L'histoire «Mateba»

Comme son nom l'indique, on discute de tout ici mais dans le respect et les règles du forum.
Ilunga
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

L'HEURE DE VERITE. TRAITE DE NICE 100% DISTRACTION PROVOQUEE PAR Mr HONORE NGWANDA

http://banamikili.skyrock.com/313953500 ... AR-Mr.html
Ilunga
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

http://www.udps.be/beluxx//viewtopic.ph ... 2492#p2951


Ce que nous avons gagné à Nice


La surabondance et la persistance des questions que je reçois des Compatriotes qui ont été victimes et otages de la manipulation subtilement menée par Ngbanda et qui ont été entrainés par lui dans la distraction pendant trois semaines ; dans le sable pour jouer avec lui ainsi que dans la boue pour y patauger avec me poussent à manifester mon respect pour tous ces Compatriotes en désarroi et calmer les uns et les autres en révélant aujourd’hui finalement et prématurément, avant le Débat national, ce que nous avons gagné à Nice
Tout cela se trouve dans plusieurs Documents signés à Nice entre nous et les Partenaires mais que le Manipulateur n’a pas affiché à dessein au moment où il a décidé d’afficher le Traité de Nice puisqu’il voulait choquer les esprits faibles et naïfs en présentant une vérité partielle et tronquée ; se présenter comme un LEADER plein de patriotisme et un LEADER prêt à s’immoler sur la Place publique par amour pour la Patrie et pour le Peuple.
Il a montré son profond mépris envers les Compatriotes car il n’a pas voulu leur fournir l’entièreté de la Vérité afin de leur permettre de juger eux-mêmes la proportion des acquis et des concessions face aux Partenaires.
Pour nous, tout ceci devrait et devra être présenté au Peuple au Débat National avant d’être appliqué. A ce Débat national, nous défendrons devant notre Peuple les résultats de notre lobbying et de nos négociations avec les Partenaires. Ce sera au Peuple de décider.
Voici ce que nous avons exigé de nos Partenaires et gagné :

La libération de notre Pays et de notre Peuple :

Une paix durable, la stabilité, la sécurité des populations et des biens, la sécurité juridique des Investisseurs ;
Le départ de notre Pays de toutes les forces armées étrangères ;
L’intégrité de notre Territoire et l’intangibilité de nos frontières ;
L’avènement d’un Etat de droit démocratique géré selon les règles de la bonne gouvernance et les principes démocratiques par les fils du Pays issus des élections libres, inclusives, transparentes et démocratiques ;
L’application des Résolutions de la Conférence Nationale Souveraine ;
La reconnaissance et l’application de la Vérité des urnes (Victoire d’Etienne Tshisekedi) ;
Le fait de devenir les véritables propriétaires et les premiers bénéficiaires des richesses nationales. Depuis 1885 à ce jour, nous n’avons jamais obtenu cette libération de façon durable.

La préservation, la consolidation et la garantie de cette libération contrairement à ce qui est arrivé dans le passé (Ex : les troubles le 4ème jour après la date de l’Indépendance ; le Coup d’Etat militaire le 1er Décembre 1992, c’est-à-dire trois mois après la mise en place des Institutions issues de la CNS….).
La construction d’un Hôpital ultramoderne sur la Cité de Mateba pour que les Congolais n’aillent plus se faire soigner à l’Etranger ainsi qu’un quartier industriel et des maisons pour fonctionnaires et travailleurs toujours sur l’Ile de Mateba.

Plusieurs projets s’étendant sur tout le Pays et relatifs à l’accès à l’énergie (électricité….), à l’eau potable, au logement décent, à l’enseignement obligatoire et gratuit, aux soins médicaux, à la mobilité (routes, chemins de fer, transport maritime, transport aérien…), à l’aide humanitaire, au programme social, économique et industriel du pays. La réalisation de ces projets donnera l’emploi aux Congolais.

Un grand lobbying sur la Tragédie congolaise et sur les opportunités immenses qu’offrira notre Pays à tous les Investisseurs qui viendront au Congo dès que le Président Elu commencera à exercer l’Imperium du pouvoir. Ce lobbying a été effectué auprès de nos Partenaires de Nice ; auprès de nombreux Partenaires venus nous rencontrer à Nice et auprès des Partenaires que nous sommes allés rencontrer dans les autres pays en partant de Nice grâce aux voyages effectués aux frais des Partenaires de Nice. Moi-même j’ai passé six mois à Nice (Février 2012-Juillet 2012). J’ai rencontré plusieurs Partenaires venus à Nice et j’ai effectué plusieurs voyages dans différents pays à partir de Nice.

