pkoi nzila fanane ne commente plus les match?? et pourtant c'est lui qui est connu na fifa.. donc chargé de la pressekompany a écrit :je ne veux ni voir omari ni entendre ce c.. de kabulo....yango na rtnc,les journalistes compétents sont en option ou comment![]()
![]()
![]()
![]()
kabulo asala leche C.... ya mobutu...ensuite de kabila père....est venu le tour de kabila fils....et maintenant du gouverantor du katanga![]()
![]()
![]()
ti lelo a nginda kaka té![]()
![]()
tjrs aucune amélioration de sa part
![]()
il commente un match comme un fanatique
hors,vu sa fonction,il se doit d'être mesuré et pondéré
![]()
![]()
OMARI demission !!!
-
- U17
- Messages : 1948
- Enregistré le : 16 nov. 2007, 09:21
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
NZAMBE AKOKUEYAKA TSEEEEE TOYEBA.... NZAMBE AKOLONGAKA KAKA
-
- Messages : 77
- Enregistré le : 01 sept. 2010, 19:15
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Nous avons un peuple très naïfs, pourquoi jusqu’à présent le peuple n’a pas encore organisé une marche pacifique au siège local de la FIFA, pour manifester le mécontentement contre la décision prise à l’endroit de Mputu et Lusadisu ?.
KASONGO A. PATRICK, Bujumbura Burundi
Mon frere Kasongo, il ne faut jamais envisager cette hypothese. Ces joueurs ont prefere satisfaire les interets de leur comite sportif au moment ou le pays avait besoin d'eux en Autriche. Quelque part, ils ont contribue aux problemes que nous deploront aujourd'hui. Si vous avez l'intention d'organiser une marche, l'idee est bonne mais faites le avec les fans de Mazembe qui bene ficient des bienfaits de leur dieu Moise, il ne faut pas impliquer la nation congolaise dans cette betise.
KASONGO A. PATRICK, Bujumbura Burundi
Mon frere Kasongo, il ne faut jamais envisager cette hypothese. Ces joueurs ont prefere satisfaire les interets de leur comite sportif au moment ou le pays avait besoin d'eux en Autriche. Quelque part, ils ont contribue aux problemes que nous deploront aujourd'hui. Si vous avez l'intention d'organiser une marche, l'idee est bonne mais faites le avec les fans de Mazembe qui bene ficient des bienfaits de leur dieu Moise, il ne faut pas impliquer la nation congolaise dans cette betise.
-
- Professionnel
- Messages : 3815
- Enregistré le : 28 nov. 2007, 12:44
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
De quelle betise tu parles? Saches que si c'etait à kin, ton homme moderne allait connaitre pire!l'homme a écrit :Nous avons un peuple très naïfs, pourquoi jusqu’à présent le peuple n’a pas encore organisé une marche pacifique au siège local de la FIFA, pour manifester le mécontentement contre la décision prise à l’endroit de Mputu et Lusadisu ?.
KASONGO A. PATRICK, Bujumbura Burundi
Mon frere Kasongo, il ne faut jamais envisager cette hypothese. Ces joueurs ont prefere satisfaire les interets de leur comite sportif au moment ou le pays avait besoin d'eux en Autriche. Quelque part, ils ont contribue aux problemes que nous deploront aujourd'hui. Si vous avez l'intention d'organiser une marche, l'idee est bonne mais faites le avec les fans de Mazembe qui bene ficient des bienfaits de leur dieu Moise, il ne faut pas impliquer la nation congolaise dans cette betise.
- Djima
- U15
- Messages : 1272
- Enregistré le : 16 oct. 2007, 17:11
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Je te jure, il est d'une MEDIOCRITE CRIANTE...kompany a écrit :je ne veux ni voir omari ni entendre ce c.. de kabulo....yango na rtnc,les journalistes compétents sont en option ou comment![]()
![]()
![]()
![]()
kabulo asala leche C.... ya mobutu...ensuite de kabila père....est venu le tour de kabila fils....et maintenant du gouverantor du katanga![]()
![]()
![]()
ti lelo a nginda kaka té![]()
![]()
tjrs aucune amélioration de sa part
![]()
il commente un match comme un fanatique
hors,vu sa fonction,il se doit d'être mesuré et pondéré
![]()
![]()
Un sot savant est plus sot qu'un sot ignorant.
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Lisez cet article de "Irisfootball"...kie kie kie kie kie...Il parle de mon idée sur le risque d'un 4 janvier 1959...Mine de rien, la situation est mûre pour une explosion des supporters congolais des leopard et ils sont nombreux...Une prochaine HUMILIATION sera la mèche qui va s'allumer et le feu risque de prendre autour de Matonge, Kalamu, Kasa-Vubu comme la fin de l'oppression coloniale...Les "joséphistes" sont prévenus, trop d'humiliations que subies ce peuple prendra fin bientôt et le football qui cristallise les passions de ce peuple est un terreau propice à cette explosion..."Le fusible OMARI" doit sauter vite et vite avant le voyage au pays de ETO'O Fils...ça URGE messieurs les "Joséphistes" !!!
