YAMATOYOSHI a écrit :ericks t'as raison ...sami,mulongoti sont venus avec envie de joué et l'amour du pays.. mais on le condamne sans pour autant savoir les raisons de cette defaite(il falait knysna esalema chez biso pona to comprendre)..mulongoti il a pas joué pona ba 10%..ba memaki ba joueurs ya chan pona babeta.. le'lo verité ebimi.. je s8 sur soki le vieux otis azalaki ba mazembien et mazembemicyne balingaki ba beta tséee
mazowa milambo na kudimbana pe ba beti té,le foot se joue à 11 mulongotti soki il fallait abeta ezalaki na place soit ya sami soit ya mongongu car c'est un défenseur axial et c'est pas pcq oza joueur pros que okoki ko fanda na banc té
YAMATOYOSHI a écrit :ericks t'as raison ...sami,mulongoti sont venus avec envie de joué et l'amour du pays.. mais on le condamne sans pour autant savoir les raisons de cette defaite(il falait knysna esalema chez biso pona to comprendre)..mulongoti il a pas joué pona ba 10%..ba memaki ba joueurs ya chan pona babeta.. le'lo verité ebimi.. je s8 sur soki le vieux otis azalaki ba mazembien et mazembemicyne balingaki ba beta tséee
nayebisaki bino awa ke le vieux akolonga jamais .. donc 10 ans de pouvoir.. mon cher madi relate nous les points fort de cette conference..alobi nini??
"le OMARI que je viens de voir à la conférence de presse; ne demissionnera jamais sauf decision de la présidence!"
Cette même Présidence, l'as-tu entendu se prononcer dans les cas de viols massifs dans l'Est?
Il n'aime pas le foot, pourquoi veux-tu qu'il s'en mêle? Ce qui l'intéresse c'est le "trial" de motos, le sport de combat...Il vient de pays qui n'ont aucune culture du football : Rwanda, Ouganda, Tanzanie...Pfff !!!
De plus en plus de chevaliers de la plume protestent et embouchent les "vuvuzelas" de la démission de OMARI...Même le journal pro-joséphiste s'y engouffre...C'est que le peuple boude...La défaite est durement ressentie et à la prochaine déroute il y a un risque d'un 4 janvier 1959...
mardi 7 septembre 2010
Constant Omari, la dérive
Tout a une fin. Personne ne peut croire se moquer de tout un peuple pendant tout le temps. Depuis qu’il préside aux destinées de la Fédération congolaise de football, Constant Omari est toujours au centre de la polémique. L’opinion se pose la question de savoir comment y est-il arrivé. Selon des bribes d’informations, il serait entré à la fédération congolaise de football comme représentant du Maniema. En quelle qualité ? Mystère ! Tout ce qu’on sait, c’est que dans la capitale, il a longtemps dirigé le club de basketball de l’Office national de transport (Onatra).
Il est passé miraculeusement du basketball au sommet du football congolais. Là n’est pas le vrai problème. Si Omari s’était comporté en un sage parvenu à la fédération congolaise de football (Fecofa), on ne lui chercherait pas de poux sur la tête. Mais l’homme, impressionnant par sa taille, a commencé à tout regarder en-dessous de lui. Comme il se croit tout permis, il est le seul président de la Fecofa qui pouvait se permettre de changer les règlements des compétitions au gré de ses humeurs et de ses intérêts. C’est sous le mandat de Constant Omari que dans une compétition, une équipe éliminée au premier tour, se voit sacrée championne de la même compétition. Ce qui est impossible ailleurs, a été possible dans la logique " omarienne ".
A ce titre, Omari n’arrive même pas à la cheville de Papa François Kalala, fondateur de l’As Dragons de Kinshasa qui, alors présidait aux destinées de l’Association royale sportive congolaise (ARSC) ancêtre de la Fecofa actuelle, n’avait pas hésité à reléguer son équipe au parc. En faveur de la même équipe qu’il supporte de la plus basse manière, Constant Omari a manipulé le règlement de la Coupe du Congo plus d’une fois. Il a tenté de changer les terrains de jeu en pleine compétition de la Linafoot. Le sport, le football en particulier, est une école de loyauté, de discipline. Lorsqu’on déroge à ses sacro-saintes règles, on court vers la dérive.
On peut, le hasard aidant, aligner quelques résultats, mais on finit par être rattrapé par la logique. Sous Omari, le football congolais passe son plus mauvais moment après les " Simba " qui avaient amorcé le réveil de l’équipe nationale de football. Constant Omari par son affairisme, a ramené l’équipe nationale de la Rdc plusieurs années en arrière jusqu’à l’époque où cette équipe avait essuyé at home un cinglant 3-0 face aux Ghanéens. Constant Omari, partisan " du hasard heureux ", y a fondé sa politique sportive. On l’a vu tout heureux danser " mpunda " pour célébrer une victoire de TP Mazembe pour laquelle il n’avait aucun mérite. Il avait également mis à son actif le sacre des Léopards locaux au Chan.
Il s’est vu au sommet de la gloire. Voici maintenant l’impitoyable retour de la manivelle. Les Léopards de moins de 17 ans se font corriger à domicile par les Maliens par 4 buts à 1. Comme il n’y a pas un sans deux, le dimanche dernier, c’était la douche froide et humiliante pour les Léopards séniors. La pilule est trop amère pour être avalée sans rechigner. Le peuple congolais, valablement représenté par les vaillants et très sportifs lushois, a scandé en chœur " Omari démission ". Il est sans excuse. Alors que la compétition s’approchait, Omari faisait les affaires ailleurs. Il a laissé au pays une liste de 30 candidats sélectionneurs. A une semaine de la compétition, il a présenté un sélectionneur au gouvernement. C’est la veille du match qu’il amène son équipe à Lubumbashi, pratiquement le même jour que l’équipe sénégalaise qui venait d’une longue préparation en France. Omari doit démissionner pour l’amour du Congo. Adieu Constant Omari de triste mémoire. Aidez les Congolais à vous oublier.