www.leopardsfoot.com

Valentin Mubake au Kivu

Prière à tous les journalistes qui couvrent les événements du Président Tshisekedi de se battre pour offrir au peuple la meilleure qualité du son et de l´image. Ces documents sont historiques et seront utilisés pour plusieurs fins utiles dans un proche avenir.

http://www.youtube.com/watch?v=VntgOmY3zsY

BUKAVU: DUEL AU COUTEAU MUBAKE-KAMERHE

http://www.cheikfitanews.net/article-bu ... 57658.html






Jeudi 13 octobre 2011

BUKAVU: DUEL AU COUTEAU MUBAKE-KAMERHE




Valentin Mubake aux côtés de Tshisekedi lors d'une interview

avec Colette Braeckman. Photo cheikfitanews.net





Vital Kamerhe lors de la présentation de son parti à Bruxelles

Photo cheikfitanews.net



Durant le deuxième week-end d’octobre 2011, Valentin Mubake, conseiller politique de monsieur Tshisekedi a tenu un meeting au stade de Kadutu à Bukavu devant de dizaines de milliers de gens.

Une semaine plutôt, c’était dans une salle, devant un auditoire d’un millier de personnes que monsieur Mubake s’est exprimé. Le but de ces rassemblements ainsi que d’autres à venir sûrement, est :

- De dynamiser les sections locales de l’UDPS, Union pour la démocratie et le Progrès Social, son parti.

- D’informer la population que les élections approchent. Que s’il y a un choix à faire à la présidentielle, c’est celui d’Étienne Tshisekedi.

Mais ces sorties de Valentin Mubake sont aussi une occasion pour remettre les pendules à l’heure.

Par rapport à ceux qui en 2006 s’étaient présentés comme des pacificateurs et dont le bilan en la matière et en bien d’autres, laisse à désirer.

Par rapport aussi au candidat à la présidentielle Kamerhe élu député du coin en 2006, sous les couleurs de monsieur Kabila, puis transfuge depuis l’année dernière, et dont le discours vis-à-vis de monsieur Tshisekedi n’a pas été tendre durant longtemps, pour ne pas dire agressif.

Quelques mois plus tôt dans la même ville, Kamerhe avait drainé un grand monde. Il s’était vu pousser des ailes, s’　imaginant déjà leader de l’opposition et même successeur de Joseph Kabila!

Lors de la campagne électorale qui commence bientôt, Mubake et Kamerhe se croiseront sûrement pour un dernier duel au couteau celui-là: Mubake pour arracher un siège de député et canaliser une grande portion de l’électorat local vers le candidat président Tshisekedi, et Kamerhe, s’il maintient sa candidature à la présidentielle, pour attirer des voix vers son rêve d’être le prochain président du Grand Congo.

De Mubake et Kamerhe à Bukavu, qui tirera le mieux son épingle du jeu?

Verdict,le soir du 28 novembre 2011.





Cheik FITA

Bruxelles, le 13 octobre 2011

kie kie kie kie kie kie kie...LOL !



UNE COMEDIE A VOUS COUPER LE SOUFFLE

LE 6 DECEMBRE YO ETRANGER OPONI LIWA TO TSHITSHI

http://www.youtube.com/watch?v=6VzVLzZq ... re=related

ARRIVEE DE YA TSHITSHI A PARIS événement

http://www.youtube.com/watch?v=HQlySjbp ... re=related

Muya Ilunga Albert - L´État de droits dans une nouvelle armée responsable au Congo/Zaïre.

http://www.youtube.com/watch?v=F3mWlvwq ... re=related

http://www.youtube.com/watch?v=c1h8LXjcYvA

http://www.youtube.com/watch?v=HU47iT6P ... re=related

Tony Yave a écrit :

"Ilunga tu te fatigue pour rien 5 chantiers sera réélu."




