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Et si Maz ne le fait pas que direz - vous?madi a écrit :J'espere que Mazembe pourra accepter pour mettre pression sur la CAF de refuser de jouer cette competition afin que Vclub soit retabli dans ses droits.
Je souhaite voir dans le groupe du champion en titre, yemei le TP Mazembe des équipes comme al ahly , Js kabylie bref les équipes du nord question de jauger la forme de l'équipe congolaise et cela va permettre a l'équipe de se surpasserIlunga a écrit :SPORTS ET SPECTACLES
Compétitions africaines interclubs
L’élite au rendez-vous de la Ligue des champions
Par Le Potentiel
Jamais sans doute depuis sa création en 1997, la Ligue des champions n’aura réuni autant de têtes couronnées que cette année. Sur les huit qualifiés pour la phase finale, six ont déjà remporté à une ou plusieurs reprises le trophée et les deux autres ont été, chacune, une fois finaliste. C’est dire combien la compétition qui démarrera à la mi-juillet sera haute en couleurs et livrera des duels passionnants.
Ecarté la saison passée en huitième de finale, Al Ahly a réintégré le groupe des 8 non sans difficultés en s’imposant dans les dernières secondes aux Libyens d’Al Ittihad. L’effectif est de qualité même si certains joueurs commencent à prendre de la bouteille, mais il sera très certainement étoffé d’ici le retour sur les terrains. Six fois champion (1982, 1987, 2001, 2005, 2006 et 2008), deux fois finaliste (1983, 2007), il est l’incontesté leader du football africain de la dernière décennie. Il s’est envolé à peu près au même moment que l’équipe nationale. Rien d’étonnant à cela pour qui sait que Al Ahly a toujours fourni de nombreux joueurs aux Pharaons.
Dans son sillage, on trouve avec trois titres, le TP Mazembe, le club congolais qui a brillé lors des premières années de la Coupe d’Afrique des clubs champions disputant quatre finales consécutives de 1967 à 1970, en remportant deux (1967, 1968), a effectué un come-back étonnant l’année dernière reprenant la couronne continentale abandonnée 41 ans plus tôt. Le club est devenu un vrai club professionnel disposant de solides moyens financiers, n’hésitant pas à aller se renforcer ailleurs lorsque la nécessité se faisait sentir.
La Jeunesse Sportive de Kabylie qui s’est distinguée dans les années 80 et 90 a été sacrée à deux reprises « meilleure équipe d’Afrique » en 1981 et en 1990. Elle est une des rares à avoir gagné les trois épreuves de la CAF, Coupe des clubs champions, Coupe des vainqueurs et Coupe de la CAF. En outre, elle a réussi l’exploit inégalé, toutes compétitions confondues à avoir réalisé le coup de trois victoires consécutives dans la défunte Coupe de la CAF (2000, 2001, 2002).
Derrière ces trois équipes distinguées à plusieurs reprises, on trouve avec une consécration chacun, le deuxième club égyptien qualifié, Ismaïly qui fut le premier des clubs de son pays à gagner la Coupe des clubs champions (1969). Cette année-là, il avait disposé, en finale, du TP Englebert, ancien nom du TP Mazembe. L’Espérance de Tunis, après un passage à vide, retrouve sa place parmi les Grands. Champion d’Afrique en 1994, le club Sang et Or a disputé ensuite deux finales en 1999 et en 2000, battu la première fois par le Raja de Casablanca, la deuxième par les Hearts of Oak d’Accra. Tout comme la JS Kabylie et l’Etoile du Sahel de Sousse, le grand club tunisien est le troisième à avoir remporté les trois compétitions de la CAF. Enfin troisième équipe avec une victoire, l’Entente de Sétif, victorieuse en 1988. Elle avait en finale pris le meilleur sur Iwuanyanwu National d’Owerri qui a changé de nom et s’appelle aujourd’hui Heartland FC, qualifié parmi les huit et finalistes malheureux de la dernière édition contre le TP Mazembe. Quant aux Dynamos d’Harare, ils ont à plusieurs reprises disputé la seconde phase de la Ligue des champions et en furent finalistes en 1998 contre l’ASEC d’Abidjan.
Au total, l’édition 2010 de la Ligue des champions Orange va réunir six anciens champions, 14 titres (sur 45) et dix anciens finalistes. Le Nord est en force avec cinq représentants sur huit, deux Algériens, deux Egyptiens et un Tunisien ; l’Ouest n’a qu’une équipe, Heartland du Nigeria ; l’Afrique centrale une avec le TP Mazembe et l’Afrique australe est représentée par les Zimbabwéens des Dynamos. Difficile de faire beaucoup mieux, même si certains ténors ne sont plus dans la course.
