TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Moi aussi, jamais content
tu voudrais sans doute que je sois comme toi qui prends plaisir meme dans le malheur des autres (cf. la rupture du contrat de Nonda par Galatasaray). Tout le monde le sait, ce qui t'interesse au plus haut point dans la vie c'est le divertissement et tes modeles sont les gens de petite vertu. Si je fais de la recherche sur les sites internet que tu visites, on ne trouvera que les sites de divertissement (sport, musique,sexualite etc.). C'est pourquoi tu ne peux grandir dans l'esprit critique et aiguiser ton analyse. Si la Fefoca dit je lance une nouvelle competition, tu applaudis dans un elan primesautier. Pinto, dans ses principes, prend du recul,observe et questionne. Un simple fait: la Radio Okapi a annonce 11 equipes tandis qu'Irisfootball parle de 8. Un esprit, forme a l'ecole de la critique, se posera la question.
La reconstruction du Congo ne pourra se faire que moyennant des choix bien informes et durables. Or jusqu'ici, nos choix se sont souvent averes de courte vision et n'amenant nulle part. S'ils ne sont pas critiques, leurs auteurs penseront qu'ils ont abattu un excellent travail. L'immensite du travail a faire ne doit pas etre la raison pour faire le minimum.
kobolifronti a écrit :c'est un des signes pour reconnaitre les personnes mélancoliques, jamais content, cherchant que tout soit parfait, toujours des attentes , des perfectionnistes et ils aiment aussi beaucoup l'art

Je m'arrête ici pour ne pas dire les défauts

Tu as raison. Je suis de nature melancolique. Pas plus tard que hier, ma femme m'a pris que d'apres le temoignage qu'elle a recu de ma mere,je suis ne avec une main sur la joue.
Perfectionniste? Je le suis. Mais vois-tu, c'est la bonne formation jesuite que j'ai recue ou on m'a appris a etre toujours tendu et pousse vers le "magis" i.e le davantage. Les Jesuites m'ont appris a ne jamais me contenter des sentiers battus et du deja essaye. De ne jamais m'enthousiasmer pour un petit effort.
J'ai aussi ete influence par un film americain "Et au milieu coule un long fleuve tranquille". Il s'agit d'un pasteur, marie et pere de deux garcons. Ses deux enfants ont connu deux vies differentes; l'aine a eu une carriere reussie, fruit de l'education a la perfection du pere. Ce dernier n'admettait jamais qu'il presente un travail de qualite moyenne. Il devint professeur d'universite. Le cadet avait lui joui de la largesse du pere. Il fut tue dans une bagarre dans un bar. Il n'a pas ete aussi brillant que son frere. Pinto, lui, a choisi d'etre comme l'aine.
Pour les defauts de ce caractere, je suis plus que pret a les connaitre. Partage-moi le fruit de tes lecture des ouvrages psychologiques, si tu n'es pas toi-meme psychologue de formation et de travail.
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