Violences préélectorales : La CPI pourrait envoyer des représentants en RDC
Vendredi, 11 Novembre 2011 08:23
Le bureau du procureur de la juridiction se dit « très inquiet » au sujet des incidents commis dans le pays à moins de trois semaines des élections. Le conseiller en coopération internationale à la Cour pénale internationale (CPI), Pascal Turlan, cité par le figaro.fr, a déclaré le 9 novembre : « Le bureau du procureur est très inquiet de ce qui est en train de se passer en RDC à l'approche des élections. Le bureau du procureur insiste sur le fait qu'il ne saurait y avoir de violences lors d'un processus électoral. Nous suivons le développement de la situation de près ». Il a ajouté : «Le bureau du procureur se réserve la possibilité d'envoyer des représentants à Kinshasa si la situation devait le justifier. »
Cette inquiétude fait suite aux évènements qui ont eu lieu les 5 et 7 novembre à Lubumbashi où plusieurs personnes avaient été blessées lors d'affrontements entre militants de l'opposition et ceux des partis au pouvoir.
« L'ONU a exprimé (...) ses "vives préoccupations" sur les violences commises en République démocratique du Congo à l'approche des élections présidentielle et parlementaires du 28 novembre. Les autorités congolaises ont demandé au bureau du procureur de la CPI de se rendre en RDC lors du processus électoral "pour contribuer à mettre fin à cette situation », a indiqué Pascal Turlan.
Patrick Kianimi
Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
kin eningani bolingo ya nga n'etienneee bolingo ya mbongo teoooo 
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... Ua4lr9--4c « Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
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tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.josephkabila-2011.com/actual ... svote.html
Présidentielle 2011 : Joseph Kabila toujours en tête dans les sondages avec 52,2%
Le bureau d’études et de sondages du Congo (Bes-Congo) a effectué du 28 octobre au 5 nombre un sondage sur la présidentielle de 2011. Il en ressort que le candidat Joseph Kabila est à la tête du sondage avec 52,2% contre Etienne Tshisekedi 26,3%.
A trois semaines de la clôture de la campagne électorale, un nouveau sondage publié ce week-end donne Joseph Kabila gagnant avec 52,2% d’intentions de vote contre 26,3 % pour E. Tshisekedi. Ce sondage sur la prochaine élection présidentielle RD Congo a été réalisé par BES-Congo (Bureau d’études et de sondages du Congo) et a été effectué du 28 octobre dernier au 5 novembre 2011 sur un échantillon de 2.000 personnes. A l’opposé du sondage publié début novembre alors que la campagne électorale démarrait timidement à travers le pays, le nouveau sondage recours à la méthode dite des quotas. En d’autres termes, l’enquête s’attache à calquer le pourcentage des sondés par province proportionnellement à la population enrôlée dans chacune des ces 11 provinces.
Ainsi, la province du Katanga qui jouit de la plus forte pondération, soit 14,4% compte un échantillon de 288 personnes sondées suivie par la province de l’Equateur (12,4%, 248 sondés), la province Orientale (pondération 12,2%, 244 personnes sondées), celle du Bandundu (pondération 11%, 220 sondés) et celle de Kinshasa (pondération 10,2%, 204 sondés). Viennent ensuite le Nord-Kivu avec 188 personnes sondées équivalant à une pondération de 9,4%, les Kasaï Occidental et le Kasaï Oriental avec respectivement 168 et 144 personnes sondées soit respectivement 8,4% et 8,2 % de pondération. Les provinces du Sud-Kivu (pondération 6,4%), du Bas-Congo (pondération 4,6%) ) et du Maniema (pondération 2,8%) ferment le peloton avec respectivement 128, 92 et 56 personnes interrogées. Kabila toujours en tête dans les sondages.
De son côté, intervenant lors de la cérémonie du vernissage de l’ouvrage, le professeur Kaumba dira, entre autres, qu’il serait suicidaire pour le pays de continuer à rêver de changement alors que celui-ci « est déjà là, bien palpable, sous nos yeux » ! Surfant sur la même vague, le nouveau de BES-Congo crédite, de son côté, Joseph Kabila d’une victoire certaine à la prochaine présidentielle et avec la manière : 52,2% devant Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui, dans les meilleurs des cas, n’aurait que 26,3% des voix.
Quant à Vital Kamerhe, ce même sondage ne lui accorde que 10,8% de chances d’être élu 5ème président de la RD Congo, 3,6% à Antipas Mbusa Nyamuisi, 2,5% à Léon Kengo wa Dondo soit respectivement 0,1% d’avance sur Adam Bombole 2,4% et 0,5% sur l’héritier de feu le maréchal Joseph-Désiré Mobutu. Sans doute à cause de leur entrée récente sur la scène politique congolaise, certains candidats comme Oscar Kashala de l’Urec, Jean Andeka, Kakese Malela ou Josué Mukendi ne sont même pas classés en ordre utile dans ce sondage. Globalement considéré, Joseph Kabila réaliserait ainsi une mémorable et historique percée dans la partie Ouest de notre pays, notamment dans ces provinces présentées en 2006 comme frondeuses : le Bandundu, le Bas-Congo, Kinshasa et l’Equateur.