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Ekoyinda dit 
ca je kiff 
Mais toi là tu es un traitre ! Tu veux notre mort ou quoi ?!kobolifronti a écrit :Je souhaite voir dans le groupe du champion en titre, yemei le TP Mazembe des équipes comme al ahly , Js kabylie bref les équipes du nord question de jauger la forme de l'équipe congolaise et cela va permettre a l'équipe de se surpasserIlunga a écrit :SPORTS ET SPECTACLES
Compétitions africaines interclubs
L’élite au rendez-vous de la Ligue des champions
Par Le Potentiel
Jamais sans doute depuis sa création en 1997, la Ligue des champions n’aura réuni autant de têtes couronnées que cette année. Sur les huit qualifiés pour la phase finale, six ont déjà remporté à une ou plusieurs reprises le trophée et les deux autres ont été, chacune, une fois finaliste. C’est dire combien la compétition qui démarrera à la mi-juillet sera haute en couleurs et livrera des duels passionnants.
Ecarté la saison passée en huitième de finale, Al Ahly a réintégré le groupe des 8 non sans difficultés en s’imposant dans les dernières secondes aux Libyens d’Al Ittihad. L’effectif est de qualité même si certains joueurs commencent à prendre de la bouteille, mais il sera très certainement étoffé d’ici le retour sur les terrains. Six fois champion (1982, 1987, 2001, 2005, 2006 et 2008), deux fois finaliste (1983, 2007), il est l’incontesté leader du football africain de la dernière décennie. Il s’est envolé à peu près au même moment que l’équipe nationale. Rien d’étonnant à cela pour qui sait que Al Ahly a toujours fourni de nombreux joueurs aux Pharaons.
Dans son sillage, on trouve avec trois titres, le TP Mazembe, le club congolais qui a brillé lors des premières années de la Coupe d’Afrique des clubs champions disputant quatre finales consécutives de 1967 à 1970, en remportant deux (1967, 1968), a effectué un come-back étonnant l’année dernière reprenant la couronne continentale abandonnée 41 ans plus tôt. Le club est devenu un vrai club professionnel disposant de solides moyens financiers, n’hésitant pas à aller se renforcer ailleurs lorsque la nécessité se faisait sentir.
La Jeunesse Sportive de Kabylie qui s’est distinguée dans les années 80 et 90 a été sacrée à deux reprises « meilleure équipe d’Afrique » en 1981 et en 1990. Elle est une des rares à avoir gagné les trois épreuves de la CAF, Coupe des clubs champions, Coupe des vainqueurs et Coupe de la CAF. En outre, elle a réussi l’exploit inégalé, toutes compétitions confondues à avoir réalisé le coup de trois victoires consécutives dans la défunte Coupe de la CAF (2000, 2001, 2002).
Derrière ces trois équipes distinguées à plusieurs reprises, on trouve avec une consécration chacun, le deuxième club égyptien qualifié, Ismaïly qui fut le premier des clubs de son pays à gagner la Coupe des clubs champions (1969). Cette année-là, il avait disposé, en finale, du TP Englebert, ancien nom du TP Mazembe. L’Espérance de Tunis, après un passage à vide, retrouve sa place parmi les Grands. Champion d’Afrique en 1994, le club Sang et Or a disputé ensuite deux finales en 1999 et en 2000, battu la première fois par le Raja de Casablanca, la deuxième par les Hearts of Oak d’Accra. Tout comme la JS Kabylie et l’Etoile du Sahel de Sousse, le grand club tunisien est le troisième à avoir remporté les trois compétitions de la CAF. Enfin troisième équipe avec une victoire, l’Entente de Sétif, victorieuse en 1988. Elle avait en finale pris le meilleur sur Iwuanyanwu National d’Owerri qui a changé de nom et s’appelle aujourd’hui Heartland FC, qualifié parmi les huit et finalistes malheureux de la dernière édition contre le TP Mazembe. Quant aux Dynamos d’Harare, ils ont à plusieurs reprises disputé la seconde phase de la Ligue des champions et en furent finalistes en 1998 contre l’ASEC d’Abidjan.
Au total, l’édition 2010 de la Ligue des champions Orange va réunir six anciens champions, 14 titres (sur 45) et dix anciens finalistes. Le Nord est en force avec cinq représentants sur huit, deux Algériens, deux Egyptiens et un Tunisien ; l’Ouest n’a qu’une équipe, Heartland du Nigeria ; l’Afrique centrale une avec le TP Mazembe et l’Afrique australe est représentée par les Zimbabwéens des Dynamos. Difficile de faire beaucoup mieux, même si certains ténors ne sont plus dans la course.