Crois-tu vraiment que ton rwandais-là peut se faire réélire?
Lis et tu tireras toi-même les conclusions, si tant est que ton cerveau fonctionne normalement...C'est une honte de soutenir un type pareil ! Un vrai "mopila", tobimi l'échec avec cet illettré : la RDC classée 50è pays sur 53 en Afrique selon l'indice "Mo Ibrahim" !!!

http://radiookapi.net/actualite/2011/10 ... e-ibrahim/




Bonne gouvernance : la RDC classée 50e sur 53 pays africains sur l’indice Ibrahim

publié il y a 4 heures, 40 minutes,



– L’indice Ibrahim créé en 2007 se propose d’évaluer la bonne gouvernance des pays africains

D’après les critères choisis par la Fondation «MO Ibrahim» pour évaluer le niveau de bonne gouvernance des pays africains, la République démocratique du Congo arrive en 50e position sur les 53 pays évalués. Le Tchad et la Somalie viennent juste après.

Ce classement 2011, publié lundi 10 octobre se fonde sur 86 indicateurs qui estiment la prestation de biens et de services publics. Il octroie une note de 32 sur 100 à la RDC. Unchiffre en dessous de la moyenne régionale de l’Afrique centrale, qui est de 39.

En tête du classement, mis en place en 2007 par la fondation du milliardaire anglo-soudanais Mo Ibrahim :

1. l ’Ile Maurice (82 points)
2. le Cap vert (79)
3. le Botswana (76)

L’indice est établi sur la base de la performance des pays dans quatre grandes catégories de gouvernance :

* la sécurité et la souveraineté du droit (souveraineté du droit, sécurité individuelle et nationale)
* la «participation» et les droits de l’Homme (droits des citoyens, parité homme-femme)
* le développement économique durable (gestion publique, environnement des entreprises, infrastructures, secteur agricole)
* le développement humain (protection sociale, enseignement, santé)

La RDC occupe la dernière place en termes d’infrastructures (évaluées dans la catégorie «développement économique durable»).

Le rapport indique que le Libéria et la Sierra Leone sont les pays qui ont le plus progressé ces cinq dernières annees. Madagascar au contraire, a été fortement déclassée.

Selon Mo Ibrahim, les conclusions de l’indice reflètent les exigences des jeunes en ce qui concerne la gestion de leur pays. «La réussite en matière de gestion économique et de développement humain ne pourra perdurer si le déficit démocratique persiste», conclut-il.

Répression : des ONG demandent aux policiers de refuser d’obéir aux ordres illégaux
14 octobre, 2011

Le Collectif des Organisations non gouvernementales de défense des droits de l’Homme a dénoncé le comportement de la police face à la répression brutale des différentes manifestations organisées ces dernières semaines dans la ville de Kinshasa, au cours d’une conférence de presse, mercredi 12 octobre, en collaboration avec les Amis de Nelson Mandela pour la défense des droits humains autour d’une réflexion axée sur : « les libertés d’expression et de manifestation sont-elles garanties en cette période électorale en RDC ? ». Le directeur exécutif de la Voix des Sans Voix, Dolly Ibefo, a indiqué que la RDC signataire des textes internationaux en matière des droits de l’Homme repris dans sa Constitution du 18 février 2006 a institué, au sujet de la liberté de manifestation, un régime d’information et non d’autorisation. Cette disposition est malencontreusement appliquée par l’Etat à travers une répression brutale et violente des manifestations des partis d’opposition revendiquant leurs droits légitimes, notamment la transparence du processus électoral au motif qu’elles n’ont pas été autorisées. Le Collectif des organisations de défense des droits de l’Homme estime que si cette situation perdure jusqu’au 28 du mois en cours, il organisera une marche pour revendiquer la transparence du processus électoral car, selon lui, le peuple congolais est unanime pour aller aux élections en toute sécurité et avoir des résultats en toute transparence. Toutefois, il recommande aux jeunes congolais de se mobiliser davantage pour veiller aux fraudes électorales, face à l’insécurité généralisée et à la répression violente des manifestations en cette période électorale. Par ailleurs, il exige au gouvernement de poursuivre les présumés criminels et de dégager les responsabilités des auteurs des actes compromettants lors des manifestations et demande aux agents de l’ordre de refuser d’obéir aux ordres illégaux.