Il s’en tirerait, en effet, avec des majorités absolues au Bandundu, au Bas-Congo, au Katanga, au Maniema, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Un vote porté surtout par les jeunes et par l’électorat féminin. Son concurrent direct, Etienne Tshisekedi se voit crédité d’une majorité relative dans toutes les autres provinces sauf, on s’y attendrait un peu, dans les deux Kasaï où il obtiendrait ainsi la majorité absolue. Ailleurs, sur 2000 voix, il obtiendrait, en vrac, 74 à Kinshasa, 52 à l’Equateur, 48 au Katanga, 46 points au Bandundu, 29 au Bas-Congo, 104 au Kasaï-Occidental, 92 au Kasaï-Oriental, , 5 au Maniema, 33 au Nord-Kivu, 37 dans la Province Orientale, 6 au Sud-Kivu. Kamerhe, lui, aurait 30% au Sud-Kivu et 20% à l’Equateur. Mbusa Nyamwisi est crédité d’un score similaire dans son fief électoral du Nord-Kivu avec 30% tandis qu’à l’Equateur, la terre d’origine de leurs aïeux, Adam Bombole et François Mobutu Nzanga n’auraient que 10% à l’Equateur et 11 % à Kinshasa. P.M.
Présidentielle 2011 : Joseph Kabila toujours en tête dans les sondages avec 52,2%
Le bureau d’études et de sondages du Congo (Bes-Congo) a effectué du 28 octobre au 5 nombre un sondage sur la présidentielle de 2011. Il en ressort que le candidat Joseph Kabila est à la tête du sondage avec 52,2% contre Etienne Tshisekedi 26,3%.
A trois semaines de la clôture de la campagne électorale, un nouveau sondage publié ce week-end donne Joseph Kabila gagnant avec 52,2% d’intentions de vote contre 26,3 % pour E. Tshisekedi. Ce sondage sur la prochaine élection présidentielle RD Congo a été réalisé par BES-Congo (Bureau d’études et de sondages du Congo) et a été effectué du 28 octobre dernier au 5 novembre 2011 sur un échantillon de 2.000 personnes. A l’opposé du sondage publié début novembre alors que la campagne électorale démarrait timidement à travers le pays, le nouveau sondage recours à la méthode dite des quotas. En d’autres termes, l’enquête s’attache à calquer le pourcentage des sondés par province proportionnellement à la population enrôlée dans chacune des ces 11 provinces.
Ainsi, la province du Katanga qui jouit de la plus forte pondération, soit 14,4% compte un échantillon de 288 personnes sondées suivie par la province de l’Equateur (12,4%, 248 sondés), la province Orientale (pondération 12,2%, 244 personnes sondées), celle du Bandundu (pondération 11%, 220 sondés) et celle de Kinshasa (pondération 10,2%, 204 sondés). Viennent ensuite le Nord-Kivu avec 188 personnes sondées équivalant à une pondération de 9,4%, les Kasaï Occidental et le Kasaï Oriental avec respectivement 168 et 144 personnes sondées soit respectivement 8,4% et 8,2 % de pondération. Les provinces du Sud-Kivu (pondération 6,4%), du Bas-Congo (pondération 4,6%) ) et du Maniema (pondération 2,8%) ferment le peloton avec respectivement 128, 92 et 56 personnes interrogées. Kabila toujours en tête dans les sondages.
De son côté, intervenant lors de la cérémonie du vernissage de l’ouvrage, le professeur Kaumba dira, entre autres, qu’il serait suicidaire pour le pays de continuer à rêver de changement alors que celui-ci « est déjà là, bien palpable, sous nos yeux » ! Surfant sur la même vague, le nouveau de BES-Congo crédite, de son côté, Joseph Kabila d’une victoire certaine à la prochaine présidentielle et avec la manière : 52,2% devant Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui, dans les meilleurs des cas, n’aurait que 26,3% des voix.
Quant à Vital Kamerhe, ce même sondage ne lui accorde que 10,8% de chances d’être élu 5ème président de la RD Congo, 3,6% à Antipas Mbusa Nyamuisi, 2,5% à Léon Kengo wa Dondo soit respectivement 0,1% d’avance sur Adam Bombole 2,4% et 0,5% sur l’héritier de feu le maréchal Joseph-Désiré Mobutu. Sans doute à cause de leur entrée récente sur la scène politique congolaise, certains candidats comme Oscar Kashala de l’Urec, Jean Andeka, Kakese Malela ou Josué Mukendi ne sont même pas classés en ordre utile dans ce sondage. Globalement considéré, Joseph Kabila réaliserait ainsi une mémorable et historique percée dans la partie Ouest de notre pays, notamment dans ces provinces présentées en 2006 comme frondeuses : le Bandundu, le Bas-Congo, Kinshasa et l’Equateur.
Il s’en tirerait, en effet, avec des majorités absolues au Bandundu, au Bas-Congo, au Katanga, au Maniema, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Un vote porté surtout par les jeunes et par l’électorat féminin. Son concurrent direct, Etienne Tshisekedi se voit crédité d’une majorité relative dans toutes les autres provinces sauf, on s’y attendrait un peu, dans les deux Kasaï où il obtiendrait ainsi la majorité absolue. Ailleurs, sur 2000 voix, il obtiendrait, en vrac, 74 à Kinshasa, 52 à l’Equateur, 48 au Katanga, 46 points au Bandundu, 29 au Bas-Congo, 104 au Kasaï-Occidental, 92 au Kasaï-Oriental, , 5 au Maniema, 33 au Nord-Kivu, 37 dans la Province Orientale, 6 au Sud-Kivu. Kamerhe, lui, aurait 30% au Sud-Kivu et 20% à l’Equateur. Mbusa Nyamwisi est crédité d’un score similaire dans son fief électoral du Nord-Kivu avec 30% tandis qu’à l’Equateur, la terre d’origine de leurs aïeux, Adam Bombole et François Mobutu Nzanga n’auraient que 10% à l’Equateur et 11 % à Kinshasa. P.M.