Mandat

Mandat patriotique
1° Envers la Patrie
De qui Cédric Nyanza avait-il reçu le Mandat de se brûler à Boma quand il a constaté que la Vérité des urnes n’avait pas été respectée ? De qui les Pères de l’Indépendance avaient-ils reçu le Mandat pour exiger l’Indépendance et venir négocier à la Table Ronde de Bruxelles (20 Janvier 21960-20 Février 1960) ? De qui recevons-nous le Mandat d’organiser des manifestations, des conférences, des conférences de presse et de rédiger des pétitions et des lettres de dénonciations et des condamnations des crimes commis au Congo ? De qui ont-ils reçu le Mandat nos Compatriotes qui consacrent leur temps, leurs énergies, leurs propres moyens financiers… pour animer des émissions sur des Radios sur la Tragédie congolaise ; ouvrir des blogs, des facebooks et des sites ?
Je me sens concerné par ce qui se passe au Congo. Je m’y sens irrésistiblement impliqué. Je sais que le sens de ma vie est intrinsèquement lié au sort de ma Patrie et au destin de mon Peuple.
Je sais que la liberté est l’un des dons que nous avons-nous tous indistinctement reçus dès notre naissance en tant que des êtres humains ; que nous n’avons reçue cette liberté d’aucun César, d’aucun chef temporel ; que la liberté a mille charmes à offrir, milles charmes dont il est légitime de jouir, mille charmes que les esclaves mêmes les plus satisfaits ne connaîtront jamais.
Je sais que j’ai un devoir sacré envers mes enfants, ma famille, mes proches, mes amis, mes connaissances, mes Compatriotes et les générations futures : je ne dois pas tolérer qu’ils soient esclaves et apatrides. Je ne me reposerai pas aussi longtemps qu’ils sont esclaves et apatrides.
Je sais que dans les fléaux, les catastrophes et les tragédies on voit des hommes en qui il y a plus de choses à admirer et que des choses à mépriser ; dans les zones de turbulences l’on voit les vrais pilotes et dans les ouragans et les tempêtes se distinguent les vrais marins.
2° Envers la Diaspora congolaise
Le Congo est le seul pays au monde qui s’est vidé de cette façon de son sang, de sa jeunesse, de ses énergies, de ses cerveaux qui, pour échapper à la mort, se sont exilés à l’Etranger. Je dois contribuer à libérer le Congo pour qu’eux tous rentrent au Congo ; qu’ils y jouissent de toutes leurs libertés individuelles et publiques et de tous leurs droits fondamentaux, civiques, politiques, sociaux, économiques et culturels et qu’ils contribuent à construire ce pays chacun selon sa place, ses potentialités, ses possibilités, ses dons, ses talents et son dévouement.
Mandat humanitaire
Le Congo est ravagé par la pire des tragédies mondiales depuis la Seconde Guerre Mondiale. C’est le pays qui connaît le génocide le plus meurtrier et le plus long depuis la Colonisation jusqu’à ce jour ( 10 millions de morts de 1885 à 1906 ; 4 à 6 millions de 1996 à 2002 ; 45.000 morts par mois depuis 2001 ; plus de 1500 femmes violées par jour ; Espérance-vie de 45 ans….). De qui un Vrai Congolais doit-il attendre et recevoir le Mandat pour agir ? D’autant plus que les Etrangers agissent (Organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme, Décideurs Internationaux, ONU, UE, UA, Journalistes….).
Mandat politique
1° Article 37
L’article 37 de l’ «Acte portant dispositions constitutionnelles pour la période de la Transition » stipule : « Tout Congolais a le droit et le devoir sacré de défendre la Nation et son intégrité territoriale, de désobéir et de résister à tout individu ou groupe d’individu qui prend le pouvoir par la force ou l’exerce en violation des dispositions du présent Acte ».
L'Arrêt R.A. 266 de la Cour Suprême de Justice, Autorité compétence en la matière, rendu le 8 janvier 1993, reconnaissant la Constitution démocratique de la Transition issue de la CNS, intitulée "Acte portant dispositions constitutionnelles relatives à la période de Transition" comme la seule Constitution valable.
Je rappelle que je ne mens nullement concerné, de loin ou de près par la constitution en vigueur au Congo. Elle est rédigée par les Etranger et à l’Etranger. Elle a été critiquée par tous les Constitutionnalistes étrangers et congolais y compris de la famille politique d’hyppolite kanambe comme étant scélérate, vide de l’Ame bantoue, de notre DNA génétique propre, de notre vision de la réalité, de notre conception du pouvoir, de nos réalités politiques et sociales ; elle est un texte académique rédigé pour un pays anonyme et pour un peuple indéterminé et neutre.
2° Notre Leader Etienne Tshisekedi
Il ne cesse de nous répéter de nous prendre en charge, de prendre d’abord nous-mêmes la responsabilité et l’engagement de nous nous libérer ; de faire tout ce qui est nécessaire pour que l’Impérium de l’exercice du pouvoir que nous lui avons accordé le 28 Novembre 2011 devienne effectif.
Il a demandé à la Diaspora Congolaise, lors de la Messe du 7 Mars 2010, de sortir de nos salons pour faire le lobbying et poser des actes qui sensibilisent et mobilisent l’opinion internationale sur la Tragédie qui sévit au Congo.
