Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Kinshasa: Breaking news, Martin Fayulu arrêté injustement
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Kinshasa: Réactions de Papy Tamba sur le retard de l’ UDPS dans la campagne
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Kinshasa: Alexis Mutanda parle du retard de l’ arrivée de Tshisekedi à Kisangani
http://congomikili.com/kinshasa-alexis- ... ngani.html
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http://www.culturecongolaise.net/?p=8774
La guerre des affiches
06 novembre, 2011
guerre des affichesDepuis le lancement, fin octobre 2011, officiel des campagnes électorales législatives et présidentielle, des affiches fleurissent dans tout Kinshasa la pourrie. Chacun des candidats veut plus de visibilité. Ce qui ne devait pas arriver, arriva. Des colleurs d’affiches du candidat Etienne Tshisekedi furent surpris, ce 2 novembre, au Rond-Point Ngaba dans leur travail par des missi dominici de qui vous savez. Ils furent canardés sans sommation. Stupeur et tremblements ! Le sort fut clément pour un autre candidat à la députation. Son panneau publicitaire qui gênait celui de qui vous savez fut carrément scié. Enfer et damnation ! D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la pourrie, la population en a marre de souffrir et veut un changement de gouvernance. La misère est devenue rampante. D’ailleurs, mon ami qui connaît tout me dit que le PNUD vient de publier ce 2 novembre 2011 le classement du développement humain dans 187 pays du monde. Notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine occupe le dernier rang, soit 187ème sur 187 malgré toutes ses richesses naturelles. Stupeur et tremblements ! Ces gars du PNUD sont-ils au courant que nous sommes le seul pays au monde à disposer des fameux Cinq Sentiers qui vont bientôt transformer la RD Congo en un pays émergent ? Sûrement qu’ils ne le savent pas. Sinon ils nous auraient classés parmi les cinq premiers pays du monde ! Ô Maréchal, c’est le moment de rappeler l’Objectif 80. Le grand Zaïre devait être soit le 1er soit le 2ème ou la 3ème. Le Maréchal n’acceptait pas que nous soyons classés à la 4ème place. Que de souvenirs, Maréchal ! Bref, passons. Notre Premier ministre qui aime bien taquiner la bouteille et qui est nationaliste de gauche (mollet ou caviar ?) a présenté ce vendredi 4 novembre le bilan de son gouvernement. En se référant à des statistiques qu’il a sorties de ses manches de magicien, il affirme que tout va très bien. Honni soit qui mal y pense. Dans le Katanga, les militants de l’UDPS et de l’UNAFEC du sinistre Kyungu wa Kumuanza se sont affrontés, les 4 et 5 novembre 2011, à coup de pierres, de gourdins, de machettes et de couteaux. Il paraît que là-bas, les voix sont réservées au seul candidat indépendant du peuple. Enfer et damnation ! On dit chez nous que si pressée soit la mouche, elle doit attendre que sorte l’excrément.
Mokossa Disu
La guerre des affiches
06 novembre, 2011
guerre des affichesDepuis le lancement, fin octobre 2011, officiel des campagnes électorales législatives et présidentielle, des affiches fleurissent dans tout Kinshasa la pourrie. Chacun des candidats veut plus de visibilité. Ce qui ne devait pas arriver, arriva. Des colleurs d’affiches du candidat Etienne Tshisekedi furent surpris, ce 2 novembre, au Rond-Point Ngaba dans leur travail par des missi dominici de qui vous savez. Ils furent canardés sans sommation. Stupeur et tremblements ! Le sort fut clément pour un autre candidat à la députation. Son panneau publicitaire qui gênait celui de qui vous savez fut carrément scié. Enfer et damnation ! D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la pourrie, la population en a marre de souffrir et veut un changement de gouvernance. La misère est devenue rampante. D’ailleurs, mon ami qui connaît tout me dit que le PNUD vient de publier ce 2 novembre 2011 le classement du développement humain dans 187 pays du monde. Notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine occupe le dernier rang, soit 187ème sur 187 malgré toutes ses richesses naturelles. Stupeur et tremblements ! Ces gars du PNUD sont-ils au courant que nous sommes le seul pays au monde à disposer des fameux Cinq Sentiers qui vont bientôt transformer la RD Congo en un pays émergent ? Sûrement qu’ils ne le savent pas. Sinon ils nous auraient classés parmi les cinq premiers pays du monde ! Ô Maréchal, c’est le moment de rappeler l’Objectif 80. Le grand Zaïre devait être soit le 1er soit le 2ème ou la 3ème. Le Maréchal n’acceptait pas que nous soyons classés à la 4ème place. Que de souvenirs, Maréchal ! Bref, passons. Notre Premier ministre qui aime bien taquiner la bouteille et qui est nationaliste de gauche (mollet ou caviar ?) a présenté ce vendredi 4 novembre le bilan de son gouvernement. En se référant à des statistiques qu’il a sorties de ses manches de magicien, il affirme que tout va très bien. Honni soit qui mal y pense. Dans le Katanga, les militants de l’UDPS et de l’UNAFEC du sinistre Kyungu wa Kumuanza se sont affrontés, les 4 et 5 novembre 2011, à coup de pierres, de gourdins, de machettes et de couteaux. Il paraît que là-bas, les voix sont réservées au seul candidat indépendant du peuple. Enfer et damnation ! On dit chez nous que si pressée soit la mouche, elle doit attendre que sorte l’excrément.
Mokossa Disu
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
1 jacks7 07-11-2011 10:50
Kyungu est un complexé,il devrait barré la route au Roi du Katanga Monsieur FORESTER le milliardaire Belge qui n'est pas Congolais, Mr Kyungu ni vous ni votre grand père n'était pas au conférence de Berlin en 1884 lors du partage de l'afrique?? vous n'êtes pas éternel ,d'ailleurs vous êtes un sujet Angolais, c'est là où proviens votre complexe d'inferiorité.
