le 12-02-12 STANDARD -ANDERLECHT à 14H30

[kompany]

ANDERLECHT: MBOKANI,patou kabangu et bedi mbenza

STandard:batshuayi,mujangi,tchité

[kompany]

Marlène Mbokani sera présente à Sclessin : “Dieu n’a rien à se reprocher”

ANDERLECHT Ce 12 février est un dimanche très bizarre pour la famille Mbokani. C’est - si son dos le lui permet - celui du retour de Dieumerci au Standard, où il a été le… Dieu pendant trois saisons.

“Mais maintenant, nous sommes Anderlechtois” , sourit Marlène, son épouse.

Marlène nous a reçus chez Lili, sa sœur, qui est la maman de Nathan Kabasele. À l’occasion des deux buts de Mbokani contre Genk, elle a ouvert une bouteille de champagne.

Vous pouvez ouvrir une bouteille toutes les semaines, s’il continue ainsi.

“Oui. Il totalise six buts, maintenant. Mais s’il n’avait pas été blessé, il en aurait déjà une vingtaine. Je crois qu’en fin de championnat, il en aura entre 12 et 15.”

Va-t-il marquer contre le Standard ?

“J’en suis convaincue. Il sera encore plus fort que contre Genk. Ses meilleurs matches, ce sont les matches au sommet. Pourquoi ? Parce que mon mari a le niveau pour jouer dans un grand championnat.”

Ne craignez-vous pas qu’il se fasse insulter ?

“Un peu. Mais lui, il n’a pas peur du tout. Et il ne réagira certainement pas s’il y a des provocations. Il est habitué. Il ne sera pas déstabilisé par d’éventuels sifflets. Il n’a rien fait de mal au Standard.”

Il a déposé des fleurs à la Place Saint-Lambert et il n’a jamais rien dit de mal sur le Standard.

“En effet. Il a gardé un bon contact avec des ex-coéquipiers comme Nicaise, Goreux, Mulemo, Sarr. Momo l’a encore appelé dimanche passé après Anderlecht – Genk. On va régulièrement à Liège. On y compte encore des amis. Mais vous savez : des supporters sont ingrats.”

A-t-il déjà été sifflé dans sa carrière ?

“Oui. Par ses propres supporters lors d’un Monaco – Bordeaux. Il avait raté une occasion… Et à Anderlecht, évidemment, quand il avait marqué pour le Standard.”

Parce qu’il avait fait sa petite danse devant le kop d’Anderlecht.

“Oui, mais vous avez vu dimanche qu’il fait toujours une petite danse congolaise. À l’entraînement ou à l’hôtel, il apprend à Gillet, Jovanovic ou Kouyaté comment ils doivent faire. S’il marque à Sclessin, je ne vois pas pourquoi il ne pourrait pas faire de danse. Ce n’est pas pour provoquer le public.”

Ne craignez-vous pas que les défenseurs du Standard ne le surveillent d’encore plus près, vu sa forme extraordinaire ?

“Oui, ils vont le museler. Mais c’est ce qu’ils ont fait au match aller. Cela n’a pas empêché mon mari de marquer deux fois, dont un but a été annulé injustement, puisqu’il avait dépassé la ligne de but.”

Allez-vous au match ?

“Oui, pourquoi pas ? Dieu n’a rien à se reprocher.”

Saviez-vous qu’il était encore capable de jouer comme contre Genk ?

“Bien sûr ! Il l’avait déjà fait contre le Panathinaikos et contre Liverpool, des adversaires d’une autre envergure que Genk. Il y avait beaucoup de gens qui doutaient de lui. Mais monsieur Herman Van Holsbeeck, lui, il savait ce que Dieu pouvait encore signifier pour Anderlecht.”

J’entends déjà des supporters qui disent : “Anderlecht ne pourra jamais garder Dieumerci Mbokani.”

“(Petit rire gêné) L’essentiel, c’est qu’il continue à jouer comme maintenant. Et qu’il offre le titre à Anderlecht. Je vous le répète : pour le moment, on est vraiment des Anderlechtois.”

Mais les grands clubs ne sont pas aveugles. Il a atteint un niveau de top européen contre Bruges et Genk.

“Je pense que s’il continue à jouer ainsi, il va partir. Il rêve de la Premier League anglaise.”

La Ligue des Champions ne pourra-t-elle pas le convaincre de rester à Anderlecht ?

“Cela dépendra de lui, d’Anderlecht et des clubs intéressés. Mais il est ambitieux. Il veut réussir à un échelon supérieur. Il est revenu en Belgique pour relancer sa carrière. Il avait d’autres options – Bölöni le voulait absolument au PAOK – mais il a opté pour le championnat belge parce qu’il le connaissait.”

