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ETIENNE TSHISEKEDI WA MULUMBA : COME-BACK

http://www.youtube.com/watch?v=dk6RGgLwdhE

Kisangani ou pas : Etienne Tshisekedi aujourd’hui de retour
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:55




Des milliers de militants de l’UDPS et des partis alliés de l’Opposition venus des cinq communes de la ville de Kisangani et d’ailleurs ont fait hier le déplacement de l’aéroport de Bangboka pour l’attendre, prouvant ainsi le soutien de la Province Orientale à la candidature du sphinx de Limete à la magistrature suprême.

Malgré la caravane motorisée organisée hier mercredi à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale, par le parti au pouvoir pour perturber l’accueil triomphal que les Boyomais voulaient réserver à M. Etienne Tshisekedi, président national de l’UDPS et candidat de Opposition à la présidentielle du 28 novembre, des milliers de sympathisants de cette formation politique et des partis alliés ont fait hier le déplacement de l’aéroport de Bangboka, pour attendre l’avion qui devait ramener au pays le Lider maximo.
Répondant massivement à l’appel lancé il y a quelques jours par le président fédéral de l’UDPS/ Province Orientale (dont la résidence a été attaquée la veille par des marginaux instrumentalisés par le parti au pouvoir) les Boyomais arborant des calicots venus des cinq communes de Kisangani (Makiso, Kapondo, Mangobo, Kisangani et Lubunga) ont dû parcourir 20 kilomètres à pied, sur des vélos, taxi-motos ou encore à bord des camions pour atteindre aéroport. Parmi ces fils de ta Province Orientale qui ont voulu ainsi honorer ce grand combattant de la liberté dont la candidature à la magistrature suprême donne des insomnies au pouvoir finissant, il y avait aussi des sympathisants venus depuis plusieurs jours des contrées reculées telles que, Isangi, Isiro, Buta,... signalent nos sources basées à Kisangani.
La mobilisation était donc totale hier dans la ville martyr de Kisangani pour honorer Etienne Tshisekedi et saluer e courage de cet homme qui, sans prendre les armes, a su tenir tête à la dictature aussi bien sous le règne de Mobutu que sous la nouvelle tyrannie incarnée par Joseph Kabila.
Chantant et scandant des slogans, les Boyomais acquis au changement sont restés à l’aéroport de Bangboka jusque tard dans la soirée attendant l’avion qui devait ramener Etienne Tshisekedi d’Afrique du Sud.
Malheureusement, le rendez- vous entre cet opposant charismatique et la population de la Province Orientale a été ajourné en dernière minute, suite à un problème d’ordre technique. Certes la déception était lisible sur plusieurs visages hier soir parmi les nombreuses personnes qui s’étaient mobilisées pour accueillir le candidat de l‘Opposition à la présidentielle de 2011, mais beaucoup d’entre eux sont rentrés en promettant de revenir ce jeudi à l’aéroport pour attendre encore l’arrivée d’Etienne Tshisekedi.
Aux dernières nouvelles, des sources concordantes basées en Afrique du Sud jointes hier par téléphone confirment le retour d’Etienne Tshisekedi au pays pour ce jeudi 10 novembre. Un retour qui se fera par un avion loué. Et si les mêmes difficultés techniques rencontrées hier persistent, il n’est pas exclu que le leader de l’Opposition qui tient à lancer sa campagne électorale au pays dès cette semaine puisse recourir à un vol régulier pour absolument regagner la RDC ce jeudi, signalent les mêmes sources.
Cette dernière possibilité risque de priver le président national de l’UDPS de l’escale de Kisangani et de remettre donc à plus tard sort rendez-vous historique avec la population de la Province Orientale. Car; outre te lancement de sa campagne électorale ce week-end à Kinshasa, Etienne Tshisekedi doit aussi répondre à un calendrier d’audiences très chargé.
Le retour de Tshisekedi à Kinshasa sera aussi l’occasion pour lui de clarifier sa pensée sur ses dernières déclarations et sur la mauvaise interprétation que le pouvoir actuel a voulu donner à celles-ci à travers des injures et attaques personnelles proférées contre ce candidat de l’Opposition par des proches du candidat du parti au pouvoir. Tout cela sous le nez et la barbe du CSAC et de la CENI. Qu’adviendrait-il si l’UDPS et les autres partis alliés se livraient aussi à cet exercice vis-à-vis du candidat Joseph Kabila?
La complaisance affichée par le CSAC vis-à-vis des chaînes de radios et télévisions qui ont diffusé ces injures témoigne une fois de plus de la partialité crainte de cet organe pourtant dirigé par un supposé serviteur de Dieu.