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 14:lavenir
Elections au Katanga : Chasse à la sorcière, Kyungu contre des candidats non-originaires
Lundi, 07 Novembre 2011 08:22
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Les élections qui auront lieu dans une vingtaine de jours seulement tendent vers une véritable chasse à la sorcière dans la province du Katanga. * Alors que Moïse Katumbi, gouverneur de province rassure quant à la tenue des élections apaisées, Kyungu wa Kumwanza, président de l’Assemblée provinciale du Katanga, doublé de celui de l’Unafec ne veut pas y entendre parler des candidats non originaires.
* Si la hache de guerre entre Kasaïens et Katangais est déterrée, la Céni aura du pain sur la planche dans cette partie de la République ; à moins que le CSAC prenne à temps toutes ses responsabilités.
La notion de la nation congolaise est sérieusement menacée dans la province cuprifère, plus particulièrement en cette période de campagne électorale. Dans sa dernière sortie médiatique, sur une chaîne étrangère de surcroît, l’actuel président de l’Assemblée provinciale de cette région sud-ouest de la République, Gabriel Kyungu wa Kumwanza annonce sa volonté de ne voir que des candidats originaires aller aux élections et les gagner. Cela fait suite à des heurts enregistrés à Lubumbashi le samedi 5 novembre, entre les partisans de l’Udps, Union pour la démocratie et le progrès social d’Etienne Tshisekedi et ceux de l’Unafec, Union des nationalistes et des fédéralistes congolais du redoutable Gabriel Kyungu, faisant plusieurs blessés dans les rangs de l’opposition.
Une attitude contre la majorité
Mais ce que le détracteur des non-originaires semble ignorer, c’est que tout originaire du Katanga n’est pas nécessairement membre de l’opposition et vice-versa, tout Katangais n’est pas forcément de la majorité. S’en prendre à un candidat pour la simple raison qu’il est porteur d’un nom autre que celui réputé appartenir à son peuple, c’est une attitude contre la MP engagée résolument derrière Joseph Kabila dans cette Présidentielle 2011 ; une présidentielle où l’Unafec avait récemment réitéré son soutien au président sortant. Il se pourrait donc que de bonne foi Gabriel Kyungu dise une chose et son contraire. L’une des recommandations que l’Unafec avait prise au cours de son congrès national de trois jours, clôturé lundi 2 août dernier à Likasi, au Katanga, était de soutenir la candidature de Joseph Kabila à la magistrature suprême.
L’occasion faisant le larron, bien d’autres candidats députés de son état-major ont été présentés afin de se conforter en même temps d’une majorité parlementaire à la prochaine législature. Curieusement, le président Kyungu avait plaidé pour l’harmonie entre toutes les communautés vivant au Katanga pour des élections apaisées. Plusieurs membres de l’Unafec venus de toutes les provinces en sont témoins, comme pour dire que le parti est certes, national.
Unafec – Udps : éternels chiens de faïence ?
L’opposition ne cesse d’accuser le président Kyungu d’incitation à la haine. Sans remonter jusqu’au déluge, l’UDPS avait dernièrement accusé l’Unafec d’avoir attaqué son siège au Katanga. L’Assadho s’en était mêlée pour dénoncer cette intolérance politique. Cela, étant donné que la démocratie diffère bien de la xénophobie et de l’intimidation. A l’en croire, le parti cher à Kyungu wa Kumwanza prônerait ainsi le fédéralisme tribaliste, régionaliste, voire sécessionniste. Ce feuilleton a été relancé le lundi 1er août dernier avec les incidents entre les membres de deux formations politiques, alors que le lider maximo était en tournée au Katanga, en provenance de l’Afrique du Sud après l’Europe, les États Unis d’ Amérique et le Canada. Le président de l’Unafec avait déclaré que le Président de l’UDPS ne foulera pas ses pieds au Katanga pour sa campagne électorale, car cette province est acquise au Président sortant Joseph Kabila. C’était lors d’un meeting. Kyungu et Tshisekedi se regardent comme deux chiens de faïence depuis 1992-1993, après l’élection de Tshisekedi, à la CNS, en qualité de premier ministre le 15 août 1992. Mais, pour combien de temps cela va-t-il perdurer ?
Katumbi invite au calme et à l’unité
Toujours sur les antennes de cette même radio, Moïse Katumbi ne voit aucun mal qu’il n’y ait qu’environ que 32 % des candidats originaires du Katanga aux prochaines législatives. Il en est de même avec des banderoles et autres supports affichés en langues autres que le swahili. Egal à lui-même, le gouverneur de la province cuprifère avait réagi presque pareillement lorsque, aux propos du Président de l’Assemblée provinciale. Toujours lors du retour de Tshisekedi de son congé en Europe, il y a quelques mois, M. Katumbi, répondant à une question des journalistes, avait dit que M. Tshisekedi étant Congolais, il peut aller où il veut. En homme politique averti, le gouverneur avait demandé à ses administrés d’être calmes et aux membres de l’UDPS d’aller accueillir leur chef en toute quiétude. Ce qui fut fait. Des commentaires avaient plu dans tous les sens, mettant Moïse Katumbi sur un plateau douteux tiré vers l’opposition.
Quoi qu’il en soit, dans cette campagne électorale qui frise la belligérance, Moïse Katumbi appelle l’UDPS et l’Unafec à la tolérance. "Tout le monde est libre de battre campagne à n’importe quel endroit de la ville pourvu que le calme règne’’, a-t-il réagi sur radiookapi, après des affrontements survenus vendredi 4 et samedi 5 novembre entre les militants de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi et ceux de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec) de Gabriel Kyungu wa Kumwanza, à Lubumbashi. Moïse Katumbi a donc appelé les partisans de deux partis à la tolérance tout en demandant aux responsables de ces deux formations politiques de sensibiliser leurs partisans pour éviter des soulèvements pendant la campagne électorale en cours.
