TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit : je sens qu'au mois de juin, nous allons récuperer un paquet des kibuangantu oyo bateyami![]()
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Soupçons de racisme dans le foot français
- wantanshi
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
AAAH ça se rapproche, voici l'avis d'un joueur du stade rennais
Ekoko n'est plus très loin
MANGANE NA BISOEEEEEEEEEEE
http://www.rfi.fr/sports/20110505-kader ... inationaux
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Santoss
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Zidane n’est qu’un valet.
Autant un vrai débat sur les binationaux s’impose, autant c’est inadmissible d’instaurer une discrimination sous n'importe quelle forme que ce soit, et pis, l’imposer à des bambins de moins de 12 ans.
Laurent Blanc n’avait pas mâché ses maots quand il parlait des Black Costaud et des Espagnols.
Laurent Blanc, tout comme la plupart des Blancs, ce sont des vrais hypocrites, dès que vous tournez le dos, même celui que vous croyez être votre meilleur ami n’hésitera pas à vous poignarder.
Zidane est un faux cul, qu’il ait au moins le courage de parler de son soutien à la candidature du Quatar pour la CM 2020.
Autant un vrai débat sur les binationaux s’impose, autant c’est inadmissible d’instaurer une discrimination sous n'importe quelle forme que ce soit, et pis, l’imposer à des bambins de moins de 12 ans.
Laurent Blanc n’avait pas mâché ses maots quand il parlait des Black Costaud et des Espagnols.
Laurent Blanc, tout comme la plupart des Blancs, ce sont des vrais hypocrites, dès que vous tournez le dos, même celui que vous croyez être votre meilleur ami n’hésitera pas à vous poignarder.
Zidane est un faux cul, qu’il ait au moins le courage de parler de son soutien à la candidature du Quatar pour la CM 2020.
Modifié en dernier par Santoss le 08 mai 2011, 14:12, modifié 2 fois.
Peuple Congolais: soyez vigilant et ne choisissez plus le premier venu pour nous diriger.
- TUPAC MOUDJAHIDINE
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Zidane alingi mindele ba continuer ko aduler ye
http://fr.sports.yahoo.com/07052011/79/ ... parte.html
il oublie qu'avec l'age il va bientôt ressembler à Ben laden

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Erick Ross
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Nasser, avez-vous été surpris par les révélations de Mediapart, et cette tentation d’établir des quotas de joueurs binationaux dans les centres de formation fédéraux ?
Je n’ai pas été surpris du tout. Cette idée de quotas traîne depuis longtemps, mais elle ne se dit pas. Ou plutôt, elle était lancée, à titre individuel, par certains entraîneurs de base. Là, c’est le DTN, le patron des patrons du football français au niveau technique, ça fait froid dans le dos. C’est scandaleux, honteux, cela met en cause beaucoup de choses, en premier lieu la Constitution française. Aujourd’hui, le sport est, avec la musique, l’une des seules voies d’ascension sociale pour les enfants issus des quartiers, et on voudrait revenir dessus ?
D’où vient selon vous cette tentation ?
L’une des raisons à mes yeux, c’est le merchandising en place. L’équipe de France attire de nombreux sponsors, qui veulent un retour à une image plus lisse. Et puis, les clubs doivent gérer, dans leurs centres de formation, de plus en plus de jeunes venant des quartiers, avec des références et une culture complètement différentes de celles des éducateurs en place. Une dizaine, une quinzaine puis une vingtaine de clubs se plaignent, cela remonte à la DTN. On a vu la suite… On prend un peu le problème à l’envers : comparé au nombre de licenciés issus de l’immigration, il n’y a pratiquement pas un Noir ou un Arabe dans les instances représentatives ou aux postes d’entraîneur. C’est par là qu’il faudrait commencer ! J’entendais Pierre Repellini, le représentant de l’Unecatef, dire que s’il n’y a pas d’entraîneurs noirs ou arabes, c’est simplement qu’ils n’ont pas le niveau. Quel raccourci ! Est-ce que moi je n’ai pas le niveau ? J’ai été sélectionneur, et je suis pratiquement passé du district à la D2 avec Noisy-le-Sec !