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tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.digitalcongo.net/article/79557
Le candidat n° 3 J. Kabila fait descendre tout Lubumbashi accouru pour l’ovationner triomphalement
Kinshasa, 10/11/2011 / Politique
La ville cuprifère a carrément donné dans le gigantisme, le mercredi 9 novembre 2011, en accueillant le Candidat n°3. De l’aéroport international de la Luano à la Place Moïse Tshombe au centre-ville, les Lushois, sous la conduite du gouverneur Moïse Katumbi Chapwe, ont balayé le doute sur le plébiscite qui attend Joseph Kabila.
Il a fallu plus de trois heures de marche à pied, sur 15 km, pour que le candidat à sa propre succession - avec à ses côtés son épouse Marie-Olive Lembe Kabila ainsi que tous les notables du Katanga acquis à sa cause - franchisse, la nuit tombante, le lieu du meeting où il s’est adressé à des dizaines de milliers de femmes et d’hommes prêts à voter pour lui...
Comme à Kindu et Kasongo en province du Maniema, comme à Bukavu, Mwenga, Kamanyola, Kiliba, Uvira et Makobola en province du Sud-Kivu, le candidat n°3 a convaincu son électorat par la même formule : le bilan des promesses de 2006 et l’annonce des promesses de 2011.
Il faut bien l’admettre : le Katanga, sous la houlette de son entreprenant gouverneur, a réalisé de performances remarquables dans le cadre des 5 Chantiers. Surtout en ce qui concerne les Infrastructures de base. Des routes, des ponts, des chemins de fer, des ports, des aéroports, des écoles, des centres médicaux, des stations de traitement d’eau, des centrales hydroélectriques ont soit été réhabilités, soit construits, mais en tout cas modernisés, avec un effet inducteur certain sur l’emploi.
On ne le dit jamais assez : c’est la convention « RDC-Groupement des entreprises chinoises », fondée sur la formule « Infrastructures de base en contrepartie de l’exploitation minière », qui finance en grande partie les 5 Chantiers, aux côtés de l’apport non moins considérable des partenaires traditionnels.
Or, la contrepartie minière est assurée entièrement par le Katanga, via Gécamines. Et Gécamines – faut-il d’emblée le rappeler – n’a pas de patrimoine minier dans d’autres provinces congolaises. Gécamines a son patrimoine au Katanga, et au Katanga seulement.
On image déjà ce que la RDCongo peut devenir en si peu de temps au cas où chacune de ses provinces met dans l’escarcelle nationale son pétrole, son bois, son diamant, sa cassitérite, son gaz, son coltan, son or ou son eau !
Il faut donc saluer la contribution katangaise à l’effort national de développement.
« 100 % sûr, nous allons gagner les élections »
Au regard de l’accueil alors réservé à la fois au Président de la République et candidat Joseph Kabila – l’initiateur des 5 Chantiers - les Katangais entendent renouveler leur confiance aussi bien en la personne du chef de l’Etat qu’en la Nation congolaise.
Avant de s’entendre décliner les promesses de 2011, ils ont reçu du candidat n°3 deux recommandations que ses concurrents n’arrivent pas à adresser à leurs électorats :
- primo, préserver la paix chèrement acquise,
- secundo, entretenir la cohabitation pacifique entre communautés locales.
Il en a ajouté une troisième : aller aux élections le 28 novembre 2011 pour consacrer sa victoire afin de permettre la poursuite de la modernisation du pays.
Comme partout où il est jusque-là passé, Joseph Kabila est resté modeste en matière de promesses électorales. Aux Lushois, il a garanti la continuation des travaux de modernisation de l’hôpital général de Sendwe et de la Sncc. Celle-ci, faut-il le souligner d’emblée, est effectivement la colonne vertébrale des provinces du Katanga, du Kasaï Occidental, du Kasaï Oriental, du Maniema et du Sud-Kivu. Elle bénéficie déjà d’un important financement mixte « RDC-Banque mondiale-Banque africaine de développement » pour son activité multimodale comprenant l’exploitation ferroviaire et le trafic fluvial et lacustre.
Le candidat n° 3 a été longuement ovationné à l’annonce de la construction d’un stade moderne à Lubumbashi ; la province ayant donné au pays des équipes et des joueurs aujourd’hui de réputation mondiale. Les Lushois, en particulier, et les Katangais, en général, le méritent bien.
Que dire, en définitive, de l’arrivée de Joseph Kabila à Lubumbashi, première étape de sa campagne en terre katangaise ?
Le plébiscite n’a plus de doute ; la concurrence n’a qu’à revoir ses calculs.
« 100 % sûr, nous allons gagner les élections », leur a lancé Joseph Kabila, comme pour reprendre le mot d’ordre « Na Raïs, 100 % sûr ».
Le candidat n° 3 J. Kabila fait descendre tout Lubumbashi accouru pour l’ovationner triomphalement
Kinshasa, 10/11/2011 / Politique
La ville cuprifère a carrément donné dans le gigantisme, le mercredi 9 novembre 2011, en accueillant le Candidat n°3. De l’aéroport international de la Luano à la Place Moïse Tshombe au centre-ville, les Lushois, sous la conduite du gouverneur Moïse Katumbi Chapwe, ont balayé le doute sur le plébiscite qui attend Joseph Kabila.
Il a fallu plus de trois heures de marche à pied, sur 15 km, pour que le candidat à sa propre succession - avec à ses côtés son épouse Marie-Olive Lembe Kabila ainsi que tous les notables du Katanga acquis à sa cause - franchisse, la nuit tombante, le lieu du meeting où il s’est adressé à des dizaines de milliers de femmes et d’hommes prêts à voter pour lui...
