Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Actualité exclusivement réservée aux sélections nationales
Répondre
Pinto
Professionnel
Professionnel
Messages : 3717
Enregistré le : 17 oct. 2007, 15:06
Contact :

Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Pinto »

Des élections ont été organisées à la Fédération Gabonaise de Football (FEGAFOOT), le 27 avril dernier. Deux candidats étaient en lice: Jean de Dieu Moukagni Iwangou et Pierre Alain Mounguengui. Le premier l'a remporté par 28 voix contre 22. Mais sa joie a été de courte durée puisqu'au soir même le processus d'annulation a été enclenché par le clan du perdant. Finalement, la décision d'annulation par la FIFA est tombée. Depuis une grave crise sévit malgré la mise sur pied d'un comité de normalisation qui travaillera jusqu'aux prochaines élections en octobre 2013.

Cette crise rocambalesque est causée par plusieurs acteurs du foot local et international. Parmi ceux-ci, il y a un nom qui revient souvent dans la presse non alignée: Omari. Oui, notre Omari. Il est accusé d'avoir causé cela en cautionnant les pressions exercées par la Présidence de la République gabonaise.

Des noms d'oiseaux pas très flatteurs lui sont donnés:

1.Omari est cette « chose de la Fifa » qui a agi contre l’élection de Moukagni.
2.Omari est le représentant de la FIFA « acheté par Ali Bongo », le président du Gabon, pour annuler l’élection du Président de la Fegafoot.
3.Omari est celui dont « le cerveau respire tellement de l’argent ».
4. Omari est le massacreur à la tronçonneuse de Moukagni-Iwangou.

C'est l'accusation grave portée contre lui par un journal gabonais au nom exotique "Ezombolo" ou le "Balai-brosse de nos vices et cultures".

Pour ne pas être accusé d’avoir édulcoré quoi que ce soit, nous recopions in extenso l’article d’Ezombolo. Les noms en gras, le soulignement et les majuscules sont ceux du journal.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
Avatar du membre
Erka
Léopard A
Léopard A
Messages : 7263
Enregistré le : 05 févr. 2008, 18:40
Localisation : Ottawa/Ontario/Canada
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Erka »

Sa vénalité et son caractère de jouisseur finiront par avoir raison de lui. On attend l'article.
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
Pinto
Professionnel
Professionnel
Messages : 3717
Enregistré le : 17 oct. 2007, 15:06
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Pinto »

Les Choses de la FIFA contre son allié la Fegafoot du Gabon.

*Ali Bozizé Ondimba achète le représentant de la FIFA pour annuler l’élection du Président de la Fegafoot parce qu’il n’est pas des siens*


Lecture :

La crise qui secoue le football gabonais en ce moment, à travers l’annulation de l’élection du Président de la Fédération Gabonaise de Football (FEGAFOOT) et de la mise en place d’un bureau provisoire confié à un des constestaires, Dieudonné Ndoumbou Likouni, président de la Ligue de l’Ogoué maritime est symptomatique du désir du clan d’Ali Bozizé Ondimba de contrôler le Gabon et d’en faire sa propriété privée.

Elu le 27 mars dernier et félicité par son adversaire, devant OMARI, représentant de la FIFA, qui a supervisé l’élection de bout en bout et a fait devant témoin, un premier rapport verbal, qu’il confirme le soir par un mail, selon lequel « tout s’est très bien passé »(sic) Jean de Dieu Moukagni Iwangou n’est pas le candidat que la présidence de la République voulait voir gagner. C’est pourquoi sa joie ne sera que de courte durée. D’autant que, dès le soir même de sa victoire, alors qu’il avait invité les perdants à partager un repas, ses invités au contraire tenaient une réunion de longs couteaux, à laquelle assistait Nicole Assélé, secrétaire général adjoint du ministère de la jeunesse et des sports, dont l’objectif était de voir comment faire pour annuler le scrutin. Présents au repas, le président de la Ligue Nationale de Football Joël Birinda (LINAF) et son vice président Brice Mbika reçoivent un appel téléphonique d’un collaborateur du Chef de l’Etat, qui leur intime l’ordre de se joindre à Pierre Alain Mounguengui, de les retrouver en réunion en face de la CNAMGS, derrière le Komo pour réfléchir sur les stratégies à mettre en place destinées à déchoir Moukagni Iwangou de son élection.

Joël Birinda confus et désolé, s’excuse auprès de Moukagni Iwangou, se retire avec son vice président. Sur place on lui confie le rôle de mener la fronde en animant une conférence de presse au cours de laquelle il devrait dénoncer la mauvaise organisation de l’élection et demander son annulation. Refus poli mais ferme de l’intéressé.