« En politique, ce qui est essentiel, c’est l’unité du pays. C’est normal de voir les gens en colère mais il faut trouver un compromis », a – t – il sagement renchéri. Tout en remerciant les militants de l’UDPS de l’avoir « écouté », le gouverneur promet de rencontrer aussi ceux de l’Unafec pour avoir des élections libres. Qui a dit qu’il n’y a jamais rien eu sous l’angle xénophobe entre les Baluba du Kasaï et les Katangais ? A moins de ne pas savoir assez du passé aussi bien proche que lointain, ces deux peuples qui sont pourtant liés et indivisibles sont exposés, à chaque étape de l’histoire, à des tractations sur fond de haine tribaliste de la part de ceux qui devaient pourtant les unir davantage. Mais c’est une affaire de tireurs de ficelles traditionnels. Pour rappel, les militants de l’Unafec avaient attaqué, samedi 5 novembre, la caravane de l’Udps qui passait devant leur siège. La veille, ils s’étaient encore affrontés, lors du lancement de la campagne de l’Unafec, avec des couteaux, machettes et gourdins.
CSAC face à ses responsabilités
La directive du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication est pourtant claire pour que le scrutin prochain soit le plus apaisé possible. Sinon, si pour une cause, une autorité politico – administrative s’aligne derrière un candidat de son choix, ce n’est que démocratique. Si la situation ci-décriée au Katanga s’étendait sur toute la République, que serait Kinshasa la capitale où toutes les tribus sont représentées si les Tekes - Humbus fermaient les portes à d’autres peuples ? Sans nul doute, même les candidats Unafec et autres originaires de la province cuprifère en auraient beaucoup de peine ; la Rdc serait visiblement divisée. D’autre part, si certaines autorités politico administratives voient le nom pour déduire que tel est de telle province, la République n’est certes pas encore une.
Le Congo n’est pas encore une nation, et l’on ne parlerait pas d’un peuple congolais. Mais, dans sa diversité culturelle et linguistique, des noms bien réputés pourtant comme Patrick Muyaya, Alexis Thambwe Mwamba, Jacques Muluba, Max Kayembe, César Lubamba, François Lubila,…se retrouvent aussi bien dans le Bandundu, le Katanga, le Kasaï, le Maniema et le Bas-Congo,… L’interpénétration a fait qu’aujourd’hui la race pure soit rare : les anthropologues et les sociologues approuvent cela pour chaque génération. D’aucuns avaient vu en Pie Tshibanda un extrémiste à la recherche du mieux-être lorsqu’il a parlé d’ « Un fou noir au pays des blancs » ; et c’est comme si plusieurs années plus tard, l’histoire lui donne raison ; les renards étant sortis de leur tanières pour engager une lutte sans merci au grand jour.
Les deux Kasaï et le Katanga sont liées par l’histoire et par le destin. Mais lorsque l’unité nationale est menacée, il y a péril en demeure et le CSAC seul devrait lire la loi et l’appliquer en cette période connue agitée.
La Céni prône dans toutes les langues
La Commission électorale nationale indépendante, Céni a affiché des banderoles de sensibilisation dans toutes les langues. Il est curieux que le Katanga en veuille le contraire. Cette région du pays, au regard de ses richesses incommensurables regorge quasiment toutes les tribus de la Rdc, dont majoritairement ses plus proches kasaïens. Ce ne sont pas seuls les Katangais qui ont fait du Katanga ce qu’il est devenu. C’est un secret de polychinelle. Et pour parler des autres non originaires, le président Kyungu a, il y a peu, présenté à la presse son directeur de cabinet qui, du reste, est de la province de l’Equateur. La question que l’on serait en droit de se poser à cet effet est celle de savoir où postulerait cet « étranger » Directeur de cabinet si jamais il avait des ambitions ?
La Belgique, pour avoir privilégié les Communautés Flamands – Wallons n’échappe pas aux moqueries de ses détracteurs et a même de la peine à se mettre d’accord autour d’un Premier ministre, depuis plus d’une année. Connaissant que c’est dans les livres saints que bien des politiciens puisent de la sagesse, il sied de clore avec une interpellation de Jésus dans Mattieu 12 : 25 : ‘’ Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister ». La nation congolaise échapperait – elle à cette leçon ?
L’Avenir
Kyungu est un complexé,il devrait barré la route au Roi du Katanga Monsieur FORESTER le milliardaire Belge qui n'est pas Congolais, Mr Kyungu ni vous ni votre grand père n'était pas au conférence de Berlin en 1884 lors du partage de l'afrique?? vous n'êtes pas éternel ,d'ailleurs vous êtes un sujet Angolais, c'est là où proviens votre complexe d'inferiorité.
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 14:lavenir
Elections au Katanga : Chasse à la sorcière, Kyungu contre des candidats non-originaires
Lundi, 07 Novembre 2011 08:22
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Les élections qui auront lieu dans une vingtaine de jours seulement tendent vers une véritable chasse à la sorcière dans la province du Katanga. * Alors que Moïse Katumbi, gouverneur de province rassure quant à la tenue des élections apaisées, Kyungu wa Kumwanza, président de l’Assemblée provinciale du Katanga, doublé de celui de l’Unafec ne veut pas y entendre parler des candidats non originaires.
* Si la hache de guerre entre Kasaïens et Katangais est déterrée, la Céni aura du pain sur la planche dans cette partie de la République ; à moins que le CSAC prenne à temps toutes ses responsabilités.
La notion de la nation congolaise est sérieusement menacée dans la province cuprifère, plus particulièrement en cette période de campagne électorale. Dans sa dernière sortie médiatique, sur une chaîne étrangère de surcroît, l’actuel président de l’Assemblée provinciale de cette région sud-ouest de la République, Gabriel Kyungu wa Kumwanza annonce sa volonté de ne voir que des candidats originaires aller aux élections et les gagner. Cela fait suite à des heurts enregistrés à Lubumbashi le samedi 5 novembre, entre les partisans de l’Udps, Union pour la démocratie et le progrès social d’Etienne Tshisekedi et ceux de l’Unafec, Union des nationalistes et des fédéralistes congolais du redoutable Gabriel Kyungu, faisant plusieurs blessés dans les rangs de l’opposition.
