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Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 16 sept. 2011, 11:55
par chidap
Erick Ross a écrit :Ouais et puis, Neveu n'a fait que profiter du travail de Marbella. L'un des meilleurs matches de nos fauves (depuis la rencontre en Espagne face à la France) est certainement l'amical contre l'Algérie. Neveu n'était pas encore officiellement nôtre T1. Lors de la campagne qualificative, il a réussi à faire des changements foireux qui nous ont coûté des points au Caire, à Kin et à Blantyre. ...
Il est bon pour coacher avec Santos Muntubile, comme ça au cours d'un match il parviendrons à convertir un gardien réserviste en avant centre de point.

Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 16 sept. 2011, 17:42
par Erick Ross
chidap a écrit :Il est bon pour coacher avec Santos Muntubile, comme ça au cours d'un match il parviendrons à convertir un gardien réserviste en avant centre de point.

Deux aventuriers qui n'ont rien à faire comme coachs des léopards.
Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 04 oct. 2011, 08:59
par kompany
Constant Omari Selemani, le téméraire président de la Fédération Congolaise de Football Association ne jurait que pour une ossature essentiellement locale de la sélection nationale de football. Certainement obnubilé par le succès éclatant des Léopards locaux au premier Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en Côte d’Ivoire en mars 2009. Il a cru mordicus que les joueurs locaux pouvaient à moindres frais apporter le sourire aux férus du football congolais, mieux que leurs collègues de la diaspora.
Cette vision était diamétralement opposée à celle de tous les sélectionneurs expatriés qui ont défilé à la tête du staff technique national. Ce fut du reste la pomme de discorde entre Constant Omari et Robert Nouzaret. Et c’est aussi à cause de cette divergence de vues que le dernier cité fut poussé à la démission. Autrement, il n’y avait pas de raison qu’un coach dont la sélection est deuxième au classement partiel du groupe à deux journées de la fin de la phase des éliminatoires ne lâche son navire. Mais voilà que revient presque par enchantement le « sélectionneur- fétiche » Claude Le Roy qui accepte de reprendre les commandes des Léopards presque sans conditions parce qu’il signe de la façon la plus expéditive un « contrat-chèque à blanc ». Il propose aux Congolais une fumée épaisse ; la double qualification à la Can sud-africaine 2013 et au Mundial brésilien 2014.
Dans cet exercice de « séduction-saupoudrage » du metteur en scène Constant Omari, Claude Le Roy est l’acteur principal le mieux indiqué. N’est-il pas le dernier blanc qui fit goûter aux Congolais les délices de la Coupe d’Afrique des Nations en 2006 au Caire en Egypte ? Une aventure que les Léopards terminèrent presqu’à genoux devant une attaque camerounaise prête à leur en faire voir de toutes les couleurs. Et les téléspectateurs congolais se souviennent encore de l’image du sélectionneur français des Léopards suppliant Eto’o fils et lui demanda d’arrêter le carnage de ses poulains.
On se souvient aussi des déclarations de Claude Le Roy fustigeant le manque d’organisation de la Fecofa. J’ai encore en esprit l’algarade survenue un après-midi dans le hall de l’aéroport de Sale au Cap Vert où ayant piqué une sainte colère, Claude Le Roy s’en prit au président de la Fecofa : « Si tu es incapable d’organiser un voyage, de t’occuper des joueurs, de leur trouver un avion pour Praia, ta place est ailleurs ». Nous étions là et avions bu le calice de la honte jusqu’à la lie. Encore et toujours le problème de manque d’organisation, de planification qui se pose avec acuité. Aujourd’hui, Claude Le Roy, le cartésien a lui aussi oublié le passé et nous a contaminé cette espèce d’amnésie générale.
Redonner l’espoir et oublier les non-lieux des rendez-vous successifs aux Can 2008, 2010, 2012
Le souci, c’est de nous faire croire que 2013 et 2014 seront meilleurs que les années précédentes sans nous dire la nature du socle sur lequel seront bâtis les prochains châteaux en Espagne. Et nous avons bien peur que cela soit sur du sable marin particulièrement mouvant et instable. Les Léopards affrontent le vendredi 7 octobre prochain au stade des Martyrs de la Pentecôte les Lions Indomptables du Cameroun en « match de gala » (puisque les deux sélections sont d’ores et déjà éliminées). Pour ce match de parade, Claude Le Roy a fait appel à une belle fourchette des joueurs évoluant à l’étranger. Pour lui, les joueurs ne seront sélectionnés que sur base de leur forme du moment. Pas parce qu’ils appartiennent à Mazembe, à Daring, à V.Club ou à Lupopo ou à Belor mais parce qu’ils sont les meilleurs où qu’ils soient (en Europe, en Océanie ou ailleurs). C’est l’ancienne nouvelle philosophie de Claude Le Roy. Telle fut malheureusement hélas celle de Robert Nouzatret et certainement aussi de Patrice Neveu et autre Dépireux. Est-ce finalement question de mauvaise troupe, de mauvais commandants de bataillon ou du commandant général de l’armée qu’est l’équipe nationale des Léopards ?
Les autres, c’est-à-dire joueurs, entraîneurs, sélectionneurs démissionnent ou sont poussés à la démission. Mais, pour le président de la Fédération, chef suprême d’orchestre, la démission n’est pas à l’ordre du jour. Il y est et il y reste. Il oublie la phrase célébrissime de feu Maréchal Mobutu : « Un fruit ne tombe que quand il est mûr. Mais devant la tempête et l’ouragan de l’histoire, mûr ou pas mûr, il tombe quand même ». Moralité : on ne peut pas continuellement diriger par défi et faire fi aux exigences du souverain primaire.
Fernand Mukaku Lalabi Muke
Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 04 oct. 2011, 11:31
par Erka
Fernand Mukaku Lalabi Muke