Mr ROGER "de mes deux", transmettez ces doléances du peuple des "Sans Culottes" à qui vous savez...Le "Tiers-Etat" congolais s'énerve : "Ah ! ça ira ça ira ! Les aristocrates-joséphistes à la lanterne" !!!
Désillusion des Léopards, aucune réaction de la FECOFA
Publié le 08 septembre 2010
La désillusion des Léopards de la RDC face aux Lions de la Teranga continue à alimenter les diverses conversations des amoureux du ballon rond du pays. Personne ne croit à une qualification congolaise à la phase finale de la CAN 2012. Malgré la réaction du public au cours de la rencontre du dimanche 5 septembre dernière, le président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), Constant Omari garde silence comme si rien n’était.
De la 53ème place au classement FIFA avant l’arrivée de l’actuel comité de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), les Léopards ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes à la 126ème place que Constant Omari les a tirés aujourd’hui. L‘homme moderne est un parvenu dans le secteur du football. Pour preuve, il n’a jamais mis en place une vraie politique de développement du football au pays. Lui qui passe le plus clair de son temps dans des débits de boisson, à l’image de la veille du match RDC-Sénégal où ‘‘il est arrivée à son hôtel à 4 heures du matin sous les effets de l’alcool’’, a affirmé un témoin, Omari s’est rendu spécialiste des coups fourrés. Il s’en défend, l’homme est accusé d’avoir détourné la cagnotte (USD 148 000) destinée à V Club pour sa participation aux quarts des finales de la Coupe de la CAF. Après ses fiascos au basketball, l’homme réussit à intégrer le monde du sport roi congolais qu’il a pris en otage par ses élections non crédibles à la tête de la FECOFA (à Kisangani puis à Lubumbashi où il emmène ses électeurs à l’écart du public averti), dans l’objectif de réaliser ses ambitions le football congolais. Depuis, il s’accapare de tout, même si son bilan reste le pire qu’ait connu la RDC depuis 30 ans (malgré le succès épisodique des Léopards au CHAN (2009, sans les grands du football continental) et la bonne prestation de Mazembe sur l’échiquier continental, fruit attribué de notoriété publique au management moderne d’un homme, Moïse Katumbi chapwe. Mais Omari se bombe quand même le torse, sachant de son fort intérieur qu’il en est pour rien. Omari ne pourra-t-il pas s’inspirer des péripéties du football français ? Après des échecs similaires, le président de la Fédération française a rendu le tablier, le coach principal, Raymond Domenech a été remplacé par Laurent Blanc et des commissions spéciales continuent à plancher sur ce cuisant échec. Après tout ce qui arrive à la RDC, pourquoi Omari resterait-il encore sur l’avenue de la Justice.
Les revers lushois
‘‘Le revers enregistré face aux Lions de la Teranga vient de confirmer ce que tous connaissent : Omari a la mission de tuer le football congolais’’, s’égosillait un fan déconcerté. Au stade Kibasa Maliba, aux côtés du ministre de la Jeunesse et des Sports et du gouverneur du Katanga, l’homme moderne a eu la sueur froide lorsque le stade, comme un seul homme, scandait ‘‘Omari démission, Omari démission’’. C’est ce qui a justifié qu’en mauvais capitaine, il ne s’est pas réservé de quitter en catastrophe le stade et abandonner l’équipe dans son malheur. Avec un déficit de management ainsi que celui de tout son staff, Omari, cherchant un bouc émissaire pour couvrir son manque de management, a jugé utile de se séparer de Patrice Neveu, qui touchait mensuellement USD 25 000 pour engager un coach sans palmarès élogieux qui devra toucher USD 40 000. Neveu avait finalement acquis la maîtrise de son équipe, indique un de ses proches, ‘‘mais a été remercié par Omari, pour des intérêts égoïstes, comme si ce salaire sortirait de sa propre poche’’, s’est-il indigné, ajoutant qu’en France, le sélectionneur principal touche 50 000 Euros. Depuis l’avènement d’Omari à la tête de la FECOFA, c’est le dysfonctionnement total en ce qui concerne le football. La grande RDC brille par son absence, déjà à deux CAN de suite et est quasiment éliminée pour la troisième CAN. Bien que Constant Omari n’appréhende pas le concept de l’honneur, ne fut-ce que pour épargner son entourage de la honte, il devra démissionner après la grande désillusion de Lubumbashi. C’est ainsi que certains esprits bien avertis expliquent que Youssouf Mulumbu ait décliné l’offre de participer à la campagne africaine. L’international congolais a indexé la FECOFA pour son fonctionnement d’un autre âge. Et Mulumbu n’est pas seul. On se souvient du jeune Mwamba, aujourd’hui à Portsmouth (championnat anglais), qui est venu à ses propres frais mais n’a jamais été, ne fut-ce que, accueilli à l’aéroport de N’Djili ou à la fédération pour un entretien. Et d’autres encore.