Mon voyage à Nice
En Octobre 2011, les Partenaires de Nice m’ont contacté, selon leurs termes, en tant que « Congolais ; Membre de l’Intelligentsia Congolaise engagé depuis de nombreuses années dans le Combat pour l’Avènement d’un Etat de droit démocratique et en tant que l’un des Responsables politiques de l’UDPS » pour aller participer aux débats et négociations sur le thème suivant : « La Communauté Internationale face à la Tragédie congolaise ».
Je ne pouvais hésiter d’y aller. Je leur ai demandé de surseoir le débat et les négociations puisque que je ne serai disponible qu’après le 28 Novembre 2011 car je tenais à suivre le déroulement de l’Election Présidentielle programmée au Congo.
J’ai informé la Hiérarchie de mon Parti en Belgique et j’y suis allé en Janvier 2012, accompagné d’un 2ème Cadre du Parti choisi par moi-même.
Partout, mes préalables sont les mêmes pour que je commence les négociations : l’application des Résolutions de la CNS ; le triomphe de la Vérité des urnes et la reconnaissance effective du Président Elu.
Ces préalables, je tiens à ce qu’ils figurent même dans les textes. Et je me permets de signer en mon nom et au nom de mon Président et mon Leader pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté tôt ou tard. Quand les résultats écrits des négociations lui parviennent et s’il les refuse, je rentre chez les Partenaires pour que tous les résultats soient détruits.
Je n’ai signé avec tous les Partenaires rencontrés aucun document engageant et impliquant ma responsabilité, mon Parti et mon Leader sur la voie militaire.
Je ne condamne aucun de nos Compatriotes dans les différentes voies où ils se sont engagés pour libérer notre Patrie et notre Peuple. L’article 37 précité n’est pas restrictif sur les voies à utiliser pour résister et défendre notre liberté, la démocratie, nos aspirations légitimes et profondes, notre Patrie et notre Peuple. Aucun peuple dans le monde n’a fait face à un péril mortel, grave et généralisé avec un seul bâton à la main. Devant le péril nazi, les ennemis jurés (démocrates et communistes : Franklin Roosevelt, Winston Churchill et Staline) se sont coalisés. On ne soigne pas une septicémie en gardant le malade en ambulatoire et avec un seul antibiotique et on ne l’administre pas per os (par la bouche). Il est hospitalisé en Sois intensifs. Les antibiotiques sont cumulatifs (Gram + et Gram - et administrés par les perfusions pour qu’ils passent directement dans la voie centrale (voie sanguine), à mois que l’hémoculture et l’antibiogramme en décident autrement..
Je me donne un délai. Si je constate que les embûches et les obstacles qui s’érigent devant notre Victoire ne peuvent pas être vaincus par la seule voie et la seule stratégie adoptées par mon Parti, je démissionnerai publiquement et officiellement de toutes mes responsabilités dans le Parti pour m’engager sur des pistes inédites.
Je suis globalement très satisfait d’avoir rencontré les Partenaires de Nice, d’avoir travaillé avec eux, d’avoir fait ensemble avec eux le lobbying international pour la Cause congolaise.
Je suis convaincu que nos résultats dans leur entièreté rencontreront l’assentiment de nos Vrais Compatriotes car nous pourrons ainsi sortir de la Tragédie ; préserver et consolider notre libération ensemble avec nombreux Partenaires Internationaux et nous engager sur la voie de la construction nationale et du progrès.
Tous les résultats de Nice
J’ai fait 6 mois à Nice. Et puis j’ai beaucoup voyagé dans les autres pays. La synthèse de tous ces résultats doit d’abord être étudiée par une Commission de notre Bureau d’Etudes, Expertise et Stratégies (BEES), ensuite par tout le Bureau, ensuite soumise à la Hiérarchie du Parti en Belgique avant d’être envoyés à la Direction politique à Kinshasa.
Ngbanda, le Sisyphe Congolais
Ngbanda avait espéré être plébiscité Président de la République du Congo à l’issue des négociations de Nice. Ayant raté ce qu’il attendait, il s’est décidé de divulgué une partie des résultats de nos négociations pour pousser le Peuple Congolais à rejeter tous les résultats obtenus à Nice. A quelque chose malheur est bon : Il vient de révéler être :
Un agent de sûreté et d’informations très subtil d’hyppolite Kanambe. Il a infiltré les Forces de Changement. Il est très subtil car dans sa façon d’informer son Maître et l’opinion, il séduit et manipule les esprits faibles et naïfs et donne même l’impression d’aimer le Peuple Congolais et de se préoccuper du sort du Peuple Congolais plus que tout autre Congolais ne le fait.
Un serpent très venimeux mais charmeur. Il te mord, injecte en toi un venin très mortel mais tout en te charmant.
Un crocodile qui t’attaque, te tue et pendant qu’il est en train de te manger, il pleure par compassion pour toi. D’où l’expression « Les larmes du crocodile ».
Un clown, un fourbe, un manipulateur, un troubadour : c’est le Sisyphe Congolais.