Une attitude contre la majorité
Mais ce que le détracteur des non-originaires semble ignorer, c’est que tout originaire du Katanga n’est pas nécessairement membre de l’opposition et vice-versa, tout Katangais n’est pas forcément de la majorité. S’en prendre à un candidat pour la simple raison qu’il est porteur d’un nom autre que celui réputé appartenir à son peuple, c’est une attitude contre la MP engagée résolument derrière Joseph Kabila dans cette Présidentielle 2011 ; une présidentielle où l’Unafec avait récemment réitéré son soutien au président sortant. Il se pourrait donc que de bonne foi Gabriel Kyungu dise une chose et son contraire. L’une des recommandations que l’Unafec avait prise au cours de son congrès national de trois jours, clôturé lundi 2 août dernier à Likasi, au Katanga, était de soutenir la candidature de Joseph Kabila à la magistrature suprême.
L’occasion faisant le larron, bien d’autres candidats députés de son état-major ont été présentés afin de se conforter en même temps d’une majorité parlementaire à la prochaine législature. Curieusement, le président Kyungu avait plaidé pour l’harmonie entre toutes les communautés vivant au Katanga pour des élections apaisées. Plusieurs membres de l’Unafec venus de toutes les provinces en sont témoins, comme pour dire que le parti est certes, national.
Unafec – Udps : éternels chiens de faïence ?
L’opposition ne cesse d’accuser le président Kyungu d’incitation à la haine. Sans remonter jusqu’au déluge, l’UDPS avait dernièrement accusé l’Unafec d’avoir attaqué son siège au Katanga. L’Assadho s’en était mêlée pour dénoncer cette intolérance politique. Cela, étant donné que la démocratie diffère bien de la xénophobie et de l’intimidation. A l’en croire, le parti cher à Kyungu wa Kumwanza prônerait ainsi le fédéralisme tribaliste, régionaliste, voire sécessionniste. Ce feuilleton a été relancé le lundi 1er août dernier avec les incidents entre les membres de deux formations politiques, alors que le lider maximo était en tournée au Katanga, en provenance de l’Afrique du Sud après l’Europe, les États Unis d’ Amérique et le Canada. Le président de l’Unafec avait déclaré que le Président de l’UDPS ne foulera pas ses pieds au Katanga pour sa campagne électorale, car cette province est acquise au Président sortant Joseph Kabila. C’était lors d’un meeting. Kyungu et Tshisekedi se regardent comme deux chiens de faïence depuis 1992-1993, après l’élection de Tshisekedi, à la CNS, en qualité de premier ministre le 15 août 1992. Mais, pour combien de temps cela va-t-il perdurer ?
Katumbi invite au calme et à l’unité
Toujours sur les antennes de cette même radio, Moïse Katumbi ne voit aucun mal qu’il n’y ait qu’environ que 32 % des candidats originaires du Katanga aux prochaines législatives. Il en est de même avec des banderoles et autres supports affichés en langues autres que le swahili. Egal à lui-même, le gouverneur de la province cuprifère avait réagi presque pareillement lorsque, aux propos du Président de l’Assemblée provinciale. Toujours lors du retour de Tshisekedi de son congé en Europe, il y a quelques mois, M. Katumbi, répondant à une question des journalistes, avait dit que M. Tshisekedi étant Congolais, il peut aller où il veut. En homme politique averti, le gouverneur avait demandé à ses administrés d’être calmes et aux membres de l’UDPS d’aller accueillir leur chef en toute quiétude. Ce qui fut fait. Des commentaires avaient plu dans tous les sens, mettant Moïse Katumbi sur un plateau douteux tiré vers l’opposition.
Quoi qu’il en soit, dans cette campagne électorale qui frise la belligérance, Moïse Katumbi appelle l’UDPS et l’Unafec à la tolérance. "Tout le monde est libre de battre campagne à n’importe quel endroit de la ville pourvu que le calme règne’’, a-t-il réagi sur radiookapi, après des affrontements survenus vendredi 4 et samedi 5 novembre entre les militants de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi et ceux de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec) de Gabriel Kyungu wa Kumwanza, à Lubumbashi. Moïse Katumbi a donc appelé les partisans de deux partis à la tolérance tout en demandant aux responsables de ces deux formations politiques de sensibiliser leurs partisans pour éviter des soulèvements pendant la campagne électorale en cours.
« En politique, ce qui est essentiel, c’est l’unité du pays. C’est normal de voir les gens en colère mais il faut trouver un compromis », a – t – il sagement renchéri. Tout en remerciant les militants de l’UDPS de l’avoir « écouté », le gouverneur promet de rencontrer aussi ceux de l’Unafec pour avoir des élections libres. Qui a dit qu’il n’y a jamais rien eu sous l’angle xénophobe entre les Baluba du Kasaï et les Katangais ? A moins de ne pas savoir assez du passé aussi bien proche que lointain, ces deux peuples qui sont pourtant liés et indivisibles sont exposés, à chaque étape de l’histoire, à des tractations sur fond de haine tribaliste de la part de ceux qui devaient pourtant les unir davantage. Mais c’est une affaire de tireurs de ficelles traditionnels. Pour rappel, les militants de l’Unafec avaient attaqué, samedi 5 novembre, la caravane de l’Udps qui passait devant leur siège. La veille, ils s’étaient encore affrontés, lors du lancement de la campagne de l’Unafec, avec des couteaux, machettes et gourdins.
