Dernière modification de cette page le 27 janvier 2012 à 20:29.
On ne cite même pas les noms des Mapuata, Kingambo, Wawa etc. pour nous parler de Marbella, nathan kabasele et consort


Alors que l'intérim devait être assuré par Otis N'Goma

En 1988, elle termine dernière de sa poule malgré deux matchs nuls, l'un contre le Maroc pays organisateur 1 - 1 buts de Merry Abdelkrim dit " Krimau " sur penalty pour le Maroc et égalisation de l'attaquant de V.CLUB Lutonadio di Vita dit " Morceau " et l'autre match nul face à la Côte d'Ivoire 1 - 1 ouverture du score pour le Zaïre d'un tir tonitruant d'Eugène kabongo et égalisation Ivoirienne par Amani Yao. le Zaïre perdra le troisième match 1 - 0 contre l'Algerie but de Ferhaoui Abderkader. Un tirage au sort fut nécessaire pour départager Ivoiriens et Algérien.![]()
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Histoires de CAN (épisode 5) : 1988, le grand gâchis
WEDNESDAY, 25 JANUARY 2012 14:43 WRITTEN BY ADMINISTRATOR
Retour sur les principales participations des Lions de l’Atlas aux phases finales de la CAN.
La CAN 1988, qui a lieu au Maroc, laissera un souvenir bien amer aux supporters marocains. Les Lions de l’Atlas sont en effet les grandissimes favoris d’une compétition organisée sur leurs propres terres, deux ans après avoir brillamment représenté l’Afrique à la Coupe du Monde 1986.
Le premier tour de la compétition ne s’annonce pas de tout repos avec un groupe de la mort où cohabitent le Maroc, le Zaïre, l’Algérie et la Côte d’Ivoire.
A l’occasion du match d’ouverture, les Marocains, privés du virtuose Dolmy, se font accrocher par la redoutable équipe zaïroise du Lyonnais Eugène Kabongo (1-1). Un résultat d’autant plus décevant que les coéquipiers de Merry Krimau avaient pris les devants avant de se faire rejoindre devant 80.000 spectateurs médusés.

Les anciens footballeurs internationaux gabonais n’apprécient pas le fait d’avoir été bannis dans l’organisation de la phase finale de la 28ème Coupe d’Afrique des nations.
Avant l’exploit de vendredi dernier contre les Lions de l’Atlas du Maroc (victoire 3-2 synonyme de qualification pour les quarts de finale) , les Panthères du Gabon n’avaient atteint ce niveau de la compétition qu’une seule fois. C’était lors de la CAN 96 en Afrique du Sud. Brice Makaya, ancienne gloire du football gabonais, a été l’un des artisans de ce parcours inédit. Il avait alors inscrit deux buts importants pour l’Azingo National, l’ancêtre des Panthères du Gabon. Seize après, son pays natal s’est vu confier la co-organisation de la 28ème phase finale de la CAN. L’ex attaquant dans des clubs professionnels en Hongrie et au Portugal, espérait alors contribuer une nouvelle fois, à écrire une autre page de l’histoire du football gabonais. Espoir perdu. Et pour cause ? « Nous les anciennes gloires sommes très surprises de nous voir écarter au niveau de l’organisation. Personne de nous n’est priss en considération. C’est vraiment dommage parce que avant l’équipe qui commence à faire rêver aujourd‘hui, il y a eu des générations qui était les premiers à faire connaitre le Gabon sur l’international. Nous voir écarter comme ça, sans même pourvoir avoir les moyens nécessaire pour aussi soutenir ceux qui nous ont remplacé aujourd’hui, c’est dommage et c’est regrettable ,» condamne Brice Makaya. Et de citer, entre autres, François Amégasse, Regis Manon, Guy Roger Nzamba des célébrités et anciens internationaux locaux « qui ont aussi été ignorés et pourtant ils ont aussi une expertise à faire valoir ».
Régis Manon, professionnel durant une vingtaine d’années en France, élargit l'angle d'attaque. « Le plus grand souci qui est en Afrique centrale, c’est le non respect des anciens et surtout de ceux qui ont contribué à faire briller sur l’international les couleurs du pays, explique l'ancien du Tours FC. Vous savez, même quand on a arrêté de jouer au football, on reste footballeur. J’espère que les choses changeront surtout ici au Gabon parce que ailleurs, pour parler du cas du Cameroun, les anciennes gloires commence à être prises en considération par les pouvoirs publics. ». A l’approche de la phase finale 2012 et après avoir attendu en vain une invite des autorités sportives, les anciennes gloires disent avoir pris l’initiative de faire un appel du pied. Une action qui a également échoué sur l’indifférence des membres du COCAN.
Une attitude qui pourrait être expliquée par la crise de leadership qui paralyse en ce moment le fonctionnement de l‘association des anciens footballeurs gabonais. « L’association est en proie à une division. Le premier bureau directeur a été avait une gestion qui ne cadrait par dans l’objectif fixé. Les anciens internationaux se sont réunis pour revoir les choses, il y a eu l’élection d’un nouveau bureau. Mais, il n’a pas été validé par la fédération et le ministère de l’intérieur. Du coup, on ne sait plus qui fait quoi qui gère quoi. Il est vrai que nous même ne sommes pas à ce niveau sérieux. Divisés, on ne peut pas constituer une force. C’est-ce qui expliquerait le fait que les anciens ne soient pas pris en compte. » Analyse Brice Makaya. En projetant un film durant le week-end au Centre culturel français de Libreville sur la longue marche du football gabonais, les anciennes gloires ont d’une manière ou d’une autre contribué à agrémenter cette 28ème phase finale de Can. « Quoi qu’il arrive, c’est vraiment un plaisir de voir cet événement être organisé surtout chez moi au Gabon », se contente Regis Manon.
http://www.footafrica365.fr/article_570 ... ents.shtml




Pinto a écrit :Je suis un peu HS. Mais en regardant des photos des anciennes gloires '70, je me suis attardé sur le visage de Kakoko. Je crois que c'est vrai ce que j'avais appris d'un membre du staff de Léopards U23 au cours d'une séance de l'entraînement à Tata Raph. Chancel Mbemba est le fils de Kakoko Etepe. Les deux se ressemblent.
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