Milinga wana kala mingi té eko kita!
Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 04 oct. 2011, 19:14
par Djima
kompany a écrit :Constant Omari Selemani, le téméraire président de la Fédération Congolaise de Football Association ne jurait que pour une ossature essentiellement locale de la sélection nationale de football. Certainement obnubilé par le succès éclatant des Léopards locaux au premier Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en Côte d’Ivoire en mars 2009. Il a cru mordicus que les joueurs locaux pouvaient à moindres frais apporter le sourire aux férus du football congolais, mieux que leurs collègues de la diaspora.
Cette vision était diamétralement opposée à celle de tous les sélectionneurs expatriés qui ont défilé à la tête du staff technique national. Ce fut du reste la pomme de discorde entre Constant Omari et Robert Nouzaret. Et c’est aussi à cause de cette divergence de vues que le dernier cité fut poussé à la démission. Autrement, il n’y avait pas de raison qu’un coach dont la sélection est deuxième au classement partiel du groupe à deux journées de la fin de la phase des éliminatoires ne lâche son navire. Mais voilà que revient presque par enchantement le « sélectionneur- fétiche » Claude Le Roy qui accepte de reprendre les commandes des Léopards presque sans conditions parce qu’il signe de la façon la plus expéditive un « contrat-chèque à blanc ». Il propose aux Congolais une fumée épaisse ; la double qualification à la Can sud-africaine 2013 et au Mundial brésilien 2014.
Dans cet exercice de « séduction-saupoudrage » du metteur en scène Constant Omari, Claude Le Roy est l’acteur principal le mieux indiqué. N’est-il pas le dernier blanc qui fit goûter aux Congolais les délices de la Coupe d’Afrique des Nations en 2006 au Caire en Egypte ? Une aventure que les Léopards terminèrent presqu’à genoux devant une attaque camerounaise prête à leur en faire voir de toutes les couleurs. Et les téléspectateurs congolais se souviennent encore de l’image du sélectionneur français des Léopards suppliant Eto’o fils et lui demanda d’arrêter le carnage de ses poulains.
On se souvient aussi des déclarations de Claude Le Roy fustigeant le manque d’organisation de la Fecofa. J’ai encore en esprit l’algarade survenue un après-midi dans le hall de l’aéroport de Sale au Cap Vert où ayant piqué une sainte colère, Claude Le Roy s’en prit au président de la Fecofa : « Si tu es incapable d’organiser un voyage, de t’occuper des joueurs, de leur trouver un avion pour Praia, ta place est ailleurs ». Nous étions là et avions bu le calice de la honte jusqu’à la lie. Encore et toujours le problème de manque d’organisation, de planification qui se pose avec acuité. Aujourd’hui, Claude Le Roy, le cartésien a lui aussi oublié le passé et nous a contaminé cette espèce d’amnésie générale.
Redonner l’espoir et oublier les non-lieux des rendez-vous successifs aux Can 2008, 2010, 2012
Le souci, c’est de nous faire croire que 2013 et 2014 seront meilleurs que les années précédentes sans nous dire la nature du socle sur lequel seront bâtis les prochains châteaux en Espagne. Et nous avons bien peur que cela soit sur du sable marin particulièrement mouvant et instable. Les Léopards affrontent le vendredi 7 octobre prochain au stade des Martyrs de la Pentecôte les Lions Indomptables du Cameroun en « match de gala » (puisque les deux sélections sont d’ores et déjà éliminées). Pour ce match de parade, Claude Le Roy a fait appel à une belle fourchette des joueurs évoluant à l’étranger. Pour lui, les joueurs ne seront sélectionnés que sur base de leur forme du moment. Pas parce qu’ils appartiennent à Mazembe, à Daring, à V.Club ou à Lupopo ou à Belor mais parce qu’ils sont les meilleurs où qu’ils soient (en Europe, en Océanie ou ailleurs). C’est l’ancienne nouvelle philosophie de Claude Le Roy. Telle fut malheureusement hélas celle de Robert Nouzatret et certainement aussi de Patrice Neveu et autre Dépireux. Est-ce finalement question de mauvaise troupe, de mauvais commandants de bataillon ou du commandant général de l’armée qu’est l’équipe nationale des Léopards ?
Les autres, c’est-à-dire joueurs, entraîneurs, sélectionneurs démissionnent ou sont poussés à la démission. Mais, pour le président de la Fédération, chef suprême d’orchestre, la démission n’est pas à l’ordre du jour. Il y est et il y reste. Il oublie la phrase célébrissime de feu Maréchal Mobutu : « Un fruit ne tombe que quand il est mûr. Mais devant la tempête et l’ouragan de l’histoire, mûr ou pas mûr, il tombe quand même ». Moralité : on ne peut pas continuellement diriger par défi et faire fi aux exigences du souverain primaire.
Fernand Mukaku Lalabi Muke