APA/CCN

La diaspora congolaise s’invite aux élections en RDC
14 octobre, 2011

Un membre de la diaspora congolaise en occident, Ben Kalala, a déclaré que les Congolais vivant à l’étranger sont déterminés à influencer le vote de leurs proches en vue d’un changement de leadership politique après les élections de novembre prochain. « Quelqu’un qui soutient financièrement et matériellement sa famille restée au pays a la facilité d’influencer son choix lors des prochaines élections » a dit, M. Kalala au cours d’un entretien avec la presse avant d’ajouter que les Congolais vivant en occident préfèrent apprendre à leurs proches à pêcher plutôt qu’à leur donner tout le temps du poisson. Il s’est exprimé à l’occasion de la remise par les dirigeants de l’UDPS, du projet de gouvernement que ce parti propose aux partis qui soutiennent la candidature à la présidentiel le d’Etienne Tshisekedi pour amendement. »Il est vrai que nous ne votons pas », a-t-il reconnu tout en affirmant avoir tous les moyens pour que les membres de sa famille puissent voter pour le changement. Selon lui, le bien- être du peuple congolais réside dans le changement de leadership politique. Par ailleurs, M. Ben regrette la situation dans laquelle il a trouvé la population de Katanda, au Kasaï Oriental lors de sa tournée dans cette partie du pays dont il est originaire. Pour lui seul un effort de changement profond va améliorer les conditions de vie de tous les Congolais.

APA/CCN

Tshisekedi a Montreal Octobre 2011

http://www.youtube.com/watch?v=6KbNhMGvSAw

Continue comme ça Kanambe...Mais suka suka, tu finiras par t'enfuir...Rira bien qui rira le dernier...





http://www.culturecongolaise.net/?p=8607

Un partisan de Tshisekedi à Beni est traqué par l’ANR
16 octobre, 2011

Le représentant pour le territoire de Beni-Ituri (Nord-Kivu) de la Synergie des forces du changement (soutien à Etienne Tshisekedi à la présidentielle), Silva Vayira Sikuli, est traqué depuis jeudi 13 octobre par des agents de l’ANR (Agence nationale de renseignements, service de sûreté intérieure en RDC). Mr. Vayira Sikuli sillonne depuis plusieurs semaines les villages de Beni pour sensibiliser la population sur la nécessité du changement. De l’avis général, il est devenu la cible de l’ANR qui agit comme une police politique de Kabila. L’objectif est, sans nul doute, d’arrêter ce représentant afin d’annihiler sa mission de sensibilisation. Face à cette menace, Vayira Sikuli est entré en clandestinité. Son domicile est étroitement surveillé par des « barbouzes ». Ce comportement des fonctionnaires de la sûreté publique compromet le bon déroulement d’un processus électoral « apaisé ». L’agissement de l’ANR viole les principes du respect des droits humains. Le respect des droits de l’homme tels que consignés dans les pactes, chartes et conventions de l’ONU ratifiés par la République Démocratique du Congo (RDC) doit être impérativement observé. La menace de l’ANR remet aussi en question le code de bonne conduite que le candidat sortant, Joseph Kabila vient de signer. L’UDPS et Tshisekedi n’ont pas signé ce document parce qu’ils subordonnent leurs signatures à la transparence du fichier électoral et l’audit du serveur central. Tant que ces préalables n’auront pas été épuisés, l’UDPS a affirmé ne pas se sentir concernée par ce code de bonne conduite. Dans la même perspective, cette traque de l’ANR pose la problématique de la protection des opérateurs politiques avant, pendant et après les élections. Alors que le Code de bonne conduite reconnaît aux partis et regroupements politiques le droit d’organiser des manifestations et des réunions politiques, de parler librement, sur le terrain on assiste au verrouillage de la démocratie par le pouvoir. La menace qui pèse sur Vayira Sikuli ainsi que la répression brutale de la police face à toutes les manifestations publiques des opposants ces dernières semaines ne plaident pas en faveur d’un processus électoral « apaisé ».

Ali Kalonga