Tu penses beaucoup mais tu ne réfléchis pas assez. Il a assisté à la réunion mais est-il convoqué pour le match ? Toi qui prétend avoir des connexions avec la direction liégeoise, renseigne-toi pour savoir s'il est vrai ou faux que le T1 des rouches préfère que le gars se concentre sur son club. Tu pleurniches parce que ton Kabananga n'est pas là. Est-ce qu'on convoque des joueurs qui n'ont pas joué un match avec leur club surtout lorsqu'on sait que des gars avec du temps de jeu sont là ? Laisse les connaisseurs bosser. En temps voulu, on récupérera d'autres éléments. Personne n'a dit que Kabananga n'est pas suivi. Chaque chose en son temps. Fais preuve de respect envers ceux qui sont là.Santoss a écrit :Je pensais que Bokanga ne pouvait pas sortir de la Belgique![]()
?
Il y a trop de koukoulé elombe…
Zakueni est toujours empêcher pour X ou Y raisons et pourtant pour traverser la manche, il ne faut pas 24 heures, on peut jouer le lundi soir à Londres et être à Paris dès le lendemain.
Lelo, Mbokani, Lualua, Carré, Kabangu seront out... on aurait pu penser aux jeunes éléments comme: kazenga Lualua, Kabananga, kabasele…
OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
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Erick Ross
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
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bjone2bx
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
je vois que youssouf mulumbu commence a comprendre vox dei vox populi,bravo d´ être venu quand même youssouf mulumbu prochain match okovanda ata na banc laissons la place aux champions dáfrik

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kobolifronti
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
yo oza matumoli 
En regardant les joueurs a vocation offensive de Manchester City , on se croirait sur la playstation
Le printemps etait arabe mais l'hiver sera islamistes
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Santoss
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
Erick Ross a écrit :Tu penses beaucoup mais tu ne réfléchis pas assez. Il a assisté à la réunion mais est-il convoqué pour le match ? Toi qui prétend avoir des connexions avec la direction liégeoise, renseigne-toi pour savoir s'il est vrai ou faux que le T1 des rouches préfère que le gars se concentre sur son club. Tu pleurniches parce que ton Kabananga n'est pas là. Est-ce qu'on convoque des joueurs qui n'ont pas joué un match avec leur club surtout lorsqu'on sait que des gars avec du temps de jeu sont là ? Laisse les connaisseurs bosser. En temps voulu, on récupérera d'autres éléments. Personne n'a dit que Kabananga n'est pas suivi. Chaque chose en son temps. Fais preuve de respect envers ceux qui sont là.Santoss a écrit :Je pensais que Bokanga ne pouvait pas sortir de la Belgique![]()
?
Il y a trop de koukoulé elombe…
Zakueni est toujours empêcher pour X ou Y raisons et pourtant pour traverser la manche, il ne faut pas 24 heures, on peut jouer le lundi soir à Londres et être à Paris dès le lendemain.
Lelo, Mbokani, Lualua, Carré, Kabangu seront out... on aurait pu penser aux jeunes éléments comme: kazenga Lualua, Kabananga, kabasele…
Pour rester dans ta logique à propos des stats: Peux-tu nous éclairer à propos de Christopher M'fuyi de Valenciennes?
Combien de match en D1?
Pour Dikaba, qui connait ses stats cette saison?
Je n'ai rien contre M'fuyi dont je salue au passage son amour patriotique.
Erick arrêtes d'être ridicule, ça se voit que cette liste est sans objectivité, les joueurs qui sont là, c'est plus par affinité que par mérite sportif!
Kabananga totalise plus de 130 minutes avec Anderlecht, ce qui n'est pas le cas de M'fuyi dans sa modeste équipe de Valenciennes.
Kabananga, je ne le connais pas personnellement, mais il a grandement sa place chez les A des Léopards.
Peuple Congolais: soyez vigilant et ne choisissez plus le premier venu pour nous diriger.