A ce propos, lors de votre expérience de coach d’un club de banlieue, avez-vous été confronté au racisme, et de quelle manière ?
On a commencé dans les années 80 et on est passé du district jusqu’au National. On a tout pris dans la tronche. Dans le Nord, on se ramassait des insultes comme on ne peut pas imaginer. Les arbitres ne nous ont jamais loupés. Je perds dix à quinze points chaque saison à cause de l’arbitrage. Je demande à n’importe qui de nous suivre attentivement pendant toute une saison : il pourra en attester.
Que pensez-vous du débat sur la nécessité de former davantage de joueurs techniques ?
Le plus important pour la réussite d’une équipe, c’est la capacité à créer de la cohésion dans un groupe. On peut regarder toutes les grandes équipes actuelles, en club comme en équipe nationale, ce sont des équipes liées par une grande cohésion. Un groupe est constamment en mouvement. Pour qu’il s’épanouisse, il faut que les joueurs passent beaucoup de temps ensemble, développent un vécu commun. Le vrai débat sur les binationaux, c’est l’âge de pleine maturité des joueurs. Beaucoup de joueurs issus de l’immigration africaine, et particulièrement nord-africaine, ont une éclosion tardive. La France a peut-être perdu un garçon comme Yebda, qui a26 ans et qui est en train d’exploser à Naples, car il a éclos très tard au plus haut niveau, à l’âge de 23 ans.
Pourquoi ces éclosions tardives, selon vous ?
Chez les Nord-Africains, les enfants restent souvent plus longtemps proches du noyau familial, cela explique à mon avis ces maturités un peu décalées.
Le modèle français de formation est en crise, on cite aujourd’hui plutôt l’Espagne ou l’Allemagne en exemple. Quel est votre avis d’éducateur à ce sujet ?
Ces pays ont une autre façon de voir le football. On parle de l’Espagne, mais le modèle, l’icône, c’est le Barça. Mais, au-delà, le niveau des jeunes joueurs évoluant dans les autres clubs de Liga n’est pas exceptionnel. Je trouve par contre que le Portugal forme beaucoup de bons jeunes. En Allemagne, c’est encore différent. Dès leur plus jeune âge, les enfants sont habitués à faire beaucoup de sport. Cela donne un football avec des qualités athlétiques toujours importantes, mais qui a su s’ouvrir à d’autres profils issus de l’immigration…
En plus des jeunes issus de l’immigration, les clubs français recrutent beaucoup en Afrique. Les discours actuels viennent aussi de là…
Le recrutement en Afrique arrange les clubs, car son coût est pratiquement nul. Mais l’adaptation des joueurs est souvent longue et difficile. Il y a non seulement l’adaptation au monde professionnel, mais aussi la vie de tous les jours du joueur, avec ses familles et ses enfants. Les gens pensent que la vie des footballeurs est facile, mais il faut se rappeler que ces hommes vivent de longs exodes. Les coaches français ont le tort de considérer l’Afrique comme un tout. Ils se plantent royalement. Le comportement des joueurs recrutés ne correspond pas toujours aux codes, les entraîneurs font l’erreur de le prendre comme une insulte à leur autorité. Une partie des malentendus actuels vient aussi de là…
http://www.footafrica365.fr/infos-pays/ ... dos-.shtml
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Jacques Faty, quel est votre avis sur cette affaire des quotas ?
