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wana eza ko seka ya moto akweyi na velo meneur de jeu ya leopards abetaka na 2ème division ya championnat manzengele mbokani akosa yo té ndeko toza na ba pros ya malonga té ba série ba mukanya to ba kabongo bazo ya na équipe nationale o sentir penza que pros ayeeee oyo ya lelo mawa panga tala ndenge ba sambuisi muana ya luambo makiadi

kompany a écrit :wana eza ko seka ya moto akweyi na velo meneur de jeu ya leopards abetaka na 2ème division ya championnat manzengele mbokani akosa yo té ndeko toza na ba pros ya malonga té ba série ba mukanya to ba kabongo bazo ya na équipe nationale o sentir penza que pros ayeeee oyo ya lelo mawa panga tala ndenge ba sambuisi muana ya luambo makiadi

mbata oyo nouzaret azui... ako reagir kala tsée.. ye moko akoya kotala ba prof na mikili.. le ptit makiadi.. est mal utilisé à l'E.N.. c'est comme si bozui taiwo bobetisi ye coe lateral droit(boyebisi ye ezali defense kaka).. si c'était claude le roi.. mais le ptit alingaki azala bien utilisé.. mais ske son pere richard mapuata a-t-il des antecedents avk notre pays? yango muana na ye azali kofuta masumu ou koi??

Le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Claude Nyamugabo, a conféré le mardi 7 septembre dans son cabinet de travail avec certains membres du mouvement sportif congolais. Une rencontre qui fait suite à la débâcle, dimanche 5 septembre dernier à Lubumbashi, de l’équipe nationale congolaise, les Léopards football, face aux Lions de la Teranga (2-4), en match de la 1e journée des éliminatoires CAN-2012.Parmi les participants à cette rencontre, l’on a noté la présence du comité olympique congolais, des représentants des clubs (Dragons, DCMP, V. Club, Mazembe, Lupopo, Bukavu Dawa) et de quelques analystes sportifs tels, Kabala Mwana Mbuyi et François Siki.

Des propositions ont été faites pour sortir le football congolais de la situation dans laquelle il se trouve actuellement.

Cette rencontre devra se poursuivre jeudi 8 septembre au cabinet du ministre avec, cette fois ci, les membres du comité exécutif de la Fecofa (Fédération congolaise de football association).

Copyright Radio Okapi

Ils ont beau se réunir mais ce que le peuple veut c'est au minimum LA DEMISSION du Comité exécutif de la FECOFA avec sa "crasse" personnalisée à sa tête, OMARI...

OMARI est coincé...Cette fois il ne nous échappera pas...On le tient...




SPORTS ET SPECTACLES

Débâcle des Léopards

Le ministre Claude Nyamugabo placé devant ses responsabilités

Par Aimè katumba





Après avoir constaté l’incapacité de la Fecofa d’insuffler un élan de développement au football congolais, le mouvement sportif exige au gouvernement de prendre ses responsabilités.

L’étau continue à se resserrer autour de Constant Omari Selemani, président du comité exécutif de la Fédération congolaise de football association (Fecofa) après l’humiliante défaite (2-4) subie par les Léopards en ouverture des éliminatoires de la CAN 2012. A l’instar du public du stade Kibasa Maliba le dimanche 5 septembre, le mouvement sportif congolais exige, à son tour, purement et simplement la démission du comité exécutif de la Fecofa.

A l’issue d’une séance de travail le mardi 7 septembre au ministère de la jeunesse et des sports, les représentants du mouvement sportif congolais ont, à l’unanimité, exigé au gouvernement de prendre ses responsabilités. La séance de travail a été convoquée à l’initiative du ministre de la jeunesse et des sports Claude Bazibuhe Nyamugabo. La démission du comité exécutif est considérée comme l’unique option envisageable au regard de la situation dans laquelle se trouve le football congolais après environ dix ans d’une gestion calamiteuse.

Dirigeants de grands clubs de la capitale, anciens dirigeants des entités, journalistes, animateurs des structures de soutien à l’équipe nationale… ont pris part à la réunion. En initiant cette rencontre, le ministre Claude Nyamugabo a voulu s’imprégner des maux qui rongent le football au Congo démocratique. Après des échanges, il est apparu que la Fecofa est seule responsable de la descente aux enfers des Léopards.