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
M'Fuyi était blessé et n'avait pas réglé son problème de papier. Il est rétabli depuis 3 semaines et a joué en Coupe de France. Le dernier match de Valenciennes a été reporté suite aux intempéries. Dikaba est sans club depuis deux semaines. Kabananga totalise 130 minutes ? Montre-moi ça en détail, STP.
http://www.irisfootball.com/interview.php?id=67Nouzaret a écrit :Concernant le match amical du 17 novembre, nous avons l'impression qu'il y a encore beaucoup des nouveaux joueurs pourquoi n'est pas se focaliser sur la dernière équipe pour créer le nouveau de l'équipe nationale?
Il faut que je connaisse un maximum de joueurs et cette sélection est faite pour cela même si cela nuit à l’homogénéité car nous ne pouvions pas prendre des locaux occupés soit par la finale de la ligue des champions africains et la préparation du chan 2011 au soudan. Chaque date a sa priorité et l'équipe qui a jouée le Cameroun l’a fait dans un contexte tactique qui sera obligatoirement différent contre l'ile Maurice a domicile et le match contre le mali sera un bon test pour ces joueurs.
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Santoss
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
Kabananga compte à son actif pour la saison 2010: quatre apparitions en championnat, 2 matches en coupe dont un comme titulaire.
à M'fuyi tu conçois qu'il ait été blessé, mais à kabananga tu n'accordes pas qu'il revient d'une maladie (il a repris en Octobre)?
ki kukule élombé eleki nde.
à M'fuyi tu conçois qu'il ait été blessé, mais à kabananga tu n'accordes pas qu'il revient d'une maladie (il a repris en Octobre)?
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Erick Ross
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
En attaque, as-tu vu le nombre de joueurs présents ? Dans l'immédiat, Kabananga va apporter plus que Diba, Lua Lua, Mbokani et Kaluyituka ? Laisse-le d'abord prendre ces marques avec les mauves.
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Santoss
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
Mbokani, Carré, kabangu ne seront pas là...ça aurait été intéressant de donner la chance autres.Erick Ross a écrit :En attaque, as-tu vu le nombre de joueurs présents ? Dans l'immédiat, Kabananga va apporter plus que Diba, Lua Lua, Mbokani et Kaluyituka ? Laisse-le d'abord prendre ces marques avec les mauves.
Kabananga est de loin plus complet que Diba Ilunga et voir même Alain Carré.
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Erick Ross
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
Oui mais que veux-tu ? Ils ont fait des choix. Si les attaquants foirent demain, on en reparlera. D'ici mars, que Junior fasse ses preuves et il aura sa chance. En attendant, on va supporter la RDC demain avec ou sans Kabananga.
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Erick Ross
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Re: OFFICIEL : 17 novembre : RDC-Mali à Evreux.
Holiday-Inn de Roissy-en-France, lundi, 20 heures : c’est avec plaisir que l’on retrouve en sélection malienne le visage, familier, de Cédric Kanté. Disponible et mature, le défenseur du Panathinaïkos, rassemblé avec les Aigles en vue de l’amical contre la RD Congo mercredi, a repondu aux questions de Footafrica365.
Cédric, vous faites votre retour en sélection malienne après une absence de près d’un an et demi. Comment les choses se sont-elles faites ?
J’avais noué le contact avec Alain Giresse début septembre. Je lui avais fait part de mon envie de revenir en sélection. Il pensait que j’avais pris ma retraite. Ce n’était pas le cas. J’étais déjà pré-convoqué pour le match contre le Liberia, en octobre. Mais je m’étais blessé à un doigt, ce qui avait retardé mon retour.
Les absences actuelles de Seydou Keita et Mohamed Sissoko font beaucoup jaser au Mali. Avez-vous un message à leur adresser ?
Non, c’est à chacun de se déterminer en fonction de son ressenti. Moi-même, l’année dernière, j’avais décidé de ne plus honorer les sélections. J’avais juste besoin de prendre du recul à un moment donné. Peut-être que Seydou Keita ou Mohamed Sissoko passeront un cap, et reviendront comme je suis revenu.
En un peu plus de quinze mois, la sélection a-t-elle changé ?
A 95%, je connais les joueurs qui sont présents à ce rassemblement. Je ne sens donc pas un grand changement.