Je pense que le problème des binationaux est un faux problème. A partir du moment où la France pioche ses meilleurs joueurs dans les joueurs issus de l'immigration, elle ne peut pas s'étonner que les pays d'origine de ses joueurs cherchent à les attirer. C'est un faux débat, et j'ai vécu ce cas. La France n'a pas compté sur moi, donc je me suis rabattu sur le Sénégal, qui, lui, me voulait et m'a fait part du souhait de me récupérer. Quand j'ai été sollicité, je n'ai pas refusé. Chose que beaucoup de Sénégalais ont fait. Concernant les quotas, c'est un terme qui ne devrait même pas apparaître dans le domaine du sport, qu'il s'agisse de football ou d'un autre sport. Aujourd'hui, dans le football, c'est le meilleur qui joue, simplement. Qu'il soit noir, jaune ou blanc. Parler de quotas aujourd'hui, c'est quelque chose d'irresponsable, surtout quand ça sort de la bouche de gens importants du football français. Je trouve cela scandaleux et choquant. Maintenant, je ne tiens pas non plus à prendre ce sujet trop à cœur. Je le prends avec du recul. Il y a des gens qui enquêtent et qui vont délibérer. Mais il ne faut pas oublier que des gens, qui étaient présents à cette réunion, ont crié à la discrimination. Des gens comme Francis Smerecki ou André Mérelle, qui fût mon mentor à Clairefontaine et a lui vécu ça de manière implicite.
Qu'est-ce qui vous choque le plus ?
Concernant Laurent Blanc, pour ne citer que lui, il s'agit plus de maladresse que de propos tendancieux. Il s'est exprimé de manière maladroite, mais il n'est pas raciste, autrement ça se saurait. Et par rapport à ce qu'il a montré par le passé en équipe de France comme joueur et à ce qu'il montre aujourd'hui comme entraîneur, il reste un élément incontournable. Les propos qu'il a tenus dérangent, mais il s'est excusé. Personnellement, quand il a parlé des grands défenseurs noirs pas intelligents, je ne me suis pas senti visé, mais il faut vite éteindre ce genre de débat, car cela risque de nourrir l'extrême-droite.
Pour vous, franco-sénégalais, quand le Sénégal vous a proposé de rejoindre la sélection, avez-vous ressenti cette proposition comme une évidence ?
Oui, car ça m'a plu. Quand on m'a téléphoné pour participer à un projet de reconstruction du Sénégal, ça a été une évidence et j'ai voulu y participer. Ce qui n'a pas été le cas de beaucoup de joueurs franco-sénégalais comme moi alors qu'ils n'avaient aucune chance d'intégrer l'équipe de France. Je ne me suis pas inventé une vie. En voyant tous mes potes de l'époque accéder à l'équipe de France A et moi ne pas avoir ma chance et comprendre que je ne l'aurai jamais, j'ai préféré accepter l'opportunité constituée par le Sénégal que de ne jouer pour aucune sélection du tout. Sur le plan sportif, rejoindre la sélection sénégalaise a changé beaucoup de choses pour moi. Mais sur le plan humain également. Quand on a battu les Camerounais par exemple, j'ai vu des choses que l'on ne pourrait voir en France que si la France regagnait une finale de Coupe du monde. Les gens étaient prêts à mourir pour le pays. Le peuple est derrière toi quand tu gagnes, mais il sait aussi te le rendre quand tu perds. C'est exceptionnel ! Même dix ans après, il y a toujours cette reconnaissance. Tu reviens au pays et tu es toujours considéré. En France, tu arrêtes ta carrière et on t'oublie.
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Ce n'est pas pareil. La majorité des actuels pros nigérians ont été formé au pays. Ils n'ont pas énormément de mikilistes mais lorsqu'il y en a, ils ne se font pas prier pour les récupérer : Odemwingie, Shittu, Etuhu, Anele,... Prend plutôt l'exemple du Sénégal. Bien qu'ayant de nombreux centres de formation chez eux d'où sont sortis beaucoup d'expatriés, ils font quand même appel à de nombreux mikilistes. C'est pareil pour le Cameroun, le Maroc et la Tunisie par exemple.Mayloshi-forever a écrit :Je pensais qu'Erick Ross avait raison quand il parlait du cas de l'algérie. Heureusement que la vérité sort au grand jour. Ce n'est pas l'opinion algérienne qui voulait récupérer les mikilistes algériens, mais bel et bien le président de la fédération. Même au Nigeria il y a le même combat: Mikilistes contre formation locale.
