www.leopardsfoot.com

+5 #27 Jordy 12-11-2011 08:16
le candidat N°3 ne cesse de promettre la construction des "stades" et pourtant pendant tout son mandat les léopards n'ont jamais été qualifiés pour la CAN!!! et dire que la RTNC ne fait que sa campagne... laissez Tshisekedi libérer la RDC

#17 Lydie 11-11-2011 20:45
Vous devriez avoir honte de tenter d'incriminer le candidat E. Tshisekedi pour etre alle a "l'encontre de la loi" alors que vos mains sont entachees du sang de Tungulu, Shebeya et j'en passe. Bande d'hypocrites! Assassiner des innocents et bafouer les droits de l'homme est peut-etre permis dans le code PPRDiste mais pas dans la constitution de mon pays. Qu'il soit elu ou pas, le Congo se souviendra longtemps de ces elections

+8 #14 NICO 11-11-2011 20:20
Bandeko soni ezwi bato ya Kabila po basali nyonso po TSHISEKEDI akoma na KISANGANI te leloyo TATA wana anyati mabele ya ba KOKO nabiso na slogant naye PEUPLE DABORD mosongi ya Peuple KISANGANI BOYOME ebouger CONGO etelemi.
Kabila o nakotongela bino Stade,nakosalel a bino Maswa po biso nyoso tozala babeti ndembo na musique mawa ya Kabila azoloba makambo oyo akomaki na ba affiche naye te,na affiche Rais 100 pourcent,na monoko naye Stade na Masuwa,pona misala ya PEUPLE kosala azo loba te mawa na bino KISANGANI esi etombe pe L,Est mobimba na maboko ya TSHITSHI,bosuwaki ba AVION nyonso bokanisaki akokoma na KISANGANI te akomi,soni nabino
TOZO VOTE KAKA TSHISEKEDI wana bolinga bolinga te ye kaka TSHITSHI CHEF DE L,ETAT ya CONGO TO KO VOTE YE eteyi biso na makambo bosalaki, Kabila okokende

Tshisekedi : * Folle nuit à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale ; * Les Bayomais refusent de « libérer » Tshitshi
Vendredi, 11 Novembre 2011 15:45



Etienne Tshisekedi a finalement réalisé, hier dans le soirée, la jonction entre Johannesburg, en Afrique du Sud, et Kisangani; en République Démocratique du Congo. C'était après le faux bond du mercredi 09 novembre, lié d'abord à une nébuleuse cabale administrative autour de l'autorisation de circulation des aéronefs de la société privée aérienne sud-africaine « Aeronautic Solutions » qu'il avait pris en location. Alors que l'on croyait tout réglé avec, l'annonce de la délivrance des «autorisations », Etienne Tshisekedi s'est trouvé devant une difficulté inattendue : le refus de cet avionneur de le transporter à Kisangani, sans raison plausible Une main noire aurait-il sacrifié des liasses d'argent pour torpiller la campagne du Mandela congolais et humilier celui-ci? Difficile de le savoir. Aussi, pour contourner la difficulté, le leader de l'UDPS a dû négocier, en catastrophe, un autre Jet pour le voyage de Kisangani.

Durant toute la journée d'hier, le chef-lieu de la Province Orientale ne cessait de charrier les rumeurs du report sine die de l'arrivée du candidat n°11 à la présidentielle. Le calme apparent dans lequel. baignait la ville donnait à penser que les masses qui avaient campé la veille à l'aéroport de Bangboka ainsi que sur le parcours que devait emprunter son cortège étaient à bout de souffle. Curieusement, en fin d'après-midi, dès que des sources aéroportuaires sud- africaines et congolaises ont confirmé le mouvement du Jet transportant Tshisekedi en direction de Kisangani, c'est tout le monde qui s'est mis à suivre, presque en « live » la progression de cet aéronef qui s'est annoncé au-dessus de cette ville autour de 21 heures.

Un phénomène bizarre a été alors observé. Une mobilisation nocturne et spontanée a fait converger, vers l'aéroport de Bangboka, des milliers des personnes de tous les âges. Véhicules, motos et vélos étaient pris d'assaut par ceux et celles qui tenaient à vivre, de visu, le cérémonial d'accueil. Le comité local de la Fédération de l'UDPS, le comité d'accueil venu de Kinshasa ainsi que les forces de l'ordre ont eu du mal à contenir la nombreuse foule qui s'est tapée 17 kilomètres, à pieds pour certains, dans l'unique but de participer à la fête.

