anti-paix.
Aussi, nous comprenons que si l'Empire Illuminati fait tout pour imposer le NOM, je comprends qu'ils ne veulent pas perdre trop de plumes avec la Syrie car l'objectif final, c'est bien le tri Iran - Russie - Chine. Le candidat US Romney est sans ambiguïté à ce sujet.
Et bien entendu, lorsque des puissances se battent par petits pays interposés, cela fait des millions de victimes, de morts, handicapés, de veuves et d'orphelins...L’empire s'en branle et c'est pour cette raison qu'ils chuteront tôt ou tard. Que de malheurs d'ici-là.
Si j'étais plus jeune, j'irais me battre aux côtés de Bachar Al Assad. Aucun président n'est parfait mais cohabiter avec des voisins comme les talmudo-juifs d'Israël, c'est déjà un enfer. Ce pays prétendument démocratique est en réalité une dictature qui impose ses lois et le sang de la mort au monde entier. C'est incroyable. Ils sont à l'origine de toutes les guerres mondiales et révolutionnaires. Ils ne pourront pas survivre, tout comme les USA/GB car tôt ou tard, Chine et Russie unit rentreront en guerre, tant médiatique que militaire. Ces chiens de l'Empire auront gâché nos vacances.
VIVE LA SYRIE DE BACHAR AL ASSAD et que Dieu le garde.
SALAM - MARANATHA !
Si Reuters, agende de presse totalement sioniste, commence à parler à demi mot de l'actuelle "réelle" situation et qu'officiellement les USA ne veulent pas s'engager (à 4 mois des présidentielles US), cela veut dire que les occidentaux sont en train de subir une débâcle...Seule la Turquie, responsable des bases arrières, tant au niveau du renseignement que de l'armement de ces terroristes dit insurgés, gonfle encore la poitrine.
L'armée syrienne doit infiltrer et pulvériser la base turque d'Adana...par un false flag par exemple. Ils doivent également infiltrer le noyau des rebelles et les achever. La Syrie doit rester souveraine et aux Syrien.
Aujourd'hui s'est engagé la bataille d'Alep. Bachar ne peut pas se permettre de perdre ce poumon économique d'autant plus que sont basées dans cette ville, les principales casernes et écoles qui forment les officiers des principaux corps d'armée (aviation, artillerie, etc.).
Nous voyons toute la lâcheté et la ruse des USA, d'Israël, des saoudiens et Qataris devant une défaite probable des rebelles insurgés. Hilary Clinton ne cesse d'aboyer mais un chien qui aboie ne mort pas.
Je suis plus préoccupé par une intervention militaire d'Israël qui déteste Bachar et tous les pays Arabes parce qu'ils ont sur les mains de milliers de civils Palestiniens. Le monde a compris qu'Israël était anti-paix.
Aussi, nous comprenons que si l'Empire Illuminati fait tout pour imposer le NOM, je comprends qu'ils ne veulent pas perdre trop de plumes avec la Syrie car l'objectif final, c'est bien le tri Iran - Russie - Chine. Le candidat US Romney est sans ambiguïté à ce sujet.
Et bien entendu, lorsque des puissances se battent par petits pays interposés, cela fait des millions de victimes, de morts, handicapés, de veuves et d'orphelins...L’empire s'en branle et c'est pour cette raison qu'ils chuteront tôt ou tard. Que de malheurs d'ici-là.
Si j'étais plus jeune, j'irais me battre aux côtés de Bachar Al Assad. Aucun président n'est parfait mais cohabiter avec des voisins comme les talmudo-juifs d'Israël, c'est déjà un enfer. Ce pays prétendument démocratique est en réalité une dictature qui impose ses lois et le sang de la mort au monde entier. C'est incroyable. Ils sont à l'origine de toutes les guerres mondiales et révolutionnaires. Ils ne pourront pas survivre, tout comme les USA/GB car tôt ou tard, Chine et Russie unit rentreront en guerre, tant médiatique que militaire. Ces chiens de l'Empire auront gâché nos vacances.