CSAC face à ses responsabilités
La directive du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication est pourtant claire pour que le scrutin prochain soit le plus apaisé possible. Sinon, si pour une cause, une autorité politico – administrative s’aligne derrière un candidat de son choix, ce n’est que démocratique. Si la situation ci-décriée au Katanga s’étendait sur toute la République, que serait Kinshasa la capitale où toutes les tribus sont représentées si les Tekes - Humbus fermaient les portes à d’autres peuples ? Sans nul doute, même les candidats Unafec et autres originaires de la province cuprifère en auraient beaucoup de peine ; la Rdc serait visiblement divisée. D’autre part, si certaines autorités politico administratives voient le nom pour déduire que tel est de telle province, la République n’est certes pas encore une.
Le Congo n’est pas encore une nation, et l’on ne parlerait pas d’un peuple congolais. Mais, dans sa diversité culturelle et linguistique, des noms bien réputés pourtant comme Patrick Muyaya, Alexis Thambwe Mwamba, Jacques Muluba, Max Kayembe, César Lubamba, François Lubila,…se retrouvent aussi bien dans le Bandundu, le Katanga, le Kasaï, le Maniema et le Bas-Congo,… L’interpénétration a fait qu’aujourd’hui la race pure soit rare : les anthropologues et les sociologues approuvent cela pour chaque génération. D’aucuns avaient vu en Pie Tshibanda un extrémiste à la recherche du mieux-être lorsqu’il a parlé d’ « Un fou noir au pays des blancs » ; et c’est comme si plusieurs années plus tard, l’histoire lui donne raison ; les renards étant sortis de leur tanières pour engager une lutte sans merci au grand jour.
Les deux Kasaï et le Katanga sont liées par l’histoire et par le destin. Mais lorsque l’unité nationale est menacée, il y a péril en demeure et le CSAC seul devrait lire la loi et l’appliquer en cette période connue agitée.
La Céni prône dans toutes les langues
La Commission électorale nationale indépendante, Céni a affiché des banderoles de sensibilisation dans toutes les langues. Il est curieux que le Katanga en veuille le contraire. Cette région du pays, au regard de ses richesses incommensurables regorge quasiment toutes les tribus de la Rdc, dont majoritairement ses plus proches kasaïens. Ce ne sont pas seuls les Katangais qui ont fait du Katanga ce qu’il est devenu. C’est un secret de polychinelle. Et pour parler des autres non originaires, le président Kyungu a, il y a peu, présenté à la presse son directeur de cabinet qui, du reste, est de la province de l’Equateur. La question que l’on serait en droit de se poser à cet effet est celle de savoir où postulerait cet « étranger » Directeur de cabinet si jamais il avait des ambitions ?
La Belgique, pour avoir privilégié les Communautés Flamands – Wallons n’échappe pas aux moqueries de ses détracteurs et a même de la peine à se mettre d’accord autour d’un Premier ministre, depuis plus d’une année. Connaissant que c’est dans les livres saints que bien des politiciens puisent de la sagesse, il sied de clore avec une interpellation de Jésus dans Mattieu 12 : 25 : ‘’ Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister ». La nation congolaise échapperait – elle à cette leçon ?
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Élection présidentielle - L'Union sacrée pour l'alternance veut rallier les autres candidats
Lundi, 07 Novembre 2011 08:19
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Un appel des troupes a été lancé le 3 novembre en leur direction en vue de soutenir la candidature d'Étienne Tshisekedi.
Le président de la Démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, l'un des quatre lieutenants choisis pour seconder Étienne Tshisekedi dans sa campagne, a expliqué que le ralliement des autres candidats à la
présidence de la République derrière le leader de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) constituera un soutien à la vision du candidat commun et unique de l'opposition. Ce qui permettra à ce regroupement de l'emporter lors des élections du 28 novembre.
L'appel du président de la DC a expressément visé Kengo wa Dondo, Vital Kamerhe, Nzanga Mobutu, Adam Bombole, Oscar Kashala, etc. « Qu'ils viennent rejoindre leur regroupement politique en vue d'instaurer l'alternance au pouvoir et de sortir le peuple congolais de la misère », a appuyé Eugène Diomi. Il a précisé que ces derniers sont appelés à rejoindre Étienne Tshisekedi dans son combat sans condition. « S'ils mettent le peuple en première position, ils ne poseront pas de conditions pour rejoindre ce noble combat et la défense de cette noble cause », a-t-il insisté.
Eugène Diomi Ndongala et les autres leaders politiques qui soutiennent Étienne Tshisekedi estiment que la vision est de mettre ensemble tous les responsables politiques de l'opposition en vue de permettre à leur candidat de prendre le pouvoir.
Mille personnes pour accompagner Tshisekedi vers sa victoire
Selon le document rendu public le 3 novembre au restaurant Green garden, ces personnalités vont gérer les activités pendant toute la période électorale, des provinces jusqu'au niveau de la base.
Cette composition étalée par Christian Bandibangi est la nouvelle structure technique de l'opposition composée en vue d'accompagner le candidat de ce regroupement, Étienne Tshisekedi, pendant la campagne électorale. Il est constitué des membres de 61 partis alliés de l'UDPS qui soutiennent la candidature de son leader à la présidence de la République.
Pour le comodérateur de l'opposition, cette structure démontre la capacité organisationnelle de la famille politique pendant cette période électorale. Elle permettra le contrôle technique des opérations et la prise du pouvoir par le candidat commun et unique de l'opposition.
Lucien Dianzenza
Photo : Des leaders qui soutiennent Étienne Tshisekedi
Source : Les Dépêches de Brazzaville
Lundi, 07 Novembre 2011 08:19
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Un appel des troupes a été lancé le 3 novembre en leur direction en vue de soutenir la candidature d'Étienne Tshisekedi.
Le président de la Démocratie chrétienne (DC), Eugène Diomi Ndongala, l'un des quatre lieutenants choisis pour seconder Étienne Tshisekedi dans sa campagne, a expliqué que le ralliement des autres candidats à la
présidence de la République derrière le leader de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) constituera un soutien à la vision du candidat commun et unique de l'opposition. Ce qui permettra à ce regroupement de l'emporter lors des élections du 28 novembre.