Sisyphe dans la Mythologie Grecque
Sisyphe était, dans la mythologie grecque, le prototype même de l’homme rusé, manipulateur, roublard, troubadour et clown. Il était célèbre pour ses fourberies. Selon L’Illiade, Sisyphe habitait Ephyra, la future Corinthe, et était fils d’Ecole (ancêtre éponyme des Eoliens). Lorsque Zeus eut enlevé Egine, la fille du dieu-Fleuve Asopos, Sisyphe dénonça Zeus au père de la jeune fille, s’attirant ainsi la colère du roi des dieux (Zeus) qui décida de le tuer. Mais lorsque la Mort (Hadès) vint le chercher, Sisyphe parvint à tromper la Mort et réussit même à l’enchaîner. Et donc pendant un temps, personne ne mourut sur terre.
Il fallut qu’Hermès descendît sur terre au secours de la Mort (Hadès) pour convaincre Sisyphe de relâcher la Mort. Sisyphe dut se soumettre. Et comme il avait relâché la Mort venue le chercher, il devait mourir lui-même. Toutefois, avant d’expirer, il profita d’un très court instant dont il disposait encore sur terre pour inventer une nouvelle fourberie et se moquer de dieux. Il prit soin auparavant d’ordonner à son épouse, la Pléiade Mérope, de ne pas célébrer les sacrifices rituels et de laisser son corps sans sépulture : ce fait constituait une impiété aux yeux des dieux.
Lorsque Sisyphe arriva aux Enfers, on lui donna la permission de retourner sur terre avant de le châtier de cette impiété afin qu’il remplisse toutes ces exigences. Une fois rentré chez-lui, Sisyphe se moqua de dieux et ne remplit pas ces exigences. Il reprit son existence comme si rien n’était, peu soucieux de retourner chez Hadès (la Mort) et vécut jusqu’à un âge très avancé.
Pour la seconde fois, les dieux lui envoyèrent Hadès (la Mort) avec des instructions précises de surprendre Sisyphe. Sisyphe mourut pour la seconde fois sans avoir eu cette fois-ci le temps d’inventer une quelconque fourberie.
Les dieux lui imposèrent une peine qui ne pouvait lui laisser aucun instant libre pour inventer encore d’autres fourberies et s’évader: ils lui imposèrent un châtiment qui prit tout son temps : le châtiment consistait à rouler sans arrêt et éternellement un énorme rocher de la vallée jusqu’au sommet de la montagne ; et quand il arrivait au sommet de la montagne, le rocher rentrait précipitamment dans la vallée, et Sisyphe devait ainsi recommencer sans fin et sans aucun instant de repos. Et pendant tout ce temps, les Furies le fouettaient. Les Furies étaient les redoutables déesses qui recherchaient les coupables sur terre et leur infligeaient des châtiments après leur mort. Sisyphe fut ainsi puni à jamais pour avoir osé berner les dieux lors de sa première mort et enchaîner la Mort (Hadès).
Mais pourquoi les dieux lui avaient-ils envoyé uniquement Hermès pour le persuader et le convaincre de relâcher la Mort ? Hermès était le dieu charmeur, le dieu des bonnes affaires, des échanges, des transactions, des retrouvailles miraculeuses et de la persuasion. Il était le dieu des Marchés et le protecteur des Marchands et des Voleurs : double rôle relatif aux échanges tant honnêtes qu’abusifs.
Il transmettait la parole divine aux mortels, mais il fournissait aussi des informations sournoises, et même des mensonges et des duperies pour convaincre et remporter une transaction. Quand le silence intervient brusquement dans une conversation, les Grecs disent : « Hermès passe ». Il doit à ses talents en matière de communication son plus célèbre exploit : l’élimination du monstre Argos aux cent yeux. Il l’endormit en le berçant d’histoires avant de le tuer. D’où son épithète le plus courant « Tueur d’Argos ».
Il était le messager des dieux, toujours chaussé des sandales ailées et coiffé de chapeau de voyageur avec ou sans ailes, et portait un bâton de héraut qui pouvait faire office de baguette magique. Il était le dieu des voyageurs et des routiers. Sa stature s’élevait dans des carrefours. Il était le Guide des âmes car il escortait les âmes jusque dans le monde des Enfers. Il avait inventé la lyre et savait s’en servir.
Il avait un jour trouvé une tortue à l’entrée de la caverne où il était né (il était fils de Zeus et de Maïa). Il avait tendu une peau sur sa carapace qu’il avait vidée, fabriqué des cordes avec des intestins de bœufs et un joug, et il s’était mis à jouer immédiatement à ses parents un hymne espiègle et érotique.
Le soir de ce même jour, Hermès vola les bœufs d’Apollon en les faisant marcher à reculons pour tromper leur propriétaire. Il s’était même confectionné les chaussures spéciales pour mieux le duper. Apollon le rattrapa et le traîna devant Zeus et réclama qu’il soit puni. Hermès commença par mentir et se retrancha devant son jeune âge, puis il tira de sa lyre des sons si merveilleux qu’Apollon accepta l’instrument en cadeau et, en échange, renonça à sa plainte. Hermès était l’une des divinités protectrices de la maison. Une stature élevée à la porte de la maison était censée apporter de la chance.