VIVE LA SYRIE DE BACHAR AL ASSAD et que Dieu le garde.
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
http://www.voltairenet.org/La-Syrie-aur ... Bandar-ben
La Syrie aurait éliminé Bandar ben Sultan en représailles de l’attentat de Damas
RÉSEAU VOLTAIRE | 29 JUILLET 2012
Bien que non annoncée par les autorités saoudiennes, la mort du prince Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud vient d’être confirmée au Réseau Voltaire de source officieuse.
Le prince Bandar venait d’être nommé chef des services secrets saoudiens, le 24 juillet. une promotion interprétée comme une récompense pour avoir organisé l’attentat du 18 juillet à Damas. Les services saoudiens, avec l’appui logistique de la CIA, étaient parvenus à faire exploser le siège de la Sécurité nationale syrienne lors d’une réunion de la cellule de crise : les généraux Assef Chaoukat, Daoud Rajha et Hassan Tourkmani étaient morts sur le coup. Les généraux Amin Charabeh et Hicham Ikhtiar décédaient peu après des suites de leurs blessures. Cette opération, dite « Volcan de Damas » avait donné le signal de l’attaque de la capitale par une armée de mercenaires, principalement venue de Jordanie.
Le prince Bandar a lui-même été victime d’un attentat à la bombe, le 26 juillet, ainsi que l’avaient annoncé les médias yéménites. Il aurait succombé plus tard à ses blessures.
Personnalité brillante et cynique, le prince Bandar était âgé de 63 ans. Il était le fils du prince Sultan (inamovible ministre de la Défense de 1963 à sa mort en 2011) et d’une esclave. Homme de confiance du roi Fadh, il avait été son ambassadeur à Washington tout au long de son règne (1983-2005). Il s’était alors lié à George H. Bush (alors vice-président des États-Unis) et était devenu pour lui un « fils adoptif » ; raison pour laquelle la presse US l’avait surnommé « Bandar Bush ». Doué d’un véritable génie de l’action secrète, il avait organisé le contrat d’armement Al-Yamamah, parvenant à détourner plus d’un milliard de livres sterlings, selon les sources officielles britanniques. Il avait alors utilisé cette manne, et bien d’autres encore, pour financer l’action de groupes jihadistes partout dans le monde, y compris Al-Qaida.
Début 2010, le prince Bandar tenta de renverser le roi Abdallah pour placer son père Sultan sur le trône. Le complot échoua et il fut banni du royaume, mais la santé du monarque déclinant, il parvint à rentrer en Arabie saoudite un an plus tard. Depuis la mort du prince Sultan, il était devenu de facto le chef de la maison des Sudeiris, le clan des faucons au sein de la famille royale.
Sa mort porte un coup terrible à tout le dispositif d’action secrète des Occidentaux dans le monde musulman. Il aura fallu seulement une semaine à la Syrie pour monter cette spectaculaire opération de représailles.
La Syrie aurait éliminé Bandar ben Sultan en représailles de l’attentat de Damas
RÉSEAU VOLTAIRE | 29 JUILLET 2012
Bien que non annoncée par les autorités saoudiennes, la mort du prince Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud vient d’être confirmée au Réseau Voltaire de source officieuse.
Le prince Bandar venait d’être nommé chef des services secrets saoudiens, le 24 juillet. une promotion interprétée comme une récompense pour avoir organisé l’attentat du 18 juillet à Damas. Les services saoudiens, avec l’appui logistique de la CIA, étaient parvenus à faire exploser le siège de la Sécurité nationale syrienne lors d’une réunion de la cellule de crise : les généraux Assef Chaoukat, Daoud Rajha et Hassan Tourkmani étaient morts sur le coup. Les généraux Amin Charabeh et Hicham Ikhtiar décédaient peu après des suites de leurs blessures. Cette opération, dite « Volcan de Damas » avait donné le signal de l’attaque de la capitale par une armée de mercenaires, principalement venue de Jordanie.