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Qu'ils nous offrent tous le football qu'il faut pour que l'Afrique en sorte grandie!Ilunga a écrit :Voici pourquoi Mazembe doit tout faire pour garder son "Tresor" cette saison...Cette CL africaine sera très passionnante...SVP "governator", utilisez tous les arguments "sonnants et trébuchants" pour garder MPUTU cette saison et remporter la CL et prouver à tous les "contre molema" que Mazembe est le "Real de Madrid" d'Afrique...Merci d'avance...
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L’élite au rendez-vous de la Ligue des champions
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Jamais sans doute depuis sa création en 1997, la Ligue des champions n’aura réuni autant de têtes couronnées que cette année. Sur les huit qualifiés pour la phase finale, six ont déjà remporté à une ou plusieurs reprises le trophée et les deux autres ont été, chacune, une fois finaliste. C’est dire combien la compétition qui démarrera à la mi-juillet sera haute en couleurs et livrera des duels passionnants.
Ecarté la saison passée en huitième de finale, Al Ahly a réintégré le groupe des 8 non sans difficultés en s’imposant dans les dernières secondes aux Libyens d’Al Ittihad. L’effectif est de qualité même si certains joueurs commencent à prendre de la bouteille, mais il sera très certainement étoffé d’ici le retour sur les terrains. Six fois champion (1982, 1987, 2001, 2005, 2006 et 2008), deux fois finaliste (1983, 2007), il est l’incontesté leader du football africain de la dernière décennie. Il s’est envolé à peu près au même moment que l’équipe nationale. Rien d’étonnant à cela pour qui sait que Al Ahly a toujours fourni de nombreux joueurs aux Pharaons.
Dans son sillage, on trouve avec trois titres, le TP Mazembe, le club congolais qui a brillé lors des premières années de la Coupe d’Afrique des clubs champions disputant quatre finales consécutives de 1967 à 1970, en remportant deux (1967, 1968), a effectué un come-back étonnant l’année dernière reprenant la couronne continentale abandonnée 41 ans plus tôt. Le club est devenu un vrai club professionnel disposant de solides moyens financiers, n’hésitant pas à aller se renforcer ailleurs lorsque la nécessité se faisait sentir.
La Jeunesse Sportive de Kabylie qui s’est distinguée dans les années 80 et 90 a été sacrée à deux reprises « meilleure équipe d’Afrique » en 1981 et en 1990. Elle est une des rares à avoir gagné les trois épreuves de la CAF, Coupe des clubs champions, Coupe des vainqueurs et Coupe de la CAF. En outre, elle a réussi l’exploit inégalé, toutes compétitions confondues à avoir réalisé le coup de trois victoires consécutives dans la défunte Coupe de la CAF (2000, 2001, 2002).
Derrière ces trois équipes distinguées à plusieurs reprises, on trouve avec une consécration chacun, le deuxième club égyptien qualifié, Ismaïly qui fut le premier des clubs de son pays à gagner la Coupe des clubs champions (1969). Cette année-là, il avait disposé, en finale, du TP Englebert, ancien nom du TP Mazembe. L’Espérance de Tunis, après un passage à vide, retrouve sa place parmi les Grands. Champion d’Afrique en 1994, le club Sang et Or a disputé ensuite deux finales en 1999 et en 2000, battu la première fois par le Raja de Casablanca, la deuxième par les Hearts of Oak d’Accra. Tout comme la JS Kabylie et l’Etoile du Sahel de Sousse, le grand club tunisien est le troisième à avoir remporté les trois compétitions de la CAF. Enfin troisième équipe avec une victoire, l’Entente de Sétif, victorieuse en 1988. Elle avait en finale pris le meilleur sur Iwuanyanwu National d’Owerri qui a changé de nom et s’appelle aujourd’hui Heartland FC, qualifié parmi les huit et finalistes malheureux de la dernière édition contre le TP Mazembe. Quant aux Dynamos d’Harare, ils ont à plusieurs reprises disputé la seconde phase de la Ligue des champions et en furent finalistes en 1998 contre l’ASEC d’Abidjan.
Au total, l’édition 2010 de la Ligue des champions Orange va réunir six anciens champions, 14 titres (sur 45) et dix anciens finalistes. Le Nord est en force avec cinq représentants sur huit, deux Algériens, deux Egyptiens et un Tunisien ; l’Ouest n’a qu’une équipe, Heartland du Nigeria ; l’Afrique centrale une avec le TP Mazembe et l’Afrique australe est représentée par les Zimbabwéens des Dynamos. Difficile de faire beaucoup mieux, même si certains ténors ne sont plus dans la course.
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