Fait le 28 Janvier 2013.
Dr François Tshipamba Mpuila

_________________
Pour le Bureau d’études, expertise et stratégies de l’UDPS
Dr François Tshipamba Mpuila Coordonnateur
Contact : GSM 0032-485-270-866 ; Tél : 0032-16-60-70-86 ; E-mail : tshipambampuila@yahoo.fr
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

Jean-Pierre Mbelu parle du Traité de Nice, le tribalisme et de l'avenir de l’Union Africaine.

http://www.udps.be/udps/index.php/utili ... -africaine
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UK, Londres : Le colonel BOSOKA très en colère contre la poissonnerie facile de Ngbanda

http://www.congomikili.com/uk-londres-l ... e-ngbanda/
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Message par Ilunga »

LA FILLE DE NGBANDA RECHERCHE PAR LES COMBATTANTS DE JOBURG

http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... GxIvoy21Ig#!
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Message par Erka »

Certaines videos de nos compatriotes polluent le net pour rien. C'est du gaspillage de bande passante.
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

ERKA,

Bana Al Qaida d'Afrique du sud sont déterminés d'en finir avec l'Apareco et Honoré Ngbanda, complice et informateur de Kanambe et ses amis du Sénat, les mobutistes Mokolo Wa Mpombo, Kengo etc...






Bana Al Quaïda parlent des 19 combattants arrêtés et de leur détermination à tuer Kabila

http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... 4C3VjbeU8Y#!
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

En fuite de l'hôpital psychiatrique 1neveu de Ngbanda accuse son oncle d'être indicateur de Kabila

http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... Wjp7Gj9Uec
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Re: L'histoire «Mateba»

Message par Ilunga »

oalpha55 il y a 34 minutes
NGBANDA NA SIDATIQUE NAYE OYO SOKI IKALA BAZA NA PASI!TALA MUTU MOBIMBA SANTE ETIKALI KAKA KABAKATA YA MUTU, SIKOYO OMONI NDENGE LOKUTA NABANGO NA NGBANDA NDENGE EBIMI NA PUASA? BASUKI NABANGO KIEKEIKIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE­EEEEE.
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Message par Ilunga »

http://afrique.kongotimes.info/rdc/dias ... e-cns.html



Massacres des 16 février et 1er mars 1992 : Une farce signée TERMINATOR HONORE NGBANDA et sa maitresse Candide OKEKE
11/02/2013 07:24:00KongoTimes!

TERMINATOR HONORE NGBANDA

Depuis la publication du soi-disant traité de NICE, pour renverser Hippolyte KANAMBE alias «Joseph KABILA», l'imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa, Honoré NGBANDA alias TERMINATOR, président de l’APARECO, fait tout pour se blanchir et noyer, ou noircir les autres . Voici encore, il revient avec ces vieux faux rapport de l'époque du dictateur MOBUTU, où tout était falsifié, par des spécialistes mobutistes qui manipulaient les documents pour couvrir la vérité (…) Donc Honoré NGBANDA alias TERMINATOR peut tout mais, il sera toujours poursuivi.