Organe technique du gouvernement, la structure a toujours avancer des subterfuges pour échapper au contrôle de l’Etat afin de cacher sa mégestion. Dans son fonctionnement, la Fecofa s’illustre par le non-respect des textes. C’est la seule fédération du pays qui fonctionne avec deux statuts, ceux adoptés à Mbandaka en 2005 et ceux de 2007calqués sur les statuts de la Fifa avec un président, six vice-présidents et six membres. La différence est qu’à la Fifa, les vice-présidents et les membres représentent les six confédérations. A la Fecofa, ils ne représentent rien. Par ailleurs, les textes sont appliqués selon l’humeur du président.

La même absence d’organisation et de planification est remarquée dans la gestion des compétitions et des sélections. Celles-ci voient leur niveau régresser année après année sans qu’aucune initiative ne soit prise pour arrêter cette descente aux enfers. Dans l’autre sens, l’équipe dirigeante de l’instance a imaginé des mécanismes pour se maintenir le plus longtemps possible aux affaires en dépit de son incapacité à proposer une politique de redressement. C’est pourquoi, l’opinion sportive dans une large majorité demande au gouvernement de s’impliquer afin d’arrêter l’hémorragie.

Demission liboso, bapesi yo kaka branche moko veut dire football ozo koka te quand tu vois le DCMP faire un voyage très bien organisé au Niger ozo sentir que baleki Fecofa, soki omoni V.club en stage de preparation au Cameroun, ozo sentir que baleki Fecofa c'est donc un problème d'homme incompétent à la tête de la Fécofa. Faire voyager les leopards le jour du Match vers le Nigeria eza kindoki Monsieur Moderne ekozala kitoko otika ebonga na yo.

Article marrant et drole...

Constant Omari, la dérive



Tout a une fin. Personne ne peut croire se moquer de tout un peuple pendant tout le temps. Depuis qu’il préside aux destinées de la Fédération congolaise de football, Constant Omari est toujours au centre de la polémique. L’opinion se pose la question de savoir comment y est-il arrivé. Selon des bribes d’informations, il serait entré à la fédération congolaise de football comme représentant du Maniema. En quelle qualité ? Mystère ! Tout ce qu’on sait, c’est que dans la capitale, il a longtemps dirigé le club de basketball de l’Office national de transport (Onatra).

Il est passé miraculeusement du basketball au sommet du football congolais. Là n’est pas le vrai problème. Si Omari s’était comporté en un sage parvenu à la fédération congolaise de football (Fecofa), on ne lui chercherait pas de poux sur la tête. Mais l’homme, impressionnant par sa taille, a commencé à tout regarder en-dessous de lui. Comme il se croit tout permis, il est le seul président de la Fecofa qui pouvait se permettre de changer les règlements des compétitions au gré de ses humeurs et de ses intérêts. C’est sous le mandat de Constant Omari que dans une compétition, une équipe éliminée au premier tour, se voit sacrée championne de la même compétition. Ce qui est impossible ailleurs, a été possible dans la logique " omarienne ".

A ce titre, Omari n’arrive même pas à la cheville de Papa François Kalala, fondateur de l’As Dragons de Kinshasa qui, alors présidait aux destinées de l’Association royale sportive congolaise (ARSC) ancêtre de la Fecofa actuelle, n’avait pas hésité à reléguer son équipe au parc. En faveur de la même équipe qu’il supporte de la plus basse manière, Constant Omari a manipulé le règlement de la Coupe du Congo plus d’une fois. Il a tenté de changer les terrains de jeu en pleine compétition de la Linafoot. Le sport, le football en particulier, est une école de loyauté, de discipline. Lorsqu’on déroge à ses sacro-saintes règles, on court vers la dérive.

On peut, le hasard aidant, aligner quelques résultats, mais on finit par être rattrapé par la logique. Sous Omari, le football congolais passe son plus mauvais moment après les " Simba " qui avaient amorcé le réveil de l’équipe nationale de football. Constant Omari par son affairisme, a ramené l’équipe nationale de la Rdc plusieurs années en arrière jusqu’à l’époque où cette équipe avait essuyé at home un cinglant 3-0 face aux Ghanéens. Constant Omari, partisan " du hasard heureux ", y a fondé sa politique sportive. On l’a vu tout heureux danser " mpunda " pour célébrer une victoire de TP Mazembe pour laquelle il n’avait aucun mérite. Il avait également mis à son actif le sacre des Léopards locaux au Chan.