Le prince Bandar a lui-même été victime d’un attentat à la bombe, le 26 juillet, ainsi que l’avaient annoncé les médias yéménites. Il aurait succombé plus tard à ses blessures.
Personnalité brillante et cynique, le prince Bandar était âgé de 63 ans. Il était le fils du prince Sultan (inamovible ministre de la Défense de 1963 à sa mort en 2011) et d’une esclave. Homme de confiance du roi Fadh, il avait été son ambassadeur à Washington tout au long de son règne (1983-2005). Il s’était alors lié à George H. Bush (alors vice-président des États-Unis) et était devenu pour lui un « fils adoptif » ; raison pour laquelle la presse US l’avait surnommé « Bandar Bush ». Doué d’un véritable génie de l’action secrète, il avait organisé le contrat d’armement Al-Yamamah, parvenant à détourner plus d’un milliard de livres sterlings, selon les sources officielles britanniques. Il avait alors utilisé cette manne, et bien d’autres encore, pour financer l’action de groupes jihadistes partout dans le monde, y compris Al-Qaida.
Début 2010, le prince Bandar tenta de renverser le roi Abdallah pour placer son père Sultan sur le trône. Le complot échoua et il fut banni du royaume, mais la santé du monarque déclinant, il parvint à rentrer en Arabie saoudite un an plus tard. Depuis la mort du prince Sultan, il était devenu de facto le chef de la maison des Sudeiris, le clan des faucons au sein de la famille royale.
Sa mort porte un coup terrible à tout le dispositif d’action secrète des Occidentaux dans le monde musulman. Il aura fallu seulement une semaine à la Syrie pour monter cette spectaculaire opération de représailles.
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
http://www.alterinfo.net/notes/Plusieur ... 75903.html
Plusieurs milliers de mercenaires recrutés par la CIA terrorisent la Syrie 29/07/2012
Le vice-président du Parti travailliste turc Bülent Esinoglu a révélé que la CIA a recruté 6.000 mercenaires arabes, afghans et turcs, pour mener des opérations terroristes en Syrie.
Esinoglu assure que le peuple turc s’oppose à la présence des citoyens turcs dans les régions syriennes en crise, et aux massacres perpétrés contre les Syriens innocents, « pour les beaux yeux des Etats-Unis », selon ses termes.
Il met en cause la société sécuritaire américaine "Blackwater" la soupçonnant d'être derrière contre ces tueries, signalant qu’elle verse de grosses sommes d’argent à ses mercenaires pour le faire.
« La guerre déclarée, par la Turquie, contre la Syrie, est dirigée par Washington et Tel-Aviv, qui ont transformé pratiquement l’armée turque, en une armée de mercenaires, qui lutte pour l’argent, tout comme "Blackwater" » a-t-il martelé.
Le vice-président du Parti travailliste turc a accusé le gouvernement d’Erdogan d’être le premier gouvernement turc à exécuter les ordres de l’Occident, et d’appeler à son éviction pour éviter une guerre régionale.
http://algerienetwork.com/info/index.ph ... syrie.html
Plusieurs milliers de mercenaires recrutés par la CIA terrorisent la Syrie 29/07/2012
Le vice-président du Parti travailliste turc Bülent Esinoglu a révélé que la CIA a recruté 6.000 mercenaires arabes, afghans et turcs, pour mener des opérations terroristes en Syrie.
Esinoglu assure que le peuple turc s’oppose à la présence des citoyens turcs dans les régions syriennes en crise, et aux massacres perpétrés contre les Syriens innocents, « pour les beaux yeux des Etats-Unis », selon ses termes.
Il met en cause la société sécuritaire américaine "Blackwater" la soupçonnant d'être derrière contre ces tueries, signalant qu’elle verse de grosses sommes d’argent à ses mercenaires pour le faire.