Le TERMINATOR s'appui sur le rapport de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) pour se blanchir, mais les mêmes rapports ne disent rien sur les faits gratuits qu'il impute sur le dos d’Etienne TSHISEKEDI. Sur base de quel rapport s'attaque-t-il à TSHISEKEDI, en l'accusant d'avoir tué Patrice EMERY LUMUMBA et les autres. Si lui est blanchi par la CNS que lui même et MOBUTU ne voulait jamais dire SOUVERAIN, il veut se blanchir et noircir TSHISEKEDI, au moment où la CNS ne dit rien… Comment peut-il se blanchir en s'appuyant sur les rapports de la CNS ? Mais les mêmes rapports blanchit Etienne TSHISEKEDI que lui le TERMINATOR HONORE NGBANDA condamne, deux poids, deux mesures.

Le TERMINATOR qui couche avec Candide OKEKE (sa conseillère principale), veut nous distraire comme vrai agent de RWANDAIS. Massacres des 16 février et 1er mars 1992, une farce signée TERMINATOR HONORE NGBANDA et sa maitresse Candide OKEKE.

[Internaute congolais]

Ci-dessous nous publions l’intégralité de la farce signée TERMINATOR HONORE NGBANDA et sa maitresse Candide OKEKE

RAPPEL - Journées du 16 février et 1e mars 1992 : Que dit le rapport d’enquête de la CNS ?
1. Extrait de l’interview accordée par Monsieur Honoré Ngbanda à Congoindependant le 8 fevrier 2009

Les archives parlent d’eux- mêmes…
« Je renvoie les sceptiques aux archives officielles contenant les procès-verbaux des différents Conseils du gouvernement. Mr Léon Botolo qui fut à l’époque des faits Secrétaire du gouvernement, et donc rédacteur du procès verbal de la réunion du vendredi 14 février est encore vivant à Kinshasa. Que je sache, les archives n’ont jamais été détruites. On peut donc les consulter. Alors on s’y apercevra que pour ces manifestations-là du 16 février, ce n’est pas le ministre de la Défense nationale Ngbanda que le gouvernement avait chargé de superviser cette manifestation, mais bien le ministre de l’Intérieur Mandungu Bula Nyati qui avait dans ses attributions le maintien de l’ordre public. Et quand ce drame s’est produit, le président de la Conférence nationale souveraine (CNS), Monseigneur Laurent Monsengwo, avait géré ce dossier avec mon collègue Mandungu qui était, avec le gouverneur de la ville de Kinshasa, sur les lieux du drame.

Enfin, lors du Conseil du gouvernement du vendredi 21 février qui a suivi l’incident, c’est le ministre de l’Intérieur Mandungu (et non le ministre de la Défense Ngbanda) qui a rendu compte aux membres du Conseil du déroulement des faits sur le terrain. C’est lui qui a été chargé de conduire l’enquête jusqu’au bout. Les documents officiels sont là sur place à Kinshasa,(…) »

2. Extrait de l’article de L’ŒIL du Patriote diffusé le 8 février 2012
(…) Alors que de nombreux chrétiens se mobilisent pour marcher le 16 février prochain, L’ŒIL DU PATRIOTE a également choisi de lever le voile pour de nombreux congolais sur un autre aspect de ce que fut réellement la journée du 16 Février 1992. Et surtout sur ce qu’a révélé l’enquête menée par la CNS à propos de cette journée qui s’est avérée tragique pour plusieurs de nos compatriotes.

Journées du 16 février et 1e mars 1992 : Que dit le rapport d’enquête de la CNS ?
Nous avons en effet estimé que dans cette même dynamique de la volonté de rétablir la vérité tant des urnes que de l’histoire de notre pays, il conviendrait d’apporter à certains congolais la possibilité de rétablir également la vérité sur les responsabilités réelles, qu’elles soient collectives ou individuelles, concernant l’affaire dite du «Massacre des chrétiens du 16 février 1992».

En République Démocratique du Congo, alors République du Zaïre, au courant de l’année 1994, toujours dans ce même souci de rétablir la vérité historique sur les grands événements ou drames politiques de notre pays, et cela face aux nombreuses versions des faits fondées sur des rumeurs, des désinformations voir des diffamations et des mensonges souvent colportés par la puissante «radio trottoir» dont raffolent nos populations, la Conférence Nationale Souveraine dont l’hostilité vis-à-vis de MOBUTU et ses proches n’a fait l’ombre d’aucun doute, a constitué des Commissions d’enquête pour examiner à la loupe tous les crimes commis dans notre pays depuis son accession à l’indépendance en 1960 jusqu’à la tenue de la CNS en 1994. Les conclusions des enquêtes sur chaque crime important de l’histoire de notre pays ont été rendues publiques dans un volumineux rapport officiel de la CNS.

