Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Posté : 11 nov. 2011, 12:33
http://www.josephkabila-2011.com/les-5- ... abila.html
Un mandat s'achève, certes petit à petit, mais un autre annonce ses couleurs. Il s'agit du mandat de Joseph Kabila Kabange. Il s'achève parce que prévu comme tel dans la constitution. Un autre se pointe à l'horizon parce qu'il lui est constitutionnellement reconnu le droit de le briguer. Le briguer c'est une chose, et de l'avoir dans on escarcelle en est une autre.
Parce que demain sera ce que l'on aura fait aujourd'hui, l'obtention du deuxième mandat serait, pour Joseph Kabila, le résultat du premier. Lui accorder une cote de sa gestion appartient à tous les Congolais,les témoins oculaires de ses réalisations. Nombre de ceux-ci s'accordent sur une chose : le réveil du Géant, la RDC, dans plus d'un domaine. Ce, contre vents et marrées.
La beauté insoupçonnée dont bénéficie le pays sous ce premier mandat est fruit d'une volonté politique prouvée et éprouvée. Instaurer la démocratie et sauvegarder les institutions de la République, c'était son souci majeur, voire la cause de ses cauchemars. Il y est parvenu. Certainement, Majorité et opposition cohabitant dans toutes les deux chambres du Parlement. S'entrechoquant dans les idées et se séparant des fois dos à dos. L'enfant "démocratie" à tout de même été préservé. Aujourd'hui, les Congolais sont dans l'attente des élections pour la deuxième fois consécutive. Des actes positifs et dignes d'éloges qui traduisent le jeu démocratique et l'alternance au pouvoir.
Passé au crible par des critiques acerbes et des invectives nocives à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, Joseph Kabila a tenu tête. Le pays baignait dans un état très piteux en termes d'infrastructures. Depuis 2006, son gouvernement aborde les grands travaux. Objectif, construire, réhabiliter et moderniser 12 000 km à travers l'ensemble du territoire national, dont 5 600 km, actuellement sont entièrement terminés. Pour ce faire, les contrats chinois sont signés. A eux seuls, il sont constitué un pavé dans la marre de la part des bailleurs de fonds traditionnels et des institutions de Breton Wood. Les intérêts de grandes puissances capitalistes, à en croire certains analystes, seraient froissés avec l'émergence de la Chine en RDC. Sagesse oblige, Joseph Kabila s'en sort facilement. Les deux pôles ont cohabité et même collaboré en RDC. Qui plus est, la quasi-totalité des dettes extérieures du pays sont effacées. Pourtant il ne les a jamais contractées ces dettes. C'est son atcif.
Un mandat s'achève, certes petit à petit, mais un autre annonce ses couleurs. Il s'agit du mandat de Joseph Kabila Kabange. Il s'achève parce que prévu comme tel dans la constitution. Un autre se pointe à l'horizon parce qu'il lui est constitutionnellement reconnu le droit de le briguer. Le briguer c'est une chose, et de l'avoir dans on escarcelle en est une autre.
Parce que demain sera ce que l'on aura fait aujourd'hui, l'obtention du deuxième mandat serait, pour Joseph Kabila, le résultat du premier. Lui accorder une cote de sa gestion appartient à tous les Congolais,les témoins oculaires de ses réalisations. Nombre de ceux-ci s'accordent sur une chose : le réveil du Géant, la RDC, dans plus d'un domaine. Ce, contre vents et marrées.
La beauté insoupçonnée dont bénéficie le pays sous ce premier mandat est fruit d'une volonté politique prouvée et éprouvée. Instaurer la démocratie et sauvegarder les institutions de la République, c'était son souci majeur, voire la cause de ses cauchemars. Il y est parvenu. Certainement, Majorité et opposition cohabitant dans toutes les deux chambres du Parlement. S'entrechoquant dans les idées et se séparant des fois dos à dos. L'enfant "démocratie" à tout de même été préservé. Aujourd'hui, les Congolais sont dans l'attente des élections pour la deuxième fois consécutive. Des actes positifs et dignes d'éloges qui traduisent le jeu démocratique et l'alternance au pouvoir.
Passé au crible par des critiques acerbes et des invectives nocives à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, Joseph Kabila a tenu tête. Le pays baignait dans un état très piteux en termes d'infrastructures. Depuis 2006, son gouvernement aborde les grands travaux. Objectif, construire, réhabiliter et moderniser 12 000 km à travers l'ensemble du territoire national, dont 5 600 km, actuellement sont entièrement terminés. Pour ce faire, les contrats chinois sont signés. A eux seuls, il sont constitué un pavé dans la marre de la part des bailleurs de fonds traditionnels et des institutions de Breton Wood. Les intérêts de grandes puissances capitalistes, à en croire certains analystes, seraient froissés avec l'émergence de la Chine en RDC. Sagesse oblige, Joseph Kabila s'en sort facilement. Les deux pôles ont cohabité et même collaboré en RDC. Qui plus est, la quasi-totalité des dettes extérieures du pays sont effacées. Pourtant il ne les a jamais contractées ces dettes. C'est son atcif.