Source : La Tempête des tropiques

Craignant de voir le processus de démocratisation sombrer dans le chaos - L’Union européenne insiste sur les élections apaisées
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:51




Dans un communiqué de presse distribué par sa Délégation dans la ville de Kinshasa, l’Union européenne (UE) a exprimé son inquiétude sur les derniers développements de la campagne électorale en République démocratique du Congo. L’Organisation du “ vieux continent” a pris note avec préoccupation des actes de violence et des propos tenus en public ces derniers jours appelant au non respect de la loi,

et susceptibles de conduire à un climat de violence et de tensions politiques, sociales et ethniques. Elle a appelé, encore une fois, tous les acteurs politiques en RDC à s’engager sans réserve sur un processus électoral apaisé, respectueux de tous, et permettant des élections libres, transparentes et crédibles.
Marcel Tshishiku


Source : La Tempête des tropiques

Voilà : le travail diplomatique d'encerclement et de sape de "Ye Mei" est entrain de donner des fruits...L'ONU condamne le comportement de la Police congolaise "kabilisée" et de l'ANR...Reste plus que le débarquement de "Ye Mei" à Kisangani ou Kinshasa pour conclure...






RD CONGO / ONU - Article publié le : jeudi 10 novembre 2011 - Dernière modification le : jeudi 10 novembre 2011
Un rapport de l'ONU dénonce les violences en RDC


L'ONU s'inquiète des violences en RDC à la veille des élections.

© MONUSCO/Myriam Asmani
Par RFI

L'ONU s'inquiète des violences commises en République Démocratique du Congo, à moins de trois semaines des élections. Un rapport de 24 pages publié mercredi 9 novembre fait état d'atteintes aux droits de l'homme, et de « mise en danger du processus démocratique ».

Avec notre correspondant à Genève, Laurent Mossu

« Les violences mettent en péril le processus démocratique en cours et peuvent peser lourdement sur la période postélectorale » : le Haut commissariat des Nations unies aux droits de l’homme s’alarme ainsi de la situation en République Démocratique du Congo.

Dans un rapport diffusé à la veille des scrutins de la fin novembre, il dénonce les atteintes portées à la liberté d’expression des individus, au droit à l’intégrité physique, à la liberté et à la sécurité. Il met en cause les agents de la police nationale congolaise et de l’agence nationale des renseignements.

Pour le Haut commissaire, Mme Navy Pillay, ce type d’intimidation, de menaces et d’arrestations arbitraires est « inacceptable ». L’ONU note que la situation à l’est du pays est particulièrement inquiétante. Les partis politiques, souligne l’enquête, auraient été visés et leurs membres placés en détention et maltraités. La plupart des violations aux droits de l’homme ont ciblé des membres et des militants des partis d’opposition, affirme l’ONU.

Après le rendez-vous manqué d’hier - Tshisekedi à 13h à Kisangani
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:43




L’autorisation de circulation enfin délivrée à « Aeronautic Solutions ». Alors qu’il était formellement annoncé pour hier mercredi à Kisangani, Etienne Tshisekedi n’a pas foule le sol de cette ville. Selon des sources dignes de foi, le président national de l’UDPS n’a même pas bougé de son quartier général de Johannesburg, en Afrique du Sud. La raison principale du couac est à chercher dans la délivrance tardive, le même mercredi 09 novembre, par l’Autorité de l’Aviation Civile (AAC), «de l’autorisation de circulation au-dessus du territoire congolais» à la société «Aeronautic Solutions », auprès de laquelle le Lider Maximo a pris en location trois aéronefs (Un Jet, un DC 3 et un hélicoptère). Pour des raisons de sécurité, l’équipage a jugé bon de ne pas prendre le risque de se présenter à l’aéroport de Kisangani en début de soirée, compte tenu du déficit de balisage et des conditions atmosphériques souvent volatiles qui y prévalent dans les après-midi. Par respect pour le public, il aurait été indécent de la part de Tshisekedi d’arriver à une heure où le cérémonial d’accueil serait fortement perturbé par l’obscurité.