A-t-il déjà des offres ?

“Pas que je sache. Si cela bouge, ce sera en mai ou juin.”

Vous devez être fière d’avoir un mari qui joue si bien au foot.

“Ah, ça… Ce n’est pas parce que je suis son épouse, mais je le trouve extrêmement bon. Il a la technique, la puissance, le sens du but, la vitesse…”

Vous êtes une connaisseuse du football ?

“Je ne viens pas d’une famille de footballeurs. C’est Dieu qui m’apprend tout. (Rires)”


Interview > Yves Taildeman

© La Dernière Heure 2012

[kompany]

ba vérités ekomi ko bima ya roger lukaku ako sepela te

Pour Roland Juhasz, le Congolais détient l’une des clefs du sommet de ce dimanche contre le Standard

ANDERLECHT Ses classiques, Roland Juhasz les connaît sur le bout des doigts. Olivier Deschacht sans doute confiné à un banc de touche qu’il ne cesse de réchauffer depuis le déplacement des Mauves à Courtrai, le défenseur hongrois abordera le Clasico de dimanche dans le costume du Bruxellois le plus capé.

“Mais sincèrement la semaine n’a pas été spécialement secouée. C’est uniquement sur vos papiers que le mercure commence à grimper. De notre côté, on a simplement enfilé nos tenues de bagnards pour s’entraîner dans le froid. Depuis 7 ans en Belgique, je n’avais jamais connu ça”.

Un match comme les autres. La sentence est un peu lourde pour être aussi facilement avalée. Il est vrai qu’à la décharge du Hongrois, les feux du Clasico n’auront aucune raison de s’attarder sur lui. Tout au contraire d’un Dieumerci Mbokani sur lequel Juhasz n’hésite jamais à déverser une palanquée de compliments. “Dieu survole la mêlée. Pour me le farcir régulièrement à l’entraînement, je peux vous dire qu’il est impossible à museler. Mbokani est bien plus fort que Lukaku. Là-dessus, je n’ai franchement pas peur de me mouiller”.

Un Lukaku dont l’ombre ne devrait pas peser dimanche, l’enfant prodige répondant plus souvent qu’à son tour aux abonnés absents. “Je n’ai pas de nouvelles de lui. Il avait simplement fait un saut en décembre mais pour le reste, je me contente de ramasser les informations qu’il laisse sur Facebook. De toute façon, sa situation ne peut pas durer. Il devra partir ou être loué”.

Et puisqu’il est question de quais de gare, Roland Juhasz ne paraît pas non plus douter du départ de Mbokani en fin d’année. “Avec le niveau qu’il affiche, je ne sais pas comment Anderlecht fera pour le retenir ici.”

Reste encore à savoir si la mentalité du Congolais peut aussi s’accrocher à ses jambes de feu dont plus personne ne peut douter. Avant le sommet de dimanche, d’aucuns se plaisent d’ailleurs à penser que Dieu perdra pied dans le chaudron de Sclessin où le Congolais pourrait ramasser son lot d’insultes et de coups de sifflet.

“C’est clair que Dieu n’a pas la mentalité d’un Wasilewski mais personne ne le lui a demandé. Tant qu’il répond sur le terrain, ses détracteurs garderont le bec cloué”.

Réputé pour être l’un des meilleurs amis de Wasyl à la ville, Roland Juhasz sait aussi mieux qu’un autre peser l’absence du Polonais à l’occasion du sommet.

“Mentalement, c’est l’un des joueurs les plus forts qu’il m’ait été donné de croiser. Il voulait absolument être de la partie pour prouver à tous les Liégeois que son accident n’est plus qu’un vieux cliché du passé. Il a retrouvé ses jambes de vingt ans et il aura encore l’occasion de le montrer.”

Une allusion aux playoffs 1 qu’il n’était, au demeurant, pas nécessaire de voiler…


Thibaut Roland

© La Dernière Heure 2012

[Kansebu]

....

Mbokani na biso eeee

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

On ne triche pas avec l'Art

[busa]

y a t il un lien pour voir le match?

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

http://www.sportlemon.tv/v-2/16/62/v-366345.html

[kompany]

le standard mène méritoirement à la mi-temps 1-0(penalty de tchité).choix eza té.Kabangu il faut akota

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

Penalty ya Lokuta, toujours avec le même arbitre qu'au match aller qui avait refusé un but valable à l'ART ( le ballon avait franchi la ligne ) Tchite azongisi Batshuayi na banc

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

wooooooooo dieuuuuuuuuuuu 1 - 2