Vous jouez mercredi à Dieppe contre les Léopards de RD Congo. Ne risquez-vous pas de manquer de repères ?
C’est vrai. Mais eux n’en auront pas non plus beaucoup sur nous. Nous sommes une équipe qui se cherche encore. Ceci dit, les matches amicaux servent à cela : peaufiner les réglages, développer des automatismes.
Vous savez qu’en cas de défaite, cela risque de se déchaîner au pays, où les supporters ne sont pas vraiment patients...
Je ne connais aucun supporter qui soit patient ! Ils n’ont pas le choix, de toutes les façons. Nous, on est là, on travaille. On a un coach qui présente de solides références en Afrique, et des jeunes qui montrent un bon potentiel. Donc, ce genre de réactions ne doit pas nous perturber. Il y a encore deux rassemblements d’ici au prochain match officiel, fin mars contre le Zimbabwe. Cela nous laisse le temps de trouver la formule gagnante.
A vous écouter, Alain Giresse représente un gros plus pour les Aigles…
Les résultats parlent pour lui. Le travail qu’il a abattu à la tête du Gabon est énorme. Cela a beaucoup contribué à me décider à revenir en sélection. Les premières impressions sont très bonnes. Alain Giresse sait imposer une écoute très attentive.
Le Panathinaïkos, votre club, vient de changer d’entraîneur. Une réaction ?
J’ai appris hier soir (lundi soir, ndlr) que le coach avait été débarqué. Je ne connais pas celui qui va le remplacer. On va voir ça tranquillement en rentrant. Pour l’instant, je me concentre sur le match de mercredi.
Etes-vous surpris par cette situation au Pana ?
Disons qu’il y avait un mécontentement populaire quant au niveau de jeu de l’équipe. Mais la décision de remercier l’entraîneur a quand même pris tout le monde de court.
Vous suivez toujours de près le football français, parlons de vos anciens clubs. D’abord, l’OGC Nice ?
Ils étaient bien partis, en engrangeant pas mal de points dans les premières semaines. Ils marquent le pas depuis, surtout à l’extérieur. Ils restent donc très tributaires de leurs résultats à domicile. L’effectif manque un peu d’expérience. Mais je ne suis pas trop inquiet pour le maintien, car l’équipe a une bonne marge de progression. Et le vécu de la saison dernière pourra les aider à s’en sortir.
Le Racing Club de Strasbourg est beaucoup moins bien lôti, puisque l’équipe est redescendue en National. Le club n’est-il pas miné par les problèmes en interne ?
Ces problèmes ne datent pas d’hier. Mais si le sportif se met en quelque sorte au niveau, c’est un choc pour toute une région. Si un bon projet à moyen terme se met en place rapidement, on peut s’en sortir. Mais on a vu que Jean-Claude Plessis avait déjà démissionné, ce qui n’est pas très encourageant. Il faut de la cohérence, et faire le ménage. Quand on passe aussi vite de la L1 au National, il y a forcément beaucoup d’erreurs… Aujourd’hui, je suis avant tout triste pour ceux qui travaillaient au club et qui ont perdu leur poste. Mes pensées les accompagnent.
Pour finir, où en sont vos projets humanitaires au Mali ?
Ils ont pris forme. Tout s’est mis en place début 2009, avec l’inauguration de notre centre « Univers le Sport », du nom de mon association. La structure accueille une trentaine d’enfants du village de Sala, à 40 kilomètres de Bamako. On a scolarisé ces jeunes très pauvres, avec un programme mêlant cours et sport.
http://www.footafrica365.fr/infos-pays/ ... nte-.shtml
Cédric, vous faites votre retour en sélection malienne après une absence de près d’un an et demi. Comment les choses se sont-elles faites ?
J’avais noué le contact avec Alain Giresse début septembre. Je lui avais fait part de mon envie de revenir en sélection. Il pensait que j’avais pris ma retraite. Ce n’était pas le cas. J’étais déjà pré-convoqué pour le match contre le Liberia, en octobre. Mais je m’étais blessé à un doigt, ce qui avait retardé mon retour.
Les absences actuelles de Seydou Keita et Mohamed Sissoko font beaucoup jaser au Mali. Avez-vous un message à leur adresser ?
