Le ministère tunisien de la Jeunesse et des Sports ne pouvait rester plus longtemps sourd aux revendications des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 du pays, en proie à de graves difficultés financières. Chacun d'entre eux pourra bénéficier d'une aide : son montant sera de 100.000 dinars pour les clubs de l'élite, et de 60.000 dinars pour ceux de Ligue 2.
Par ailleurs, le gouvernement réfléchit à la possibilié de mettre fin aux huis clos pour la phase retour du Championnat. Les déplacements de supporters resteraient en revanche interdits.
http://www.footafrica365.fr/infos-pays/ ... lubs.shtml
L'état des terrains en RDC
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Erick Ross
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Re: L'état des terrains en RDC
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Re: L'état des terrains en RDC
Le terrain synthétique ne serait pas très approprié pour des pays de nos climats. quand le terrain est sec et quand il fait chaud, les joueurs qui font le plus de tacles glissés peuvent avoir beaucoup de petites dechirures de la peau des jambes parce que cette pelouse est faite en plastique.
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.
"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
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busa
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Re: L'état des terrains en RDC
Les nouveaux terrains synthétiques ne font plus ce genre "d'escalopes". Pas plus que sur une pelouse naturelle par temps sec. Quant aux tacles glissés, on en voit de moins en moins tant ils sont réprimés. Le tacle n'est plus employé qu'en dernière extrémité. Un bon défenseur défend debout avant tout maintenant.Mayloshi-forever a écrit :Le terrain synthétique ne serait pas très approprié pour des pays de nos climats. quand le terrain est sec et quand il fait chaud, les joueurs qui font le plus de tacles glissés peuvent avoir beaucoup de petites dechirures de la peau des jambes parce que cette pelouse est faite en plastique.
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Re: L'état des terrains en RDC
Ok d'accord, pour les nouveaux terrains synthétiques, mais pour ce qui est des tacles glissés, on en voit toujours malgré que ce soit reprimé. Et puis le big pro ce n'est pas seulement le tacle, finalement. C'est vrai que j'ai parlé des tacles, mais c'est le contact avec la pelouse, en glissant, qui est le big pro.busa a écrit :Les nouveaux terrains synthétiques ne font plus ce genre "d'escalopes". Pas plus que sur une pelouse naturelle par temps sec. Quant aux tacles glissés, on en voit de moins en moins tant ils sont réprimés. Le tacle n'est plus employé qu'en dernière extrémité. Un bon défenseur défend debout avant tout maintenant.Mayloshi-forever a écrit :Le terrain synthétique ne serait pas très approprié pour des pays de nos climats. quand le terrain est sec et quand il fait chaud, les joueurs qui font le plus de tacles glissés peuvent avoir beaucoup de petites dechirures de la peau des jambes parce que cette pelouse est faite en plastique.
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.
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Re: L'état des terrains en RDC
Mayloshi-forever a écrit :Ok d'accord, pour les nouveaux terrains synthétiques, mais pour ce qui est des tacles glissés, on en voit toujours malgré que ce soit reprimé. Et puis le big pro ce n'est pas seulement le tacle, finalement. C'est vrai que j'ai parlé des tacles, mais c'est le contact avec la pelouse, en glissant, qui est le big probusa a écrit :Les nouveaux terrains synthétiques ne font plus ce genre "d'escalopes". Pas plus que sur une pelouse naturelle par temps sec. Quant aux tacles glissés, on en voit de moins en moins tant ils sont réprimés. Le tacle n'est plus employé qu'en dernière extrémité. Un bon défenseur défend debout avant tout maintenant.Mayloshi-forever a écrit :Le terrain synthétique ne serait pas très approprié pour des pays de nos climats. quand le terrain est sec et quand il fait chaud, les joueurs qui font le plus de tacles glissés peuvent avoir beaucoup de petites dechirures de la peau des jambes parce que cette pelouse est faite en plastique.
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Pour jouer régulièrement sur ce genre de terrain, dimanche matin notamment avec les vétérans, je t'assure qu'on préfère maintenant jouer sur ce terrain que sur de l'herbe. Le contact est plus doux que sur un terrain sec fut il recouvert d'herbes.
En plus, ce terrain n'est pas salissant. Pour te dire, ils sont passés encore à une étape supplémentaire avec de l'herbe synthétique mais sans les gommes en caoutchouc (noirs ou vertes qui peuvent sentir un peu fort en période de grande chaleur)
ces nouveaux terrains sont aussi souples que ceux avec les gommes.
Les prix montent vers les 450.000€ électrification et mains courante comprises. Si vous n'acheter que le terrain, il vous reviendra autour de 150.000€
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Re: L'état des terrains en RDC
Autre avantage, le terrain est toujours plat. Donc pas de faux rebond et donc pas de fausses excuses quand on rate son controle, ou une passe
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busa
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Re: L'état des terrains en RDC
Encore un autre. De passage à Kin en novembre, j'ai eu l'occasion de rentrer au 24 novembre par curiosité....Ce que raconte la journaliste n'est vraiment pas exagéré. En plus ce jour là, il pleuvinait. J'ai failli me rompre le cou sur les "restants d'escalier"
.... Il faut le voir pour le croire.