Il s’est vu au sommet de la gloire. Voici maintenant l’impitoyable retour de la manivelle. Les Léopards de moins de 17 ans se font corriger à domicile par les Maliens par 4 buts à 1. Comme il n’y a pas un sans deux, le dimanche dernier, c’était la douche froide et humiliante pour les Léopards séniors. La pilule est trop amère pour être avalée sans rechigner. Le peuple congolais, valablement représenté par les vaillants et très sportifs lushois, a scandé en chœur " Omari démission ". Il est sans excuse. Alors que la compétition s’approchait, Omari faisait les affaires ailleurs. Il a laissé au pays une liste de 30 candidats sélectionneurs. A une semaine de la compétition, il a présenté un sélectionneur au gouvernement. C’est la veille du match qu’il amène son équipe à Lubumbashi, pratiquement le même jour que l’équipe sénégalaise qui venait d’une longue préparation en France. Omari doit démissionner pour l’amour du Congo. Adieu Constant Omari de triste mémoire. Aidez les Congolais à vous oublier.

Joachim Diana G.

http://groupelavenir.cd/spip.php?article35052

Je salue ces journalistes qui prenent cette responsabilité de s'attaquer ouvertement à ce mal du foot congolais. Dans une démocratie que nous revons tant, le journaliste d'investigation est celui qui dénonce le mal qui ronge une société, il met à nu la mégestion des dirigeants. Grace à ces articles, la population qui est informée,met une pression sur les decideurs pour non seulement bouter dehors, mais traduire devant la justice les malfaiteurs.
Avec Omari, les dossiers ne manquent pas; des dossiers qu'on pourra brandir à la FIFA quand cette dernière nous accusera d'ingérence. Affaire DCMP, affaire V Club, que dire des fonds dont on ignore la destination, le désordre caractéristique, la descente aux enfers du foot. Tant de dossiers. Alors chers journalistes, ne lachez rien jusqu'à ce que cet homme tombe. Si le ministre n'exige pas en sous main la démission de cet homme d'OMARI, influencez le président de la République. Au Nigeria, le président s'est impliqué; en France également Sarkozy s'est immiscé. Alors pas question de lacher!!
Courage et ça ne sera qu'en votre honneur.

Voici un commentaire d'un internaute pioché dans "Irisfootball"...ça vaut le détour...



« En plus de 05 matchs disputés, nous avons présenté une équipe avec plus de 05 visages différents ! C'est normal qu'au moment de l'accouchement de madame léopard que nous puissions nous rendre compte qu'elle a accouchée d'un monstre apocalyptique !!! Je vais m'attarder sur quelques joueurs qui selon moi n'avaient guère de prédisposition morale et même physique pour aborder ce match. 1)Bedi Mbenza venait de perdre sa fille de près d'une année au courant de la semaine du match (l'enterrement avait eu lieu le mercredi soit 72h avant le match) quid sur son état psychologique... 2) Alain Carré revient fraîchement d'un test à Arles Avignon et à regagné le pays il y a juste quelques jours quid sur son état physique... 3) Nkulukuta le même Santos l'avait mis de côté à la Chan au détriment de Mabele après ses erreurs face au Ghana dans la phase des poules et ce même Santos le reprends encore et cette fois-ci comme titulaire !!! Son poids aussi ne pouvait faire mieux face à la vélocité de Moussa Sow qui pèse 2 fois plus que lui... (ça sent vraiment le retour des mauvaises pratiques des 10%) 4) Kidiaba ayant déjà encaissé 3 buts à Tunis et champion des erreurs basiques qu'un gardien normal ne ferai qu'une fois l'an... 5) Mihayo n'est pas le nouveau Tsholola? Après sa piètre prestation en Tunisie on ne pouvait mieux espérer... 5) Inconstant OMARI qui passe son temps à danser au Mpunda dans un bateau ivre avec son ami Jb Mpiana pendant que V club ne trouvait gain de cause face à Enymba, Les léopards n'avaient pas encore de sélectionneur et ni d'équipe type et sortait de deux absences consécutives à la CAN, 123è mondial dans le classement fifa, sans équipementier, sans projet attrayant pour la relance du football d'âge, sans un championnat digne de son nom... Notre football a simplement sombré sous l'ère du sois disant "Homme Moderne" qui a plutôt ramené l'organisation de notre football sous l'ère de la pierre taillée... SVP Mr Inconstant ayez le courage de Jean Pierre Escallette qui, après la déroute de la France an Afrique du Sud avait rendu le tablier ? Vous n'êtes pas la seule personne qui maîtrise les rouages d'une instance footballistique ici au congo? Après autant de débâcles, il serait impérieux de demissionner de votre poste sinon ce peuple que l'on croit par inadvertance "NAIF" se réveillera tel un SEUL HOMME pour se faire JUSTICE !!! A bon entendeur !!! >»

Toussaint, Kin