Le gouvernement amorphe
La responsabilité revient aussi au gouvernement qui débourse des millions sans soumettre la FECOFA à l’obligation de résultat et ne ménage aucun effort pour mettre hors d’état de nuire un seul individu qui risque d’envoyer le peuple en colère dans la rue. Puisqu’il se barricade derrière les statuts d’ASBL de la FECOFA lorsqu’il doit se protéger de la furie des sportifs, seules les autorités peuvent le pousser à démission. Omari doit servir de fusible. Sans quoi, un jour, la situation risque de devenir incontrôlable. Le 4 janvier 1959 est un exemple. La résurrection du football congolais passe par sa démission et celle de ses complices. Cela permettra à la RDC de poursuivre la compétition dans un esprit apaisé, sans prétendre à de bons résultats, soit-il. Dieu seul sait pour quoi le match a été programme à Lubumbashi, heureusement pour Omari.
Irisfootball.com/ Olivier Sefu et John Mbuyi
Mr ROGER "de mes deux", transmettez ces doléances du peuple des "Sans Culottes" à qui vous savez...Le "Tiers-Etat" congolais s'énerve : "Ah ! ça ira ça ira ! Les aristocrates-joséphistes à la lanterne" !!!
Désillusion des Léopards, aucune réaction de la FECOFA
Publié le 08 septembre 2010
La désillusion des Léopards de la RDC face aux Lions de la Teranga continue à alimenter les diverses conversations des amoureux du ballon rond du pays. Personne ne croit à une qualification congolaise à la phase finale de la CAN 2012. Malgré la réaction du public au cours de la rencontre du dimanche 5 septembre dernière, le président de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), Constant Omari garde silence comme si rien n’était.
De la 53ème place au classement FIFA avant l’arrivée de l’actuel comité de la Fédération congolaise de football association (FECOFA), les Léopards ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes à la 126ème place que Constant Omari les a tirés aujourd’hui. L‘homme moderne est un parvenu dans le secteur du football. Pour preuve, il n’a jamais mis en place une vraie politique de développement du football au pays. Lui qui passe le plus clair de son temps dans des débits de boisson, à l’image de la veille du match RDC-Sénégal où ‘‘il est arrivée à son hôtel à 4 heures du matin sous les effets de l’alcool’’, a affirmé un témoin, Omari s’est rendu spécialiste des coups fourrés. Il s’en défend, l’homme est accusé d’avoir détourné la cagnotte (USD 148 000) destinée à V Club pour sa participation aux quarts des finales de la Coupe de la CAF. Après ses fiascos au basketball, l’homme réussit à intégrer le monde du sport roi congolais qu’il a pris en otage par ses élections non crédibles à la tête de la FECOFA (à Kisangani puis à Lubumbashi où il emmène ses électeurs à l’écart du public averti), dans l’objectif de réaliser ses ambitions le football congolais. Depuis, il s’accapare de tout, même si son bilan reste le pire qu’ait connu la RDC depuis 30 ans (malgré le succès épisodique des Léopards au CHAN (2009, sans les grands du football continental) et la bonne prestation de Mazembe sur l’échiquier continental, fruit attribué de notoriété publique au management moderne d’un homme, Moïse Katumbi chapwe. Mais Omari se bombe quand même le torse, sachant de son fort intérieur qu’il en est pour rien. Omari ne pourra-t-il pas s’inspirer des péripéties du football français ? Après des échecs similaires, le président de la Fédération française a rendu le tablier, le coach principal, Raymond Domenech a été remplacé par Laurent Blanc et des commissions spéciales continuent à plancher sur ce cuisant échec. Après tout ce qui arrive à la RDC, pourquoi Omari resterait-il encore sur l’avenue de la Justice.
Les revers lushois
‘‘Le revers enregistré face aux Lions de la Teranga vient de confirmer ce que tous connaissent : Omari a la mission de tuer le football congolais’’, s’égosillait un fan déconcerté. Au stade Kibasa Maliba, aux côtés du ministre de la Jeunesse et des Sports et du gouverneur du Katanga, l’homme moderne a eu la sueur froide lorsque le stade, comme un seul homme, scandait ‘‘Omari démission, Omari démission’’. C’est ce qui a justifié qu’en mauvais capitaine, il ne s’est pas réservé de quitter en catastrophe le stade et abandonner l’équipe dans son malheur. Avec un déficit de management ainsi que celui de tout son staff, Omari, cherchant un bouc émissaire pour couvrir son manque de management, a jugé utile de se séparer de Patrice Neveu, qui touchait mensuellement USD 25 000 pour engager un coach sans palmarès élogieux qui devra toucher USD 40 000. Neveu avait finalement acquis la maîtrise de son équipe, indique un de ses proches, ‘‘mais a été remercié par Omari, pour des intérêts égoïstes, comme si ce salaire sortirait de sa propre poche’’, s’est-il indigné, ajoutant qu’en France, le sélectionneur principal touche 50 000 Euros. Depuis l’avènement d’Omari à la tête de la FECOFA, c’est le dysfonctionnement total en ce qui concerne le football. La grande RDC brille par son absence, déjà à deux CAN de suite et est quasiment éliminée pour la troisième CAN. Bien que Constant Omari n’appréhende pas le concept de l’honneur, ne fut-ce que pour épargner son entourage de la honte, il devra démissionner après la grande désillusion de Lubumbashi. C’est ainsi que certains esprits bien avertis expliquent que Youssouf Mulumbu ait décliné l’offre de participer à la campagne africaine. L’international congolais a indexé la FECOFA pour son fonctionnement d’un autre âge. Et Mulumbu n’est pas seul. On se souvient du jeune Mwamba, aujourd’hui à Portsmouth (championnat anglais), qui est venu à ses propres frais mais n’a jamais été, ne fut-ce que, accueilli à l’aéroport de N’Djili ou à la fédération pour un entretien. Et d’autres encore.