Comme à Kindu et Kasongo en province du Maniema, comme à Bukavu, Mwenga, Kamanyola, Kiliba, Uvira et Makobola en province du Sud-Kivu, le candidat n°3 a convaincu son électorat par la même formule : le bilan des promesses de 2006 et l’annonce des promesses de 2011.
Il faut bien l’admettre : le Katanga, sous la houlette de son entreprenant gouverneur, a réalisé de performances remarquables dans le cadre des 5 Chantiers. Surtout en ce qui concerne les Infrastructures de base. Des routes, des ponts, des chemins de fer, des ports, des aéroports, des écoles, des centres médicaux, des stations de traitement d’eau, des centrales hydroélectriques ont soit été réhabilités, soit construits, mais en tout cas modernisés, avec un effet inducteur certain sur l’emploi.
On ne le dit jamais assez : c’est la convention « RDC-Groupement des entreprises chinoises », fondée sur la formule « Infrastructures de base en contrepartie de l’exploitation minière », qui finance en grande partie les 5 Chantiers, aux côtés de l’apport non moins considérable des partenaires traditionnels.
Or, la contrepartie minière est assurée entièrement par le Katanga, via Gécamines. Et Gécamines – faut-il d’emblée le rappeler – n’a pas de patrimoine minier dans d’autres provinces congolaises. Gécamines a son patrimoine au Katanga, et au Katanga seulement.
On image déjà ce que la RDCongo peut devenir en si peu de temps au cas où chacune de ses provinces met dans l’escarcelle nationale son pétrole, son bois, son diamant, sa cassitérite, son gaz, son coltan, son or ou son eau !
Il faut donc saluer la contribution katangaise à l’effort national de développement.
« 100 % sûr, nous allons gagner les élections »
Au regard de l’accueil alors réservé à la fois au Président de la République et candidat Joseph Kabila – l’initiateur des 5 Chantiers - les Katangais entendent renouveler leur confiance aussi bien en la personne du chef de l’Etat qu’en la Nation congolaise.
Avant de s’entendre décliner les promesses de 2011, ils ont reçu du candidat n°3 deux recommandations que ses concurrents n’arrivent pas à adresser à leurs électorats :
- primo, préserver la paix chèrement acquise,
- secundo, entretenir la cohabitation pacifique entre communautés locales.
Il en a ajouté une troisième : aller aux élections le 28 novembre 2011 pour consacrer sa victoire afin de permettre la poursuite de la modernisation du pays.
Comme partout où il est jusque-là passé, Joseph Kabila est resté modeste en matière de promesses électorales. Aux Lushois, il a garanti la continuation des travaux de modernisation de l’hôpital général de Sendwe et de la Sncc. Celle-ci, faut-il le souligner d’emblée, est effectivement la colonne vertébrale des provinces du Katanga, du Kasaï Occidental, du Kasaï Oriental, du Maniema et du Sud-Kivu. Elle bénéficie déjà d’un important financement mixte « RDC-Banque mondiale-Banque africaine de développement » pour son activité multimodale comprenant l’exploitation ferroviaire et le trafic fluvial et lacustre.
Le candidat n° 3 a été longuement ovationné à l’annonce de la construction d’un stade moderne à Lubumbashi ; la province ayant donné au pays des équipes et des joueurs aujourd’hui de réputation mondiale. Les Lushois, en particulier, et les Katangais, en général, le méritent bien.
Que dire, en définitive, de l’arrivée de Joseph Kabila à Lubumbashi, première étape de sa campagne en terre katangaise ?
Le plébiscite n’a plus de doute ; la concurrence n’a qu’à revoir ses calculs.
« 100 % sûr, nous allons gagner les élections », leur a lancé Joseph Kabila, comme pour reprendre le mot d’ordre « Na Raïs, 100 % sûr ».
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.digitalcongo.net/article/79537
Encore une bourde signée Udps : l’Union européenne nie toute paternité sur les sondages publiés par l’Opposition
Kinshasa, 10/11/2011 / Politique
M. Zink, qui a rappelé que l’UE tient à des élections libres, transparentes et apaisées en RDC, a indiqué que l’Union européenne n’a jamais initié un quelconque sondage dans ce sens.
M. Richard Zink, ambassadeur de l’Union européenne(UE) en République Démocratique du Congo dément catégoriquement l’information publiée par un journal kinois ; information ayant trait aux sondages que l’UE aurait rendus publics et qui confirmaient Etienne Tshisekedi comme ultra favori avec 53% contre 41% pour Joseph Kabila.
En effet, à une question d’un reporter de Digitalcongo sur l’existence de ce sondage, le diplomate européen a nié catégoriquement toute paternité de ces sondages soulignant que l’Union européenne tient à des élections libres, crédibles et apaisées en République Démocratique du Congo.
Après l’affaire des avions qui a défrayé la chronique électorale de la RDC - fait démenti sans honte par Etienne Tshisekedi en personne sur les antennes de RFI - aujourd’hui, c’est avec des faux sondages que l’UDPS cherche à manipuler la population pour préparer la contestation.
Les notes de ces faux sondages soutiennent qu’ « au final, Etienne Tshisekedi serait largement en tête dans 7 provinces sur 11, avec un résultat global de 51 à 53 % contre 41 à 43 % pour Kabila. Le Bandundu serait tombé dans le camp du candidat du peuple et du changement en octobre, ce qui explique les pressions exercées à coup d’argent sur le patriarche Gizenga et les chefs coutumiers, pour qu’ils appellent plus explicitement à voter pour Kabila le 28 novembre ».
A l’Union européenne, on ignore l’existence des tels sondages mensongers dont l’objectif est de désorienter les masses populaires et inciter les congolais à la violence.