Pour l’édification de tous nos lecteurs, nous reproduisons en annexe un extrait du chapitre intitulé « massacres des 16 février et 1e Mars 1992» contenu dans les pages 147, 148 et 149. Ce chapitre est contenu dans la Seconde partie du précieux rapport, que nous avons jugé opportun de rechercher et provient de la fameuse « Commission des assassinats et des violations des Droits de l’Homme ». Le document est d’ailleurs signé à la fin par Messieurs Kasusula Djema Lokali (Président) et le Docteur Kabamba Mbwembwe.

Dans sa partie concernant uniquement la journée du 16 février 1992, le rapport contient 4 parties : 1) L’exposé des faits, 2) Les responsabilités, 3) Les recommandations et enfin la liste des victimes de la journée du 16 février 1992. La partie du rapport concernant l’établissement des responsabilités a retenu notre attention particulière compte tenu des nombreuses rumeurs et ragots répandus dans tous les sens et entretenus au sein de la population congolaise par certains milieux politiques pour des raisons purement machiavéliques et politiciennes. Beaucoup de Congolais parlent des « massacres du 16 février », mais très peu parmi eux ont eu accès aux conclusions d’une enquête officielle et publique où l’appel à témoin avait été lancé à travers toute la ville de Kinshasa, et durant laquelle toutes les autorités tant politiques que militaires présumées impliquées ou concernées par cette affaire ont été convoquées et entendues par la Commission d’enquête sous procès-verbal.

Nous prévenons nos lecteurs que c’est nous qui avons pris soin de souligner les passages jugés par nous importants dans cet extrait de rapport que nous publions ci-dessous, afin d’attirer leur attention sur des faits qui contribuent à rétablir la vérité et à dissiper des rumeurs qui alimentent l’opinion populaire. A titre d’exemple, s’agissant de la responsabilité du massacre, les enquêteurs de la CNS ont conclu, après audition de plusieurs hauts responsables politiques et militaires, à 2 sortes de responsabilités : la responsabilité collective d’abord et les responsabilités individuelles ensuite. Ainsi, dans leur verdict sur l’identification des responsables de massacre du 16 février 1992, il est stipulé ce qui suit : «...La responsabilité des massacres incombe collectivement au Gouvernement NGUNZ et individuellement au Commissaire d’Etat à l’Administration du Territoire, Monsieur MANDUNGU BULA NYATI, et au Gouverneur de la Ville de Kinshasa, Monsieur KIBABU MADIATA NZAU » (sic).

Cette conclusion des enquêteurs provient certes de la déposition lors d’interrogatoire des autorités politiques et militaires qui avaient directement dirigé les opérations sur le terrain. En effet, le Gouverneur de la ville, Monsieur KIBABU « qui a avancé le chiffre de 17 mort (…) a également reconnu qu’avant d’agir, il se référait à l’autorité hiérarchique dont il dépendait » (sic). D’autre part, la Commission de la CNS atteste que le Commandant de la ville de Kinshasa (le Général BOLOZI ) qui a reconnu qu’il dirigeait les opérations à partir des commandants des Unités sur le terrain, a cependant précisé que « l’appréciation du danger était laissée à chaque commandant dans son secteur d’action ». Les enquêteurs da la Commission, parmi lesquels on comptait des brillants magistrats, des officiers des FAZ (révoqués, et souvent aigris vis-à-vis du pouvoir en place), des opposants politiques farouches à Mobutu et à ses proches…, n’ont pas tergiversé à établir clairement le niveau réel de responsabilité de ces crimes.

L’APARECO souhaite que l’effort pour la quête de la vérité, toute la vérité, soit fortement encouragé par l’Église catholique ainsi que par toutes les autres églises de notre pays. Car la vérité fait partie des attributs de Dieu. Et seul ce qui est bâtie sur la vérité est durable. Le contraire n’est que vanité et poursuite du vent…

Paris, le 8 février 2012

Candide OKEKE

L’ŒIL DU PATRIOTE

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Annexe : Extrait du rapport officiel de la CNS (Conférence Nationale Souveraine) / « Commission des assassinats et des violations des Droits de l’Homme » pages 147,148 & 149

MASSACRES DES 16 FEVRIER ET 1ER MARS 1992

1. Exposé des faits
Les massacres des 16 février et de 1er mars 1992 ont eu lieu à Kinshasa lors des marches pacifiques organisées par les chrétiens, toutes confessions confondues.