Fernand Mukaku Lalabi Muke quel article!!!!!!!!! EXCELLENT

Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 04 oct. 2011, 19:19
par kompany
Djima a écrit :kompany a écrit :Constant Omari Selemani, le téméraire président de la Fédération Congolaise de Football Association ne jurait que pour une ossature essentiellement locale de la sélection nationale de football. Certainement obnubilé par le succès éclatant des Léopards locaux au premier Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) en Côte d’Ivoire en mars 2009. Il a cru mordicus que les joueurs locaux pouvaient à moindres frais apporter le sourire aux férus du football congolais, mieux que leurs collègues de la diaspora.
Cette vision était diamétralement opposée à celle de tous les sélectionneurs expatriés qui ont défilé à la tête du staff technique national. Ce fut du reste la pomme de discorde entre Constant Omari et Robert Nouzaret. Et c’est aussi à cause de cette divergence de vues que le dernier cité fut poussé à la démission. Autrement, il n’y avait pas de raison qu’un coach dont la sélection est deuxième au classement partiel du groupe à deux journées de la fin de la phase des éliminatoires ne lâche son navire. Mais voilà que revient presque par enchantement le « sélectionneur- fétiche » Claude Le Roy qui accepte de reprendre les commandes des Léopards presque sans conditions parce qu’il signe de la façon la plus expéditive un « contrat-chèque à blanc ». Il propose aux Congolais une fumée épaisse ; la double qualification à la Can sud-africaine 2013 et au Mundial brésilien 2014.
Dans cet exercice de « séduction-saupoudrage » du metteur en scène Constant Omari, Claude Le Roy est l’acteur principal le mieux indiqué. N’est-il pas le dernier blanc qui fit goûter aux Congolais les délices de la Coupe d’Afrique des Nations en 2006 au Caire en Egypte ? Une aventure que les Léopards terminèrent presqu’à genoux devant une attaque camerounaise prête à leur en faire voir de toutes les couleurs. Et les téléspectateurs congolais se souviennent encore de l’image du sélectionneur français des Léopards suppliant Eto’o fils et lui demanda d’arrêter le carnage de ses poulains.
On se souvient aussi des déclarations de Claude Le Roy fustigeant le manque d’organisation de la Fecofa. J’ai encore en esprit l’algarade survenue un après-midi dans le hall de l’aéroport de Sale au Cap Vert où ayant piqué une sainte colère, Claude Le Roy s’en prit au président de la Fecofa : « Si tu es incapable d’organiser un voyage, de t’occuper des joueurs, de leur trouver un avion pour Praia, ta place est ailleurs ». Nous étions là et avions bu le calice de la honte jusqu’à la lie. Encore et toujours le problème de manque d’organisation, de planification qui se pose avec acuité. Aujourd’hui, Claude Le Roy, le cartésien a lui aussi oublié le passé et nous a contaminé cette espèce d’amnésie générale.
Redonner l’espoir et oublier les non-lieux des rendez-vous successifs aux Can 2008, 2010, 2012