Kisangani, ville martyrs et historique

Aussitôt après sa descente d'avion et les formalités d'arrivée, Etienne Tshisekedi a fait une brève déclaration à la presse. Le Sphinx de Limete a notamment justifié le choix de Kisangani comme site du coup d'envoi de sa campagne électorale par son souci de rendre homme et consoler les « Boyomais », cette population martyre depuis l'indépendance jus- qu'aujourd'hui, en passant par les régimes Kasa-Vubu et Mobutu.

Kisangani, a tenu à souligner Tshisekedi, c'est aussi une ville historique, pour avoir accueilli et abrité de 1961 à 1964 le premier gouvernement légal formé par le Premier ministre Patrice-Emery Lumumba, empêché de travailler par les ennemis du peuple congolais et de la démocratie.

La sortie du parking de l'aéroport a été difficilement négociée par le protocole local. Précédé et suivi de cyclistes « Toleka », des motocyclistes et surtout d'une immense foule à pieds, le cortège d'Etienne Tshisekedi a eu du mal à évoluer.

Des vieillards, des jeunes, des hommes, des femmes et des enfants sortis avec des rameaux et des branches d'arbres ont contraint le leader de l'UDPS à la marche à pieds. A certains carrefours, il était obligé de s'arrêter longuement rien que pour saluer des milliers de mains tendues vers sa personne. Les résidents des communes de Kisangani, Kabondo, Makiso, Mangobo et Tshopo, des universités et instituts supérieurs ont déserté leurs maisons et homes pour se retrouver dans la rue, plus précisément sur le chemin d'Etienne Tshisekedi.

En dépit du fait que la quasi-totalité de la ville baigne dans l'obscurité, la population locale, a chassé momentanément les poches noires à la lumière des phares des véhicules et motos, des bougies et lampe-tempêtes. Il a fallu plusieurs heures au président national de l'UDPS pour faire le tour d'une ville atteinte d'hystérie collective.

Les Boyomais refusent de « libérer » Tshitshi

Quant à l'agenda de Tshisekedi à Kisangani, il est des plus incertains. La seule certitude connue hier soir est qu'un meeting du Lider Maximo est prévu ce vendredi matin à la Place de la Poste, au cœur même de la ville, dans la commune de Makiso. C'est ici, croit-on savoir, que le candidat commun de l'opposition à l'élection présidentielle va lancer officiellement sa campagne électorale.

Selon les informations parvenues au Phare, les Boyomais refusent de « libérer » Etienne Tshisekedi pour Kinshasa, où il devait tenir un meeting au stade des Martyrs. Compte tenu de la longue attente à laquelle ils étaient soumis, ils tiennent à ce qu'il épuise son agenda de travail et de visite avant d'aller ailleurs.

L'on apprend entre-temps que les populations des villes de la Province Orientale préalablement retenues pour sa tournée électorale, notamment Isiro, Buta, Bunia... ne veulent pas' entendre parler d'un retour de Tshisekedi à Kinshasa dans l'immédiat, sans avoir rempli- son contrat avec elles. Interrogé au sujet de ce qui e tout l'air d'un chambardement de son calendrier de campagne, le Sphinx de Limete a laissé entendre qu'il s'inclinerait devant la volonté de son électorat de la Province Orientale. Que va-t-il se passer après le grand rassemblement de la Place de la Poste, à Kisangani ? Il est difficile de savoir.

Kimp


Source : Le Phare

Ngoy Mulunda et les sbires au pouvoir accourent vers la CPI pcq la peur a changé de camp...Tant qu'ils pouvaient tuer les citoyens congolais sans risque d'une réplique, tout allait bien dans le meilleur des mondes pour eux...Mais mnt le peuple a décidé de faire recours à la violence légitime, pour se protéger de ses bourreaux, en les terrorisant...Et là, ils commencent à pleurer dans leurs langues maternelles...Au secours CPI, aidez-nous...Oui, mais en attendant, que faites-vous messieurs du gouvernement du cas Bosco Ntaganda qui vit sur les impôts des congolais? Et Nkundabatuare, vous ne réclamez plus ce "sac de haricot"?

Pauvres idiots, continuez comme ça, mais il n'est plus question de se laisser martyriser...Nous répondrons coup pour coup jusqu'à votre fuite chez votre tuteur Kagame...








http://radiookapi.net/actualite/2011/11 ... el-la-cpi/

Violences électorales: Ngoy Mulunda fait appel à la CPI

publié il y a 8 heures, 20 minutes, sous Actualité, Élections, Kinshasa, La Une, Législatives, Présidentielle.


Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Ngoy Mulunda, a mis en garde, vendredi 11 novembre, les auteurs des troubles pendant le processus électoral. Il a aussi invité la Cour pénale internationale (CPI) «à venir se saisir de toute personne qui fait ce qui est contraire à la loi».

Pour Daniel Ngoy Mulunda, tous ceux qui se rendraient coupables de violence pendant cette période en RDC devraient aussi être poursuivis par la Cour pénale internationale.

«Aujourd’hui, il y a des autorités kenyanes qui vont à la CPI parce qu’ayant provoqué des violences», a-t-il indiqué.

«La violence a dépassé ses bornes. Et c’est inacceptable», a-t-il lancé avant d’inviter le ministère public à se saisir lui-même du dossier et à appliquer la loi contre ceux qui commentent des violences pendant les élections.

Au cours d’une conférence de presse tenu vendredi à Kinshasa, à son retour d’Afrique du Sud, il s’est déterminé à combattre les violences pendant la campagne électorale.

Il déclaré avoir été lui-même victime de ces violences en Afrique du Sud, sans plus de précision.

Par ailleurs, le président dela Ceni a jugé positif, l’évolution de déploiement des matériels sensibles des élections dans les provinces. Selon lui, tous les efforts sont en train d’être déployés pour la tenue des élections le 28 novembre.

kie kie kie kie kie kie kie





castro dit :
12 novembre, 2011 à 12:08

Tu es grand mentaire, tu sais hier a likasi kabila a etais surpris pedant qu´il donnee son discourt il a demandez a la foule en disant

le 28 il y auras elections et vous savez quel est votre candidat que vous allez votez ?
le peuple reponds ouiiiiiiiiii

Kabila demande_: ule candidat ni numero kani iiiiii?
le pleuple lui repond numero 11

kiekieeeeekekieeeeeeeeeeeeeeeeeeee

sa c´est une realite sa c´est passe hier a likasi, suivez sa sur toutes le television du congo

kazimudimu dit :
12 novembre, 2011 à 12:27

La violence est condamnable d’où qu’elle vienne.

Ici, il sied de remarquer que Mulunda fait appel à la CPI lorsque lui-même, dans sa chair, subit la violence (je condamne cette violence). C’est (peut-être) son droit. Je condamne cette violence. Mais il faut en rechercher les causes.

Constatons que M. Mulunda était resté muet face aux intolérances et autres violences subies par ceux qui ne partage pas sa vision. Que dit-il des violences verbales proférées nuit et jour par certains politiciens qui se considèrent comme intouchables ?

C’est une bonne chose que la CPI soit interpellée.

Nous demandons qu’elle se souvienne par la même occasion que certains politiciens ont provoqué dans ce même pays des milliers de morts et qu’aujourdh’ui ils jouissent d’une impunité notoire tout en récidivant leurs pratiques : lever un partie de la population contre une autre.

Enfin, comment le commun des mortels peut-il interpeller la CPI ?

A propos de Ngoy Mulunda...



mmmrdc dit :
12 novembre, 2011 à 12:43

Quand les gens sont tués devant tes yeux et devant ton bureau de cni cela est normal, tu ne fais pas appel a la cpi pour faire des enquêtes . Montre nous la où tu as été blessé ou emputé d’un membre pour que la cni s’intéresse a ton problème. Tu amènes le pays dans les troubles par manque de transparence dans ton bureau de la ceni. C'est à cause de votre manque de transparence que les autres sont morts, la cpi peut ouvrir un dossier contre toi et ton bureau.

kie kie kie kie kie kie kie




jmvk dit :
12 novembre, 2011 à 12:45

C’est aujourd’hui que vous savez que la CPI existe ? Pourquoi vous avez refuse de leur livrer Bosco Tangada ?
Quand il s’agit de futilite vous crier plus haut, mais vous n’existez pas quand il s’agit de l’interets du souverain primaire. CPI ne nous intimide pas, bientot l’aternance.

kwabi dit :
12 novembre, 2011 à 1:01

Ce monsieur de ngoyi mulunda sait très bien que la violence est organisée et perpétrée par les éléments du parti de Kabila qui veulent à tout prix sémer la terreur dans la population. Pourquoi il ne s’adresse pas directement au gouvernement pour le maintient de l’ordre?
Tshisekedi a raison quand il dit vouloir enlever la peur dans la population pour qu’il n’ y est plus dictacture au Congo démocratique.