Dans tous les cas, au terme de la réunion de longs couteaux, il est arrêté de faire recevoir le délégué de la FIFA par le Chef de l’Etat. Malheureusement, très pris par la présence du Roi Mohammed VI au Gabon, c’est le chef de cabinet, Liban Suleiman qui reçoit Omari le jeudi 28 mars à 14h. A sa sortie, il demande aux vainqueurs de garder le calme, de ne pas répondre aux critiques des perdants. Or, en même temps, il conseille à ses derniers, de faire de plus en plus de bruit autour du vote. L’Union et tous les médias de service public, ainsi que TéléAfrica ont été mobilisés.

Connus pour leur légèreté, Jean Félix Mba Nzé et Dieudonné Ndoumbou Likouni, respectivement président des ligues de football de l’Estuaire et de l’Ogooué Maritime acceptent de monter au créneau. On imagine que c’est gratuit. Toujours que le…, ils animent une conférence de presse au cours de laquelle, ils rabâchent les mêmes choses : utilisation des statuts non adoptés, dépôt hors délai du dossier du gagnant, etc. Ils sont si instrumentalisés qu’ils ont même oublié que c’est sur autorisation de la Fifa, matérialisé par une lettre datée du 28 janvier 2013, que la commission d’organisation l’a fait et que, dans le dossier envoyé à chaque délégué prenant part à l’Assemblée Générale, c’est ce texte qu’ils ont reçu ! Leur attention à ce moment là était saine.

Une fois parti, Omari croit devoir justifier l’argent qu’il a reçu de la Présidence et oublie tout le reste. Notamment le fait que la veille de l’élection, il avait reçu les deux candidats et qu’au cours de ces rencontres, répondant à Pierre Alain Mounguengui qui soulevait les mêmes récriminations : « ce n’est pas à moi de vous dire ce qu’il faut faire. Posez ces problèmes demain au congrès et ce sera à lui de décider. S’il estime qu’on ne peut pas aller aux élections, il se prononcera ; si le congrès pense que malgré tout il quand même tenir le scrutin, il décidera ». On attendait donc Pierre Alain Mounguengui, lorsqu’on lui a donné la parole, qu’il pose ces problèmes. Malheureusement, pendant les cinq minutes qui lui ont été accordées, il s’est lancé dans l’invective et le dénigrement du bureau sortant. L’élection pouvait donc se tenir. D’où vient donc qu’Omari se soit cru obligé de massacrer Moukagni Iwangou à la tronçonneuse ? Son cerveau respire tellement de l’argent qu’il oublie même qu’il a personnellement supervisé l’élection ; par conséquent, s’il a laissé les choses aller à leur terme, c’est parce qu’il estimait que c’était légal. Pis encore, il a même manigancé que la Fifa ne puisse même pas entendre l’accusé, violant ainsi un principe universel en droit qui indique que nul ne peut être jugé sans avoir été entendu ou appelé pour se défendre. De surcroît, le plaignant, qui prétend connaître le football mieux que tout le monde au Gabon, s’est fourvoyé en adressant son recours à la commission de recours de la Fifa. Or, cette dernière ne comprend que trois organes juridictionnels : la commission de discipline, la commission d’appel et la commission d’éthique. Dès lors, le recours de Pierre Alain Mounguengui devait, sinon être rebouté, du moins renvoyé à se pourvoir devant la juridiction compétente. Par extraordinaire, sans même avoir constaté l’incompétence de la commission d’appel, un obscur comité d’urgence s’est autosaisi du dossier et a immédiatement invalidé l’élection de Moukagni Iwangou.

Ultime mépris fait au football gabonais et qui montre bien le caractère sulfureux du dossier : c’est par un communiqué, adressé prioritairement aux organes de presse qui prennent des ordres à la Présidence de la République, que Moukagni Iwangou apprend la nouvelle.

Preuves qu’Omari sujet zaïrois, délégué de la FIFA, est en bisbilles avec la Présidence de la République et que celle-ci est totalement impliquée dans l’annulation de l’élection de Moukagni Iwangou. Revenu en compagnie de Me Prosper ABEGA, avocat au barreau de Paris et expert Fifa pour des consultations devant aboutir à la mise en place du comité de normalisation, OMARI s’est retrouvé à l’aéroport Léon Mba de Libreville avec deux voitures : la voiture de la Fédération Gabonaise de Football et celle dépêchée par la Présidence. Plus grave, à l’hôtel Méridien où ils ont été logés, Omari a quitté la chambre réservée par la Fédération Gabonaise de Football (FEGAFOOT) pour aller occuper une suite présidentielle. Alors que Me ABEGA avait réglé les dépenses avec sa carte VISA, les dépenses d’Omari ont été prises en charge par la Présidence de la République.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
Pinto
Professionnel
Professionnel
Messages : 3717
Enregistré le : 17 oct. 2007, 15:06
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Pinto »