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Le capitaine algérien :Mayloshi-forever a écrit :Tu t'es planté cher ami sur ce coup là, reconnais - le. Vas demander aux supporters d'Algérie ce qu'ils en pensent. Pas à tes collegues de Belgique ou de France..
Anthar Yahia restera à jamais celui qui a qualifié, 24 ans après l’Algérie pour un Mondial, mais, clin d’œil de l’histoire, l’actuel défenseur central du VfL Bochum sera à jamais le premier joueur à avoir bénéficié de la loi FIFA sur le changement des nationalités sportives. En 2004, Il avait alors troqué le maillot des Bleuets pour rejoindre la sélection nationale de ses ancêtres. Aujourd’hui, fort de ses 50 sélections avec l’Algérie et d’une carrière internationale riche, il a bien voulu pour Footafrica365.fr nous délivrer sa pensée sur ce sujet, son parcours et son actualité. Confidences.
Anthar, vous êtes le premier joueur à avoir changé de maillot national. Comment avez-vous vécu cela ?
Pour moi les choses ont toujours été très claires. Quand j’étais plus jeune, je n’avais pas pu rejoindre l’équipe nationale d’Algérie, tout simplement parce que à cette époque, mon pays ne prospectait pas dans les centres de formation en France. Mais si à 15 ou 16 ans, j’avais pu jouer pour les Verts, je l’aurais fait sans hésitation.
Pour vous, cela a toujours été si clair…
Si j’avais été sélectionné à 15 ou 16 ans, je le répète, j’aurais joué avec l’Algérie. Je n’ai pas eu cette chance là en raison du mauvais système de détection algérien. Je me souviens encore que lorsque j’étais au centre de formation de Sochaux avec El Hadji Diouf, lui partait régulièrement jouer avec le Sénégal. Je jouais alors avec les catégories jeunes françaises car je ne cracherai jamais non plus sur la France.
Est-il difficile de se déterminer aussi jeune ?
C’est très compliqué pour un jeune de 15 ou 16 ans, car beaucoup de paramètres doivent être pris en compte. On ne peut pas deviner son avenir et celui de sa famille. Tu fais parfois un choix, et tu te rends compte un peu plus tard que ce n’était pas le bon. Seule la maturité t’aide à te déterminer.
Pensez-vous que la France est en quelque sorte « spoliée » de talents qu’elle forme ?
Je n’ai pas cette impression. Quand on regarde l’équipe de France, on se rend compte que des joueurs d’origine maghrébine et africaine, il y en a pas mal. Ce n’est pas non plus un mouvement massif de retour vers les pays d’origine. Lilian Thuram a très bien dit les choses. Benzema, Nasri ou M’Vila jouent avec la France. Domenech a bien couru derrière Higuain et, à ce que je sache, il n’avait jamais été formé en France. Et puis, il ne faut pas oublier les joueurs qui ont été bloqués en ne faisant qu’une sélection dans leur vie, et qui n’ont plus jamais joué derrière.
Les meilleurs choisissent la France, un peu comme Benzema ou Nasri qui auraient pu jouer avec vous…
Leur choix, ca leur problème. Il y a aussi des joueurs binationaux, qui font aussi des grandes carrières en n’optant pas pour la France. On a aussi des joueurs comme Bougherra ou même Karim Ziani, qui a joué à l’OM alors qu’il avait déjà opté pour l’Algérie.
Dans le cas des joueurs binationaux, êtes vous choqué que ca soit les pays africains qui soient pointés du doigt, alors qu’il existe d’autres cas (Obraniak et Perquis avec la Pologne) ?