Le souci, c’est de nous faire croire que 2013 et 2014 seront meilleurs que les années précédentes sans nous dire la nature du socle sur lequel seront bâtis les prochains châteaux en Espagne. Et nous avons bien peur que cela soit sur du sable marin particulièrement mouvant et instable. Les Léopards affrontent le vendredi 7 octobre prochain au stade des Martyrs de la Pentecôte les Lions Indomptables du Cameroun en « match de gala » (puisque les deux sélections sont d’ores et déjà éliminées). Pour ce match de parade, Claude Le Roy a fait appel à une belle fourchette des joueurs évoluant à l’étranger. Pour lui, les joueurs ne seront sélectionnés que sur base de leur forme du moment. Pas parce qu’ils appartiennent à Mazembe, à Daring, à V.Club ou à Lupopo ou à Belor mais parce qu’ils sont les meilleurs où qu’ils soient (en Europe, en Océanie ou ailleurs). C’est l’ancienne nouvelle philosophie de Claude Le Roy. Telle fut malheureusement hélas celle de Robert Nouzatret et certainement aussi de Patrice Neveu et autre Dépireux. Est-ce finalement question de mauvaise troupe, de mauvais commandants de bataillon ou du commandant général de l’armée qu’est l’équipe nationale des Léopards ?
Les autres, c’est-à-dire joueurs, entraîneurs, sélectionneurs démissionnent ou sont poussés à la démission. Mais, pour le président de la Fédération, chef suprême d’orchestre, la démission n’est pas à l’ordre du jour. Il y est et il y reste. Il oublie la phrase célébrissime de feu Maréchal Mobutu : « Un fruit ne tombe que quand il est mûr. Mais devant la tempête et l’ouragan de l’histoire, mûr ou pas mûr, il tombe quand même ». Moralité : on ne peut pas continuellement diriger par défi et faire fi aux exigences du souverain primaire.
Fernand Mukaku Lalabi Muke

Fernand Mukaku Lalabi Muke quel article!!!!!!!!! EXCELLENT

c'est Pinto qui est le nègre

Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 04 oct. 2011, 19:20
par Djima
Kompany
otimbeli anecdote ya Praia...

Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 06 oct. 2011, 08:00
par Erick Ross
Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 06 oct. 2011, 09:15
par Djima
Re: Constant Omari: Je ne démissionnerai pas!!!
Posté : 27 oct. 2011, 20:00
par kompany
La Cour suprême a décidé d'ouvrir une enquête
BRASILIA Le ministre brésilien des Sports, Orlando Silva, en charge de l'organisation du Mondial de football 2014 et des jeux Olympiques 2016, accusé de détournements de fonds, a annoncé mercredi soir sa démission dans une brève conférence de presse.
"J'ai demandé à sortir du gouvernement, je sors pour défendre mon honneur, pour défendre mon parti (...) Je pars avec le sentiment du devoir accompli", a déclaré M. Silva après avoir été reçu par la présidente Dilma Rousseff.
Le ministre qui nie en bloc toutes les accusations a souligné que la vérité finirait par apparaître.
Il s'agit de la cinquième démission d'un ministre du gouvernement de l'héritière politique de l'ex-président Luiz Inacio Lula da Silva pour détournements de fonds et enrichissement illicite depuis le 7 juin.
La situation du ministre Silva s'était détériorée à la mi-octobre quand l'hebdomadaire Veja avait publié un article où un ancien policier l'accusait de détournements de fonds - jusqu'à 23 millions de dollars - au bénéfice d'ONG liées au PCdoB et également de recevoir des pots de vin.
Mardi, la Cour suprême du Brésil a décidé d'ouvrir une enquête pour examiner les accusations visant M. Silva.
© La Dernière Heure 2011