« Selon ce sondage, souligne l’UDPS, Etienne Tshisekedi a une avance de l’ordre de 17 points sur Kabila en termes d’intention de vote.
Et l’ambassadeur Richard Zink de l’Union européenne de répliquer sur cette assertion reprise dans la question du journaliste de Digitalcongo.net ‘we are not funding any 'sondage', entende »,’ nous n’avons jamais initié de sondage dans ce sens ».
Voilà jusqu’où va l’UDPS en cherchant désespérément à mentir au nom d’une institution continentale respectable comme l’Union européenne.
Encore une bourde signée Udps : l’Union européenne nie toute paternité sur les sondages publiés par l’Opposition
Kinshasa, 10/11/2011 / Politique
M. Zink, qui a rappelé que l’UE tient à des élections libres, transparentes et apaisées en RDC, a indiqué que l’Union européenne n’a jamais initié un quelconque sondage dans ce sens.
M. Richard Zink, ambassadeur de l’Union européenne(UE) en République Démocratique du Congo dément catégoriquement l’information publiée par un journal kinois ; information ayant trait aux sondages que l’UE aurait rendus publics et qui confirmaient Etienne Tshisekedi comme ultra favori avec 53% contre 41% pour Joseph Kabila.
En effet, à une question d’un reporter de Digitalcongo sur l’existence de ce sondage, le diplomate européen a nié catégoriquement toute paternité de ces sondages soulignant que l’Union européenne tient à des élections libres, crédibles et apaisées en République Démocratique du Congo.
Après l’affaire des avions qui a défrayé la chronique électorale de la RDC - fait démenti sans honte par Etienne Tshisekedi en personne sur les antennes de RFI - aujourd’hui, c’est avec des faux sondages que l’UDPS cherche à manipuler la population pour préparer la contestation.
Les notes de ces faux sondages soutiennent qu’ « au final, Etienne Tshisekedi serait largement en tête dans 7 provinces sur 11, avec un résultat global de 51 à 53 % contre 41 à 43 % pour Kabila. Le Bandundu serait tombé dans le camp du candidat du peuple et du changement en octobre, ce qui explique les pressions exercées à coup d’argent sur le patriarche Gizenga et les chefs coutumiers, pour qu’ils appellent plus explicitement à voter pour Kabila le 28 novembre ».
A l’Union européenne, on ignore l’existence des tels sondages mensongers dont l’objectif est de désorienter les masses populaires et inciter les congolais à la violence.
« Selon ce sondage, souligne l’UDPS, Etienne Tshisekedi a une avance de l’ordre de 17 points sur Kabila en termes d’intention de vote.
Et l’ambassadeur Richard Zink de l’Union européenne de répliquer sur cette assertion reprise dans la question du journaliste de Digitalcongo.net ‘we are not funding any 'sondage', entende »,’ nous n’avons jamais initié de sondage dans ce sens ».
Voilà jusqu’où va l’UDPS en cherchant désespérément à mentir au nom d’une institution continentale respectable comme l’Union européenne.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.digitalcongo.net/article/79575
Gestion calamiteuse de l’avion ou des avions affrétés : Tshisekedi confirme son incompétence !
Kinshasa, 11/11/2011 / Politique
L’Udps, ou plutôt son président n’a jamais été prêt pour les élections ! Les faits autour de l’avion ou des avions affrétés prouvent, au contraire, que l’Udps ou Tshisekedi a un autre schéma : la fuite en avant sous prétexte de tricherie.
Arrivé le jeudi 10 novembre à Kisangani en pleine nuit (!) – pour être précis à 21h00 (heure de Kinshasa) - le lider maximo tient son premier meeting de campagne ce vendredi 11 novembre 2011 Place de la Poste.
Selon Rfi, dans son journal de 4h 30 (heure de Kinshasa), le président de l’Udps justifie ses propos du dimanche 6 novembre dernier par ce qu’il pense être une réponse du berger à la bergère : « terroriser ceux qui terrorisent le peuple », dit-il...
Partant, il cloue le bec à ceux de son camp qui, depuis, tentent désespérément de soutenir le contraire. Cas des animateurs de la DTP qui, le même jeudi, ont estimé que les propos du candidat n°11 ont été mal interprétés !
Pourtant, le président de l’Udps – comme relevé dans la dernière analyse intitulée « Tshisekedi a peur de voir son incompétence étalée au grand jour » - est dans son registre favori.
Celui, pour rappel, consistant depuis le 24 avril 1990 « à créer des incidents dès que ses chances de prendre le pouvoir sont réunies, à en créer lorsqu’il est en fonction (comme pour se faire virer), et à en créer encore une fois défenestré (pour qu’il poursuive son combat en tant qu’Opposant) ».
Par rapport à « la réponse à la bergère », les observateurs de la scène politique congolaise de ces vingt dernières années savent qu’il n’y a rien de nouveau sous les cieux. En septembre 1991, en réaction au premier pillage qui déboucha sur sa désignation au poste de Premier ministre (via les Accords du Palais de Marbre I), son parti avait soutenu ce crime économique et social en déclarant : « Mobutu avait pillé le peuple ; maintenant c'est le tour du peuple de piller Mobutu ».
Vingt et un ans après, c’est le peuple qui continue de souffrir de ce pillage et également de celui de 1993, puisque le climat des affaires avait été sérieusement perturbé, accentuant par effet d’entraînement le chômage que l’Opposition tshisekediste veut imputer à Joseph Kabila !