Le stade cardinal Malula est à l'abandon
LUNDI, 30 AVRIL 2012 13:04 2 COMMENTAIRES ENVOYER
Le stade cardinal Malula, ex-Reine Astrid ou 24 Novembre, n'est plus qu'un vaste site de champs de légumes baigné par des cours d'eau. Situé au croisement des avenues Kabambare et Kasa-Vubu dans la commune de Kinshasa, cet antre de jeu, inauguré en 1934, n'a plus rien d'un stade de football. Construit dans la perspective de servir de vélodrome, l'arène a perdu de sa beauté d'antan et est aujourd'hui en état piteux voire à l'abandon. Alors que les locaux de ce temple de foot servent de bureaux aux ententes urbaines de football, les vestiaires sont squattés par les délinquants de tous bords. L'aire de jeu, elle, est jonchée de marigots. C'est le repaire tout indiqué pour les moustiques et autres insectes nuisibles dans une ambiance dominée par le croassement des grenouilles. Lorsqu'il pleut, tout est inondé. Les gradins prennent de l'eau. Les projecteurs ont cessé d'éclairer depuis belle lurette et sont couverts de toiles d'araignée. Des fissures sur les murs, sortent des lézards qui viennent se chauffer au soleil alors que dans les conduites d'eau ne coulent plus que des urines.
A voir l'état déplorable du terrain, l'opinion sportive s'interroge quel type de contrat lie la Division urbaine des sports à son sponsor dont la publicité de différents produits est affichée à ce qui sert encore de mur à l'ex-24 novembre. «Il serait plus correct de parler d'un champ de légumes ou autres cultures que d'un stade de football en évoquant le stade cardinal Malula», s'indigne une volleyeuse, Laurette Meta. Pour les Kinois, il serait préférable pour les pouvoirs publics de réhabiliter ou d'entretenir les stades existants que d'en construire d'autres plus coûteux. «Et dire qu'on ne cesse de nous rebattre les oreilles avec les cinq chantiers, pendant que les infrastructures sportives comme le stade cardinal Malula demeurent en si mauvais état», déplore un jeune sportif. Puis: «dans ces conditions quel espoir pour le développement des jeunes sportifs kinois ? Tout ceci dénote du manque de volonté politique des autorités politiques et sportives. Non pas qu'elles ne disposent pas de moyens, mais simplement qu'elles ne pensent pas à la jeunesse».
Elysée MUTINGWA
Le stade cardinal Malula est à l'abandon
LUNDI, 30 AVRIL 2012 13:04 2 COMMENTAIRES ENVOYER
Le stade cardinal Malula, ex-Reine Astrid ou 24 Novembre, n'est plus qu'un vaste site de champs de légumes baigné par des cours d'eau. Situé au croisement des avenues Kabambare et Kasa-Vubu dans la commune de Kinshasa, cet antre de jeu, inauguré en 1934, n'a plus rien d'un stade de football. Construit dans la perspective de servir de vélodrome, l'arène a perdu de sa beauté d'antan et est aujourd'hui en état piteux voire à l'abandon. Alors que les locaux de ce temple de foot servent de bureaux aux ententes urbaines de football, les vestiaires sont squattés par les délinquants de tous bords. L'aire de jeu, elle, est jonchée de marigots. C'est le repaire tout indiqué pour les moustiques et autres insectes nuisibles dans une ambiance dominée par le croassement des grenouilles. Lorsqu'il pleut, tout est inondé. Les gradins prennent de l'eau. Les projecteurs ont cessé d'éclairer depuis belle lurette et sont couverts de toiles d'araignée. Des fissures sur les murs, sortent des lézards qui viennent se chauffer au soleil alors que dans les conduites d'eau ne coulent plus que des urines.
A voir l'état déplorable du terrain, l'opinion sportive s'interroge quel type de contrat lie la Division urbaine des sports à son sponsor dont la publicité de différents produits est affichée à ce qui sert encore de mur à l'ex-24 novembre. «Il serait plus correct de parler d'un champ de légumes ou autres cultures que d'un stade de football en évoquant le stade cardinal Malula», s'indigne une volleyeuse, Laurette Meta. Pour les Kinois, il serait préférable pour les pouvoirs publics de réhabiliter ou d'entretenir les stades existants que d'en construire d'autres plus coûteux. «Et dire qu'on ne cesse de nous rebattre les oreilles avec les cinq chantiers, pendant que les infrastructures sportives comme le stade cardinal Malula demeurent en si mauvais état», déplore un jeune sportif. Puis: «dans ces conditions quel espoir pour le développement des jeunes sportifs kinois ? Tout ceci dénote du manque de volonté politique des autorités politiques et sportives. Non pas qu'elles ne disposent pas de moyens, mais simplement qu'elles ne pensent pas à la jeunesse».
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