« La guerre déclarée, par la Turquie, contre la Syrie, est dirigée par Washington et Tel-Aviv, qui ont transformé pratiquement l’armée turque, en une armée de mercenaires, qui lutte pour l’argent, tout comme "Blackwater" » a-t-il martelé.
Le vice-président du Parti travailliste turc a accusé le gouvernement d’Erdogan d’être le premier gouvernement turc à exécuter les ordres de l’Occident, et d’appeler à son éviction pour éviter une guerre régionale.
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
http://www.guysen.com/news_Un-navire-de ... witterfeed
Un navire de guerre chinois en route pour la Syrie (journal)
Selon le journal égyptien A-Shourouq, un navire de guerre de la marine chinoise a franchi ce dimanche le canal de Suez sous haute sécurité pour entrer en Méditerranée. Il a demandé à accoster en Syrie pour participer à des manoeuvres sur place.
Un navire de guerre chinois en route pour la Syrie (journal)
Selon le journal égyptien A-Shourouq, un navire de guerre de la marine chinoise a franchi ce dimanche le canal de Suez sous haute sécurité pour entrer en Méditerranée. Il a demandé à accoster en Syrie pour participer à des manoeuvres sur place.
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Re: A lire : Ingérence impérialiste en Syrie
http://www.alterinfo.net/notes/L-armee- ... 76695.html
L’armée syrienne en passe de récupérer Alep 30/07/2012
Immeubles en flammes, hélicoptères survolant la ville d’Alep en quête de positions terroristes à neutraliser : un déluge de feu s’est abattu samedi sur le quartier Salaheddine où
des groupes armés composés en majorité d’étrangers peinent à résister aux assauts de l’armée syrienne engagés depuis samedi à Alep, constate un correspondant de l’AFP.
Le correspondant de l’AFP a vu l’entrée en action de plusieurs chars et blindés de l’armée syrienne et les corps d’une quinzaine de rebelles. Plusieurs rebelles ont été mis hors d état de nuire depuis le début de l’assaut, selon un officier de l’armée régulière. Selon les médias, les terroristes qui englobent dans leurs rangs des centaines d’étrangers, principalement des libyens, ont vite fait de lâcher prise dès les premières offensives de l’armée contre le quartier de Salaheddine, bastion « terroriste » dans le sud-ouest de la ville et principale cible de l’assaut selon un correspondant de l’AFP à Alep.
Forte de sa puissance de feu, l’armée syrienne a lancé samedi l’assaut contre la métropole du nord pour tenter d’écraser dans le sang les rebelles retranchés dans le sud-ouest de la ville. Alep est une ville stratégique, de par sa position géographique ou son importance économique. Selon un correspondant de l’AFP sur place, de nombreux habitants ont quitté Alep et ceux qui sont restés ont désormais de grandes difficultés à se ravitailler en pain. Selon lui, les groupes armés, qui sont retranchés notamment dans les quartiers sud et sud-ouest de la métropole, n’ont lancé aucune opération importante depuis deux jours, économisant leurs quelques munitions de roquettes antichars de type RPG. Vendredi, une source de sécurité syrienne avait précisé que les insurgés étaient retranchés dans des ruelles très étroites, ce qui prendrait un peu de temps aux forces armées de la République arabe de Syrie pour les y déloger.
L’assaut a été donné plus d’une semaine après l’ouverture de ce nouveau front le 20 juillet, l’armée ayant pu reprendre le dessus dans la capitale Damas grâce aux populations qui sont restées loyales à leur pays, commentent les observateurs occidentaux présents dans la capitale syrienne.