Le gouvernement amorphe
La responsabilité revient aussi au gouvernement qui débourse des millions sans soumettre la FECOFA à l’obligation de résultat et ne ménage aucun effort pour mettre hors d’état de nuire un seul individu qui risque d’envoyer le peuple en colère dans la rue. Puisqu’il se barricade derrière les statuts d’ASBL de la FECOFA lorsqu’il doit se protéger de la furie des sportifs, seules les autorités peuvent le pousser à démission. Omari doit servir de fusible. Sans quoi, un jour, la situation risque de devenir incontrôlable. Le 4 janvier 1959 est un exemple. La résurrection du football congolais passe par sa démission et celle de ses complices. Cela permettra à la RDC de poursuivre la compétition dans un esprit apaisé, sans prétendre à de bons résultats, soit-il. Dieu seul sait pour quoi le match a été programme à Lubumbashi, heureusement pour Omari.
Irisfootball.com/ Olivier Sefu et John Mbuyi
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Le peuple veut qu'on lui livre la tête de OMARI ! Donnez-le lui sur un plateau rempli d'oignons bien mijotés...
Le sport congolais malade de ses dirigeants
Publié par L’@venir le 8 septembre 2010 dans la rubrique 8:46 0 Commentaire
A travers ce dossier, notre attention se focalisera sur les maux qui rongent le sport congolais, ainsi que la conduite maladroite des affaires à la Fécofa (football), à la Févoco ( volley-ball ) et la Fénacoju ( judo )
Une fois de plus nous, nous revenons à la charge pour souligner haut et fort que le sport Congolais est gangrené des anti- valeurs. Il n’y a que les esprits retors qui pensent le contraire. Certains dirigeants avides de glorioles, continuent maladroitement et ce, malgré les dénonciations et autres critiques constructives, à s’illustrer par leurs propensions à la médiocrité, à endormir les gens par des mensonges éhontés. Ils s’obstinent contre vents et marées et s’enracinent dans les maux qui rongent le sport et que nous ne cesserons de dénoncer.
La lecture des lignes suivantes porteront nous en sommes sûres, la lumière pour attester que la culture de l’excellence n’a pas droit de cité dans le mouvement sportif congolais. Par contre, la médiocrité, l’égoïsme, l’ingratitude et nous en passons, s’érigent en système. La logique aurait voulu, si les dénonciations s’avèrent vraies, qu’on n’aperçoive au moins un changement dans la conduite des affaires sportives et davantage dans le chef de ceux qu’on dénonce. De tout ça, rien.
* La Fécofa, une gigantesque fédération aux pieds d’argile
Affiliée à la toute puissante Fifa, la Fédération Congolaise de Football Association « FECOFA » qui devait être logiquement puissante, affiche curieusement une mine d’un nain. Au jour d’aujourd’hui, nous parions qu’elle ne connaît même pas le nombre des licenciés que compte la Rdc. Et pourtant, le football est devenu un sport fascinant, tellement universel, qu’il n’a pas d’égal. Il se joue partout avec le même ballon et les mêmes règles. Malheureusement en Rdc, l’organisation de football n’est pas encore bien assise. Des tares subsistent. Mis à part le football d’élite avec un semblant d’organisation plus ou moins passable, le football féminin ( Ndlr malgré deux participations à la phase finale de la Coupe du Monde en Russie et au Chili ) et le football des catégories d’âge se font encore de manière embryonnaire. Des preuves éloquentes nous ont été administrées cette saison.
Drôle d’application des règlements à la 49è Coupe du Congo de football. L’équipe qui vient d’être sacrée championne ( DCMP ) avait été éliminée à une précédente étape. Sur base d’on ne sait quelle règle, la Fécofa l’a récupérée pour jouer la phase finale. C’est du jamais vu. La deuxième illustration nous la tirons de la 3è édition de la Ligue Nationale de football féminin jouée à Goma. La ville de Kinshasa qui est arrivée bien tard, y a été introduite dans la compétition. Ironie du sort, c’est elle qui a remporté le trophée. C’est inadmissible. Et que dire de l’inexistence des compétitions de catégories d’âge ? Là aussi la défaillance de la Fécofa est patente. Pour palier au plus pressé, elle monte à la vaille que vaille des équipes d’âge et l’on connaît les résultats qu’on enregistre.