L'appel du président de la DC a expressément visé Kengo wa Dondo, Vital Kamerhe, Nzanga Mobutu, Adam Bombole, Oscar Kashala, etc. « Qu'ils viennent rejoindre leur regroupement politique en vue d'instaurer l'alternance au pouvoir et de sortir le peuple congolais de la misère », a appuyé Eugène Diomi. Il a précisé que ces derniers sont appelés à rejoindre Étienne Tshisekedi dans son combat sans condition. « S'ils mettent le peuple en première position, ils ne poseront pas de conditions pour rejoindre ce noble combat et la défense de cette noble cause », a-t-il insisté.
Eugène Diomi Ndongala et les autres leaders politiques qui soutiennent Étienne Tshisekedi estiment que la vision est de mettre ensemble tous les responsables politiques de l'opposition en vue de permettre à leur candidat de prendre le pouvoir.
Mille personnes pour accompagner Tshisekedi vers sa victoire
Selon le document rendu public le 3 novembre au restaurant Green garden, ces personnalités vont gérer les activités pendant toute la période électorale, des provinces jusqu'au niveau de la base.
Cette composition étalée par Christian Bandibangi est la nouvelle structure technique de l'opposition composée en vue d'accompagner le candidat de ce regroupement, Étienne Tshisekedi, pendant la campagne électorale. Il est constitué des membres de 61 partis alliés de l'UDPS qui soutiennent la candidature de son leader à la présidence de la République.
Pour le comodérateur de l'opposition, cette structure démontre la capacité organisationnelle de la famille politique pendant cette période électorale. Elle permettra le contrôle technique des opérations et la prise du pouvoir par le candidat commun et unique de l'opposition.
Lucien Dianzenza
Photo : Des leaders qui soutiennent Étienne Tshisekedi
Source : Les Dépêches de Brazzaville
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.aparecordc.org/forum//galeri ... 562825.pdf
Le message de Bill RICHARDSON
à « KABILA » provoque un véritable tsunami !
Ce que l’ambassadeur américain a dit à « Joseph Kabila »
Un vent très favorable a fait parvenir à la rédaction de L’oeil du Patriote une «fuite» du message très secret que l’ambassadeur américain Bill RICHARDSON a apporté à «Joseph Kabila » qui a tenté vainement d’éviter ce tête-à-tête tant redouté. L’imposteur avait un très mauvais pressentiment, nous dit-on. Et il n’avait pas du tout tort : l’émissaire américain a la réputation d’être un oiseau de mauvais présage sur le ciel congolais. Et une fois de plus, il a confirmé sa légende.
Dans sa brutalité légendaire, Bill Richardson a lancé tout de go à son interlocuteur : « les États-Unis d’Amérique, la Communauté internationale et les pays amis qui vous avaient soutenu lors des élections de 2006 estiment que vous devez quitter le pouvoir après dix ans de règne. Les lourds dossiers de nombreux assassinats et des trafics des matières stratégiques ne plaident pas en votre faveur ». Dans la foulée l’Américain lui indique une porte de sortie en l’informant que deux pays voisins ont été contactés pour négocier son exil. Il s’agit du Rwanda et de la Tanzanie.
Kigali a cependant émis des réserves pour deux raisons : primo, il estime que « Joseph Kabila » n’a pas bien rempli son « contrat » quant à sa mission en RDC ; secundo, les explications n’ont jamais été données sur les circonstances exactes ayant entrainé les décès des 200 militaires rwandais tués le 27 février lors de l’attaque de sa résidence. Leurs familles sont en colère car elles n’ont jamais été indemnisées jusqu’à présent. Mais la Tanzanie aurait marqué son accord pour accueillir le fils d’Adrien Kanambe sur son territoire. Le lourd investissement consenti par lui dans ce pays peut expliquer l’attitude des dirigeants politiques tanzaniens. S’agissant justement des nombreux avoirs de « Kabila » en RDC et à l’étranger,
Bill Richardson a rassuré son interlocuteur que la Communauté internationale a trouvé en Léon KENGO WA DONDO la personne la plus rassurante pour lui garantir l’intégrité de ses biens et de sa propre vie. Etienne Tshisekedi ne présenterait pas beaucoup de garantie aux yeux de l’Occident à cause de son caractère instable et imprévisible. Pour clôturer, l’émissaire américain a promis à «Joseph Kabila» que s’il acceptait le schéma de sortie qui lui est proposé, les États-Unis le protégeraient contre toute procédure judiciaire de TPI ou de CPI.
«Kabila» convoque un conseil de famille restreint
Après avoir encaissé le choc du message, « Joseph Kabila » a convoqué ce samedi 5 novembre à 18 heures un conseil de famille restreint en présence notamment de sa soeur jumelle Jaynet et de son conseiller KAZADI NYEMBWE, à qui il a rendu compte de l’entretien avec l’ambassadeur américain. A l’issue de ce conciliabule familial, il a été décidé de tenter d’abord le tout pour le tout. Pour cela, KAZADI NYEMBWE doit se rendre d’urgence ce lundi 7 novembre 2011 en Tanzanie pour y négocier plutôt l’envoi de renfort militaire au bataillon tanzanien qui se trouve déjà à Kingakati, le domaine privé de « Kabila » près de Kibomango. KAZADI NYEMBWE a l’avantage d’être bien introduit dans les milieux politiques et d’affaires en Tanzanie où il a passé une bonne partie de sa vie.
Le Gouverneur MASANGU sommé de vider toutes les réserves de la Banque centrale
Sur conseil de sa soeur jumelle, Kanambe n’entend pas quitter la RDC sans pratiquer sa politique de la terre brûlée. Ainsi, à l’issue de ce conseil de famille, il a convoqué le gouverneur MASANGU et l’a sommé de lui apporter ce mardi 8 novembre 2011 toutes les réserves de la Banque centrale en matières précieuses. C’est-à-dire l’Or et le Diamant particulièrement.