Un plan américain concocté en 2001 à Camp David
Alors que les gouvernements occidentaux continent d’afficher leur soutien aux terroristes, la Russie a averti samedi qu’une «tragédie» menaçait à Alep. Mais selon Moscou, il n’était pas «réaliste» d’escompter que le gouvernement syrien reste les bras croisés alors que des rebelles armés occupent les grandes villes.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a ajouté que des «excès» étaient commis par les insurgés, accusant dans la foulée les Occidentaux de fournir une aide aux groupes armés terroristes. Des experts tiennent à rappeler que la décision de faire la guerre à la Syrie a été prise par le président George W. Bush lors d’une réunion à Camp David, le 15 septembre 2001, juste après les attentats spectaculaires de New York et Washington. Il était prévu d’intervenir simultanément en Libye pour montrer la capacité d’action sur un double théâtre d’opération. Cette décision a été attestée par le témoignage du général Wesley Clark, ex-commandant suprême de l’OTAN, qui y était opposé.
Djamel Zerrouk
http://www.jeune-independant.net/index. ... e&Itemid=4
L’armée syrienne en passe de récupérer Alep 30/07/2012
Immeubles en flammes, hélicoptères survolant la ville d’Alep en quête de positions terroristes à neutraliser : un déluge de feu s’est abattu samedi sur le quartier Salaheddine où
des groupes armés composés en majorité d’étrangers peinent à résister aux assauts de l’armée syrienne engagés depuis samedi à Alep, constate un correspondant de l’AFP.
Le correspondant de l’AFP a vu l’entrée en action de plusieurs chars et blindés de l’armée syrienne et les corps d’une quinzaine de rebelles. Plusieurs rebelles ont été mis hors d état de nuire depuis le début de l’assaut, selon un officier de l’armée régulière. Selon les médias, les terroristes qui englobent dans leurs rangs des centaines d’étrangers, principalement des libyens, ont vite fait de lâcher prise dès les premières offensives de l’armée contre le quartier de Salaheddine, bastion « terroriste » dans le sud-ouest de la ville et principale cible de l’assaut selon un correspondant de l’AFP à Alep.
Forte de sa puissance de feu, l’armée syrienne a lancé samedi l’assaut contre la métropole du nord pour tenter d’écraser dans le sang les rebelles retranchés dans le sud-ouest de la ville. Alep est une ville stratégique, de par sa position géographique ou son importance économique. Selon un correspondant de l’AFP sur place, de nombreux habitants ont quitté Alep et ceux qui sont restés ont désormais de grandes difficultés à se ravitailler en pain. Selon lui, les groupes armés, qui sont retranchés notamment dans les quartiers sud et sud-ouest de la métropole, n’ont lancé aucune opération importante depuis deux jours, économisant leurs quelques munitions de roquettes antichars de type RPG. Vendredi, une source de sécurité syrienne avait précisé que les insurgés étaient retranchés dans des ruelles très étroites, ce qui prendrait un peu de temps aux forces armées de la République arabe de Syrie pour les y déloger.
L’assaut a été donné plus d’une semaine après l’ouverture de ce nouveau front le 20 juillet, l’armée ayant pu reprendre le dessus dans la capitale Damas grâce aux populations qui sont restées loyales à leur pays, commentent les observateurs occidentaux présents dans la capitale syrienne.
Un plan américain concocté en 2001 à Camp David
Alors que les gouvernements occidentaux continent d’afficher leur soutien aux terroristes, la Russie a averti samedi qu’une «tragédie» menaçait à Alep. Mais selon Moscou, il n’était pas «réaliste» d’escompter que le gouvernement syrien reste les bras croisés alors que des rebelles armés occupent les grandes villes.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a ajouté que des «excès» étaient commis par les insurgés, accusant dans la foulée les Occidentaux de fournir une aide aux groupes armés terroristes. Des experts tiennent à rappeler que la décision de faire la guerre à la Syrie a été prise par le président George W. Bush lors d’une réunion à Camp David, le 15 septembre 2001, juste après les attentats spectaculaires de New York et Washington. Il était prévu d’intervenir simultanément en Libye pour montrer la capacité d’action sur un double théâtre d’opération. Cette décision a été attestée par le témoignage du général Wesley Clark, ex-commandant suprême de l’OTAN, qui y était opposé.
Djamel Zerrouk
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