Pire, on fout dans ces équipes d’âge des vieux joueurs. Cette tricherie heureusement n’apporte pas des résultats escomptés. La dernière illustration en date c’est le choix de l’entraîneur et l’impréparation des Léopards. C’est la Fécofa qui a opéré le choix et l’a soumis au gouvernement sachant pertinemment bien que le coach ne connaissait pas les joueurs. Bien plus grave, le choix porté pour la ville de Lubumbashi au lieu de Kinshasa, est dicté aussi par la volonté de la Fécofa et non par l’indisponibilité du Stade des Martyrs. Et encore, maintes fois le peuple congolais a exigé la démission du président de la Fécofa Constant Omari, mais ce dernier ne s’est jamais exécuté. Culture de démission, ne connaît pas.
* Rappel des défis à relever par le Ministre des sports à son avènement
A l’avènement du ministre Claude Nyamugabo à la tête du ministère de la Jeunesse et des Sports, nous avions épinglé les grands défis qui l’attendaient à savoir :
1. La situation de crise au sein du Comité Olympique Congolais ’’COC’’ qui n’a connu son dénouement que suite à l’intervention externe mais musclée du CIO et de l’ACNOA, alors que nous proposions déjà la solution sans être suivi.
2. La situation de conflit au sein de la Fédération de Volley-ball du Congo ‘’Févoco’’.
3. Nous l’avons suggéré de s’enquérir de la situation d’illégalité qui a concouru à l’élection de l’actuel comité de la Fénacoju que préside M. Francis Bimwala.
4. La situation des infrastructures sportives et surtout la construction d’un Palais des Sports était le 4è défi pour le nouveau ministre et
5. Enfin, nous l’avions suggéré de veiller aux détournements des fonds mis à la disposition des délégations sportives.
* Crise et conflits à la Févoco (Volley-ball )
La crise à la Févoco est partie de la décision de radiation prononcée le 29 novembre 2009 par l’AGEE du Comité Olympique Congolais à l’encontre du président de la Févoco M. Jean Beya wa Kabenga. Il s’en est suivi un conflit entre individus en l’occurrence le 1er V/P de la Févoco, le Colonel Ijila Jean-Luc et le président de la Ligue de Volley-ball de Kinshasa ‘’Livokin’’. Le 1er V/P Ijila Yav Jean-Luc signe la suspension du président de la Livokin le 2 janvier 2010 et le 30 janvier 2010, il créa trois nouvelles ententes à Kinshasa : EVOKIN, EVOJE et EVOMIL. Ces deux décisions ont conduit à un conflit ouvert Févoco-Livokin.
Dans l’entretemps, la Division Urbaine des Sports et Loisirs a relevé l’illégalité de la nomination car tout le monde doit être élu. Quant à la création de 3 ententes, la DUSL est catégorique : la procédure n’a pas été suivie. La seule entité appelée à administrer un championnat c’est la Livokin. Vint l’intérim à la présidence de la Févoco. Dans l’entretemps, le CIO et l’ACNOA ont réhabilité M. Beya dans ses fonctions au COC. A l’expiration de l’intérim du 1er V/P, le président Beya a demandé à ce dernier de lui faire rapport de son intérim. Mais cela a été rejeté par le V/P. On est en droit de se demander en dehors de l’assemblée générale ayant porté M. Beya à la tête de la Févoco, y a-t-il eu une autre assemblée l‘ayant démis de ses fonctions ? Nous pensons que non. Alors pourquoi toute cette mascarade d’assemblée à Lubumbashi ? Maîtrise-t-on les textes qui régissent le sport dans ce pays ?
* Genèse du conflit à la Fénacoju (Judo )
Tout est parti de l’entêtement du président de la Fénacoju d’organiser l’assemblée générale élective à Mbuji-Mayi contre l’interdiction de la 2è direction. En outre, il y a eu un cas de fraude lors de cette AGE. Le SG de la Lijukin avait voté en lieu et place du représentant de l’Entente Tshangu. Mais avant, le président Francis Bimwala a modifié quelques dispositions statutaires sans se référer à l’assemblée générale.
En outre, on lui reproche d’avoir amené la division dans la famille du judo, d’avoir instauré une gestion opaque, user de la politique d’exclusion, de diabolisation, de favoritisme, d’avoir déçu l’adhésion de tous à son avènement à la tête de la Fénacoju, de garder pour son propre compte des équipements et autres dons destinés aux judokas, d’être réfracteur aux conseils et critiques constructifs, d’avoir pris en otage le judo, d’avoir bafoué le code moral du judo, d’avoir cassé l’envol du judo et de l’avoir ramené en arrière, de n’avoir pas assuré la promotion, la vulgarisation et l’implantation du judo en Rdc, d’user de la politique de trompe l’œil pour endormir les autorités alors que le judo a beaucoup bénéficié du trésor public. Beaucoup de sorties et stages qui malheureusement n’apportent plus rien comme retombées. Et enfin, on lui reproche de ne pas recourir aux valeurs éparpillées au pays, en Afrique et dans la diaspora.