On se sert de Pierre Alain Mounguengui

Pierre Alain Mounguengui mène un combat qui ne profite ni au football gabonais ni à lui-même. On se sert de lui comme une marionnette. Qu’il se rende compte de ceque, dès qu’il a été nommé à la tête du comité de normalisation, le premier geste de Dieudonné Ndoumbou Likouni, a été d’aller à l’Union Gabonaise de Banque (UGB) demander le changement de signature sur les différents comptes qu’il ne connaissait même pas. Quand la Banque lui a réclamé les documents nécessaires, il a battu en retrait et est venu voir le comptable pour lui communiquer les numéros et lui remettre les différents chéquiers. Sans attendre la passation de service. Et sa principale tâche alors, à savoir : révision des statuts. S’agissant de ce volet, on sait que pour être candidat, parmi les critères, il y a l’âge, fixé à 40 ans. Il parait qu’on va ramener cet âge à 35 ans. Ce qui, si on décide de rouvrir les candidatures, permettra à Cédric Mpouho, recalé pour n’avoir pas atteint 40 ans à la date du 27 mars 2013, de pouvoir se présenter. A ce moment, Pierre Alain Mounguengui peut être sûr que ses alliés d’aujourd’hui le laisseront tomber pour soutenir Cédric Mpouho. Certes, on lui demandera de faire liste commune avec lui, mais Mounguengui ne sera plus candidat à la Présidence de la FEGAFOOT, jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas l’ambition de celui qui déclare « plus grand connaisseur du football au Gabon ».

Que reproche-t-on à Moukagni ?


Cela n’a l’air de rien, mais l’une des premieres choses que la Présidence de la République reproche à Moukagni Iwangou, c’est sa cravate rouge qui ravive trop le souvenir de feu Pierre MAMBOUNDOU disparu dans des conditions non encore élucidées et avec qui le pouvoir émergent n’était pas franchement en bon terme. Par ailleurs, le Président de la République trouve que Jean de Dieu Moukagni Iwangou est trop « inflexible ». Autrement dit, Ali Bozizé Ondimba aurait voulu avoir à la tête de la Fegafoot un président postiche, qui aiderait à voler l’argent du contribuable. Comme cela a été le cas avec le COCAN.
Il reste qu’il faut vraiment être né avant la honte, s’appeler Ali Bozizé Ondimb et créer des problèmes au football national pour si peu. Reste à savoir si l’intrusion en force de la Présidence de la République dans le football gabonais va prospérer. D’autant que la Fifa est désormais en possession du film détaillé du déroulement de l’élection.

Un candidat contre les clubs

Pierre Alain Mounguengui n’est pas d’accord qu’on ait utilisé les statuts 2012 pour organiser l’élection du Président de la FEGAFOOT. Certes, il sait très bien que es statuts ont été envoyés à la FIFA pour validation. Mais celle-ci émet des réserves sur la sur-représentativité des clubs, la présence des associations des journalistes et des supporters comme membres. La Fifa souhaite une plus grande participation du football professionnel et du football amateur. Or, si ceux-ci sont représentés par la présence de la LINAF(Ligue Nationale de Football) et des clubs d’une part ; des ligues et sous ligues d’autre part, il y a que Pierre Alain Mounguengui veut que l’électionsoit organisée sur la base des statuts de 2007. Au cas où les l’ont oublié ou s’ils ne le savent pas, ces statuts excluent les clubs du collège électoral.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
Pinto
Professionnel
Professionnel
Messages : 3717
Enregistré le : 17 oct. 2007, 15:06
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Pinto »

Une prétendue agression

Arrivé à Libreville le 10 avril 2013 pour mettre en place le comité de normalisation du football gabonais, la délégation dela Fifa a brillé par un parti pris imbécile. C’est ainsi que dans leur programme de consultation, au lieu de recevoir toutes les ligues provinciales, le samedi 13 avril 2013 comme programmé par la Fédération, ils ont plutôt anticipé en devisant avec les seuls présidents des ligues de l’Estuaire Mba Nzé Jean Félix et de l’Ogooué maritime Ndoumbou Dieudonné Likouni, les seuls soutiens de Pierre Alain Mounguengui parmi les responsables des ligues provinciales. Samedi, alors qu’ils étaient en conclave avec Bouassa Mossadji Barthélemy, le Secrétaire Général de la FEGAFOOT, ils ont été informés que les responsables des 7 autres provinciales attendaient dans le hall du Méridien pour se faire recevoir.