Nouvel épisode
Pour revenir à l’affaire de l’avion, l’analyse dont question donne comme dernière preuve en date de l’incompétence du lider maximo « cette fameuse affaire d’avion affrété non pas avant, mais pendant la campagne électorale ».
Nous avons ajouté, parlant justement d’Etienne Tshisekedi : « Pourtant, il s’est annoncé candidat à la présidentielle en septembre 2010. Et son parti l’a investi au cours de son congrès organisé voici plus de huit mois. Ce qui veut dire qu’il a eu tout le temps matériel de s’organiser ».
En déduction, nous avons relevé qu’à partir du moment où « Jacquemin Shabani signale que le matériel de campagne se trouve dans cet aéronef, cela veut dire que le dispatching pourrait se terminer à dix jours de la clôture de la campagne électorale.
C’est déjà révélateur que jusqu’à présent, les combattants ne voient rien de convaincant comme panneau, comme calicot, comme affichette, et surtout comme programme de gouvernement imprimé ».
Maintenant qu’il est de notoriété publique que le lider maximo a atterri à Kisangani avec un jet de 7 places, on est en droit de se demander comment un si tout petit appareil peut transporter le matériel de campagne destiné à toutes les 11 provinces du pays !
Bien plus, pendant que l’attention de l’opinion était focalisée sur l’arrivée de cet aéronef à l’aéroport de Bangkoka, un nouvel épisode s’est produit le même jour au siège de l’Autorité de l’aviation civile à Kinshasa où, selon « Le Potentiel » dans son édition de ce vendredi 11 novembre 2011, Jacquemin Shabani « est revenu, hier jeudi 10 novembre dans la matinée, auprès de l’administration de l’Autorité de l’aviation civile, AAC, pour solliciter l’annulation de la première autorisation ».
Le journal poursuit : « Pour le mode d’opération, la demande de l’UDPS indique que l’aéronef fera une opération unique charter, avec comme point focal en RDC Me Jacquemain Shabani pour type d’avion à réaction, de 11 places et 3 membres d’équipage et immatriculé en Afrique du Sud. Et le motif invoqué pour introduire cette demande : permettre à Etienne Tshisekedi de battre campagne pour la présidentielle 2011.
Mais ces éléments ne suffisaient pour que l’aéronef soit autorisé de survoler le territoire congolais. Au dossier devaient être versés un certificat de navigabilité, la licence radio et l’assurance de l’avion. A défaut de ces éléments au dossier, l’aéronef d’Etienne Tshisekedi ne serait pas autorisé de décoller de l’aéroport de Bangboka ( Kisanagni ).
Eléments qui figuraient si heureusement au dossier UDPS. Et en vertu donc de la Convention de Chicago, l’AAC a émis la deuxième autorisation pour l’aéronef de type Grumman de la compagnie Allegencia Air South Africa.
« Au moment où le directeur général de l’AAC s’entretenait avec la presse, Me Jacquemain Shabani et son compagnon ont surgi dans la salle de conférence, pour que leur soit remise, séance tenante, l’autorisation (la deuxième) afin que le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social décolle de l’Afrique du Sud.
Dans le dialogue des sourds qui s’est installé entre les deux parties, le secrétaire général de l’UDPS a laissé entendre que le candidat Tshisekedi se trouvait déjà à l’aéroport de Johannesburg, n’attendant que cette autorisation pour joindre la ville de Kisangani en Province Orientale, où ses partisans l’attendent depuis quelques jours déjà ».
Un autre schéma
On comprend maintenant pourquoi Etienne Tshisekedi a débarqué de nuit à Kisangani ; le désordre provenant de son propre camp. Comme on peut bien s’en rendre compte, l’Udps – qui a consacré des mois et des mois à faire pression sur la Céni pour exiger la transparence du processus électoral – n’a pas été transparente elle-même dans les préparatifs de sa campagne.
On pourrait-même supposer qu’elle a entretenu l’agitation à l’extérieur pour cacher ses propres faiblesses à l’intérieur, aujourd’hui étalées au grand jour !
Comment peut-on confier la gestion de tout un Etat à un parti incapable de gérer une campagne électorale ?
Nous n’aurions finalement pas eu tort d’affirmer que ce parti, ou plutôt son président n’a jamais été prêt pour les élections ! Les faits autour de l’avion ou des avions affrétés prouvent, au contraire, que l’Udps ou Tshisekedi a un autre schéma : la fuite en avant sous prétexte de tricherie.
C’est, probablement, là la raison du refus de tous les autres candidats majeurs de l'Opposition de se désister en faveur du lider maximo, en plein « suicide » politique. Certains ont failli mourir avec lui sous la transition mobutienne (1990-1997). En chats échaudés, ils craignent à jamais l'eau froide...
Gestion calamiteuse de l’avion ou des avions affrétés : Tshisekedi confirme son incompétence !
Kinshasa, 11/11/2011 / Politique
L’Udps, ou plutôt son président n’a jamais été prêt pour les élections ! Les faits autour de l’avion ou des avions affrétés prouvent, au contraire, que l’Udps ou Tshisekedi a un autre schéma : la fuite en avant sous prétexte de tricherie.
Arrivé le jeudi 10 novembre à Kisangani en pleine nuit (!) – pour être précis à 21h00 (heure de Kinshasa) - le lider maximo tient son premier meeting de campagne ce vendredi 11 novembre 2011 Place de la Poste.
Selon Rfi, dans son journal de 4h 30 (heure de Kinshasa), le président de l’Udps justifie ses propos du dimanche 6 novembre dernier par ce qu’il pense être une réponse du berger à la bergère : « terroriser ceux qui terrorisent le peuple », dit-il...