Un rendez-vous ferme Tshisekedi-Boyomais est pris pour ce jeudi 10 novembre 2011 à 13 heures. L’on croit savoir que le couac d’hier a relancé le suspense. On rappelle que toute la ville de Kisangani était, hier mercredi 09 novembre 2011, dans la fièvre de l’attente d’Etienne Tshisekedi depuis les petites heures de la matinée. A cet effet, le parking de l’aéroport de Bangboka était envahi par une nombreuse foule venue de tous les quartiers aussi bien de la rive gauche que de la rive droite du fleuve Congo. Une forte délégation de cadres du parti, était arrivée de Kinshasa la veille.
Les responsables de la fédération de l’UDPS en Province Orientale s’étaient investis, depuis plusieurs jours, dans une forte sensibilisation non seulement des cadres et combattants du parti mais aussi de l’ensemble de la population de Kisangani sur la visite d’Etienne Tshisekedi. Le chef-lieu de province a été secoué une première fois, vers 13 heures, par la rumeur des manoeuvres d’approche du Jet présidentiel à bord duquel était censé voyager l’illustre hôte des Boyomais. Mais celle-ci a été rapidement démentie.
La seconde alerte est intervenue autour de 17 heures, plusieurs sources affirmant que son avion était en vue de la vue. Certains sont allés jusqu’à soutenir qu’il venait d’atterrir. Mais, finalement, le report a été confirmé par des membres du staff national et local qui étaient en contact permanent avec Etienne. Tshisekedi.

Vendredi 11.11.2011 à 11 heures au Stade des Martyrs
Bien qu’ayant perdu plus de dix jours par rapport à son agenda de campagne, le président national de l’UDPS maintient la « grande messe » annoncée pour ce vendredi 11 novembre 2011 11 heures au Stade des Martyrs, à Kinshasa. Cette manifestation devrait marquer le lancement officiel de sa campagne électorale.
A cette occasion, un accent particulier serait mis sur son « Programme alternatif de gouvernement », lequel porte le projet de société du Congo de demain, qui se veut un Etat de droit, assis sur les principes de la reconversion des mentalités, la bonne gouvernance, de la liberté d’association, d’opinion et d’expression, la justice, le bien-être social communautaire, la mise en valeur des ressources internes et la distribution équitable des revenus découlant de leur exploitation, la lutte contre les antivaleurs, le retour de la paix et de la sécurité, la réconciliation nationale, la modernisation des infrastructures routières, fluviales, aéroportuaires, lacustres, sanitaires, scolaires, culturelles, l’industrialisation, etc.
Kimp


Source : Le Phare

Motors eleli : "Kabila" n'a plus qu'à se tenir à carreaux...Qu'il n'aggrave pas son cas pcq la Justice l'attend déjà...






DROITS DE L’HOMME : Un rapport de la Monusco accable le gouvernement
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:42


Un rapport des Nations Unies sur les violations des droits de l’homme perpétrées pendant la période pré-électorale a été publié hier par le Bureau conjoint des Nations Unies sur les droits de l’homme (BCNUDH). Scott Campbell, directeur du BCNUDH en a fait le résumé hier, lors de la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies.
Il a relevé que ce rapport épingle un nombre inquiétant de violations des droits de l’homme’ pendant la période pré-électorale en RdCongo, avertissant que de tels incidents pourraient mettre en péril le processus démocratique et engendrer des violences postélectorales.
Entre le 1er novembre 2010 et le 30 septembre 2011, le BCNUDH a documenté 188 violations des droits de l’homme apparemment liées au processus électoral. Ces violations portent le plus souvent atteinte à la liberté d’expression des individus, au droit à l’intégrité physique, à la liberté et à la sécurité de la personne, ainsi qu’au droit de réunion pacifique. Des exemples de violences et d’atteintes à l’ordre public par des militants des partis politiques ont également été Constatés.
Alors que le rapport ne répertorie pas de manière exhaustive les violations des droits de l’homme et actes de violence, les violations documentées incluent des incidents tels que des menaces de mort contre des défenseurs des droits de l’homme ayant tenu une conférence de presse au cours de laquelle ils ont dénoncé les reformes ; des mauvais traitements et arrestations de civils pour le seul port de tee-shirts d’un parti de l’opposition ; des convocations répétées a l’Agence nationale de renseignements ; des mauvais traitement de civil pour avoir posé une question « antipatriotique » et l’arrestation et des mauvais traitements de quatre individus pour avoir eu une discussion politique dans un salon de coiffure.
Le rapport constate que « la préparation des élections a eu lieu dans un climat ou les libertés d’expression et d’association étaient limitées ». « La liberté d’expression est essentielle en période électorale dans la mesure où les personnes ne peuvent effectivement exercer leur droit de vote que si elles sont en position de prendre une décision avisée ».
Le rapport ajoute qu’«Au regard des violences engendrées par les élections de 2006, ainsi que la situation générale particulièrement précaire des droits de l’homme en RDC, les élections de 2011 (présidentielle et parlementaires) constituent un défi majeur pour les droits de l’homme, la sécurité et la consolidation de la démocratie dans le pays.
Selon le rapport, la plupart des violations perpétrées impliquent directement des agents de la Police nationale congolaise ou de l’Agence nationale des renseignements. !ci, le directeur de BCNUDH a rappelé les propos de Navi Pillay la Haut- commissaire aux droits de l’homme, qui a dit: « Je suis persuadée que le peuple congolais partage mon espoir d’élections pacifiques, libres et justes et d’exercice sans heurts de leur droit fondamental de vote». Elle avait poursuivi sa pensée en affirmant:
« Le type d’intimidation, menaces, incitation, arrestations arbitraires et violences que nous avons documentées est inacceptable et a un effet dissuasif sur les électeurs. Le Gouvernement et les dirigeants des partis politiques doivent établir clairement qu’il existe une tolérance zéro contre de telles actions limitant gravement l’exercice du droit de vote ».
Le rapport note que la situation à l’est du pays est particulièrement inquiétante. Les partis politiques auraient été visés et leurs membres placés en détention, maltraités et menacés. La plupart des violations ont ciblé des membres et militants des partis d’opposition en particulier ceux de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et de l’Union pour la nation congolaise (UNC).
Le BCNUDH demande entre autres instamment au Gouvernement congolais d’intensifier sa coopération avec la société civile, de diffuser des messages publics appelant les agents de l’Etat, particulièrement les membres des forces de sécurité, à promouvoir et respecter les droits de l’homme et à lutter contre l’impunité des agents de l’Etat ayant perpétré des violations des droits de l’homme. Il demande également aux partis politiques de procéder à des déclarations publiques visant à promouvoir la participation paisible dans le processus électoral et d’appeler leurs militants, particulièrement les jeunes, à s’abstenir de recourir à la violence et de respecter les lois nationales et l’ordre public.
Jean-René Bompolonga et Banny Mayifuila


Source : Le Phare

Au pays des cons, Kanachien est en ce moment en train de faire acter les prestations des serments des magistrats Katangais.
C’est tout simplement du n’importe quoi, mais quoi de plus étonnant ? Nous sommes en RDC, un pays des antivaleurs.
Je rappelle que Kabila est un simple candidat à la magistrature suprême, il ne peut de ce fait, continuer à signer des ordonnances officielles.

A propos de son voyage à Kisangani - E. Tshisekedi : la grande inquiétude !
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:33



C’était hier ou jamais. Le raté du rendez-vous de Kisangani est de trop. Fiévreusement attendu au chef-lieu de la province orientale, Tshisekedi ne s’est pas pointé au rendez-vous. Pour l’heure, aucune précision n’a été apportée par son parti ou son entourage. Mais l’inquiétude commence à grandir au sein de l’opinion publique. Que se passe-t-il en Afrique du sud ? Qu’est-ce qui bloque réellement le Lider Maximo ?


Si beaucoup pensaient que le blocage se trouve du côté des instances officielles de navigation aérienne, le commandant de l’aéroport de Bangboka a disculpé ces instances. Il a déclaré qu’une autorisation de vol a été formelle ment accordée à Tshisekedi pour l’atterrissage à Kisangani.
Mais, poursuit le commandant, la Rva n’a eu connaissance d’aucun plan de vol en partant d’Afrique du Sud pour Kisangani. Comme pour dire que techniquement, le requérant, Etienne Tshisekedi, n’a planifié officiellement aucun vol sur Kisangani.
Si cette situation n’est pas tirée au clair de manière définitive, il faut dire que le capital d’adhésion populaire du Sphinx de Limeté va subir un sévère contrecoup en Province Orientale et partant à l’Est.
Il devient impérieux pour l’Udps de prendre toute la mesure de la situation et d’agir en conséquence. A 17 jours de l’élection présidentielle, il est tout de même inquiétant que la campagne du Lider Maximo n’aie pas démarré.

Situation particulière
La Province Orientale reste en tout cas l’une des grandes, si pas la plus grande, inconnues de la présidentielle du 28 novembre.
C’est la seule province du pays à n’être pas agglutinée autour d’un leader, d’une icône qui prétendrait parler en son nom.
Si aux Nord et Sud-Kivu Mbusa et Kamerhe font office d’icône dont nul cependant ne sait évaluer les proportions exactes, en Province orientale personne ne peut se prévaloir d’un pareil statut. Au Katanga, nous avons Moïse Katumbi au Sud et Kyungu wa Ku Mwanza au Nord. Au Bas-Congo, il y a Ne Muanda Nsemi. Au Bandundu, Gizenga est incontournable tandis qu’à l’Equateur, en l’absence de Bemba, Makila est le super favori.
Cette existence d’icônes par province permet plus ou moins la classification rapide de différents électorats sur la base des tendances des leaders. Mais en Province Orientale, cet exercice est impossible. Un leadership de type nouveau s’y est développé. Surtout à Kisangani, le chef-lieu de la province. La rue, c’est-à-dire, le petit peuple, l’insignifiant inconnu composant la nébuleuse appelée population y dicte sa loi. Les personnalités et autres leaders du coin n’ont aucun ascendant sur les foules. Malheur à celui, des candidats présidentiables qui va oser compter sur des relais en Province Orientale.
A ce rythme, la province et son chef-lieu n’appartiennent à proprement parler à personne. Ils peuvent revenir au politiquement pus offrant. Quel qu’il soit. C’est une donne capitale qu’il convient d’intérioriser.
Mais pour en revenir à Tshisekedi, il est impérieux de souligner que la situation de Kisangani est à gérer avec le maximum de délicatesse. Parce que comme on vient de le démontrer, la Province orientale est hautement stratégique pour la victoire le 28 novembre prochain.


Source : Le Palmares

Santoss a écrit :

"Je rappelle que Kabila est un simple candidat à la magistrature suprême, il ne peut de ce fait, continuer à signer des ordonnances officielles."





T'inquiètes, il signe là ses derniers actes de "kabilerie"...Tout ça sera réétudier par le nouveau pouvoir de Tshitshi...

"Kabila", Kyungu Wa Kumwanza, bokeba ! Vous êtes dans l'oeil du cyclône-CPI, le mangeur de nègres, Moreno Ocampo...






La CPI place la RDC sous surveillance
Jeudi, 10 Novembre 2011 13:22


Alors que les violences et les affrontements se multiplient à 3 semaines de l'élection présidentielle en République démocratique du Congo (RDC), la Cour pénale internationale se dit "très inquiète". Le bureau du procureur "se réserve la possibilité d'envoyer des représentants à Kinshasa si la situation devait le justifier" a déclaré Pascal Turlan, conseiller en coopération de la Cour.

Capture d’écran 2011-11-09 à 21.04.28.pngDans un communiqué sans équivoque , la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye indique que "le bureau du procureur est très inquiet de ce qui est en train de se passer en RDC à l'approche des élections" et insiste sur le fait "qu'il ne saurait y avoir de violences lors d'un processus électoral". Selon la CPI, "le bureau du procureur se réserve la possibilité d'envoyer des représentants à Kinshasa si la situation devait le justifier".

La situation est donc suivie de près à La Haye. Un message on ne peut plus clair destiné aux responsables politiques congolais de tous bords tentés par l'utilisation de la violence.

Christophe RIGAUD