Sauf imprévu, MASANGU qui, selon une source de la Banque centrale, a travaillé assidument ce week-end, devra s’exécuter mardi prochain pour rejoindre « Kabila » avec toutes les réserves d’or de la Banque centrale. Un mouvement qu’il faudra surveiller de très près !
Ayant consulté le Pasteur NGOY MULUNDA pour connaître les chances de réussite des opérations de fraude programmées, « KABILA » n’aurait pas reçu des bonnes nouvelles de ce côté-là non plus. Le président de la CENI lui a exprimé son inquiétude pour le nombre anormalement très élevé d’observateurs occidentaux annoncés pour assister aux opérations des élections en RDC. Cette situation, selon MULUNDA, ne lui garantit pas une indépendance suffisante pour manipuler les opérations en faveur de
« Joseph Kabila » comme prévu.
Mais le fils d’Adrien Kanambe est têtu et ne s’avoue pas encore vaincu. Il veut d’abord tester toutes les voies possibles pour contourner l’ultimatum de Bill Richardson. Des sources bien placées au sein de l’ANR nous ont prévenus : les services spéciaux ont reçu ordre d’empêcher l’opposition, spécialement l’UDPS, de mener librement sa campagne. Des groupes d’experts de la DEMIAP ont reçu mission de provoquer des troubles pour justifier le report des élections. Entre-temps, une source proche de Kanambe a confié à notre rédaction, que des négociations secrètes auraient démarrées entre « Joseph Kabila » et Léon Kengo wa Dondo.
Les autres membres de la famille auraient reçu instructions de prendre des dispositions urgentes en ce qui concerne leurs biens immobiliers. Ils doivent, soit procéder immédiatement au changement des titres de propriétés, soit vendre ces propriétés. Pour cette dernière alternative, « Kabila » aurait approché le jeune frère du Prince héritier saoudien , le Prince Hillal Abdoul qui a investi en RDC dans le domaine immobilier, pour qu’il procède à l’achat du lot immobilier du clan Kanambe au pouvoir à Kinshasa.
Ainsi, pendant que le « Titanic » Kanambe poursuit de jour en jour son naufrage et confirme la fin inéluctable de son gouvernement d’occupation en RDC, force est de constater que là encore la volonté du peuple congolais et le respect de sa souveraineté semble toujours relégué au second plan.
Après avoir subi le diktat de la communauté internationale qui lui a imposé un imposteur rwandais en 2006, c’est la même communauté internationale qui revient pour non seulement signifier à son ancien protégé la fin de sa mission en RDC mais s’apprête déjà à imposer son remplaçant.
Il appartient désormais au peuple congolais de veiller à ce que le changement qui se profile clairement en RDC, ne soit ni celui du remplacement d’une marionnette par une autre, ni celui de la poursuite d’un système qui continuera à hypothéquer la souveraineté et l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo.
Paris, le 6 Novembre 2011
Candide OKEKE
L’OEIL DU PATRIOTE
Le message de Bill RICHARDSON
à « KABILA » provoque un véritable tsunami !
Ce que l’ambassadeur américain a dit à « Joseph Kabila »
Un vent très favorable a fait parvenir à la rédaction de L’oeil du Patriote une «fuite» du message très secret que l’ambassadeur américain Bill RICHARDSON a apporté à «Joseph Kabila » qui a tenté vainement d’éviter ce tête-à-tête tant redouté. L’imposteur avait un très mauvais pressentiment, nous dit-on. Et il n’avait pas du tout tort : l’émissaire américain a la réputation d’être un oiseau de mauvais présage sur le ciel congolais. Et une fois de plus, il a confirmé sa légende.
Dans sa brutalité légendaire, Bill Richardson a lancé tout de go à son interlocuteur : « les États-Unis d’Amérique, la Communauté internationale et les pays amis qui vous avaient soutenu lors des élections de 2006 estiment que vous devez quitter le pouvoir après dix ans de règne. Les lourds dossiers de nombreux assassinats et des trafics des matières stratégiques ne plaident pas en votre faveur ». Dans la foulée l’Américain lui indique une porte de sortie en l’informant que deux pays voisins ont été contactés pour négocier son exil. Il s’agit du Rwanda et de la Tanzanie.
Kigali a cependant émis des réserves pour deux raisons : primo, il estime que « Joseph Kabila » n’a pas bien rempli son « contrat » quant à sa mission en RDC ; secundo, les explications n’ont jamais été données sur les circonstances exactes ayant entrainé les décès des 200 militaires rwandais tués le 27 février lors de l’attaque de sa résidence. Leurs familles sont en colère car elles n’ont jamais été indemnisées jusqu’à présent. Mais la Tanzanie aurait marqué son accord pour accueillir le fils d’Adrien Kanambe sur son territoire. Le lourd investissement consenti par lui dans ce pays peut expliquer l’attitude des dirigeants politiques tanzaniens. S’agissant justement des nombreux avoirs de « Kabila » en RDC et à l’étranger,
Bill Richardson a rassuré son interlocuteur que la Communauté internationale a trouvé en Léon KENGO WA DONDO la personne la plus rassurante pour lui garantir l’intégrité de ses biens et de sa propre vie. Etienne Tshisekedi ne présenterait pas beaucoup de garantie aux yeux de l’Occident à cause de son caractère instable et imprévisible. Pour clôturer, l’émissaire américain a promis à «Joseph Kabila» que s’il acceptait le schéma de sortie qui lui est proposé, les États-Unis le protégeraient contre toute procédure judiciaire de TPI ou de CPI.
«Kabila» convoque un conseil de famille restreint
Après avoir encaissé le choc du message, « Joseph Kabila » a convoqué ce samedi 5 novembre à 18 heures un conseil de famille restreint en présence notamment de sa soeur jumelle Jaynet et de son conseiller KAZADI NYEMBWE, à qui il a rendu compte de l’entretien avec l’ambassadeur américain. A l’issue de ce conciliabule familial, il a été décidé de tenter d’abord le tout pour le tout. Pour cela, KAZADI NYEMBWE doit se rendre d’urgence ce lundi 7 novembre 2011 en Tanzanie pour y négocier plutôt l’envoi de renfort militaire au bataillon tanzanien qui se trouve déjà à Kingakati, le domaine privé de « Kabila » près de Kibomango. KAZADI NYEMBWE a l’avantage d’être bien introduit dans les milieux politiques et d’affaires en Tanzanie où il a passé une bonne partie de sa vie.
