Lupopo en Belgique et en Espagne, V.Club en Afrique du Sud
Posté : 10 nov. 2011, 09:35
Des mises au vert pour une saison incertaine, de quoi sera faite la saison 2012 au niveau du football. De tout ou de rien. Tout dépendra en définitive de la capacité de la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) et de la ligue nationale de football (Linafoot) organisatrice à lire le signe de temps et de se mettre au diapason des réalités conjoncturelles du moment.
Certains clubs ne s'empêchent pas de programmer des stages bloqués, en prévision de leur participation aux championnats africains des clubs. C'est le cas de l'A.S qui se rendra en Afrique du Sud. Tandis que St Eloi Lupopo se rendra en Belgique puis en Espagne. Ces deux équipes auxquelles s'ajoute le T.P Mazembe, déjà en tournée en occident, préparent fiévreusement leur entrée en compétitions africaines de Clubs. Au niveau des ligues provinciales c'est encore le silence des cimetières parce qu'elles attendent la confirmation de la Fecofa et de la Linafoot, pour peaufiner leur grille des rencontres de la saison. Tout compte fait, il y a péril en la demeure, car les clubs dits populaires ne sont pas forcément les plus nantis. Et les équipes données pour de seconde zone ont démontré à abondamment d'occasions, qu'elles étaient de modèle, en ce qui concerne le coté organisationnel, qu'on pouvait les assimiler aux clubs semi-pro.
Puisque le foot est un fait social par excellence, il se trouve être à la fois un refuge quasi idéal pour des milliers de personnes ayant en commun leur passion pour le ballon rond et pour ceux qui s'y identifient et surtout pour les 22 acteurs qui courent derrière un seul ballon, derrière une réglementation stricte de façon à soulever les foules , à cristalliser les masses, à réveiller le sentiment d'adhérer à une cause, à défendre un idéal, à dépenser de leur argent, et à se dépenser rien que pour le triomphe de l'idéal du club que l'on soutient et auquel on s'y identifie sans rien attendre de retour au delà de la satisfaction morale. A Kinshasa et à Lubumbashi, plus particulièrement les amateurs du ballon rond attendent des précisions des organisateurs quant à la participation ou non des équipes autres que les deux clubs les plus populaires au championnat d'élites. Il est vrai que Daring Club et V. Club sont indéniablement, les deux grands au regard du public qui s'y identifie, il ne demeure pas moins probant que ces clubs restent fragiles puisque ne vivant que sous perfusion financière constante, de leurs présidents et mécènes qui en retour ne reçoivent que des injures en cas de contre performance du club.
Par contre, il existe des clubs dits de seconde zone, qui sont réellement un model d'organisation et qui, à regarder de plus près, expérimentent le semi-professionnalisme avec succès. Ces clubs puisqu'ils ne drainent pas énorme monde se voient être des laisser pour compte et perdent à jamais l'espoir de participer à une compétition nationale d'envergure. Dès lors pourquoi se battront-ils pour mériter un meilleur classement s'ils savent qu'ils n'ont aucun espoir d'être promu.
Certains clubs ne s'empêchent pas de programmer des stages bloqués, en prévision de leur participation aux championnats africains des clubs. C'est le cas de l'A.S qui se rendra en Afrique du Sud. Tandis que St Eloi Lupopo se rendra en Belgique puis en Espagne. Ces deux équipes auxquelles s'ajoute le T.P Mazembe, déjà en tournée en occident, préparent fiévreusement leur entrée en compétitions africaines de Clubs. Au niveau des ligues provinciales c'est encore le silence des cimetières parce qu'elles attendent la confirmation de la Fecofa et de la Linafoot, pour peaufiner leur grille des rencontres de la saison. Tout compte fait, il y a péril en la demeure, car les clubs dits populaires ne sont pas forcément les plus nantis. Et les équipes données pour de seconde zone ont démontré à abondamment d'occasions, qu'elles étaient de modèle, en ce qui concerne le coté organisationnel, qu'on pouvait les assimiler aux clubs semi-pro.
Puisque le foot est un fait social par excellence, il se trouve être à la fois un refuge quasi idéal pour des milliers de personnes ayant en commun leur passion pour le ballon rond et pour ceux qui s'y identifient et surtout pour les 22 acteurs qui courent derrière un seul ballon, derrière une réglementation stricte de façon à soulever les foules , à cristalliser les masses, à réveiller le sentiment d'adhérer à une cause, à défendre un idéal, à dépenser de leur argent, et à se dépenser rien que pour le triomphe de l'idéal du club que l'on soutient et auquel on s'y identifie sans rien attendre de retour au delà de la satisfaction morale. A Kinshasa et à Lubumbashi, plus particulièrement les amateurs du ballon rond attendent des précisions des organisateurs quant à la participation ou non des équipes autres que les deux clubs les plus populaires au championnat d'élites. Il est vrai que Daring Club et V. Club sont indéniablement, les deux grands au regard du public qui s'y identifie, il ne demeure pas moins probant que ces clubs restent fragiles puisque ne vivant que sous perfusion financière constante, de leurs présidents et mécènes qui en retour ne reçoivent que des injures en cas de contre performance du club.
Par contre, il existe des clubs dits de seconde zone, qui sont réellement un model d'organisation et qui, à regarder de plus près, expérimentent le semi-professionnalisme avec succès. Ces clubs puisqu'ils ne drainent pas énorme monde se voient être des laisser pour compte et perdent à jamais l'espoir de participer à une compétition nationale d'envergure. Dès lors pourquoi se battront-ils pour mériter un meilleur classement s'ils savent qu'ils n'ont aucun espoir d'être promu.