Conseils pour sortir de la crise
Puisque l’illégalité de l’élection à la Fénacoju est avérée et que d’autre part, la grande majorité de la famille du judo lui a tourné le dos, nous conseillons au président Francis Bimwala de déposer sa démission plutôt que de connaître une triste fin peu honorant et de laisser la place à ceux qui portent le judo dans leur cœur, ceux qui ont les moyens de leur politique, qui rassemblent la famille du judo et qui veulent amener le judo RD Congolais vers des cimes plus hautes.
* Conflit entre Féaco (athlétisme) et Lidakin
Entre la Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’Féaco’’ et la Ligue d’Athlétisme de Kinshasa ‘’Lidakin’’, le torchon continue de brûler et l’on ne sait pourquoi. Et ce, depuis les élections de la Lidakin.
Pour la petite histoire, ces élections à la Lidakin ont porté M. Jean-Claude Eale à la tête de la Lidakin. Ce comité élu a même été installé par le ministre provincial des sports et la DUSL. Cependant, la Féaco par la bouche de son 1er V/P Mike Mutombo dit niet. Elle ne reconnaît pas ce comité et même dans les ententes urbaines Malebo et Lipopo qui pour lui sont issus des élections cavalières pour avoir violé l’article 18 des statuts de la Féaco. A ce jour, on ne compte plus les affrontements entre la Féaco et la Lidakin. La première citée est déjà parvenue à faire capoter pas mal d’activités de la Lidakin et ses ententes.
Cependant, à tout prendre, cet état de choses ne peut exister. Tout le monde sait que l’athlétisme n’est pas très bien connu en Rdc. Tous les efforts devront être entrepris pour amener encore plus de pratiquants au niveau des écoles, universités et de l’armée et petit à petits inculquer aux athlètes la vraie vocation de l’athlétisme à savoir réaliser des performances. Cela est possible avec le temps. On a pas besoin de conflits inutiles qui n’apportent rien à la discipline, mais au contraire, ils freinent l’épanouissement des jeunes qui ont besoin de beaucoup de compétitions. A chacun de tirer la conclusion qui s’impose. N’est-ce pas que la tolérance zéro s’invite en sport ?
Antoine Bolia, l’Avenir
Le sport congolais malade de ses dirigeants
Publié par L’@venir le 8 septembre 2010 dans la rubrique 8:46 0 Commentaire
A travers ce dossier, notre attention se focalisera sur les maux qui rongent le sport congolais, ainsi que la conduite maladroite des affaires à la Fécofa (football), à la Févoco ( volley-ball ) et la Fénacoju ( judo )
Une fois de plus nous, nous revenons à la charge pour souligner haut et fort que le sport Congolais est gangrené des anti- valeurs. Il n’y a que les esprits retors qui pensent le contraire. Certains dirigeants avides de glorioles, continuent maladroitement et ce, malgré les dénonciations et autres critiques constructives, à s’illustrer par leurs propensions à la médiocrité, à endormir les gens par des mensonges éhontés. Ils s’obstinent contre vents et marées et s’enracinent dans les maux qui rongent le sport et que nous ne cesserons de dénoncer.
La lecture des lignes suivantes porteront nous en sommes sûres, la lumière pour attester que la culture de l’excellence n’a pas droit de cité dans le mouvement sportif congolais. Par contre, la médiocrité, l’égoïsme, l’ingratitude et nous en passons, s’érigent en système. La logique aurait voulu, si les dénonciations s’avèrent vraies, qu’on n’aperçoive au moins un changement dans la conduite des affaires sportives et davantage dans le chef de ceux qu’on dénonce. De tout ça, rien.
* La Fécofa, une gigantesque fédération aux pieds d’argile
Affiliée à la toute puissante Fifa, la Fédération Congolaise de Football Association « FECOFA » qui devait être logiquement puissante, affiche curieusement une mine d’un nain. Au jour d’aujourd’hui, nous parions qu’elle ne connaît même pas le nombre des licenciés que compte la Rdc. Et pourtant, le football est devenu un sport fascinant, tellement universel, qu’il n’a pas d’égal. Il se joue partout avec le même ballon et les mêmes règles. Malheureusement en Rdc, l’organisation de football n’est pas encore bien assise. Des tares subsistent. Mis à part le football d’élite avec un semblant d’organisation plus ou moins passable, le football féminin ( Ndlr malgré deux participations à la phase finale de la Coupe du Monde en Russie et au Chili ) et le football des catégories d’âge se font encore de manière embryonnaire. Des preuves éloquentes nous ont été administrées cette saison.