Partant, il cloue le bec à ceux de son camp qui, depuis, tentent désespérément de soutenir le contraire. Cas des animateurs de la DTP qui, le même jeudi, ont estimé que les propos du candidat n°11 ont été mal interprétés !
Pourtant, le président de l’Udps – comme relevé dans la dernière analyse intitulée « Tshisekedi a peur de voir son incompétence étalée au grand jour » - est dans son registre favori.
Celui, pour rappel, consistant depuis le 24 avril 1990 « à créer des incidents dès que ses chances de prendre le pouvoir sont réunies, à en créer lorsqu’il est en fonction (comme pour se faire virer), et à en créer encore une fois défenestré (pour qu’il poursuive son combat en tant qu’Opposant) ».
Par rapport à « la réponse à la bergère », les observateurs de la scène politique congolaise de ces vingt dernières années savent qu’il n’y a rien de nouveau sous les cieux. En septembre 1991, en réaction au premier pillage qui déboucha sur sa désignation au poste de Premier ministre (via les Accords du Palais de Marbre I), son parti avait soutenu ce crime économique et social en déclarant : « Mobutu avait pillé le peuple ; maintenant c'est le tour du peuple de piller Mobutu ».
Vingt et un ans après, c’est le peuple qui continue de souffrir de ce pillage et également de celui de 1993, puisque le climat des affaires avait été sérieusement perturbé, accentuant par effet d’entraînement le chômage que l’Opposition tshisekediste veut imputer à Joseph Kabila !
Nouvel épisode
Pour revenir à l’affaire de l’avion, l’analyse dont question donne comme dernière preuve en date de l’incompétence du lider maximo « cette fameuse affaire d’avion affrété non pas avant, mais pendant la campagne électorale ».
Nous avons ajouté, parlant justement d’Etienne Tshisekedi : « Pourtant, il s’est annoncé candidat à la présidentielle en septembre 2010. Et son parti l’a investi au cours de son congrès organisé voici plus de huit mois. Ce qui veut dire qu’il a eu tout le temps matériel de s’organiser ».
En déduction, nous avons relevé qu’à partir du moment où « Jacquemin Shabani signale que le matériel de campagne se trouve dans cet aéronef, cela veut dire que le dispatching pourrait se terminer à dix jours de la clôture de la campagne électorale.
C’est déjà révélateur que jusqu’à présent, les combattants ne voient rien de convaincant comme panneau, comme calicot, comme affichette, et surtout comme programme de gouvernement imprimé ».
Maintenant qu’il est de notoriété publique que le lider maximo a atterri à Kisangani avec un jet de 7 places, on est en droit de se demander comment un si tout petit appareil peut transporter le matériel de campagne destiné à toutes les 11 provinces du pays !
Bien plus, pendant que l’attention de l’opinion était focalisée sur l’arrivée de cet aéronef à l’aéroport de Bangkoka, un nouvel épisode s’est produit le même jour au siège de l’Autorité de l’aviation civile à Kinshasa où, selon « Le Potentiel » dans son édition de ce vendredi 11 novembre 2011, Jacquemin Shabani « est revenu, hier jeudi 10 novembre dans la matinée, auprès de l’administration de l’Autorité de l’aviation civile, AAC, pour solliciter l’annulation de la première autorisation ».
Le journal poursuit : « Pour le mode d’opération, la demande de l’UDPS indique que l’aéronef fera une opération unique charter, avec comme point focal en RDC Me Jacquemain Shabani pour type d’avion à réaction, de 11 places et 3 membres d’équipage et immatriculé en Afrique du Sud. Et le motif invoqué pour introduire cette demande : permettre à Etienne Tshisekedi de battre campagne pour la présidentielle 2011.
Mais ces éléments ne suffisaient pour que l’aéronef soit autorisé de survoler le territoire congolais. Au dossier devaient être versés un certificat de navigabilité, la licence radio et l’assurance de l’avion. A défaut de ces éléments au dossier, l’aéronef d’Etienne Tshisekedi ne serait pas autorisé de décoller de l’aéroport de Bangboka ( Kisanagni ).
Eléments qui figuraient si heureusement au dossier UDPS. Et en vertu donc de la Convention de Chicago, l’AAC a émis la deuxième autorisation pour l’aéronef de type Grumman de la compagnie Allegencia Air South Africa.
« Au moment où le directeur général de l’AAC s’entretenait avec la presse, Me Jacquemain Shabani et son compagnon ont surgi dans la salle de conférence, pour que leur soit remise, séance tenante, l’autorisation (la deuxième) afin que le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social décolle de l’Afrique du Sud.
Dans le dialogue des sourds qui s’est installé entre les deux parties, le secrétaire général de l’UDPS a laissé entendre que le candidat Tshisekedi se trouvait déjà à l’aéroport de Johannesburg, n’attendant que cette autorisation pour joindre la ville de Kisangani en Province Orientale, où ses partisans l’attendent depuis quelques jours déjà ».
Un autre schéma
On comprend maintenant pourquoi Etienne Tshisekedi a débarqué de nuit à Kisangani ; le désordre provenant de son propre camp. Comme on peut bien s’en rendre compte, l’Udps – qui a consacré des mois et des mois à faire pression sur la Céni pour exiger la transparence du processus électoral – n’a pas été transparente elle-même dans les préparatifs de sa campagne.
On pourrait-même supposer qu’elle a entretenu l’agitation à l’extérieur pour cacher ses propres faiblesses à l’intérieur, aujourd’hui étalées au grand jour !
Comment peut-on confier la gestion de tout un Etat à un parti incapable de gérer une campagne électorale ?
