TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Bokomona affaire oyo ekoleka sans suite, intervention ewuti déjà likolo Mawa Trop
eloko mosusu ezali kokamuisa nga.lingalafacile eza wapi soki ezalaki mutu mususu mbele ba cameraman ya lingala facile balinga babelela yango eza ba jeux na bango pona 5chantien ndenge moko na mputu pona nini lingalafacile ezolobela yango te moise asi atindi mua mpata.apres oyebisanga que tolerance 0 oui zero vraiment tshijengu eloko ezate justice na kongo ezate
TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Il n'échapera pas à mon uppercut, un jour me m'occuperai personnellement de lui.
TUPAC CALME BA ENTRAINEMENT
Voici l´homme:disait pilate quand Jésus christ sortit donc, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre.
On sait que les journalistes sont souvent accusés pour diffamation ou autre délits de presse. Cette fois, c’est un peu particulier. Les ennemis de la liberté de la presse ont trouvé une façon de contourner les délits de presse pour obtenir le silence des journalistes par d’autres voies. Les journalistes se trouvent en prison pour des actes de gestion. Les médias publics sont les plus touchés. Hier c’était le Directeur responsable de la Rtnc 2, Lutu Mabangu qui croupit en prison depuis bientôt deux mois. Toutes les démarches pour lui obtenir une liberté provisoire se sont heurtées à un mur de refus. Pour cause ? Difficile à dire.
Et pourtant, au regard du dossier, accusé d’avoir vendu quelques biens déclassés de la Rtnc, le DG de cette institution a apporté des justificatifs avec les témoignages des agents de la Rtnc 2 en appui. Il revient également que le fruit de la vente de ces biens dont deux épaves de véhicule et deux autres de groupe électrogène, avait été versé dans la caisse de la Rtnc 2. Les documents comptables le démontrent. Le confrère François Kabulo lui semble avoir plus de chance que Lutu Mabangu. Arrêté jeudi, il a retrouvé la liberté provisoire le samedi. Il faut saluer ce geste qui fait qu’un sacro-saint principe de droit est ainsi respecté, selon lequel la liberté est la règle et la privation de liberté elle, est une exception. On devrait également appliquer le même principe pour Lutu Mabangu. Pourquoi donc cela n’a-t-il pas été le cas ? C’est ici que d’aucuns se demandent au point de dénoncer une justice à double vitesse. Peut-on, à ce point, humilier un homme qui, pendant des décennies au service de la télévision nationale, a fait montre de loyauté et de serviabilité à l’Etat congolais ?
Il avait été d’abord accusé d’avoir touché des frais de mission pour un voyage des soins de santé qu’il n’aurait pas effectué. Après qu’il ait prouvé, documents en appui que non seulement il avait effectué le voyage, mais aussi sur quelques 48.000 Usd qu’on lui mettait sur le dos, il n’avait touché que 3.000 Usd. On lui a trouvé d’autres chefs d’accusation, abandonnant le premier. Pour 2 épaves de véhicules pillés et cannibalisés et 2 groupes électrogènes hors service depuis 1982 et déclarés irréparables, il croupit en prison dans un mépris inexplicable. Lutu Mabangu a plaidé non coupable. Et personne ne lui a opposé jusque-là la preuve du contraire d’autant plus que la décision de la vente de ces épaves avait été collégialement prise. L’Adg de la Rtnc entendu par la Cour n’a eu de reproches à faire à son collaborateur que des manquements administratifs du genre, autorisation non préalable pour cette vente ou encore insuffisance de collaboration. Un dossier administratif qui ne méritait ni un procès ni un emprisonnement.
En effet, après les déclarations de l’Adg de la Rtnc , les observateurs estiment que Lutu Mabangu devrait tout simplement être relaxé. Ce dossier doit interpeller et la justice et les dirigeants politiques de notre pays. Car, la tolérance zéro, c’est aussi la lutte contre une justice visiblement à double vitesse pour des citoyens qui, au regard de la Constitution, ont les mêmes droits. En outre, la réussite de la tolérance zéro réside dans la justice qui ne se prête pas aux intrigues politiciennes. On ne saura jamais qui est la partie civile dans ce procès. Le dossier Lutu Mabangu est un vrai scandale dont on parlera longtemps après.
Ca dépend de quel côté tu te trouves. Du côté du PPRD ou du MLC je me souviens de l'arrestation d'Eugène Kabongo ou des tirs sur la façade de la maison D'OMER EGWAKE ex ministre des sports à l'epoque de la CAN 2006.
« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
Joachim Diana est un perroquet travaillant pour l'Avenir de Pius Muabilu.
Ce journaliste a encense Kagame d'avoir ordonne que les frontieres rwandaises soient ouvertes aux Congolais en minimisant la guerre et les consequences pour notre pays. Il a decrit la decision de Kagame comme celles d'un grand homme. La guerre subie par la RDC, il l'a qualifiee d'inutile.
Premiere consequence de cette decision de Kagame: les shegues rwandais sont a Goma.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
C'est un de grand MAFIEUX qui ont maintenu , le plus gros poisson qui continu a mettre notre foot en prison , je parle bien de votre Constant Omari. Avec tout ces parrains de mendiants journalistes , ils meritent tous une bonne peine corrective au nom de la Nation entirere.