Quelques minutes plus tard arrive le Général Commandant en chef des forces de police nationale Léon Mistoul. Il prend violemment à partie le commandant de la police retraité Boussouhou Bousset qui s’était levé pour aller le saluer. Selon le Général, la Présidence de la République l’a appelé en catastrophe pour lui dire que les délégués de la Fifa étaient agressés à l’hôtel par les responsables des ligues et de la FEGAFOOT. Le Général est resté confus de constater que les prétendus agresseurs étaient tous assis, dans le hall en train d’attendre leur rencontre avec les délégués de la Fifa. Au même moment est arrivé Bouassa Moussadji le Secrétaire Général de la FEGAFOOT qui est venu annoncer aux 7 ligues qu’ils ne pouvaient plus être reçus et n’ont reçu que les 2 qui soutiennent Pierre Alain Mounguengui, estimant qu’une soixantaine de consultations étaient largement suffisante pour se faire une idée claire de la situation de proposer un comité de normalisation.

A leur sortie de l’hôtel, une trentaine de policiers lourdement équipés avaient pris position devant l’hôtel. N’empêche, la presse corrompue et paresseuse du pouvoir avait déjà balancé l’information erronée selon laquelle des responsables de ligues et de la Fegafoot proches de Moukagni Iwangou, le Président Elu ont agressé les délégués de la Fifa, pauvre Gabon !

C’est avec des gens comme ça qu’il doit entreprendre le chemin de l’émergence !
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
Patshoosket
U19
U19
Messages : 2459
Enregistré le : 16 oct. 2007, 09:16
Localisation : Partout en RDC
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Patshoosket »

Pinto a écrit :Une prétendue agression

Arrivé à Libreville le 10 avril 2013 pour mettre en place le comité de normalisation du football gabonais, la délégation dela Fifa a brillé par un parti pris imbécile. C’est ainsi que dans leur programme de consultation, au lieu de recevoir toutes les ligues provinciales, le samedi 13 avril 2013 comme programmé par la Fédération, ils ont plutôt anticipé en devisant avec les seuls présidents des ligues de l’Estuaire Mba Nzé Jean Félix et de l’Ogooué maritime Ndoumbou Dieudonné Likouni, les seuls soutiens de Pierre Alain Mounguengui parmi les responsables des ligues provinciales. Samedi, alors qu’ils étaient en conclave avec Bouassa Mossadji Barthélemy, le Secrétaire Général de la FEGAFOOT, ils ont été informés que les responsables des 7 autres provinciales attendaient dans le hall du Méridien pour se faire recevoir.

Quelques minutes plus tard arrive le Général Commandant en chef des forces de police nationale Léon Mistoul. Il prend violemment à partie le commandant de la police retraité Boussouhou Bousset qui s’était levé pour aller le saluer. Selon le Général, la Présidence de la République l’a appelé en catastrophe pour lui dire que les délégués de la Fifa étaient agressés à l’hôtel par les responsables des ligues et de la FEGAFOOT. Le Général est resté confus de constater que les prétendus agresseurs étaient tous assis, dans le hall en train d’attendre leur rencontre avec les délégués de la Fifa. Au même moment est arrivé Bouassa Moussadji le Secrétaire Général de la FEGAFOOT qui est venu annoncer aux 7 ligues qu’ils ne pouvaient plus être reçus et n’ont reçu que les 2 qui soutiennent Pierre Alain Mounguengui, estimant qu’une soixantaine de consultations étaient largement suffisante pour se faire une idée claire de la situation de proposer un comité de normalisation.

A leur sortie de l’hôtel, une trentaine de policiers lourdement équipés avaient pris position devant l’hôtel. N’empêche, la presse corrompue et paresseuse du pouvoir avait déjà balancé l’information erronée selon laquelle des responsables de ligues et de la Fegafoot proches de Moukagni Iwangou, le Président Elu ont agressé les délégués de la Fifa, pauvre Gabon !

C’est avec des gens comme ça qu’il doit entreprendre le chemin de l’émergence !
*
Eh notre Afrique! Omari alakisi bango ki zaïrois! Lokoso! okoyokisa Mboka soni!
Soyez indifférents aux éloges et profitez de critiques pour vous améliorer et vous corriger
Mike
U15
U15
Messages : 1211
Enregistré le : 25 janv. 2008, 09:57
Localisation : Bukanga Lonzo
Contact :

Re: Crise postelectorale à la FEGAFOOT:Omari l'accusé.

Message par Mike »

Orange qui ne se contente pas a pourrir seule
Dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l'hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience. 1 Timothee 4:1-2
Répondre

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 2 invités