Drôle d’application des règlements à la 49è Coupe du Congo de football. L’équipe qui vient d’être sacrée championne ( DCMP ) avait été éliminée à une précédente étape. Sur base d’on ne sait quelle règle, la Fécofa l’a récupérée pour jouer la phase finale. C’est du jamais vu. La deuxième illustration nous la tirons de la 3è édition de la Ligue Nationale de football féminin jouée à Goma. La ville de Kinshasa qui est arrivée bien tard, y a été introduite dans la compétition. Ironie du sort, c’est elle qui a remporté le trophée. C’est inadmissible. Et que dire de l’inexistence des compétitions de catégories d’âge ? Là aussi la défaillance de la Fécofa est patente. Pour palier au plus pressé, elle monte à la vaille que vaille des équipes d’âge et l’on connaît les résultats qu’on enregistre.
Pire, on fout dans ces équipes d’âge des vieux joueurs. Cette tricherie heureusement n’apporte pas des résultats escomptés. La dernière illustration en date c’est le choix de l’entraîneur et l’impréparation des Léopards. C’est la Fécofa qui a opéré le choix et l’a soumis au gouvernement sachant pertinemment bien que le coach ne connaissait pas les joueurs. Bien plus grave, le choix porté pour la ville de Lubumbashi au lieu de Kinshasa, est dicté aussi par la volonté de la Fécofa et non par l’indisponibilité du Stade des Martyrs. Et encore, maintes fois le peuple congolais a exigé la démission du président de la Fécofa Constant Omari, mais ce dernier ne s’est jamais exécuté. Culture de démission, ne connaît pas.
* Rappel des défis à relever par le Ministre des sports à son avènement
A l’avènement du ministre Claude Nyamugabo à la tête du ministère de la Jeunesse et des Sports, nous avions épinglé les grands défis qui l’attendaient à savoir :
1. La situation de crise au sein du Comité Olympique Congolais ’’COC’’ qui n’a connu son dénouement que suite à l’intervention externe mais musclée du CIO et de l’ACNOA, alors que nous proposions déjà la solution sans être suivi.
2. La situation de conflit au sein de la Fédération de Volley-ball du Congo ‘’Févoco’’.
3. Nous l’avons suggéré de s’enquérir de la situation d’illégalité qui a concouru à l’élection de l’actuel comité de la Fénacoju que préside M. Francis Bimwala.
4. La situation des infrastructures sportives et surtout la construction d’un Palais des Sports était le 4è défi pour le nouveau ministre et
5. Enfin, nous l’avions suggéré de veiller aux détournements des fonds mis à la disposition des délégations sportives.
* Crise et conflits à la Févoco (Volley-ball )
La crise à la Févoco est partie de la décision de radiation prononcée le 29 novembre 2009 par l’AGEE du Comité Olympique Congolais à l’encontre du président de la Févoco M. Jean Beya wa Kabenga. Il s’en est suivi un conflit entre individus en l’occurrence le 1er V/P de la Févoco, le Colonel Ijila Jean-Luc et le président de la Ligue de Volley-ball de Kinshasa ‘’Livokin’’. Le 1er V/P Ijila Yav Jean-Luc signe la suspension du président de la Livokin le 2 janvier 2010 et le 30 janvier 2010, il créa trois nouvelles ententes à Kinshasa : EVOKIN, EVOJE et EVOMIL. Ces deux décisions ont conduit à un conflit ouvert Févoco-Livokin.
Dans l’entretemps, la Division Urbaine des Sports et Loisirs a relevé l’illégalité de la nomination car tout le monde doit être élu. Quant à la création de 3 ententes, la DUSL est catégorique : la procédure n’a pas été suivie. La seule entité appelée à administrer un championnat c’est la Livokin. Vint l’intérim à la présidence de la Févoco. Dans l’entretemps, le CIO et l’ACNOA ont réhabilité M. Beya dans ses fonctions au COC. A l’expiration de l’intérim du 1er V/P, le président Beya a demandé à ce dernier de lui faire rapport de son intérim. Mais cela a été rejeté par le V/P. On est en droit de se demander en dehors de l’assemblée générale ayant porté M. Beya à la tête de la Févoco, y a-t-il eu une autre assemblée l‘ayant démis de ses fonctions ? Nous pensons que non. Alors pourquoi toute cette mascarade d’assemblée à Lubumbashi ? Maîtrise-t-on les textes qui régissent le sport dans ce pays ?
* Genèse du conflit à la Fénacoju (Judo )
Tout est parti de l’entêtement du président de la Fénacoju d’organiser l’assemblée générale élective à Mbuji-Mayi contre l’interdiction de la 2è direction. En outre, il y a eu un cas de fraude lors de cette AGE. Le SG de la Lijukin avait voté en lieu et place du représentant de l’Entente Tshangu. Mais avant, le président Francis Bimwala a modifié quelques dispositions statutaires sans se référer à l’assemblée générale.