Non, c’est à chacun de se déterminer en fonction de son ressenti. Moi-même, l’année dernière, j’avais décidé de ne plus honorer les sélections. J’avais juste besoin de prendre du recul à un moment donné. Peut-être que Seydou Keita ou Mohamed Sissoko passeront un cap, et reviendront comme je suis revenu.
En un peu plus de quinze mois, la sélection a-t-elle changé ?
A 95%, je connais les joueurs qui sont présents à ce rassemblement. Je ne sens donc pas un grand changement.
Vous jouez mercredi à Dieppe contre les Léopards de RD Congo. Ne risquez-vous pas de manquer de repères ?
C’est vrai. Mais eux n’en auront pas non plus beaucoup sur nous. Nous sommes une équipe qui se cherche encore. Ceci dit, les matches amicaux servent à cela : peaufiner les réglages, développer des automatismes.
Vous savez qu’en cas de défaite, cela risque de se déchaîner au pays, où les supporters ne sont pas vraiment patients...
Je ne connais aucun supporter qui soit patient ! Ils n’ont pas le choix, de toutes les façons. Nous, on est là, on travaille. On a un coach qui présente de solides références en Afrique, et des jeunes qui montrent un bon potentiel. Donc, ce genre de réactions ne doit pas nous perturber. Il y a encore deux rassemblements d’ici au prochain match officiel, fin mars contre le Zimbabwe. Cela nous laisse le temps de trouver la formule gagnante.
A vous écouter, Alain Giresse représente un gros plus pour les Aigles…
Les résultats parlent pour lui. Le travail qu’il a abattu à la tête du Gabon est énorme. Cela a beaucoup contribué à me décider à revenir en sélection. Les premières impressions sont très bonnes. Alain Giresse sait imposer une écoute très attentive.
Le Panathinaïkos, votre club, vient de changer d’entraîneur. Une réaction ?
J’ai appris hier soir (lundi soir, ndlr) que le coach avait été débarqué. Je ne connais pas celui qui va le remplacer. On va voir ça tranquillement en rentrant. Pour l’instant, je me concentre sur le match de mercredi.
Etes-vous surpris par cette situation au Pana ?
Disons qu’il y avait un mécontentement populaire quant au niveau de jeu de l’équipe. Mais la décision de remercier l’entraîneur a quand même pris tout le monde de court.
Vous suivez toujours de près le football français, parlons de vos anciens clubs. D’abord, l’OGC Nice ?
Ils étaient bien partis, en engrangeant pas mal de points dans les premières semaines. Ils marquent le pas depuis, surtout à l’extérieur. Ils restent donc très tributaires de leurs résultats à domicile. L’effectif manque un peu d’expérience. Mais je ne suis pas trop inquiet pour le maintien, car l’équipe a une bonne marge de progression. Et le vécu de la saison dernière pourra les aider à s’en sortir.
Le Racing Club de Strasbourg est beaucoup moins bien lôti, puisque l’équipe est redescendue en National. Le club n’est-il pas miné par les problèmes en interne ?
Ces problèmes ne datent pas d’hier. Mais si le sportif se met en quelque sorte au niveau, c’est un choc pour toute une région. Si un bon projet à moyen terme se met en place rapidement, on peut s’en sortir. Mais on a vu que Jean-Claude Plessis avait déjà démissionné, ce qui n’est pas très encourageant. Il faut de la cohérence, et faire le ménage. Quand on passe aussi vite de la L1 au National, il y a forcément beaucoup d’erreurs… Aujourd’hui, je suis avant tout triste pour ceux qui travaillaient au club et qui ont perdu leur poste. Mes pensées les accompagnent.
Pour finir, où en sont vos projets humanitaires au Mali ?
Ils ont pris forme. Tout s’est mis en place début 2009, avec l’inauguration de notre centre « Univers le Sport », du nom de mon association. La structure accueille une trentaine d’enfants du village de Sala, à 40 kilomètres de Bamako. On a scolarisé ces jeunes très pauvres, avec un programme mêlant cours et sport.
http://www.footafrica365.fr/infos-pays/ ... nte-.shtml
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