Nous n’aurions finalement pas eu tort d’affirmer que ce parti, ou plutôt son président n’a jamais été prêt pour les élections ! Les faits autour de l’avion ou des avions affrétés prouvent, au contraire, que l’Udps ou Tshisekedi a un autre schéma : la fuite en avant sous prétexte de tricherie.
C’est, probablement, là la raison du refus de tous les autres candidats majeurs de l'Opposition de se désister en faveur du lider maximo, en plein « suicide » politique. Certains ont failli mourir avec lui sous la transition mobutienne (1990-1997). En chats échaudés, ils craignent à jamais l'eau froide...
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tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.digitalcongo.net/article/79512
Comparer Etienne Tshisekedi à Nelson Mandela, c’est comparer le jour et la nuit
Kinshasa, 08/11/2011 / Politique
Le président national de l’Udps a jeté le pavé dans la marre en débitant des propos désobligeant qui laissent perplexes même les plus radicaux des tshisekedistes.
C’est pratiquement, le jour et la nuit s’il faut tenter de rapprocher le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), Etienne Tshisekedi Wa Mulumba à Nelson Mandela. Les deux personnes sont tellement opposées en tout et pour tout qu’une goutte de comparaison ne peut pas se glisser, mieux, infiltrer dans tête des analystes.
Le présidant national de l’Udps a jeté le pave dans la marre en débitant des propos désobligeants qui laissent perplexes même les plus radicaux des tshisekedistes. Etienne Tshisekedi, en direct au téléphone à la Radio Télévision Lisanga (Rltv), s’est proclamé président de la République suivant la logique selon laquelle c’est lui qui a la majorité aujourd’hui.
Pour, justifier sa majorité, il a déclaré que Joseph Kabila n’a plus de majorité, parce que certains de ses collaborateurs les plus en vue l’ont quitté. Ils sont avec lui le jour, la nuit ils sont à l’Udps. Il a cité nommément le ministre de l’Information, Lambert Mende Omalanga, et le président de l’Assemblée nationale et secrétaire général du Pprd, Evariste Boshab. Le leader de l’Udps - on se croirait dans une pièce de théâtre a demandé aux militants de son parti politique (qu’il appelle le peuple); de traquer les policiers, les suivre dans leurs domiciles respectifs et les corriger devant leurs femmes et leurs enfants. L’Udps nous ramène à la triste époque du MPR Parti-Etat. Puisque dans la compréhension de Etienne Tshisekedi, l’Udps est la nation congolaise organisée politiquement, tous ceux qui dérangent, critiquent l’Udps doivent être corrigés.
On nous dit que Tshisekedi serait le père de la démocratie en Rdc. Il y a de quoi mettre tout cela en doute lorsqu’on entend Tshisekedi dire qu’il a désormais la majorité et qu’on n’a pas besoin d’attendre les élections pour jouir de cette majorité. Par quel moyen a t-il obtenu cette majorité? Il y a de quoi inquiéter les vrais démocrates. Et le leader de l’Udps a dit pire que se donner la majorité. Il a demandé à ses militants de se comporter comme une majorité et de corriger la minorité, non pas en la protégeant, mais en la traquant jusqu’à leurs derniers retranchements.
Comparer Etienne Tshisekedi à Nelson Mandela, c’est comparer le jour et la nuit
Kinshasa, 08/11/2011 / Politique
Le président national de l’Udps a jeté le pavé dans la marre en débitant des propos désobligeant qui laissent perplexes même les plus radicaux des tshisekedistes.
C’est pratiquement, le jour et la nuit s’il faut tenter de rapprocher le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), Etienne Tshisekedi Wa Mulumba à Nelson Mandela. Les deux personnes sont tellement opposées en tout et pour tout qu’une goutte de comparaison ne peut pas se glisser, mieux, infiltrer dans tête des analystes.
Le présidant national de l’Udps a jeté le pave dans la marre en débitant des propos désobligeants qui laissent perplexes même les plus radicaux des tshisekedistes. Etienne Tshisekedi, en direct au téléphone à la Radio Télévision Lisanga (Rltv), s’est proclamé président de la République suivant la logique selon laquelle c’est lui qui a la majorité aujourd’hui.
Pour, justifier sa majorité, il a déclaré que Joseph Kabila n’a plus de majorité, parce que certains de ses collaborateurs les plus en vue l’ont quitté. Ils sont avec lui le jour, la nuit ils sont à l’Udps. Il a cité nommément le ministre de l’Information, Lambert Mende Omalanga, et le président de l’Assemblée nationale et secrétaire général du Pprd, Evariste Boshab. Le leader de l’Udps - on se croirait dans une pièce de théâtre a demandé aux militants de son parti politique (qu’il appelle le peuple); de traquer les policiers, les suivre dans leurs domiciles respectifs et les corriger devant leurs femmes et leurs enfants. L’Udps nous ramène à la triste époque du MPR Parti-Etat. Puisque dans la compréhension de Etienne Tshisekedi, l’Udps est la nation congolaise organisée politiquement, tous ceux qui dérangent, critiquent l’Udps doivent être corrigés.
On nous dit que Tshisekedi serait le père de la démocratie en Rdc. Il y a de quoi mettre tout cela en doute lorsqu’on entend Tshisekedi dire qu’il a désormais la majorité et qu’on n’a pas besoin d’attendre les élections pour jouir de cette majorité. Par quel moyen a t-il obtenu cette majorité? Il y a de quoi inquiéter les vrais démocrates. Et le leader de l’Udps a dit pire que se donner la majorité. Il a demandé à ses militants de se comporter comme une majorité et de corriger la minorité, non pas en la protégeant, mais en la traquant jusqu’à leurs derniers retranchements.
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