En outre, on lui reproche d’avoir amené la division dans la famille du judo, d’avoir instauré une gestion opaque, user de la politique d’exclusion, de diabolisation, de favoritisme, d’avoir déçu l’adhésion de tous à son avènement à la tête de la Fénacoju, de garder pour son propre compte des équipements et autres dons destinés aux judokas, d’être réfracteur aux conseils et critiques constructifs, d’avoir pris en otage le judo, d’avoir bafoué le code moral du judo, d’avoir cassé l’envol du judo et de l’avoir ramené en arrière, de n’avoir pas assuré la promotion, la vulgarisation et l’implantation du judo en Rdc, d’user de la politique de trompe l’œil pour endormir les autorités alors que le judo a beaucoup bénéficié du trésor public. Beaucoup de sorties et stages qui malheureusement n’apportent plus rien comme retombées. Et enfin, on lui reproche de ne pas recourir aux valeurs éparpillées au pays, en Afrique et dans la diaspora.
Conseils pour sortir de la crise
Puisque l’illégalité de l’élection à la Fénacoju est avérée et que d’autre part, la grande majorité de la famille du judo lui a tourné le dos, nous conseillons au président Francis Bimwala de déposer sa démission plutôt que de connaître une triste fin peu honorant et de laisser la place à ceux qui portent le judo dans leur cœur, ceux qui ont les moyens de leur politique, qui rassemblent la famille du judo et qui veulent amener le judo RD Congolais vers des cimes plus hautes.
* Conflit entre Féaco (athlétisme) et Lidakin
Entre la Fédération d’Athlétisme du Congo ‘’Féaco’’ et la Ligue d’Athlétisme de Kinshasa ‘’Lidakin’’, le torchon continue de brûler et l’on ne sait pourquoi. Et ce, depuis les élections de la Lidakin.
Pour la petite histoire, ces élections à la Lidakin ont porté M. Jean-Claude Eale à la tête de la Lidakin. Ce comité élu a même été installé par le ministre provincial des sports et la DUSL. Cependant, la Féaco par la bouche de son 1er V/P Mike Mutombo dit niet. Elle ne reconnaît pas ce comité et même dans les ententes urbaines Malebo et Lipopo qui pour lui sont issus des élections cavalières pour avoir violé l’article 18 des statuts de la Féaco. A ce jour, on ne compte plus les affrontements entre la Féaco et la Lidakin. La première citée est déjà parvenue à faire capoter pas mal d’activités de la Lidakin et ses ententes.
Cependant, à tout prendre, cet état de choses ne peut exister. Tout le monde sait que l’athlétisme n’est pas très bien connu en Rdc. Tous les efforts devront être entrepris pour amener encore plus de pratiquants au niveau des écoles, universités et de l’armée et petit à petits inculquer aux athlètes la vraie vocation de l’athlétisme à savoir réaliser des performances. Cela est possible avec le temps. On a pas besoin de conflits inutiles qui n’apportent rien à la discipline, mais au contraire, ils freinent l’épanouissement des jeunes qui ont besoin de beaucoup de compétitions. A chacun de tirer la conclusion qui s’impose. N’est-ce pas que la tolérance zéro s’invite en sport ?
Antoine Bolia, l’Avenir
- Djima
- U15
- Messages : 1272
- Enregistré le : 16 oct. 2007, 17:11
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
En tout cas si Omari s'en sort, je dirais que s'en est fini pour ce pays franchement
http://congomikili.com/communaute/sport ... -leopards/




http://congomikili.com/communaute/sport ... -leopards/
Un sot savant est plus sot qu'un sot ignorant.
- TUPAC MOUDJAHIDINE
- Entraîneur
- Messages : 15773
- Enregistré le : 09 nov. 2007, 10:49
- Localisation : Bruxelles / Belgique
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Mon cher ILUS, dans les années 80 tozuaka ba 6 - 1 contre Cameroun et Kengo Wa Dondo avait dit stop mieux vaut tofanda na palestine
si cela se reproduit le gens vont commencer à dire que na Tango ya.........ezalaka bongo te





« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
-
- U17
- Messages : 1948
- Enregistré le : 16 nov. 2007, 09:21
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
le foot congolais est dirigé par ADBM=Association Des Biens Mal acquis...deja libala entre omari et katumbi ewuti kokufa..donc.. maintenant il faut faire preuve de bonne volonté... dejas aulieu de perdre le tps à crié ou koi.... c'est le moment de bouclé un stage en europe avk les joueurs locaux qui seront rejoins par le prof à partir du 1 octobre..soki tsée yombo
NZAMBE AKOKUEYAKA TSEEEEE TOYEBA.... NZAMBE AKOLONGAKA KAKA
- TUPAC MOUDJAHIDINE
- Entraîneur
- Messages : 15773
- Enregistré le : 09 nov. 2007, 10:49
- Localisation : Bruxelles / Belgique
- Contact :
Re: OMARI demission !!!
Mon cher, je vais contacter maitre REMY afin de lui demander de convaincre les Tupamaros de ne pas soutenir OMARI
BATU ya JB bazo soutenir ye OYO KINDOKI TE
Il est daringman mais ça ne suffira pas.




« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité