Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

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Elections: le candidat de l’UDPS, Etienne Tshisekedi est arrivé à Kisangani

publié il y a 1 heure, 45 minutes, sous Actualité, Élections, La Une, Présidentielle.


L’opposant Etienne Tshisekedi wa Mulumba et candidat à la présidentielle de 2011 en RDC a atterri à Kisangani, jeudi 10 novembre vers 21 heures 45 locales en provenance d’Afrique du Sud après une tournée en Europe et en Amérique. A sa descente d’avion, il a été accueilli par ses sympathisants et des personnalités de sa plate-forme électorale venus l’attendre depuis la mi-journée.

Etienne Tshisekedi a prononcé brièvement affirmant qu’il n’est pas «venu battre campagne mais enlever la peur dans la population pour qu’il n’y ait plus de dictature dans le pays ».

Après ce mot, le cortège venu l’accueillir avec des drapeaux de l’UDPS, encadré par la police nationale congolaise, s’est dirigé vers le centre ville où aucun dispositif particulier d’accueil n’a été observé.

Partout où il passait, des habitants sortaient spontanément pour l’accueillir. C’est vers minuit que son cortège est arrivé au centre ville de Kisangani.

Selon le député Roger Lumbala, coordonnateur de la plate-forme Soutien à Etienne Tshisekedi, un meeting sera tenu ce vendredi à 11 heures devant la place de la poste.

Etienne Tshisekedi est rentré en RDC après la polémique suscitée par des propos qu’il a tenus, dimanche 6 novembre, dans une interview téléphonique accordée àla RLTV, une chaîne de télévision émettant à Kinshasa dont le signal a été coupé depuis par le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication.

Faisant le point sur ces propos jeudi à Kinshasa, Martin Fayulu de la Dynamique Tshisekedi Président a déclaré qu’ «Etienne Tshisekedi ne s’est jamais autoproclamé président, il s’agit là d’une mauvaise interprétation des propos d’un père de famille soucieux de la souffrance de ses enfants».

Selon lui, «Etienne Tshisekedi n’est pas un homme violent et n’accédera au pouvoir que par des moyens démocratiques».

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Selon les informations parvenues au Phare, les Boyomais refusent de « libérer » Etienne Tshisekedi pour Kinshasa, où il devait tenir un meeting au stade des Martyrs vendredi 11 novembre.

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Selon les informations parvenues au Phare, les Boyomais refusent de « libérer » Etienne Tshisekedi pour Kinshasa, où il devait tenir un meeting au stade des Martyrs vendredi 11 novembre.

Compte tenu de la longue attente à laquelle ils étaient soumis, ils tiennent à ce qu’il épuise son agenda de travail et de visite avant d’aller ailleurs. Il s’agit notamment des villes d’Isiro, Buta, Bunia… prévues dans l’agenda de Tshisekedi. Ces populations ne veulent pas entendre parler d’un retour de Tshisekedi à Kinshasa dans l’immédiat, sans avoir rempli son contrat avec elles, précise le journal.

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Bien qu’arrivé tard dans la soirée - Tshisekedi triomphe à Kisangani
Vendredi, 11 Novembre 2011 10:37




Plusieurs personnes sont restées pendant longtemps attendre le Président de l‘UDPS en dépit de l’ajournement mercredi de son arrivée qui ne les avait pas découragées. L’avion de la compagnie sud-africaine dénommée « Allegiance Air South Africa” qui transportait le leader de l’UDPS et sa suite a atterri hier jeudi 10novembre aux environs de 21 heures (heure de Kinshasa) à l’aéroport de Bangboka, situé à plus ou moins 20 km du centre de la ville de Kisangani.
Une foule nombreuse est restée jusque tard pour attendre Etienne Tshisekedi wa Mulumba et sa suite en provenance de Johannesburg où le Sphinx de Limete s’était installé momentanément au retour de sa dernière tournée euro-américaine. Se confiant à la presse sa descente d’avion, le principal adversaire du chef de l’Etat sortant à la prochaine présidentielle a dit être venu à Kisangani non seulement dans le cadre de la campagne électorale, mais aussi pour consoler la population martyre de cette province qui a été persécutée par plusieurs régimes qui se sont succédés. Le caractère historique de cette ville qui a été le fief du premier Premier Ministre de la RDC, Patrice Emery Lumumba dont le rôle joué pour l’indépendance du pays n’est plus à démontrer, l’a également motivé pour ce déplacement.
Un groupe d’hommes politique de l’opposition composé notamment de Roger Lumbala, Moni Dela et Hamza Badjoko est arrivé hier dans l’avant-midi bord d’un avion de la CAA dans la capitale de la Province Orientale, pour vivre de visu l’accueil du candidat n° 11 à la présidentielle.
Jusqu’au moment où on mettait ce journal sous presse, Etienne Tshisekedi et sa suite n’avaient pas encore atteint le centre ville. Le long du parcours, plusieurs personnes tenaient à le voir. Il y a eu même des Boyomais qui ont demandé au Président de l’UDPS de descendre de son véhicule pour bien le saluer.
Sauf changement de dernière minute, le comité local de l’UDPS tient à rester avec le président du parti pendant quelques jours. Il a prévu un meeting à la célèbre place de la Poste située dans la commune de Makiso avec comme principal orateur cet hôte de marque. Une tournée à l’intérieur de la Province Orientale est aussi envisagée. Les membres de cette formation politique dans cette partie du pays souhaite voir Etienne Tshisekedi se rendre à Isangi dans le district de la Tshopo et à Bondo au Bas-Uele. Le président de l’UDPS connaît bien ce district situé au Nord-Ouest de la Province Orientale pour y avoir séjourné comme détenu politique quand il était relégué par le défunt maréchal Mobutu Sese Seko.
Il connaît aussi le Haut-Uele où il avait été en résidence surveillée sous le même régime de Mobutu à Dungu, un territoire à la frontière entre le Sud-Sudan et la RDC. Cette partie du pays connaît comme tant d’autres le déficit de la défense de l’intégrité territoriale avec les attaques multiples des rebelles ougandais de la LRA qui avaient à certain moment occupé le parc de la Garamba.
Les cadres de l’UDPS à Kisangani veulent voir leur Président mettre à profit son séjour à l’Est de la RDC pour se rendre aussi au Nord-Kivu et au Sud -Kivu. Une manière pour eux de terminer en beauté la campagne électorale pour l’étape de l’Est du pays avant de la relancer Kinshasa et de la lancer dans d’autres provinces du pays.


Source : La Tempête des tropiques

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Le problème d’avions résolu, toutes les régions de la République seront honorées
Vendredi, 11 Novembre 2011 10:37



Les moyens mis à contribution par la Majorité présidentielle pour bloquer Etienne Tshisekedi et son grand parti dans tout ce qu’ils avaient entrepris et ce qu’ils comptent encore entreprendre avant l’établissement de l’Etat de droit très attendu au pays peuvent être identifiés à travers un seul mot. Il s’agit on s’en doutait encore hier, de la persécution!
Mais comment justement celle-ci se définit-elle ? Larousse définit la persécution comme un tourment physique au moral infligé avec opiniâtreté.
Par extension il s’agit de la vexation, méchanceté que l’on fait subie à quelqu’un. On peut parler aussi de malveillances systématiques dont quelqu’un fait l’objet (le cas particulier du Président de l’Udps et de combattants de ce parti).

Quelques cas illustratifs
Sur la longue liste de faits et gestes constituant les malveillances dont l’Udps a déjà été l’objet depuis l’avènement du règne des Kabila figurent l9nterdiction et la répression violente de réunions et autres manifestations publiques organisées par ce parti à travers le pays ; l’arrestation et la mise sous séquestre de ses membres ; assassinat de ses combattants à l‘occasion de différentes manifestations publiques autorisés ; l’emprisonnement sans jugement de ses sympathisants; le refus de notarier ses statuts et règlements, susciter de la zizanie entre les membres effectifs ; tenter plusieurs fois de la dissidence au sein ce parti en vue de l’affaiblir; procéder à la révision unilatérale de la constitution pour faciliter la victoire électorale de la Majorité présidentielle ; la tentative de faire voter une loi électorale “sur mesure “ par le parlement national dans le même objectif ; les tripatouillages opérés dans l’opération d’enrôlement de la population ou de révision du fichier électoral dans le même objectif, y compris le refus d’enrôler des personnes dans les régions habitées par des populations supposé s acquises aux thèses de changement défendues par l’Udps et Alliés, l’imposition d’un code de bonne conduite biaisé aux partis politiques pendant la période électorale ; la multiplication d’entraves à la campagne électorale dont la plus récente en date est sans nul doute l’interdiction faite à Etienne Tshisekedi de ne pas survoler l’espace aérien national avec ses avions pendant la campagne électorale en cours, etc.
C’est avec beaucoup d’admiration que l’opinion nationale et internationale constate que malgré la persécution dont ils font l’objet, Tshisekedi et l’Udps battent campagne à travers le pays grâce aux structures de base de ce parti dont l’ancrage populaire à travers la République n’est plus à démonter !
Maintenant que le problème d’avions est résolu, toutes les régions du pays seront honorées par la tournée au Président de l’Udps qui commencera après la tenue de son meeting de campagne au stade de Martyrs à Kinshasa.
Fini donc le suspense qui a longtemps duré autour du retour d’Etienne Tshisekedi au pays après un long séjour passé par ce dernier à l’étranger et le lancement officiel de la campagne électorale le 28 octobre dernier, par le président de la Commission électorale nationale indépendante, Daniel Ngoy,
KAMBALE MUTOGHERWA


Source : Le Phare

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kie kie kie kie kie kie kie




#1 Raphael 11-11-2011 11:17
Tous les Kabilistes sont malades aujourd'hui pendant que la population de kisangani s'entretiennent en ce moment avec leur futur president qu'ils voteront sans doute le 28/11/2011.A bas la peur.Ou sont partis les kuluna predisposs a kisangani pour perturber l'accueil de Tshitshi? quelqu'un m'a dit qu'ils avaient radicalement changé de camps et que maintenant ils s'etaient constitues en bodyguards de Tshitshi. Dieu des victimes de viol et meutres existe c'est le Dieu des JUSTES.

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Arrivé en fin d’après midi de ce jeudi 10 novembre 2011 dans le chef-lieu de la province orientale: Etienne Tshisekedi crée la pagaille à Kisangani !
Vendredi, 11 Novembre 2011 09:46




* Il y était précédé dans la matinée par plusieurs leaders de l’opposition parmi lesquels se trouvent Roger Lumbala, Mwinyi Hamza Badjo et tutti quanti. Un cinglant démenti vient d’être porté aux colportages de faux bruits propagés depuis une semaine par les sommités de la Majorité Présidentielle autour du retour au pays d’Etienne Tshisekedi.
En effet, le Président de l’Udps est bel et bien rentré hier au pays dans la soirée par Kisangani au terme d’un long périple hautement politique qui l’a conduit respectivement en Belgique, en France, en Grande Bretagne, au Canada et aux Etats-Unis avant la pause méritée qu’il vient de prendre à 3ohannesburg en terre sud-africaine !
Précédé au chef- lieu de la province orientale par plusieurs leaders de l’opposition parmi lesquels se trouvent en bonne place Roger Lumbala, Mwinyi Hamza Badjoko et tant d’autres, Etienne Tshisekedi a été accueilli à l’aéroport international de Bangboka par une foule difficile à évaluer tellement la mobilisation de la population a été forte malgré les nombreux reports quant à la date de son arrivée.
Malgré l’obscurité qui enveloppe déjà la ville lorsque l’aéronef de la compagnie « Aeronautic Solutions » s’est posé sur le tarmac de Bangboka, la foule n’a pas eu de la peine à découvrir la ferme silhouette d’Etienne Tshisekedi sorti le premier de la cabine de l’appareil accompagné de son inséparable épouse Maman Marthe et de tant d’autres membres de sa suite. C’est au rythme de battements de tam-tams ponctués de cris d’allégresse et de belles chansons vantant les hauts faits du géant de la politique congolaise qu’Etienne Tshisekedi a pris son bain de foules en posant ses pieds sur le sol Boyomais après tant d’années passées sans y être revenu à cause des intrigues politiques dont il n’avait cessé d’être l’objet sous les régimes de Mobutu et des Kabila !
A son chaleureux accueil par la population de Kisangani, le président de l’Udps a été congratulé par le Président interfédéral de ce parti qu’entouraient des représentants de formations politiques de l’opposition ayant pignon sur rue en province orientale dont, en première ligne de front, l’Union pour la Nation Congolaise, parti d’avant-garde cher à Vital Kamerhe.
Etant donné l’impossibilité de pouvoir s’adresser aux foules à l’heure tardive de son arrivée au chef-lieu de la province, Etienne Tshisekedi s‘adressera aujourd’hui vendredi 11/11/2011 à 11 heures au cours d’un grand meeting devant l’Hôtel de postes situé à proximité de la Place de Martyrs dans la commune de Makiso, un site hautement symbolique à cause des événements douloureux dont il aura à perpétuer à jamais le souvenir.
Aux dernières nouvelles, nous avons appris que le Lider Maximo de l’Udps pourrait se rendre à Isangi (où il était relégué par Mobutu) et à Bondo à l’issue de son meeting avant de rentrer à Kinshasa d’où il repartira à destination d’autres régions de l’Est de la République.
Jeff Saïle


Source : Le Baromètre

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#3 LE FURETEUR 11-11-2011 10:28
Enfin!!je vois déjà des pleures en langues maternelles!







kie kie kie kie kie kie...Bakolela na munoko ya mboka...

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De retour en RDC, l'opposant Tshisekedi se défend d'avoir appelé à la violence
Vendredi, 11 Novembre 2011 08:39


L'opposant Etienne Tshisekedi, candidat à la présidentielle du 28 novembre en République démocratique du Congo (RDC), est arrivé jeudi soir à Kisangani (nord-est), en provenance d'Afrique du Sud, et s'est défendu d'avoir appelé à la violence, a constaté un correspondant de l'AFP. L'opposant avait créé la polémique dimanche en appelant ses partisans à «casser les portes des prisons» si des militants de son parti n'étaient pas libérés, et en se déclarant «président de la République».


La Belgique, l'Union européenne, la France et l'ONU notamment avaient dénoncé ces propos.

M. Tshisekedi a atterri vers 22 h (17 h, heure de Montréal) à l'aéroport du chef lieu de la province Orientale, à bord d'un avion d'une compagnie privée sud-africaine en provenance de Johannesburg où il séjournait depuis quelques jours après une tournée à l'étranger, alors que la campagne électorale à débuté depuis le 28 octobre en RDC.


Plusieurs dizaines de ses partisans l'ont accueilli à sa descente d'avion, qui avait reçu en début d'après-midi l'autorisation d'atterrir délivrée par l'Autorité de l'aviation civile congolaise.

Le leader de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) est revenu en RDC quatre jours après avoir appelé ses partisans à «casser les portes des prisons» si le gouvernement ne libérait pas dans les «48 heures» des militants emprisonnés.

Il avait également appelé à «corriger» les policiers s'il le fallait.

L'opposant a tenu ces propos dans une interview au téléphone, depuis l'Afrique du Sud, à une télévision d'opposition à Kinshasa, dont le signal a été coupé dès dimanche et jusqu'au 14 novembre par l'autorité de régulation des médias.

Questionné par la presse peu après sa descente d'avion sur les raisons de cette déclaration, M. Tshisekedi a expliqué que c'était pour lui «une façon d'enlever la peur de la population vis-à-vis de la +dictature+».

Entre «celui qui fait arbitrairement arrêté et tué les Congolais et moi qui dit au peuple prenez votre responsabilité d'aller libérer (ses) compatriotes qui sont en prison (...), qui viole la Constitution ?», a lancé celui dont le principal adversaire pour la présidentielle est le chef de l'Etat Joseph Kabila, qui brique un second mandat.

«Toute dictature est basée sur la peur. Demain avec l'Etat de droit, le Congolais doit abandonner la peur et avoir confiance en lui-même. Ma manière d'éduquer le peuple congolais c'est de lui enlever la peur dans (sa) tête en se mobilisant d'aller terroriser ceux qui nous ont longtemps terrorisé aussi, pour que demain il soit un véritable sujet de développement. C'est ne pas un appel à la violence», s'est-il défendu.

Pourquoi s'est-il déclaré «président de la République» ? «Le souverain dans ce pays c'est le peuple congolais, qui m'a proclamé (président) depuis longtemps, ce n'est pas l'auto-nomination, à moins que vous me prouviez le contraire», a-t-il répondu.

M. Tshisekedi est l'un des 11 candidats à la présidentielle du 28 novembre qui se tiendra en même temps que les législatives. Il est le dernier des 11 prétendants dans l'ordre alphabétique et c'est ce numéro qui lui a été officiellement attribué par la Commission électorale.

La date de son retour à Kinshasa n'était pas connue jeudi soir, alors qu'initialement il devait tenir un meeting dans la capitale, au stade de martyrs, ce vendredi, à la date symbolique du 11/11/2011.

Son arrivée à Kisangani aurait dû avoir lieu mercredi, mais son avion de location a eu «un problème technique» et il a dû en louer un autre, selon l'UDPS.


Source : Cyberpress.ca

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Tshisekedi, enfin, à Kisangani
Vendredi, 11 Novembre 2011 08:38




De sources concordantes, il nous revient que Etienne Tshisekedi, candidat de l'UDPS à la présidentielle du 28 novembre, a regagné finalement le pays hier dans la soirée par Kisangani. Son avion a atterri à l'aéroport de cette ville vers 21h25'. C'est, en principe, aujourd'hui vendredi 11 novembre, que Tshisekedi va tenir un meeting au chef-lieu de la Province Orientale.

Au fait, il venait d'Afrique du Sud où il a séjourné pendant quelques jours. Son retour au pays devait intervenir il y a plusieurs jours pour la campagne électorale, mais a été repoussé pour des raisons non élucidées.

Par ailleurs, le voile vient enfin d'être levé sur le controversé dossier que d'aucuns ont dénommé Affaire : " Avions de Tshesekedi ". Les rumeurs les plus folles répandues au pays et principalement à Kinshasa, ont fait état du refus par les autorités compétentes d'accorder l'autorisation d'atterrissage aux avions de Tshisekedi sur les aéroports de la RDC.

Aujourd'hui, la vérité est connue. L'UDPS, le parti d'Etienne Tshisekedi, a introduit mercredi 09 novembre 2011, la demande d'autorisation de survol de l'espace aérien congolais et d'atterrissage d'un aéronef de 7 places de la Société sud-africaine Aéronotic-Solution pour le compte de M. Etienne Tshisekedi auprès de l'Autorité de l'aviation civile.

Selon, la RTNC qui l'a annoncé dans son journal télévisé de 20 heures, ladite demande a été introduite hier mercredi 09 novembre 2011. Et le dossier, poursuit notre source, a été traité le même jour par les services de l'Autorité de l'aviation civile qui y a réservé une priorité urgente et qui a répondu favorablement à la demande de l'UDPS. Ainsi l'avion affrété pour le leader maximo peut librement survoler le ciel congolais et atterrir sur les aéroports de la RDC sans problème. Aux dernières nouvelles, Tshisekedi a atterri hier jeudi à Kisangani dans la soirée. Fini donc les spéculations.

JPS


Source : L'Observateur