En effet, à la suite de la suspension, le 19 janvier 1992, des travaux de la Conférence Nationale Souveraine par le Gouvernement NGUZ, divers mouvements de grève généralisée se succédèrent à Kinshasa jusqu’à aller aux journées dites de ville morte.

Après ces grèves, les chrétiens de Kinshasa avaient décidé d’organiser une première marche le 16 février 1992 et une seconde le 1er mars 1992 pour manifester leur mécontentement au refus opiniâtre du Gouvernement NGUZ qui s’opposait à rouvrir les travaux de la Conférence Nationale Souveraine.

La coordination laïque de Kinshasa, ayant à sa tête Monsieur LUMBI Pierre, avait adressé en date du 8 février 1992, une lettre par laquelle elle demandait l’autorisation de la marche auprès de Monsieur KIBABU MADIATA NZAU. Celui-ci avait répondu le 10 février 1992 interdisant la marche projetée pour la date du 16 février 1992. Cette interdiction fut suivie d’un communiqué radio-télévisé.

…/…

-148-

Sans coup férir, les Chrétiens avaient maintenu leur décision d’organiser la marche. Ainsi, le 16 février 1992, à la sortie de la Messe ou du Culte, les Chrétiens formèrent des colonnes et s’ébranlèrent vers les différents points de ralliement, ayant entre leurs mains, des Bibles et des Chapelets et chantant.

Mettant à exécution sa décision de réprimer sauvagement la marche, le gouvernement par le biais du Gouverneur de la ville de Kinshasa donne l’ordre aux militaires de tirer avec les armes à feu, semant la mort et la désolation parmi les foules. La liste des personnes tuées, parmi lesquelles les enfants, est reprise à l’annexe ....

En ce qui concerne la marche du 1er mars 1992, il y a lieu de signaler qu’il y a eu un mort.

2. Responsabilités
Le gouverneur KIBABU qui a avancé le chiffre de 17 morts a reconnu que l’usage des armes n’était pas précédé d’une sommation. Il a également précisé qu’avant d’agir, il se référait à l’autorité hiérarchique dont il dépendait.

Selon le Général de Division BOLOZI, Commandant de la ville de Kinshasa, la réquisition du Gouverneur de la ville a été faite verbalement et les unités ci-après avaient participé à l’opération destinée à empêcher la manifestation : la gendarmerie nationale, la Force navale, la Force aérienne, le SARM, la D.S.P., la Garde Civile, le SNIP. Il avait précisé à votre Commission que, dirigeant des opérations à partir des commandants des unités sur le terrain, il avait donné l’ordre de ne pas tirer sur les manifestants et signalé que s’il y a eu des tirs, c’est suite au débordement des foules, l’appréciation du danger étant laissée à chaque Commandant dans son secteur d’action.

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- 149 -

Le Major NGUATO KUSOMBI, Commandant du 1er Détachement régional de Paix-Ville de Kinshasa, a révélé qu’il y a eu des gens qui circulaient dans des véhicules Pajero et Niva et qui tiraient dans la foule.

Les manifestants n’étant pas armés, la responsabilité des massacres incombe collectivement au Gouvernement NGUZ et individuellement au Commissaire d’Etat à l’Administration du Territoire, Monsieur MANDUNGU BULA NYATI et au Gouverneur de la ville de Kinshasa, Monsieur KIBABU MADIATA NZAU.

Plusieurs personnes avaient été arrêtées lors de la marche du 16 février 1992 et gardées au cachot pendant plusieurs jours.

Le Lieutenant MOBA POWA, Officier des Renseignements de la IIème Circonscription militaire a reconnu la pratique qui consiste à garder les personnes arrêtées au cachot plus de 48 heures, délai imparti par la loi, endéans lequel le détenu doit être dirigé devant un Officier du Ministère Public. Il a également déclaré qu’il n’est pas actuellement permis à un Officier-OPJ de transmettre le dossier d’un prévenu sans l’avis de la hiérarchie.

RECOMANDATIONS
La Commission propose à la Conférence Nationale Souveraine de prendre une résolution instruisant tous les Officiers de Police Judiciaire à compétence générale ou retreinte tant civile que militaires à transmettre leurs procès verbaux à l’Officier du Ministère Public compétent sans avis de quelque autorité hiérarchique.

Une loi devra également sanctionner toute autorité hiérarchique d’un O.P.J. qui contreviendrait à cette recommandation. Une autre loi devra aussi autoriser une action directe en faveur de la victime d’une arrestation arbitraire.

LISTE DES VICTIMES DE LA REPRESSION DE LA MARCHE DU 16 FEVRIER 1992 DANS LA VILLE DE KINSHASA

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