Au final, comme je vous l’ai dit, la France s’y retrouve bien. Elle n’est pas non plus pillée. La formation française est reconnue mondialement. Quant à l’Afrique et à la France, qu’on le veuille ou non, l’histoire nous lie. Elle est commune. C’est ainsi, et ça rentre dans un processus de mondialisation du football.
L’idée de bloquer les binationaux comme cela a été évoquée, qu’est cela vous inspire ?
J’espère que le football ne sera pas pollué par de telles valeurs. Car en France, il ne faut pas oublier que le football est un ascenseur social. C’est aussi la chance de beaucoup de mecs des quartiers, d’avoir une chance dans la vie. Si on leur enlève cela aussi, qu’est ce qu’ils leur reste ?
A l’image de la société française, est-ce cette polémique ne reflète pas un fond de racisme ordinaire au sein de la DTN?
Je suis avec intérêt ce que ce qu’il se dit. J’ai cru comprendre qu’une enquête allait s’ouvrir. Je pense que lorsque les conclusions seront tirées. On pourra donner son avis. Pour l’instant, si je ne me trompe pas en France, il y a bien la présomption d’innocence. Je ne veux pas jeter de l’huile sur le feu, et c’est un sujet sensible. Si c’est vrai, ce serait vraiment très malheureux et une polémique supplémentaire pour le football français.
Le nombre de joueurs d’origine maghrébine en Ligue 1 est relativement faible, alors qu’il est en général plutôt important en CFA ou dans les divisions amateurs. Avez-vous un avis sur ce constat ?
A un moment donné, on n’était pas mal à jouer en Ligue 1. Il y avait Nadir Belhadj, Karim Ziani, Yazid Mansouri, etc.…Mais quand je regarde maintenant, je ne trouve pas qu’il y en ait tant que cela…Je suis le capitaine de l’Algérie, je dois donner une bonne image du pays. Il y a des choses qu’on veut dire mais qu’on ne peut pas dire. Il faut faire mettre la lumière sur cette affaire, car ca pourrait être plus grave que ce débat des binationaux.
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Re: Soupçons de racisme dans le foot français
Content de voir que mon point de vue se confirme par les dires des premiers concernés :
Après avoir évolué avec la sélection Espoirs de France sous la direction de Raymond Domenech, Selim Benachour, formé à l’INF Clairefontaine, a répondu positivement à l’appel de son pays d’origine, la Tunisie, en 2000, à l’âge de 19 ans. Aujourd’hui, le milieu de terrain de Maritimo à réagi à l’affaire de quotas de binationaux.
« Je ne comprends pas qu’on songe à instaurer des quotas. Ça ne résoudra rien. Je suis choqué. Il faut juste que les meilleurs jouent. Qu’ils soient Noirs, Arabes ou Blancs », a lâché l’Aigle de Carthage à Blogolo, avant de revenir sur ses années de formation.
« J’ai passé trois ans à Clairefontaine et j’y ai travaillé avec M. Mérelle. J’ai progressé physiquement, techniquement grâce à lui. Après, à l’âge de 17 ans, j’ai intégré le PSG. Mais je n’ai volé personne. Je suis né en France et je suis aussi français. J’ai joué pour le Paris-SG qui est un club français. Sur la sélection, j’ai simplement fait un choix personnel », a rappelé le vainqueur de la CAN 2004 avec la Tunisie.
S’agissant de son passage au PSG, le natif de Paris avoue y avoir ressenti une forme d’exclusion : « Je n’avais jamais entendu parler d’histoire de quotas mais c’était un peu difficile pour moi lorsque j’étais à Paris. A 18 ans, j’y ai signé mon premier contrat pro. Benachour c’est arabe et je devais travailler encore plus que les autres pour percer. C’était plus difficile, mon nom ne me donnait aucun passe-droit », a-t-il conclu.
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