Le Gouverneur MASANGU sommé de vider toutes les réserves de la Banque centrale
Sur conseil de sa soeur jumelle, Kanambe n’entend pas quitter la RDC sans pratiquer sa politique de la terre brûlée. Ainsi, à l’issue de ce conseil de famille, il a convoqué le gouverneur MASANGU et l’a sommé de lui apporter ce mardi 8 novembre 2011 toutes les réserves de la Banque centrale en matières précieuses. C’est-à-dire l’Or et le Diamant particulièrement.
Sauf imprévu, MASANGU qui, selon une source de la Banque centrale, a travaillé assidument ce week-end, devra s’exécuter mardi prochain pour rejoindre « Kabila » avec toutes les réserves d’or de la Banque centrale. Un mouvement qu’il faudra surveiller de très près !
Ayant consulté le Pasteur NGOY MULUNDA pour connaître les chances de réussite des opérations de fraude programmées, « KABILA » n’aurait pas reçu des bonnes nouvelles de ce côté-là non plus. Le président de la CENI lui a exprimé son inquiétude pour le nombre anormalement très élevé d’observateurs occidentaux annoncés pour assister aux opérations des élections en RDC. Cette situation, selon MULUNDA, ne lui garantit pas une indépendance suffisante pour manipuler les opérations en faveur de
« Joseph Kabila » comme prévu.
Mais le fils d’Adrien Kanambe est têtu et ne s’avoue pas encore vaincu. Il veut d’abord tester toutes les voies possibles pour contourner l’ultimatum de Bill Richardson. Des sources bien placées au sein de l’ANR nous ont prévenus : les services spéciaux ont reçu ordre d’empêcher l’opposition, spécialement l’UDPS, de mener librement sa campagne. Des groupes d’experts de la DEMIAP ont reçu mission de provoquer des troubles pour justifier le report des élections. Entre-temps, une source proche de Kanambe a confié à notre rédaction, que des négociations secrètes auraient démarrées entre « Joseph Kabila » et Léon Kengo wa Dondo.
Les autres membres de la famille auraient reçu instructions de prendre des dispositions urgentes en ce qui concerne leurs biens immobiliers. Ils doivent, soit procéder immédiatement au changement des titres de propriétés, soit vendre ces propriétés. Pour cette dernière alternative, « Kabila » aurait approché le jeune frère du Prince héritier saoudien , le Prince Hillal Abdoul qui a investi en RDC dans le domaine immobilier, pour qu’il procède à l’achat du lot immobilier du clan Kanambe au pouvoir à Kinshasa.
Ainsi, pendant que le « Titanic » Kanambe poursuit de jour en jour son naufrage et confirme la fin inéluctable de son gouvernement d’occupation en RDC, force est de constater que là encore la volonté du peuple congolais et le respect de sa souveraineté semble toujours relégué au second plan.
Après avoir subi le diktat de la communauté internationale qui lui a imposé un imposteur rwandais en 2006, c’est la même communauté internationale qui revient pour non seulement signifier à son ancien protégé la fin de sa mission en RDC mais s’apprête déjà à imposer son remplaçant.
Il appartient désormais au peuple congolais de veiller à ce que le changement qui se profile clairement en RDC, ne soit ni celui du remplacement d’une marionnette par une autre, ni celui de la poursuite d’un système qui continuera à hypothéquer la souveraineté et l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo.
Paris, le 6 Novembre 2011
Candide OKEKE
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Il parait que Munene soit entrain de regrouper la DSP au profit de qui l'on sait. donc tshitshi, kabila c'est out. cela reste néanmoins que des rumeurs comme l"article ci-haut egalement
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Il parait que Munene soit entrain de regrouper la DSP au profit de qui l'on sait. donc tshitshi, kabila c'est out. cela reste néanmoins que des rumeurs comme l"article ci-haut egalement
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Madi a écrit :
"Il parait que Munene soit entrain de regrouper la DSP au profit de qui l'on sait. donc tshitshi, kabila c'est out. cela reste néanmoins que des rumeurs comme l"article ci-haut egalement"
Trêve de naïveté : si cela est vrai, sache que Munene ne travaille que pour lui, sûrement pas pour se mettre à la remorque de Ya Tshitshi...Ce serait pour "doubler" Ya Tshitshi, comme l'avait fait le conglomérat des aventriés de l'AFDL dont il faisait partie en 1996...En 1996, les naïfs pensaient qu'il y avait complicités entre Tshisekedi et LD Kabila/AFDL...Les faits leur ont donné TORT ! Cette fois-ci, l'UDPS ne se laissera pas coiffer au poteau...Il en est de même de toute association Munene-DSP-APARECO-NGBANDA...
"Il parait que Munene soit entrain de regrouper la DSP au profit de qui l'on sait. donc tshitshi, kabila c'est out. cela reste néanmoins que des rumeurs comme l"article ci-haut egalement"
Trêve de naïveté : si cela est vrai, sache que Munene ne travaille que pour lui, sûrement pas pour se mettre à la remorque de Ya Tshitshi...Ce serait pour "doubler" Ya Tshitshi, comme l'avait fait le conglomérat des aventriés de l'AFDL dont il faisait partie en 1996...En 1996, les naïfs pensaient qu'il y avait complicités entre Tshisekedi et LD Kabila/AFDL...Les faits leur ont donné TORT ! Cette fois-ci, l'UDPS ne se laissera pas coiffer au poteau...Il en est de même de toute association Munene-DSP-APARECO-NGBANDA...
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